Les Supercars sont souvent fausses, des rêveries sur ordinateur que des illuminés testent sur le web en y diffusant leurs “créations” assorties de “faits” imaginaires… les illustrations étant parfois dignes de films tels que “Star Wars” ou que les “Fast & Furious” afin que le public se laisse prendre, croyant à une “New” digne de foi… en cette suite, pour vendre, “c’est bien le diable” qu’on ne trouve pas au moins quelques douzaines de gens ayant suffisamment d’argent pour l’acheter…
Les Supercars authentiques, délires consuméristes de microcréateurs/entrepreneurs tels Tramontana, Zenvo, Gumpert, Pagani, Rezvani… et maintenant Delage qui est la seule marque prestigieuse au monde qui se métamorphose en constructeur d’Ovnis en kits… etc.etc.etc… ne se vendent toutefois pas par centaines de milliers comme les Renault basiques… et lorsqu’elles trouvent acquéreurs, alors les ventes varient les unes des autres… entre le vide et le néant…
La Tramontana, par exemple, lancée en 2010, vendue à quelques douzaines d’exemplaires, a finalement sombré dans l’oubli… et si elle ressurgit en presse, c’est soit par l’erreur d’un pigiste qui croit que c’est une nouveauté… soit parce qu’un des rares spécimens existant est à vendre chez un “spécialiste” au prix de son poids en or, présenté comme une œuvre d’art, motorisée par une écurie d’au moins 600 à 1000 chevaux en sus d’une avalanche de chiffres grotesques et invérifiables (c’est le cas pour cet article)… mais il se peut aussi qu’elle puisse servir de “faire-non-valoir” à une copie évolutive financée par les deniers publics détournés !
La Tramontana, inspirée des avions de chasse à réaction sur roues… revendiquait entre 720 et 900 chevaux via un V12 biturbo d’origine Mercedes-AMG, le tout pour une masse contenue à seulement 1300 kilos, ce qui “spermettait” à ses géniteurs-affairistes de promettre (évidemment) des performances ébouriffantes que personne ne pouvait contredire, afin de justifier des prix élastiques (au Pif !) entre 500.000 et 1.000.000 d’€uros et plus.
La société Tramontana, basée sur la Costa Brava, non loin de Barcelone en Espagne, voulait incarner un concept révolutionnaire qui comprenait précision technique, design personnalisé et personnes compétentes… mais actuellement (2020) personne ne sait ce que tout cela est devenu, sauf que certaines sont maintenant dans/sur le marché de l’occasion pour environ 350.000 €uros, présentées comme étant toutes “le summum de la voiture donnant du désir, de l’émotion et de l’excitation”… C‘est l’une d’elle que je me suis payé pour moins que la moitié, soit 100.000 €uros… et il ne m’a pas fallu longtemps pour le regretter ! Imaginez alors mon fou rire de voir que mon ami Patrick Delage s’était fait embrigadé par Laurent Tapie (le fils de Bernard) pour fabriquer un clone de la Tramontana (elle-même évolution de la sinistre Caparo)…, leur Delage futuriste étant annoncée plus de 2 millions d’euros + taxes et divers, soit entre 20 et 25 fois plus cher que cette Tramontana de 1er main, état neuf !!!
La Tramontana pesait et pèse toujours (sic !) 950kg et mesurait et mesure toujours (re-sic !) 4m90 de long pour plus de 2m de large… son physique pas forcément disgracieux mais pas beau pour autant… et les caractéristiques délirantes de la bête, ajoutés à la relative absence d’infos concernant cette “chose” font penser qu’elle ne peut que s’écraser sur le mur compact d’une réalité dans laquelle les idées les plus folles ont parfois de la difficulté à éclore.
