Young-Timerderies en vacances…
Ahhhhhhhh mon Popu, mon brave lecteur qui me lis avec l’avidité avide des avideurs, t’en rêves, avoues, mais une bagnole de collec’ ça croûte, pour arriver d’en posséder une, faut des sous-sous économisés, centime après centime, l’argent, le pèze, le flouze…, les économies…, c’est ça qui fait bouger la plouquesque…, mais t’es trop à cœur, abandonnes mon Popu… et captes le bon mot, le règlement… la loi du gué… le passage…, un seul qui vaille !
Lis mes articles, mon Popu, et tu connaîtras ton histoire d’avance…, mais pas que…, en plus de tes sous-sous qui valsent, de tes sous-sous qui disparaissent, v’là tes sous-sous qu’on te pique…, sournoisement…, penses-donc…, tu te prives de tout pour l’acheter ton Young-Timerderie, et t’en fais quoi mon Popu ?
Tu vas aller en congés-payés à son volant dans ton camping préféré, le même depuis 50 ans, à moins que…, d’un coup d’enluminure, une trace de génie, vu que maintenant t’es riche de ta merveille, tu vas louer dans une résidence de vacances, pluche chère et chique… mais qui est envahie de gens, de tas de gens, des personnes qui grouillent partouze à faire et défaire, qui pompent l’air…, et qui sont-ils ces gens, ces personnes, ces cons, ces gueux et gueuzes/pouffes aux têtes de larbins/larbines en attente de se faire baiser par des jobardiseurs qui ont l’art de l’allure ?
Des affreux et leurs affreuses qui viennent de gauche et de droite, comme toi, par devant, par derrière, qui sont étrangers à chez toi…, des moulbifs, des ratons, des bazanés, des enturbannés qui sûrement pissent dans l’eau des pisse-ines, polluent l’atmosphère, se misèrent entre eux et elles, copulent dans tous les orifices, font des pique-niques, qui re-niquent aussi, en douce… chient leurs cacas dans les coins…, qui prennent ta place, ton eau, ton air… ta femme, ta Young-Timerderie en prime !
Piting, les salauds, que fait la police, le syndicat du crime et le Conseil syndical des trous-ducs de pacotille qui rament, qui pagaillent, joyeusement, des lurons, qui rient de tes tourments, qui en créent aussi…, imagine d’avance, mon Popu…, l’horreur absolue, totale, les infâmes, les gueux aux gros bides, leurs gueuzes flasques, les beaufs, les cons, tous réunis en banderies salopes… et ça papote, ça piaille, ca jazze… et le soir ce sont leurs rejetons, leurs gosses, leurs enfants qui viennent vers les 22h dans ta résidence-vacances en sautant les grillages pour s’accoupler, chanter, boire et pire encore…, car les ados flirtent, baisent copulent…, imagine…, tous nus, toutes nues, dans ton eau de pisse-ine… qui se trouble…, et ne rêve pas de sauter une jeunette avenante, elles s’y connassent pour te faire les bourses à plat et crier au viol quand y a plus rien à pomper !
“Et le De Bruyne, là, le déjanté, quoi qu’il fait pendant ce temps ? Il reste chez lui à St-Trop et polémique dans son Chrom’Flam’, l’affreux… Un double rien ! Zéro total ! Croûte ! Vandale sans savoir ! C’est où qu’il prend ses notes, l’animal ? Dans son salon ?”..., tu regardes à la longue vue, c’est tout noir où c’que j’écris…, perdu de réputation ! Malheur à moi…, pourtant les gens me lisent pluche, ou tout du tout, mais pas pour dépasser les trois premières lignes… et encore, je rallonge pour pas trop médire sur moi-même, j’me flatte d’ingrat bonimenteur…, parole !
Tout est là…, je n’suis pas aussi bien servi que par moi de même…, si bien que les auts’Popus que toi aussi pensent : “Avec un lascar pareil, on court fin cuit d’avance bannière à l’embrouille ! On l’a, on l’trouve… Bon ! Admettons ! Et puis quid ? Quoi ? Quoi quid quoi !!! Il écrit à gauchir le boyau nom de Dieu !!! Le cul en goguette on va, on y est, on s’émule, on chavire, on hisse l’étendard…, on serre le coupable expert… on le tient… On lui dit son fait, lit son non droit… Et puis… C’est pas une mince affaire ! Ça peut tourner suri ! Il annonce et on s’embarque salement, on roule, on roule et on tourne bientôt tout rond ! On va droit dans le boum ! Il avait le mot et il l’a pas donné ! Il m’a lu muet ! On est restés bredouilles, les bras sots par sa faute… Il a dit quoi ? Il a dit affirmatif : “J’ai le mot ! j’ai les preuves qu’on se fait tous enculer bien profond !!!”…
Ah ! le village de vacances…, le vrai beau dégueuli, la vision d’enfer…, quand t’y arrives, mon Popu, t’y crois pas, tellement le village respire la bonne pierre et le droit chemin.., en réalité c’est “Rama’ss’l’oseille sur merde”… le joli nom, une icône sortie des Légendes, une sagesse de bénitier, des rentiers qui cirent leurs façades, des gagne-petit qui gèrent leurs économies alors que leur pactole part en couilles.
