L’opération “Neues Schwabenland”…
Les armes secrètes Nazies… #1
La légende débute peu avant 1940… L’Union Soviétique affirme avoir créé un monstre volant appelé Kalinine K-7, un bombardier lourd expérimental, disposant d’une envergure de 132,5 mètres (pour référence, celle d’un Boeing 747 est de 68,5 m et celle d’un Airbus A380 est de 73,0 m)… et de 20 moteurs à hélice ! Le délire était total : 12 positions points de tirs étaient réparties un peu partout, comprenant un chariot électrique longeant la poutre centrale, du cockpit vers la queue (et retour) pour le transport des munitions alimentant deux tourelles triple-canons façon cuirassé Potemkine…
Le monstre pouvait emporter plus de 16 tonnes de bombes, 112 parachutistes entièrement équipés et 8,5 tonnes de matériel, tout cela avec une masse au décollage de 38 tonnes ! Le Kalinine K-7 avait été conçu comme un avion polyvalent militaire et civil (voyez la différence en comparant les 2 docs ci-dessus). En ce cas 128 passagers et la charge utile étaient logés dans les ailes. Le projet américain “Hotelicopter” ne comptait que 64 passagers ! Victoire de l’Union Soviétique… Peu de temps après, le bruit a couru que l’avion s’était écrasé, mais qu’un autre prototype avait été construit, plus petit, équipé de 6 moteurs…
Face à l’incrédulité du monde entier, quelques photos ont été présentées, à l’appui d’affirmations péremptoires que rien d’autre n’avait pu être sauvé en raison des purges Staliniennes envers les mauvais communistes et des difficultés à conserver des archives. A admettre, sous toutes réserves que fin des années’30, les dirigeants et les scientifiques des forces armées soviétiques étaient fascinés par l’idée de créer de gros avions et se proposaient d’y placer un maximum de moteurs à hélice pour aider ces énormes forteresses à voler, mais ni eux ni le temps n’ont réellement rien mis en œuvre.
Aujourd’hui, quelques nostalgiques de l’époque soviétique désireux de présenter l’histoire moderne de la Russie comme ayant été un vivier d’ingéniosités, tentent de reconstituer via leurs ordinateurs, l’apparence de cette bête incroyable, selon des plans top-secret provenant d’une partie des archives de l’armée russe, sauvée par deux ingénieurs inconnus… Les illustrations sont donc des exemples de ce qu’aurait pu être le Kalinine K-7, au départ des archives et des “témoignages” d’ingénieurs survivants, qui avaient participés à la création de cet engin.
A partir d’avril 1945, on assista à travers les ruines fumantes du Reich à une course effrénée à la recherche des armes secrètes allemandes, les anciens alliés n’hésitant pas à s’approprier et à rapatrier dans le plus grand secret n’importe quels prototypes, documents, matériels, jusqu’au personnel et aux cerveaux qui auraient collaboré à ces divers projets. Certaines de ces armes, authentiques, comme le missile V1, la fusée V2 ou le chasseur à réaction Messerschmitt Me 262, avaient atteint le stade opérationnel et avaient été engagés sur le théâtre d’opération par Hitler, dans le vain espoir de renverser le sort des armes.
Pour d’autres, dont le développement était sur le point d’aboutir, lorsque le Reich Nazi s’écroula en 1945, sont restées à l’état de projet, ou d’épures, la plupart, élaborées trop tardivement, n’avaient pas dépassé le stade expérimental ou n’avaient été produites qu’en nombre très limité, restant à l’état de prototypes. Lors de l’occupation de l’Allemagne, les ingénieurs alliés purent constater que ces armes ne constituaient que des ébauches de première génération d’appareils révolutionnaires, d’autres concepts encore plus audacieux étant en gestation sur plans…
En prenant connaissance des divers projets, ils durent constater que les Allemands avaient de l’imagination et possédaient une certaine avance technologique dans un grand nombre de domaines de pointe, comme la recherche aéronautique fondamentale, les hélicoptères, les appareils à voilure en flèche ou à aile delta, ou encore l’utilisation du moteur à réaction et du moteur-fusée à carburant liquide. Ainsi, la propagande alliée va s’engouffrer dans l’exploitation de ces délires pour consolider leur annexion commerciale de l’Europe basé sur la création d’une reconnaissance obligée.