La disposition des deux baquets en enfilade rappelle les F1 biplaces mais également aussi la Renault Twizzy électrique… l’ouverture de la “porte-verrière” de ce “chasseur superphonique de nananas”, laissant présager que draguer une jolie bandante pour l’obliger à voyager à l’arrière, façon vélo tandem… où comme un gros bagage… doit être une épreuve, totalement inédite… impossible en effet de perdre les doigts de sa main droite entre ses jambes… par contre un chatouillis de son pied droit doit rester possible si on a une tendance fétichiste… un élément qui a surement diminué de 80% le taux de vente des rares neuves alors fabriquées… réservant la Tramontana aux misogynes pervers !
La partie châssis s’inspire beaucoup de la F1 et tout particulièrement les suspensions… la construction du modèle était spécifique, alliant de l’aluminium, de l’or (sic !) et des feuilles autocollantes imitation carbone, ainsi que sur commande spéciale (re-sic !) un lattis de planchettes en bois plastifié précieux… par ailleurs pas bien placé puisque servant d’ornement extérieur de carrosserie, un peu comme sur les breaks américains des années ’80 (re-re-sic !)…, un seul client aurait commandé cette option délirante…
Cette voiture monocoque, comportant 8 zones de déformations préprogrammées, est totalement en fibre de verre et carbone… et si elle n’a toutefois pas la grâce d’une Lotus Elise, elle dépasse de très loin l’agressivité d’une Lamborgini Vénéno, mais elle est désirable quand même.
L’aérodynamique avionique qui avait, parait-il, été “très optimisée” reste par contre relativement ahurissante, “optimisation” signifiant qu’elle comporte tout l’optimisme de ses concepteurs et celui de la mentalité des clients qu’elle vise….
Je me souviens de mon séjour à Monaco lors de la première présentation “presse” de la Tramontana, les constructeurs de cette chose éminemment coûteuse m’avaient invité à une soirée abominablement snob, prétexte à des auto-congratulations auto-érectiles spermatiques… sous l’œil fatigué de la Princesse Stéphanie qui avait encore à cette époque la cuisse légère… que je croisais alors de temps à autre lors de mes virées sur le rocher…
Je me souviens très bien de cette “première”… après la délirante exhibition, j’avais résolu de me gratter les coucougnettes au milieu des stars, des starlettes, des bellâtres et des pouffes (tenir quelqu’un par les couilles est une pratique affairiste très en vogue à Monaco, raison pour laquelle il faut protéger ses bijoux de famille)… privilégiant l’ambiance, je m’étais ensuite rendu au Star’s’n’Bars sur le Port, qui restait alors incontournable, Kate et Didier me mettant à chaque fois à l’aise de suite aidés de leurs serveuses très cools (traduisez qu’en moins d’une heure toutes vos liasses de billets ont tendance à disparaitre).
A Monaco tout était à cette époque beaucoup plus facile qu’actuellement, quoique les habitué(e)s font toujours la même chose, surtout croiser plusieurs fois les mêmes personne durant la nuit en attente de diverses possibilités sexuelles et financières.
J’y avais donc côtoyé le principal membre érectile de la Famille Souveraine entouré d’une Star du Show bizz … et m’étais ensuite installé au Piano Bar du Grand Hôtel, l’ex-Loew’s de l’Avenue des Spélugues où je m’étais direct fait emmerder (à Monaco, chier dans les bottes des autres est un sport très prisé)… et, après avoir jeté toute ma monnaie (soit 6,75 centimes d’€ que je gardais pour un pourboire éventuel), dans la première machine à sous rencontrée au Casino… (ce qui m’avait rapporté 200 euros) j’avais résolu de devenir pilier de bar pour le reste de la nuit !
Pas de panique, les cacahuètes du Grand Hôtel allaient me soutenir pendant que j’observais le manège des plantes vénéneuses en pots… le Jimmy’z n’ouvrant ses portes que vers minuit, je suis donc allé m’affaler au bar, mais l’ambiance était trop bruyante, je n’avais toutefois pas envie d’être raisonnable… et j’étais toujours seul, que faire ?