Et puis là derrière le mur, ça sort de partouzes, des d’jeunes, des touristes qu’ont chopé la tourista, des manants, des bouseux miséreux, des ploucs…, ça déborde, ça éclate, ça te pète à la figure. Une orgie. T’hallucines, t’y crois pas…, fini ta tranquillité peinarde…, y a des gravas, des ragotons, des bombes, de la merdasse en grandes coulées, des crachats en direct, en cratères depuis qu’on abat les pins parasols pour mettre des parcmètres, les salauds, les beaux arbres…, maintenant c’est vide, y en a qui maintenant hurlent comme des cyclones atroces, s’écartelant bien crade, que ça gicle du noir, du bien sanglant, de la gadoue à coller les yeux pour toujours, à les écarquiller pour perpète, y a que des portraits abominables à cauchemarder en plein jour, à finir plus tôt que prévu.
Et les profiteurs, ceusses qui viennent en rangs serrés d’ailleurs…, des bourges qui se trémoussent pour avoir l’air de s’y connaître, les jeunots des galeries, leurs copains, les copines, ça fait des queues érectionnées plus qu’à Nice-nord Magrebh ou à l’Expo universelle Harley de Roquebrune un soir de 14 juillet lors du concours des suceries publiques…, mais c’est des mondes qui se connassent pas.
Les aut’s tousses, les pov’s ruinés, achevés par les impôts, mourrus tout cru, embobinés par des cons et leurs larbins autres… maint’nant t’es comme avec eux à te tirer des larmes de voir ça…, tu peux plus le supporter, surtout que des p’tits d’jeunes Blancs-Beurs y zont capoucasser ta Young-Timer de merde/rêve…
“Qu’est-ce j’ai fait d’mal”, que tu te dis, que tu savais pas : “J’voulais pas ça, j’ai rien demandé” que tu te cries dans les oreilles, que tu savais pas en matant la gueule en coin des faux-derches : “C’est trop répugnant ce que j’va devenir” que tu ânonnes en gémissant.
Ceusses qui t’ont vendasse ta Old-Timerdique te disaient que “C’est de l’art”…, l’art de l’embrouille, ça c’est sur mon Popu…, le gouvernement que t’as voté y savait d’avance qu’il fallait bien détruire tout ça, revenir au temps d’avant en affirmant que c’était pour aller de l’avant, faire table rase, qu’on n’en parle plus des pollueurs en vieilles guimbardes fumantes achetées par des ceusses qui s’en foutent des fins du monde.
Les Young-Timers, valent plus rien même quand les margoulins prétendent valoir Kekchose d’indéfinissable…, elles se payent au poids de la connerie des Popus hallucinés, c’est Nougat cuit…, m’aint’nant on en arrive à l’apocalypse, la ruine, la faillite…, les Popus peuvent plus payer, finis, lessivés, ruinés les popus, cocufiés, enculés en plus, par eux-même… avec les conseils de mag’zines en prime, z’y ont cru, z’ont suivi le Messie, ses apôtres, la voie de Dieu, Royale, parole d’évangile qui dit : “Par ici le flouze, les pépètes, en prime on vend les Young-timerdes au rabais, pour construire du socialisant”…
Alors le De Bruyne (c’est moi), encore lui, tout fou en tête, y sort ses articles, y manque plus que les tables de la loi… et ça y va des plaidoyers, des engueulades sur Internet, les gueux vocifèrent, se traitent de réac’s ou de p’tits cons, c’est selon…., les gars qui ont acheté leur Young-Timerde, eux ils protègent leur merdier, il veulent pas qu’on y touche, ils ameutent le ban et l’arrière ban…, comme victimes, c’est mieux que pas mieux…, personne ne les écoute, les gens s’en tapent… et les vendeurs de Young-Timerderies continuent de chercher des clients !
Le fric, en attendant, il est pas perdant et ça c’est LE grand Art…, avec lui, personne n’en a pas fini…, l’est dans leur poche, l’a pas disparu pour tout le monde : “T’a été baisé, te reste plus qu’à douiller”…, faut quand même parfaire ton illétrisme, mon popu…, un malheur, une raclée lors d’une tentative d’érection régionale, départ de l’être aimé pour un maître-chanteur même pas connu, accident de tabouret, crise financière, problèmes d’érection, retour de l’être aimé…, la première chose à faire pour toi, mon Popu, c’est de prendre des mesures qui ne s’imposent pas.
La deuxième chose à faire, c’est d’accuser quelqu’un de tous les maux : “C’est De Bruyne, le complotiste de Chromes&Flammes, il a tout versé sa bile dans le crachoir et en plus il dit des mensonges même pas vrais”…, c’est un peu juste sur les arguments, mais j’t’avoue que je ne me contente pas de l’enfoncer bien profond à sec : “Attends la récré, ça va barder”...