Les services de propagande diffusaient dès-lors ce type de message en radio et journaux : “Grâce aux alliés” (qui ont tout bombardé, même les populations civiles), “l’Europe a évité le pire d’un Reich de mille ans, car en 1945, l’Allemagne était sur le point de faire intervenir tout un arsenal d’armes nouvelles capables de bouleverser la tactique et la stratégie des Alliés, à l’exception de l’arme nucléaire. Ces engins nouveaux dont les fusées, annonçaient la disparition de l’artillerie lourde à longue portée et ouvraient l’ère des bombardements stratégiques intercontinentaux… et l’apparition du U-Boot type XXI remettait en cause toute la doctrine de défense des convois maritimes ; de même que les missiles téléguidés et l’avion à réaction sonnaient le glas de la stratégie des formations compactes de bombardiers”…
La fable continuait ainsi : “Dans ces conditions, les populations que les Alliés ont délivrées du mal absolu, doivent comprendre la stratégie d’Hitler après Stalingrad et son espoir, tant de fois répété, de gagner la guerre grâce aux “armes miracles”, dans son esprit, 1943 devait être une année de reconversion et d’attente, le temps de permettre le développement de cet arsenal d’armes nouvelles et 1944 devait être l’année décisive ou se jouerait le sort de la guerre. Avec l’aide des formations blindées S.S., les troupes allemandes devaient tenir sur le théâtre méditerranéen et sur le front de l’Est, où elles bénéficiaient d’un vaste capital-espace. Si le débarquement prévu par les Alliés avait échoué ou avait été repoussé, l’Allemagne aurait alors pu reprendre l’initiative à l’Est avec toutes ses forces terrestres et déclencher contre les Alliés occidentaux une vaste offensive de grand style sur mer et dans les airs, après cinq ans de guerre totale, le Reich aurait repris l’initiative sur tous les fronts et aurait imposé sa domination au continent européen, grâce à son arsenal d’armes miracles”…
Une histoire de type Hollywoodienne a alors émergé, destinée à créer une peur viscérale du monde Nazi, mais, celle-ci a été modifiée par les nostalgiques du Nazisme, la finalité étant de faire croire qu’Hitler n’était pas mort, qu’il s’était échappé en sous-marin avec toutes les élites du Reich : savants, techniciens, génies et divers en direction d’une base secrète nazie située sous le continent Antartique…, quelques extrapolation affirmant que les Nazis avaient colonisés la face cachée de la Lune et qu’un jour “ils” reviendraient pour “sauver” le monde !
L’histoire ci-après méritait de devenir un film Hollywoodien… Avant la fin de la première guerre mondiale, fût créé la société secrète, les “Frères de la lumière”, qui prit, plus tard, le nom de “Société Vril”, dans celle-ci se retrouvèrent aussi “Les Maîtres de la Pierre Noire”, une nouvelle fondation des templiers, issue de l’ordre Germanique du Moyen-Age, et les “Chevaliers Noirs” du “Soleil Noir”, élite de la “Société Thulé” et des “SS”. Dans ces différentes sociétés se trouvaient quasiment tous les grands responsables Nazis, beaucoup de scientifiques… et des sommités dans tous les domaines, cela donna à cet ensemble une ligne directrice (un commandement hiérarchisé) et un but idéologique (la motivation de réussir).
D’après certains chercheurs, les Nazis auraient eu connaissance d’un savoir secret, par l’étude de “l’Agharta”, c‘est par le biais très ésotérique de cette “mythologie” germanique liée à l’idéologie nazie, que dans l’esprit des hauts dignitaires du troisième Reich… et surtout de Hitler, la recherche vers des technologies innovantes et des énergies inconnues furent entreprises. La recherche pour le développement de ces nouvelles technologies était entièrement aux mains des SS, le Schutzstaffel ou “escadron de production” était le responsable du projet dans son ensemble.
