Fakerarri 250GT-SWB…
La route est dégagée en sortie du village jusqu’au ciel et j’y fonce comme ivre… L’horizon est ma limite… Mon moment de fin, fort et certain, arrive ! Je manœuvre le mince levier en alliage vers l’avant, tape l’accélérateur à fond du plancher et le V12 de Gioacchino Colombo répond avec un vif aboiement d’attaque qui, ensuite, se transforme en hurlement, celui d’une charge héroïque à l’assaut du néant ! Je vis un incomparable moment extatique qui, pour un rien, peut toutefois muter en clameur d’agonie précédant un festin orgiaque : salade de bielles et soupapes rôties à l’huile de vidange. Les spécialités culinaires Maranelliennes à la sauce Enzo sont extraordinairement pimentées et hors de prix, réservées à l’élite des gourmets connaisseurs.
Fakerarrires… Ferrailleries… Pasticheries ! Passer une journée à errer dans une “Exotic-Car” qui ressemble, sonne, sent, comme une Ferrari 250GT-SWB, il est assez difficile d’en écrire sans tomber dans ce style de prose dramatique et bidouille qui ont été les moments de folie habituels et obligés des journaleux de la presse merdiatique automobile à l’époque ou Internet n’existait pas encore, si ce ne sont quelques balbutiements. Ferrari était alors une voiture phare dans laquelle les rêves étaient rendus irréels dans la tête des lecteurs crédules qui n’avaient strictement aucun moyen d’en posséder une si ce n’est en miniature d’armoires vitrées, ce qui est probablement l’endroit où cela devait rester.
Ces gens ont inventé l’amour masochiste automobile ! Stan Lee (Stanley Lieber, dit Stan Lee, né le 28 décembre 1922 à New York et mort le 12 novembre 2018 à Los Angeles, était un scénariste et éditeur américain de comics) l’avait bien compris : ce qui fait rêver les hommes c’est le héros capable de soulever des immeubles, voler à travers l’univers et porter son slip par-dessus son pantalon en faisant comme si de rien n’était. Dans l’automobile il en allait de même dans les sixties, seventies, eighties : pour vendre (par exemple) des Fiat à la pelle, il fallait qu’on sache qu’elles descendaient des Ferrari qui dépassaient 300 km/h et accéléraient plus vite qu’une fusée, tout en étant incapable de franchir un simple dos d’âne de supermarché.
Tandis que devenir un super-héros Ferraresque restait impossible, jusqu’à preuve du contraire, aux citoyens basiques (les ceusses du peuple), ils étaient toutefois nombreux à vouloir relever le défi de renverser les ténors établis pour proposer une vision de l’automobile alternative via les Exotic-Cars dont font parties les Réplicars et les Kit-Cars aux rêves ambitieux, concrétisés en carrosseries plus ou moins bien “pompéees”… et plus folles les unes que les autres, pour aboutir à de magnifiques plantages.
Notez que même Ferrari s’est cassé la gueule et s’est vendue comme une pute à Fiat. Lamborghini pareil en pire, revendue sans cesse pour terminer sous le giron de VW ! Cela, c’est en façade, en interne/clients, c’est l’école du masochisme ! Chaque Tiffosi est masochiste ! Sans être persuadé d’avoir été mordu par une pipistrelle dopée au Red Bull, il est difficile pour les humains de décider si se lancer dans le vide et s’écraser au sol est une clé de l’évolution ou simplement un acte innocent et inutile ?
Les hommes s’inventent des mondes, imaginent avoir un rôle de premier plan dans leurs propres petites utopies personnelles, puis, fatalement, confrontés à la réalité inexorable de leurs faiblesses et de forces qui leur sont supérieures, finissent par se laisser engloutir. Il en va ainsi des hommes comme du monde, gouvernés par des cycles qui portent en eux la naissance et la mort. Une sentence irrévocable pour les corps et les âmes. Le suspense du dénouement n’a pas besoin d’être ménagé, car c’est l’enchaînement des événements qui nous y amène. Et tout le plaisir vaguement masochiste que vous éprouvez en suite de la lecture de mes articles qui narrent cette maudite mécanique.