Ne trouvant pas de quoi m’exciter, j’ai toutefois lancé un sourire indulgent à une fille superbe au milieu d’autres bimbos superbes, qui étaient toutes là pour le même superbe motif… Monaco c’est surfait, croyez-moi… tout y est hors de prix, surtout le sexe… je l’ai attirée à moi, elle m’a dit être Suissesse et je lui ai rétorqué que j’étais pilote d’essai chez Tramontana, lui jurant que j’avais le pouvoir de la présenter au PDG de cette société dont je lui situais le bureau de design à Cambrai près de Maubeuge lui affirmant que le clair de lune y était d’enfer…
Je lui ai offert un Mojito, lui expliquant que j’avais besoin de son aide… lui expliquant que comme elle était Suisse elle devait tout connaître du secret de la mort d’Edouard Stern qui se trouvait à Czhürziak en Bosnie-Herzégovine… et qu’il était indispensable qu’elle y vienne avec moi en Tramontana afin d’obtenir les aveux sexuels de la cousine de Cécile Brossard qui y habitait… et elle m’a rétorqué qu’on pouvait plutôt en discuter chez-elle à la Turbie pour 1000 euros ! C’était évidement moins cher que se taper les longues heures du trajet Monaco jusqu’à Czhürziak (Bosnie-Herzégovine) puis retour à Monaco… Cela me convenant, en suite des sévices proposés, elle est donc venue avec moi en confiance… je l’ai installée dans la Tramontana et GO…
Je lui ai expliqué comment fonctionnait cet engin… ce à quoi elle n’a strictement rien compris… me rétorquant qu’elle s’en foutait ce qui ne l’a pas empêchée d’acquiescer à tout ce que je lui disais… sauf lorsque j’ai dit qu’il était vital de stopper au supermarché local et voisin pour effectuer quelques achats de première nécessité… Elle m’a dit que ce serait 1.000 €uros de plus car j’étais tordu… Elle m’y a aidé à remplir la soute de la Tramontana et à y entasser les 10 litres/bouteilles de Mojito servant de liquide de refroidissement pour le conducteur (moi, en personne)… et accessoirement pour elle. On y a ajouté aussi un bidon de sédatif, au cas où… J’étais paré pour traverser Monaco, atteindre le grand tunnel et escalader la voie rapide vers la Turbie… J’avais mon atlas routier universel, plusieurs kilogrammes de barres de céréales survitaminées, ma hache à incendie favorite… et un sac de devises étrangères. Le but était d’aller jouir tout en testant la Tramontana jusqu’à la mort s’il le fallait absolument, mais au moins à Monaco qui me semblait l’endroit plus adapté au monde pour accueillir l’automobile la plus évocatrice de conflits militaro-industriello-terroristes imaginable…
-“Ce n’est pas, parce qu’il y a une crise économique en ce moment, que les riches de la planète vont arrêter de se procurer des jouets pour leurs récréations… et ce n’est pas le choix qui manque dans ce catalogue ultra exclusif” lui ai-je crié…
La petite firme Tramontana avait déjà présenté de quoi elle était capable il y a plusieurs années au Salon de Genève… la beauté de la chose étant que cette voiture était probablement ce qui se rapprochait le plus d’un avion à réaction, les ailes en moins… déjà, la Tramontana était rafraîchissante pour l’industrie automobile, avec des chiffres à faire frémir ! Le voyage vers La Turbie allait être long et monotone malgré que la Tramontana devait être tout le contraire… J’ai de suite trouvé que la cavalerie mécanique était trop agressive pour la route, j’ai donc appuyé sur le bouton adéquat et le nombre de chevaux-vapeur est descendu à 550, éliminant, du même coup, le travail des turbocompresseurs…