La majorité des archives et documents furent systématiquement détruits à cause de l’avance alliée en 1945, mais la principale cause du manque d’information entourant ces recherches, c’est bien le secret absolu dont les SS ont su faire preuve tout au long de leurs travaux. Malgré la grandeur de la tâche et le nombre de personnes impliquées, qu’ils soient militaires, ingénieurs ou scientifiques, les noms des principaux responsables sont peu connus, même concernant l’identité des généraux liés à l’affaire, car la SS était un ordre tellement important qu’il disposait de moyens et d’une autonomie qui lui garantissait un anonymat quasiment assuré, concernant les recherches cruciales stratégiques, qui devaient assurer la victoire au Reich Nazi…
En matière de recherche et d’armement il existait déjà le Heereswaffenambt, , “Office militaire des armes”… et l’organisation civile Reichsforschungsrat, “Conseil de recherche du Reich”, mais pour mener à bien son entreprise, par rapport à eux, le Schtzstaffel possédait plusieurs avantages, par exemple, les SS disposaient de leur propres travailleurs, pour lesquels ils n’avaient de compte à rendre à personne. Avec la machine de guerre nazie, la masse des travailleurs forcés, que se soit dans les camps de concentration ou de travail, ou bien grâce au S.T.O. (service du travail obligatoire), permettait d’avoir une main-d’œuvre quasi illimitée et très bon-marché, de quelques origines qu’ils viennent ou de quelles catégories ils fussent, ces travailleurs en contact avec des projets secrets sensibles, étaient appelés Gehemnisträger, “porteurs d’informations secrètes”…, totalement coupés du monde extérieur.
Parmi les différentes recherches menées au cours de la guerre, il y avait la propulsion à antigravitation…, un projet nommé “RWS-1”, il était tellement important qu’il reçu la classification unique de “kreigsentscheidend” (primordial pour la guerre), il était basé en Pologne (Silésie). Plusieurs prisonniers du camps de concentration de Gross-Rosen furent utilisé comme cobayes pour voir les effets du moteur à antigravitation sur les humains, les effets sur les individus étaient divers : maux de tête, goût métallique dans la bouche, troubles du sommeil, de l’équilibre et de la mémoire.
Les effets secondaires de ce moteur était nombreux : un bruit “comme des abeilles dans une ruche” ; une surtension dans le réseau électrique qui faisait griller toutes les ampoules dans un rayon de plus de cent mètres ; une phosphorescence bleutée ainsi qu’un puissant champs magnétique.Il fallut beaucoup de temps pour limiter et minimiser au maximum ces effets indésirables, mais certains effets provoquèrent des décès parmi des scientifiques, ce projet était dirigé par le professeur Walter Gerlach, qui était épaulé par le professeur Thirring.
En Tchécoslovaquie, dans le protectorat de Bohème et de Moravie, les SS étudiaient aussi un système de propulsion à énergie nucléaire, à Pilsen, le responsable de l’ensemble des projets était le SS-Gruppenführer Kammler, son second était le SS-Gruppenführer Otto Scwab, qui dirigeait l’Amtsgruppe VIII OU “Amt VIII-FEP”, (Département de l’armement). La première “soucoupe” à voir le jour aurait été la RFZ-1, son premier vol fut aussi le dernier…, elle s’éleva jusqu’à environ 60 m…, mais le système de guidage s’avéra inefficace, l’appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d’être mis en pièces.
Son successeur, le RFZ-2, avait une propulsion Vril et un “pilotage à impulsion magnétique”, il ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°…, il avait 11.5m de diamètre, possédait une “propulsion Schumann” et un “pilotage par impulsion à champ magnétique”… et explosa sans même quitter le sol… Après le RFZ-2, ce fût le VRIL I, un sorte d’avion dont les ailes étaient un énorme disque…, qui vola au début de l’année 1944, les déclinaisons de la série “Vril” se poursuivirent avec plusieurs autres prototypes qui finirent quasi tous de la même manière, les deux les plus prometteurs furent le Vril 7 et le Vril 8 dénommé “ODIN”.