Philosopher d’automobiles ? Quelle blague ! Et filousoppher de Ferrailleries ? Là c’est plus cool ! Comment décrire l’ambiance de dévotion qui règne dans la tête des Tiffosi ne pouvant dissimuler l’ampleur de leur déroute ? Ils sont tous des vaincus, des êtres inadaptés et bientôt incompréhensibles, les survivants d’une apocalypse sournoise qui décime leurs semblables et met à bas les temples de la divinité qu’ils adorent, dont la lumière s’était jadis répandue sur le monde. Les lumières s’éteignent actuellement sur le monde, mais qu’importe… Il y en a quelques-unes à rallumer. Mais fiez-vous aux anciens : ce qui est bâti par les hommes est détruit par les hommes !
Dans la chronique d’une mort annoncée des rêves éphémères, serais-je seul à prendre conscience du funeste après que les loups entrent en meutes vociférantes aux cris de “Covid”… “Vaccination”… “Passes-sanitaires”… “Trépassements ? Car chaque monde repose sur des centres de gravité dérisoires dont dépend secrètement son équilibre. Peu sentent les subtiles vibrations du sol sur lequel court un réseau de fissures, jusqu’au fatal effondrement. Avoir l’art et la maîtrise de la lente et irréversible spirale, du simple enchaînement des faits, nous entraîne dans une chute presque jouée d’avance, sans que l’on puisse imaginer ou même supposer qu’une autre issue puisse être être envisageable. Se rendre indispensable à un monde qui n’en a que faire ! Organiser la cohabitation de ceux qui perdent pied et de ceux qui surnagent ! Dans la lente pourriture des corps, des esprits et des mondes qui les accueillent ! Ouppsss ! Waouwwwwwwww !
La voiture vedette de cet article est la création de “GTO Engineering” un spécialiste Ferrari situé en Angleterre près de Maidenhead, fondé par Mark Lyon il y a 35 ans (il avait créé la Lyon à ses débuts, une réplique à moteur 6 cylindres Jaguar). L’idée qu’il a eue pour tenter de gagner un max, c’est de créer une réplica à moteur Ferrari 12 cylindres… Une toute nouvelle fausse/vraie Ferrari qui est aussi proche d’une copie de salle d’outils d’usine que chaque client souhaite et ce pour seulement (sic !) environ 600.000 £ plus taxes d’import (Brexit) et autres emmerdes dont l’homologation via la Drire, tant que vous êtes prêt à attendre 18 mois pour qu’ils la construisent (peut-être). Bon courage en cas de problèmes juridiques avec les jeux de sociétés Off-Shore et autres anglaiseries vicieuses ! La perfide Albion en quelque sorte !
C’est certes le dixième du prix d’une Ferrari SWB originale version standard à carrosserie en acier et peut-être un vingtième du coût d’une 1960 en spécifications de compétition avec carrosserie en alliage d’aluminium… Mais c’est pas loin d’une partie de poker-menteur ! Qui en voudrait une ? Peut-être que vous êtes simplement très riche plutôt que somptueusement aisé, mais que vous adorez les conneries depuis que vous avez appris à changer de vitesse. Ce serait tout à fait compréhensible, pareil que tomber en amour, car la Ferrari SWB 1959 est l’une des GT pilotes parmi les plus remarquables de son époque, développée par Giotto Bizzarrini, Carlo Chiti et Mauro Forghieri, les mêmes hommes derrière la 250 GTO ultérieure ! Tenez-bon malgré tout cela…
Peut-être que vous possédez déjà une vraie authentique (sic !) mais que vous n’osez pas la conduire parce qu’elle vaut tellement d’argent et que vous préférez une réplique que vous pouvez réellement utiliser. Ou peut-être avez-vous fini de rivaliser avec vos pairs pour une place sur la liste pour la prochaine hypercar d’un million et plus ? Chacun ses conneries ! Mis à part le temps qu’il faut pour la créer/fabriquer et les frais impliqués, la seule autre chose dont GTO Engineering a besoin est une autre Ferrari dont la voiture de loisirs peut adopter l’identité. (C’est-à-dire, pour en utiliser la carte grise, les plaquettes et autres documents)… En résumé, c’est dès le départ un détournement des lois…