A priori, faut pas croquer de pommes en discutant avec des serpents à sornettes…, finalement, toi mon popu, tu commences à comprendre des tas de choses, et tu te mets à te poser des questions genre ; “Qui suis-je, où vais-je et dans quel état g’ère, pourquoi suis-je à poil, c’est pas ma faute, j’ai cru aux paroles des journaleux de sévices qui m’ont quasi obligé d’acheter une Young-Timerderie… et j’ai trop picolé hier soir”…, ce qui prouve bien qu’on peut avoir la connaissance et pas être plus malin que ça.
La suite de l’histoire c’est que t’es obligé de douiller grââââve…, la tornade… sans que t’y vois plus clair…, les marchands d’occazzzz’s le savent, y en a plus qui proposent à leurs clients d’acheter, sauf a moitié du double du prix… et encore, parfois pire si t’as une gueule de con-payeur, mon Popu…, des coûts si lourds pour aller côtoyer des affreux dans des concentres-concentrationnaires, c’est bonbon…, courage faut fuir mon Popu… et de voir l’état général de la Franchouille, là, c’est débandade…
Le Paradis, c’est dans le ciel d’où nous arrivent aussi la pluie, la foudre, la grêle et les bombes, ça fait réfléchir sur le fait que là haut ils ne nous veulent pas que du bien…, en pluche des frais, y a ta fiscalité, mon Popu…, un truc de ouf inventé par des démons déguisés en comptables…., tu passes ta vie à remplir des déclarations, d’IR, d’aujourd’hui, de taxe parafiscale, tu dois chercher des niches alors même que tu n’as pas de chien…, faut être un peu cintré, c’est indubitablement une idée d’un Belzebuth pas malin…, alors quand tu y ajoutes les frais du Paradis…, c’est l’enfer !
On t’a dit que le Paradis Fiscal a été inventé aux Iles Caïman…, moi je veux bien, mais des caïmans, ou les portefeuilles sont en croco…, c’est bête et des bêtes par définition sont trop bêtes pour inventer des trucs aussi tordus qu’un bateau Offshore, la TIPP, ou la taxe sur la valeur ajoutée…, faut pas pousser Mémé dans les ordis.
A la lumière de mes arguments lumineux de clairvoyance, il t’est donc inutile de vouloir te pendre à la plus haute branche de l’arbre de la connaissance que de toute façon on a fait couper…, sans arbre, pas d’ombre, alors les idiots ils rôtissent, surcuits de jours et de nuit…, reste la mer-de, mais elle est pleine de crocodiles…
Sois-en sur mon Popu, une Young-Timerderie c’est LE paradis artificiel, à utiliser avec parcimonie dans l’Eden des beaufs, un truc de plaisirs sadomasochistes, au plus ça coûte, au plus les cons bandent…, un truc qui excite les appétits sexuels… et financiers aussi…,. un truc magique qui spermet d’aller faire le beauf dans des réunions de croyants ou parait-il le Messie en personne fait une apparition de temps en temps…, pile poil à l’heure avec l’exactitude d’un coucou, une mauvaise foi virginale… et sa moitié qui compte double comme toutes les moitiés (ce genre de remarque ne mange pas de pain noir et ça peut éventuellement servir un jour)…
Manque t’a la pelle de dernière minute, les ceusses empêchés d’aller faire le pitre par un débarquement d’amers et qui l’amer aussi.
Popu, mon cher…, je sais…, in petto en toi-même à l’intérieur de ta tête où se trouvent par ailleurs divers autres organes…, que c’est du lard ou du cochon, que je te prends pour un jambon et que ce billet doux d’amour, à la spiritualité illuminée et à la fécondité exacerbée, sur un thème aussi fort et audacieux…, est incompréhensible au commun des mortels… et tu as raison…, à tel point que j’ai parfois du mal à saisir l’essentiel de mon propre message dégueulasse et le cheminement de mes pensées qui sont pourtant mes fleurs préférées.
Ce qui est sûr, c’est que ça n’a rien à voir avec le cri de ralliement : “Dieu est avec moi”… pareil que ton dernier tube d’aspirine, qui est une menterie, parce que si Dieu était avec toi et avec les gogospriétaires de Youg-Timerderies, il aurait pitié d’eux et de toi et ne vous infligerait pas ces parodies qui ne sont pas des odes, fortes et courageuses.
Bon, il “veau” mieux que tu te dises que tout ce qui précède c’est juste un assemblage de mots, comme ça, dans le but que le monsieur (moi) il dise un truc pour être dans l’air du temps et qu’il fasse encore un peu d’oseille en vendant son mag’.
En fait, mon sujet, mon oeuvre, c’est du pur bénévolat, je fais tout gratis, bénévole total, par plaisir…, si, si, si…, tout pour la quête, la recherche du mythe, du sacré Graal, de l’inaccessible étoile, du big one…, le foyer cosmique de la roue du temps de l’universalité éternelle qui n’a pas de fin…
Tente le coup, mon popu…, tu me poses une question, je vais te répondre pluche tard que tardivement, à coté, au hasard…, et si tu ne me demandes rien, je vais te répondre l’inverse…
Si tu trouves que mon mot d’amour est trop long, je te résume : “T’a été baisé, te reste qu’à douiller”…, simple…