Après de nombreuses tentatives, les ingénieurs durent se rendre à l’évidence que les croyances en l’Aghartha ne menaient à rien…, le projet RFZ-7 fût le bon compromis, c’était un avion à ailes en disque (une soucoupe), surnommé “Haunebu I”, prévu pour un équipage composé de huit hommes, l’engin avait 25m de diamètre. Les nouveaux moteurs à réaction, inventés pour le nouveau Messerschmitt 262, le premier chasseur à réaction devaient pallier à l’échec des rêves antigravitationnels, le 14 févier 1944, fut testé à Peenemünde, le premier véritable engin sur base du projet RFZ-7,construit par Schriever et Habelmohl sous le nom de projet V-7… il était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028, mais Peenemünde fut bombardé quelques heures plus tard !
Fin 1944, le “Haunebu II” était prêt, son diamètre était de 32 m…, il était conçu pour un équipage de 9 personnes…, on parle que le décollage aurait était filmé, on n’a jamais vu ce film, il ne reste que 6 photos réalisée depuis un Focke-Wulf d’observation le 19 février 1945…, le vol fut une totale réussite, la “soucoupe” grimpa à 3.000 mètres en moins de 2 minutes…, il existait un second prototype qui fut démonté et envoyé dans un sous-marin dans la base secrète Nazie en Antartique… Continuant sur leur lancée, les chercheurs imaginèrent une sorte d’hybride, la “Haunebu III”, mais la fin de la guerre arriva et cette “soucoupe” resta simplement à l’état de plans…, l’O.S.S. (“Office of Strategic Services”, les services secrets américains de l’époque) et le S.O.E. (“Special Operations Executive”, les services secrets britanniques de l’époque) n’ont guère apprécié ces engins à leur juste valeur.
Seul le V-7, fut finalement remarqué…, malgré sa forme de soucoupe, il était le premier hélicoptère à réaction de l’histoire, une partie des pièces de ces engins a été coulée dans le lac “Mondsee” en Haute-Autriche, tandis que le V-7 et les plans de toutes les autres machines ont été récupéré par les Soviétiques, en effet, ce sont eux qui ont occupé les territoires où se passaient toute la recherche et la fabrication. Les Américains, de leur côté, rapatrièrent vers les Etats-Unis la majorité des savants Allemands… et pas seulement dans le domaine de l’aéronautique ou militaire, mais aussi des médecins, des chirurgiens, des neurologues…etc…, ceux-ci révélèrent qu’en 1938, un navire de transport avait embarqué une expédition vers l’Antarctique.
Arrivé en un lieu situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec des lacs et des montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique…, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés qu’ils baptisèrent “Neues Schwabenland” , appellation géographique figurant toujours sur les atlas sous ce nom anglicisé. Avant même le début de la seconde guerre, les Allemands disposaient ainsi d’une base permanente au pôle sud, des flottilles entières de sous-marins, ainsi que des navires de surface y ont fait escale tout au long de la guerre et un certain nombre restèrent sur place…, nul ne les revit…, elles n’avaient été ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni arraisonnées par les forces Alliées.
Les marines Alliés, en particulier celles de l’US-Navy et de la Royal-Navy ont estimées, après avoir dressé un inventaire de la flotte sous-marine de la Krieg marine depuis le début de la guerre, et après avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimés qu’une bonne vingtaine d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparues. Les savants et techniciens allemands déportés aux USA, ont affirmé que ces sous-marins n’étaient pas partis à vide, mais avec un équipage et des passagers constitués de techniciens spécialisés, fuyant sur ordre l’occupation alliée en Europe très peu de temps avant la défaite.
Du matériel sophistiqué fût débarqué à la base du “Neues-Schwabenland”, ainsi que des éléments des avions prototypes en pièces détachées ainsi que des plans et documents techniques permettant de les construire à l’abri. Ces informations furent recoupées positivement via l’arraisonnement deux mois après la fin des hostilités, d’un sous-marin Allemand qui dérivait en panne de moteur… et qui contenait plusieurs centaines de kilos de mercure destiné aux recherches sur les moteurs antigravitationnels !!!