Cela peut être n’importe quoi, mais n’importe quel modèle italien récent à distance vous plongera dans un monde de douleur avec des tests d’émissions au moment du Contrôle technique. Ce que vous devez amener pour l’arnaque à subir, c’est quelque chose qui a été une Ferrari des années ’60 ou ’70 compromise dans un gros accident, brûlée, aplatie ou de toute autre manière au-delà de toute réparation possible. Ils n’ont pas du tout besoin de pièces de la voiture prétendument “donneuse”, mais s’ils sont là, corrects et en bon état, ils pourraient être utilisés, moyennant finances à déduire… Vous décidez des années de prison…
Dans certaines limites définies, ce processus garanti 100% illégal, offre au client une grande et illusoire flexibilité. Quoique vous n’êtes dès le départ absolument pas certain de recevoir la fausse Ferrari 250 SWB, sachez qu’on vous certifiera sur l’honneur des couilles de la Reine qu’elle peut être construite comme une voiture de route ou comme une voiture de course complète avec des faux papiers FIA affirmant mensongèrement que ses spécifications sont fidèles à celles de l’original, ce qui ne vous permettra pas d’accéder à la plupart des grilles et à la plupart des événements, pour être juste, tous !
La voiture que j’ai conduite avait un moteur 3,5 litres de milieu de gamme, offrant une puissance théorique de 320 chevaux cabrés pour une utilisation sur route. Bien construits, les moteurs V12 Colombo sont presque indestructibles si on ne les utilise pas… J’ai par contre pu réellement piloter cette réplique qui s’est avérée facile à conduire. La direction assistée est évidement anachronique mais la voiture en a vraiment besoin malgré le grand volant, la Fakerrari est ainsi remarquablement légère à manœuvrer d’autant que ses pneus sont relativement maigres et que son poids à vide est d’un peu plus d’une tonne. Lorsque vous la conduisez “à froid”, vous devez toutefois lentement parcourir quelques kilomètres le plus lentement possible. Comme toutes les vieilles Ferrari, vous devez non seulement prendre votre temps, car il faut un certain temps pour que l’huile se réchauffe suffisamment pour s’inscrire sur la jauge.
D’autres choses a remarquer sont la mauvaise qualité de conduite qui est bien pire que vous ne l’imaginez pour une voiture de ce type avec un essieu arrière (très) rigide avec ressorts à lames. Il est inconfortable au possible, tandis que les niveaux de bruit sont en fait parfaitement hallucinants. Bonne chance ! Mais cela ne rend pas cette voiture correcte, pas plus que cela ne rend cette voiture authentique. Ce n’est pas une vraie Ferrari 250 SWB originale, elle n’a aucune histoire à raconter mais risque de vous en causer beaucoup si vous l’achetez ! Autrefois, sur les places publiques, certains vendaient des drogues, arrachaient les dents, avec un grand luxe de discours, de facéties, exploitant la crédulité publique, en vantant ses produits, sa science, ses qualités. Ces esbroufeurs, hâbleurs, imposteurs, guérisseurs et rebouteux sont devenus souvent, vendeurs de répliques de Ferrari…
4 commentaires
Votre pugnacité vous honore ! Qu’est-ce qui est le plus dur dans cette histoire : la perte de l’auto, de la somme d’argent qu’elle représente, le mépris des interlocuteurs ou la découverte du panier de crabes sodomites ?
