Début 2013, les services secrets français reçoivent un appel étrange.
Jacques Chirac, nouveau président français, est informé de cet accident mais tient à le mettre sous le couvert du Secret Défense.
En 1995, un Fouga Magister se serait écrasé en mer lors de circonstance étranges.
Le nom du passager de l‘avion et le contenu de la mallette qu’il transportait ne peuvent en effet absolument pas être divulgués.
18 ans plus tard, ce dossier fumeux et déjà puant remonte à la surface.
Un journaliste de Marianne a en effet été informé de l’incident et essaye d’en savoir plus.
François Hollande, peu informé des frasques de cette époque et trop occupé à empêcher son gouvernement de faire naufrage lui aussi, commet l’irréparable en nommant une commission pour répondre aux demandes du journaliste.
Qui était le passager de cet avion de liaison ?
Pourquoi l’armée française a-t-elle tout fait pour cacher la perte de cet avion et surtout le nom de son passager ?
Les premières productions de la jeune société sont des planeurs en bois.
Cet avion a été construit par les établissements Fouga & Cie, créés en 1936 à proximité d’Aire-sur-Adour.
En 1949, l’Armée de l’air veut se doter d’un avion école à réaction pour mettre en place une formation tout réacteur des futurs pilotes.
Le Fouga Magister sera mis en service en 1956 et les livraisons se poursuivront jusqu’en 1969.
Il sera définitivement retiré du service en 1996, juste après ce malheureux naufrage.Cette décision de François Hollande est d’autant plus regrettable que la DGSE avait été récupérer l’avion et l’avait transporté de nuit dans l’arrière-cour de Jérôme Cahuzac.
Afin qu’il ne puisse être aperçu de la rue, ils avaient élevé un mur de buches et démonté les ailes et l’empennage.Mais pourquoi Jérôme Cahuzac ?
Souvenez-vous, en 1990, il crée une clinique de chirurgie esthétique spécialisée dans l’implant capillaire.
Or, que remarque-ton ?
Que Jacques Chirac avait des cheveux, mais que lors de son accession à la présidence, la perte de ceux-ci l’avait mis dans un état profond de dépression.
Ses conseillers politiques le poussèrent donc à consulter à la clinique de Cahuzac, mais les premiers tests furent décevants.
Jérôme lui proposa donc le port d’une moumoutte en vrai cheveux, directement importée de chez son ami le Colonel Kadhafi.
Kadhafi, qui ne souffrait pas de problème capillaire, fit exécuter plusieurs femmes dont les caractéristiques de cheveux correspondaient à celles de Jacques Chirac.
Ci-dessous, on les voit tous les deux en 1995, Jacques testant la résistance du tissu sous-capillaire qui sera utilisé pour sa moumoutte.
Jacques et Kadhafi étaient de vieux amis et se connaissaient déjà en 1976.
Par respect pour sa calvitie, Mouammar porte un béret basque.
Une fois les 17 femmes exécutées et le toupet terminé, la précieuse cargaison fut donc expédiée par courrier secret vers la France, et le vol s’effectua dans ce Fouga Magister, l’objet du salut étant enfermé dans une mallette diplomatique transportée par un agent de la DGSE.
Mais, malchance, l’avion et son précieux chargement s’abîma en mer, plongeant Jacques Chirac dans un profond marasme qui ne lui permettra pas de gouverner efficacement, et qui plongera la France dans sa plus longue série noire de grêves nationales.
Mais personne ne connaîtra la vraie cause de cette malgouvernance, et c’était toujours le cas jusqu’à ce qu’un journaliste ne contacte cette année 2013 le gouvernement de François Hollande pour obtenir la levée du secret sur la disparition de ce Fouga « Capillaire ».
François pris donc son téléphone et appela Jacques, mais ce dernier étant atteint d’Alzheimer, ne peut plus lui être d’un grand secours.
Il demande donc à parler à Bernadette, qui, encore furieuse des dernières escapades amoureuses de son mari, envoie François sur une fausse piste, celle du Fouga jumeaux.
François, qui n’est déjà pas futé à l’état normal, n’y comprenant plus rien, demande à la DGSE d’inventer n’importe quoi pour satisfaire ce journaliste.
De toute façon, en déclassifiant des documents secret défense, personne ne peut être certain de recevoir un vrai document.
La DGSE retourne donc prendre les morceaux de l’avion dans la cour de Cahuzac et entreprend de le remonter.
Ils le maquillent et le mettent en dépôt dans un vieux musée de l’aviation, son propriétaire étant décédé récemment, personne ne se soucie plus de ce que contient le hangar.
Le voici tel qu’il fut photographié par notre reporter ce 4 octobre 2013 !
La DGSE essaye donc de trouver un acheteur au plus vite, en cassant les prix du marché, afin de mettre un terme définitif à cette saga qui dure depuis 18 ans.
L’appareil est en parfait état de fonctionnement, et peu prendre l’envol sans trop de paperasserie, pour rejoindre son futur propriétaire.
Valeur du marché : 70.000 €
Prix demandé 30.000 €
Veuillez contacter l’éditeur pour de plus amples informations.
Dernière vente publique de Fouga Magister : http://info-aviation.com/?p=12519
Pour ce prix, l’avion est repeint aux couleurs du client, ou des diables Rouges par exemple.