Un camp Nazi parfaitement organisé, situé en Argentine sur un territoire de 16.000 km carrés, acheté avant la fin de la seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à 2.500 km au sud de l’équateur… fut découvert grâce à divers documents saisis dans le sous-marin…. Les Américains connaissant l’existence de la base Allemande dans l’Antartique, décidèrent d’intervenir, militairement, dans une action de grande envergure… et en 1946, le commandement allié confia la responsabilité d’une opération aéronavale à l’amiral Richard Byrd, ce dernier avait déjà effectué plusieurs vols de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud, organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.
L’opération “Neues Schwabenland“… Pour une opération “scientifique”, les moyens étaient plutôt démesurés, l’Amiral Byrd prépara l’invasion sous le nom d’opération “Highjump”, couverte par l’argument “scientifique” selon les sources officielles. Qu’on en juge :
– 2 navires brise-glace: le USCGC Northwind et le USS Burton Island
– 2 navires ravitailleurs : le USS Capacon et le USS Canisteo
– 2 porte-avions: le USS Philippines Sea et USS Currituck
– 2 navires cargo de soutien: le USS Yancey et le USS Merrick
– 2 destroyers: le USS Henderson et le USS Browson
– 1 sous-marin : le USS Sennet
– 1 navire transport de troupes : le USS Pine-Island, avec 6.500 hommes armés jusqu’aux dents, etc.
Une partie de l’armada quitta la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946, pour être rejointe par deux autres groupes d’unités vers des bases de l’Antarctique prévues à l’avance, mais ayant en fait pour objectif la base de “Neues Schwabenland”. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à “Little America”, les zones Est et Ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, ils constatèrent que les occupants de “Neues Schwabenland”, disposaient d’une nette supériorité technologique inattendue…, l’amiral Byrd donna malgré tout l’ordre d’attaque…, mais les occupants Nazis se sont avérés invincibles face à la logistique militaire des américains !
Le 3 Mars 1947, ordre fut donné aux survivants de l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk, la campagne se soldait par un fiasco sur toute la ligne : 1500 morts chez les alliés et une perte de matériel énorme. Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de l’expédition de l’Amiral Byrd, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, “El Mercurio”, une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle ce dernier déclara en substance : “C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre”.
De retour aux Etats-Unis, Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que : “la menace la plus grande envers les USA vient maintenant du pôle sud car la marine américaine y a observé des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes. Il y a là-bas (au pôle-sud) une civilisation avancée issue des Nazis qui se sert d’une technologie supérieure”… A quoi cette expédition avait-elle été confrontée reste encore un mystère…, a t-elle eu a affronter des survivants nazis et leurs armes secrètes enfin mises au point ?
Officiellement, bien sûr, il n’y a pas eu de combats en Antarctique, aux Etats-Unis il aurait été difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en Antarctique avec de nouvelles opérations, surtout depuis que la guerre était officiellement terminée, aussi le sujet restera clôt.
Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques Chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell, cette opération est toutefois connue sous le nom de “Guerre des pingouins”, après que le gouvernement eut indiqué que sur ce territoire il n’y avait que des pingouins et aucun nazi survivant.
La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera mise en place par les américains : l’Opération “Deepfreeze”, le résultat sera encore plus catastrophique, les Américains se contenteront ensuite officiellement de missions géographiques et de reconnaissances au pôle sud, mais un peu plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de “Neues Schwabenland”, une explosion en surface et une autre qui, d’après les relevés sismiques, semblait souterraine. Il y a tellement de ramifications liées à ce sujet, que si on prenait la peine d’étudier toutes les pistes, on découvrirait sûrement encore beaucoup de choses… Toutefois, plus aucune “soucoupe volante” ni plus aucune activité ne fut ensuite détectée à “Neues Schwabenland” !
La majorité des archives secrètes Nazies sont gardées aux Etats-Unis et en Russie, ainsi que des matériaux étranges, des pièces détachées bizarres et des engins-soucoupes semblant venir d’un autre monde, récupérés après la guerre… Il y a quelques années, cette histoire fut plus moins récupérée, dans un scénario encore plus délirant, les Nazis ayant colonisé la lune et venant envahir la terre entière…, c’est l’objet de cet article : https://www.gatsbyonline.com/aviation/des-nazis-dans-l-espace-337593/