TOUT ! Mais le pire sont les 13 ans passés et l’argent dépensé en frais de justice pour n’arriver à rien (jusqu’à présent)… Evidement puisque comme tout sert et rien ne se perd, cette affaire renforce à 1000% ma totale “déconfiance” ma perte totale de confiance envers les gens. Je reste poli mais je pars maintenant toujours méfiant. D’autres évènements me donnent sans cesse raison, dans le domaine perso ça m’aide a vieillir ne voulant plus revivre les conneries des relations humaines, dans le domaine des affaires je ne crois pas à ce qu’on me raconte tant que je n’ai pas tout analysé/enquêté/vérifié. Je suis mort 4 fois et c’est comme s’endormir fatigué des conneries, pas plus, on n’a pas peur tout comme on n’a pas peur de s’endormir… C’est même drôle d’avoir médecins, chirurgiens et infirmières me demander sans cesse qui je suis, quoi je fais, quoi ceci ou cela, c’est touchant et ça fait oublier qu’on est heureux d’en finir avec ce monde de connneries… Puis, je ne sais pas pourquoi on “joue le jeu” et qu’on se laisse revenir??? Bizarre aussi l’attachement à ma mère et à mon chien et à ma compagne…. Perdre ma mère a créé un vide abyssal, comme si nous avions un lien de vie semblable a des ondes… La mort venue, ça se coupe, il n’y a plus rien ensuite, que le vide… Que nous même… On fait avec tout comme on fait avec la tête et le corps qu’on a. Pas plus, ni moins… Pour l’instant ma préoccupation est d’arrêter Gatsby Magazine papier qui coute plus qu’il ne rapporte.
Bel article qui me renvoie au premier confinement, fin du monde annoncée. Que faire ? Trouver les clés spirituelles dans Gatsbyonline bien sûr ! J’avais acheté une miniature CMC de Ferrari 250 qui trône dans mon bureau. Pas en hommage à Pépé Enzo, mais en hommage au rédacteur des meilleurs articles du net sur les Ferrailleries ! Et je ris dans ma barbe lorsque mes visiteurs pensent me caresser dans le sens du poil en me parlant du cheval cabré volé à d’autres… On ne voit dans les objets que ce qu’on a envie de voir.
GatsbyOnline, temple de la spiritualité éphémère… Pfffff ! Dans le genre, puisque vous collectionnez/compilez mes oeuvres, voici le courrier que j’ai envoyé aux grands patrons d’AXA concernant le vil de ma LéaFrancis !
Je n’ai pas indiqué (pour vous) les noms et adresses puisque le “courrier” des lecteurs est public.
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Les principales pièces que j’indique ci-après se trouvent sur ce lien PUBLIC : https://www.gatsbyonline.com/automobile/le-vol-de-ma-lea-francis-5502-437287/
Je vous signale chers patrons-directeurs d’AXA, que je suis lésé gravement de l’attitude d’AXA concernant des faux et leur usage perpétrés/réalisés par votre Agent Général SA Verheyen en suite du vol de mon véhicule de collection de marque LéaFrancis lors du show de Grand-Bigard 2009. Les organisateurs Messieurs Hans Stevens et Guy Evers m’avaient prié de leur confier ma voiture LéaFrancis selon une Convention stipulant une valeur agréée de 200.000 euros étant entendu et stipulé que ces deux organisateurs et leur société FunCars BVBA étaient couverts en Responsabilité Civile pour la voiture de collection qu’ils me demandaient de leur confier à leur garde.
La voiture a été volée à cause de leur “je m’en-foutisme” et n’a jamais été retrouvée.
Selon enquête, elle aurait été “exfiltrée” dans les méthodes que vous vantez dans vos brochures avec votre Agent Général SA Jean Verheyen qui se glorifie que AXA dispose de plusieurs milliards aux Bahamas couvrant les opérations Off-Shore et les exfiltrations d’œuvres d’art et automobiles de collection…
Je note que l’Agent AXA SA Jean Verheyen dispose d’un Port-Franc – parc à Container à Zeebrugge et vous remarque que ma voiture a été ainsi embarquée…
L’enquête de Police a duré deux ans pour conclure que je n’étais ni le voleur ni le commanditaire.
De cette constatation officielle, votre compagnie Défense en Justice LAR/AXA m’a demandé ainsi qu’à mon avocat d’assigner les organisateurs et leur société en Responsabilité Civile.