L’engin étant couplé à une transmission séquentielle à six rapports, je vous avoue avoir été souvent dépité de devoir perdre mon temps à manœuvrer le levier de commande. A chaque démarrage, le 0-100 km/h était atteint en 3,6 secondes et le 0-200 km/h en seulement 10,15 secondes… la demoiselle hurlait coincée derrière moi tentant de m’arracher quelques cheveux… je lui ai dit que comparé au modèle “ordinaire“, cette Tramontana “R” avait été raccourcie de 50 mm pour : “améliorer la tenue de route et l’aérodynamisme”, c’était du moins ce que m’avait certifié sans rire le constructeur du bestiau, la main sur le cœur et la bouche en cul-de-poule comme pour me faire une fellation commerciale… ce qui était vraiment n’importe quoi sauf sérieux !…
Nous foncions gaiement vers l’inconnu, libres comme le sont certains lézards dans le désert… et après d’interminables heures à tourner dans Monaco, en tous sens, par miracle, l’engin fonctionnait toujours… j’ai cédé à ses supplications de m’offrir gratuitement deux heures de sévices si on allait enfin chez elle à la Turbie… et j’ai repris le bon chemin, priant longuement le dieu des alcooliques et faisant moultes libations en son honneur… Nous avons passé la douane avec l’Italie en hurlant… les douaniers, sans doute terrifiés par le look du véhicule, n’ont pas fait mine de nous arrêter. Pour la petite histoire, il semblerait qu’ils ont tenté de nous arrêter, puisque juste après notre passage ils ont ouvert le feu… heureusement sans grande conséquence puisqu’ils ne parvinrent qu’à briser un rétroviseur, que de toute façon je n’utilisais pas !
J’ai patiemment expliqué à ma belle que les ingénieurs de la Tramontana n’avaient pas lésiné en installant des disques Brembo de 380 mm, ces derniers étant mordus par des étriers à six pistons aux quatre coins ajoutant que la suspension sur mesure de type course provenaitt de Öhlins et que celle-ci était ajustable en hauteur., ajoutant que finalement, la voiture roulait sur des jantes de 20 pouces en magnésium et fibre de carbone, enveloppées par des pneus haute performance.
-“Avec tout le carbone, les ailerons arrière et avant et cette configuration de type Formule1, n’importe qui peut comprendre que cette voiture a tout ce qu’il faut pour affronter les routes Italiennes jusque Rome”…
Le volant coupé dans la partie supérieure et l’intérieur minimaliste me confirmaient quand même que cette bête n’avait rien de pratique pour la vie de tous les jours… du coup j’ai décidé de faire demi-tour… en expliquant à la demoizelle qui maintenant gémissait en m’implorant d’aller à la Turbie, diverses subtilités mécaniques de la Tramontana !
-“Avec son cockpit à la manière des avions de chasse, chaque sortie de l’habitacle est une souffrance dantesque jusqu’au fond de mon cerveau…, je suis sur le point d’exploser et de vous dire tout ce que je pense réellement de cet engin… dont le constructeur prévoit de n’en construire seulement qu’une douzaine par année pour un prix de 385.000€ plus taxes et tracas administratifs divers… ce qui devrait en décourager plus d’un. Josep Rubau et Pere Giro, sont les propriétaires de la marque Tramontana. Ce missile sol-sol s’inspire du design des F1. Les roues sont à l’extérieur de la carrosserie et le conducteur prend place au milieu de la voiture. Comme dans un avion de chasse, une verrière protège le pilote, c’est bien de pilotage qu’il est question ! Aidée par 250 kg d’appuis aérodynamique, l’accélération latérale peut atteindre 1,22g avec des pneus de série. Côté moteur, on retrouve un V12 5.5 litres bi-turbo emprunté à la Classe S de Mercedes”.