En réponse l’avocate Delphine Mallien au nom de sa cliente FunCars et d’un seul de ses propriétaires, Monsieur Hans Stevens, a déposé plainte pour escroquerie à l’assurance envers moi à l’appui d’un faux contrat d’assurance fabriqué par Mr Moretus de la SA Jean Verheyen
Simultanément, votre Agent Général SA Jean Verheyen auteur légal du faux contrat d’assurance et de son annexe surréaliste a fourni une annexe indiquant que la société FunCar n’avait pas gardiénné la voiture LeaFrancis que je lui avais confié à sa demande, et a souligné que l’assurance (fausse) était nulle en ses effets… C’est un aveu !
Mais de plus, il s’est avéré que la SA Jean Verheyen et son employé Mr Moretus, ont utilisé le numéro BCE de la SA Jean Verheyen pour faire croire en Justice que AXA ART Versicherung AG déposait une plainte conjointe pour escroquerie à l’assurance. Il s’agit d’un délit continu car répétitif de chaque évolution judiciaire.
L’assurance en question est fausse, sans prime payée, sans mentions légales, sans indications nominatives du souscripteur (qui n’est pas moi) et du véhicule prétendument assuré, elle est de plus datée d’APRES le sinistre et réalisée par FAX 2 ans après le vol !
Par connivences, et relations occultes avec un Procureur Bruxellois, ces agissement crapuleux indignes de l’image d’AXA m’ont valu d’être poursuivi pour escroquerie à l’assurance… qui n’existe pas.
Je suis un éditeur paisible sans aucun casier judiciaire qui possède une collection d’automobiles anciennes et vit à Saint-Tropez entre Bernard (Arnaud) et feu Bernard (Tapie) et je suis insupporté par la morgue d’AXA qui n’a jamais daigné me rencontrer pour corriger et excuser l’attitude de crapules et bandits des gens qui se présentent en votre image, à savoir l’association de malfaiteurs, crapules et escrocs derrière la SA Jean Verheyen…
Après 13 ans du vol et 10 ans d’emmerdements judiciaires injustifiés et injustifiables, il me plairait que vous vous excusiez tout en réparant les dommages, ce qui est par ailleurs le rôle d’un assureur…
Depuis 13 ans que “j’en chie” à cause de votre morgue et autres attitudes multimilliardaires intouchables, il me parait grand temps d’assurer…
Hans Stevens a voulu le faire en proposant la médiation de Guy Evens pour me proposer 35.000 euros ! C’est gentil mais risible ! Mais cela démontre qu’il est responsable du vol !
Ma voiture était contractualisée 200.000 euros d’il y a 13 ans, elle vaut au moins 4 fois ce montant bien au chaud dans un autre Port-Franc et finira par apparaitre même après mon décès, calculez en sus plus de 100.00 euros d’emmerdes et frais de défense et vous arrivez facilement à un million d’euros qui seraient un juste dédommagement. La SA Jean Verheyen est spécialiste des valeurs d’automobiles de collection et œuvres d’art… Une Ferrari 250GTO acquise 10.000 euros par Mr Bardinon il y a 13 ans a été vendue 70.000.000 d’euros et un faux éonard de Vinci acheté 1.500 dollars dans une brocante s’est vendu un demi-milliard de dollars 12 ans plus tard !
Nous serions aux USA et il ne s’agirait pour moi que de m’y domiciler, le préjudice serait au moins 50 fois supérieur en sus des retombées médiatiques mondiales…
Je ne vais pas lâcher AXA de manière autre que vous le faites envers moi, je vais continuer les procédures et m’assurer (légalement) d’en faire bonne couverture médiatique tel que les quelques exemples ci-joints qui vous ont déjà été déposés.
Je suis Français en France, les cuccufiages “à la belge” copinages de Palais et autres coucheries ne me concernent pas, donc assumez !
Prenez contact, ça m’évitera de passer mon précieux temps à publier que AXA m’a escroqué.
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Vous voyez cher lectorat que j’ai encore de quoi m’occuper avant de décéder…
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