-“Je m’en moque de vos explications, vous m’entendez, vous n’êtes qu’un pervers de l’automobile, un fou qui me persécutez en me maintenant prisonnière sans un espace ri-qui-qui, c’est de la torture, finissons-en, là, de suite, sur le bord de la route, une branlette et vous me laissez partir”…
-“Avec 1268 kg sur la balance, la Tramontana n’a besoin que de 3,6 secondes pour atteindre 100 km/h. Pour comparaison, une Renault Clio dci 105 met 11,1 secondes sur le même exercice, soit plus de temps que la Tramontana pour gagner 200 km/h (10,5 s). En raison d’une instabilité aérodynamique à haute vitesse, la Tramontana R est limitée électroniquement à 325 km/h. L’extravagance du design se paye sur la vitesse de pointe ! A bord, le conducteur fait face à un véritable cockpit : un écran LCD affiche les informations et le levier de vitesses ressemble à un joystick. Le volant est à mi-chemin entre un manche d’un 747 et un volant de F1. Limitée à seulement 12 exemplaires par an, la Tramontana R s’adresse à un public averti pour qui l’exclusivité n’a pas de prix”.
Vous pensez, chers lecteurs/lectrices internautes que je suis déraisonnable ? Le politiquement correct, je ne connasse pas ! et la Tramontana “R” se soucie comme de son premier cylindre du bonus écologique…, pas plus de la crise.
Bien plus tard…, nous sommes arrivés, finalement en France, à la Turbie au petit matin… Nous sommes sortis tous les deux, en désordre… moi le dernier comme le veut la coutume des marins, gens sages s’il en est… et c’est vigoureusement que nous nous étreignîmes, baisâmes le sol de la douce France, prîmes l’apéritif… et puisque nous étions en forme, j’ai alors décidé de passer immédiatement à la phase suivante… goûtant avec plaisir à son hospitalité !
Nous avons passé une bonne nuit de repos, chastement serrés l’un contre l’autre comme il arrive lorsqu’on prend l’apéritif un peu trop longtemps… et nous petit-déjeunâmes de biscottes et de dolipranes, fin prêts pour le grand départ… je lui ai alors juré que je ferais tout pour éviter de recroiser les douaniers un peu soupe au lait en voyant venir vers eux un engin diabolique ressemblant à un hélicoptère Apache sur roues…
Je suis sorti du coma une quinzaine d’heures plus tard, j’ai remercié vigoureusement les gendarmes (j’ai vite découvert que les noms d’oiseaux typiques sont ceux qui sont prononçables uniquement en gardant la bouche fermée)… et on m’a emmené dans un refuge pour espèces en-voie-de-disparition en cause de la folie humaine.
Afin de pouvoir réaliser l’invocation secrète découverte par hasard un jour où je m’étais gouré de rayonnage à la bibliothèque municipale, j’ai récité de mémoire la superbe aventure sexuelle qui avait suivi notre périple en Tramontana et ce, dans une tempête de postillons, expliquant que j’avais passé avec ma copine le genre de marché que les gens du commun préfèrent ignorer, échangeant une nuit de ma vie et plusieurs baisers contre un nounours en peluche fraîchement arraché à son environnement (une poussette qui passait)… mais, par pudeur, censure et nécessité pratique, je suis tenu de taire ici involontairement les péripéties de la nuit dont question… qui fut bonne, merci !
Mais l’heure était venue… On n’eût pas à patienter… rapidement une foule d’écologistes et de pseudo-scientifiques, de hippies et de journalistes sont sorti de nulle part où aller…. Le moment était venu, il était 13h13 en ce vendredi 13 et à 13h13 et 13 secondes ce fut très rapide… Je n’ai eu que le temps d’hurler : “Attention espèce en voie d’extinction !“.
En excellent orateur, j’ai débité un long monologue, expliquant comment les hommes avaient oubliés qu’ils étaient faibles, que gorgés d’importance et d’orgueil ils pensaient pouvoir résister… et toutes ces choses qu’on a l’habitude d’improviser au fur et à mesure des conférences !
Pour être franc, j’ai fait un tabac… et récolté une pluie d’applaudissement et de petite monnaie.
L’Espagne n’est pas réputée pour sa tradition automobile, sachez-le… Il est nécessaire de supprimer cet engin de la surface du globe en un lieu qui symbolise l’atomisation du monde !
CQFD…
Tramontana, the ultimate machine ! from Patrice De Bruyne on Vimeo.