Ferrari 250GTO /51.700.000 $…
Une Ferrari 250 GTO, qualifiée par la maison Sotheby’s de “Saint Graal du panthéon des voitures de sport”, a été vendue ce lundi 13 novembre 2023 à New York pour 51,7 millions de dollars, ce qui en fait la deuxième voiture la plus onéreuse adjugée aux enchères, le record absolu restant détenu par une Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé, partie de manière controversée via une curieuse et étrange vente aux enchères en 2022 pour 135 millions d’euros. Comme l’indique une pub : “Vous pouvez ouvrir toutes les boîtes sans utiliser d’ouvre-boîtes”… Je suppose que la boîte de Pandore n’en fait pas partie…
Les mastodontes du secteur des ventes aux enchères Sotheby’s et Christie’s bouclent en mi novembre 2023 leur saison d’automne, qui devrait représenter des milliards de dollars grâce à des Picasso, Monet, Cézanne ou Rothko adjugés lors de soirées new-yorkaises ultra-chics où se pressent collectionneurs richissimes et acquéreurs anonymes au téléphone, certains n’étant branché à rien ni personne, une pratique inaugurée il y a quelques années par Artcurial pour les ventes de voitures ayant le même numéro de châssis que d’autres, qu’on retrouve parfois au fond d’un lac (Majeur) où d’un portefeuille dodu…
La Ferrari 250 GTO, que Sotheby’s a qualifiée de “Saint Graal du panthéon des voitures de sport” la comparant à un chef d’œuvre des arts, était le point d’orgue de la saison. Propriété d’un collectionneur américain depuis 38 ans, l’exemplaire de la mythique voiture de sport italienne a battu une autre Ferrari 250 GTO vendue en 2018, chez Sotheby’s, pour 48 millions de dollars. Il n’a fallu que quelques minutes, entre quelques acquéreurs potentiels triés sur le volet et réunis dans une salle fermée (sic !) pour que la 250 GTO parte à 51,7 millions de dollars, en deçà toutefois des “plus de 60 millions de dollars” escomptés.
Datant de 1962, cette Ferrari – châssis #3765#, moteur n’a pourtant rien gagné, finissant à l’époque à la seconde place lors d’une course d’endurance de 1000 km sur le circuit allemand du Nürburgring avec une piètre participation aux mythiques 24 heures du Mans, où l’écurie avait dû déclarer forfait pour casse moteur. Après quelques années de compétition en Italie sans aucune victoire, la voiture fut vendue et exportée aux États-Unis à la fin des années’60. Restaurée, modifiée, cette 250 GTO changea plusieurs fois de propriétaires américains avant de finir entre les mains en 1985 d’un collectionneur de l’Ohio.
“Malgré le contexte des guerres en Ukraine et à Gaza et l’inflation mondiale, le marché de l’art et du luxe, tiré par la Chine et l’Asie, ne montre aucun signe de ralentissement”, avait assuré Sotheby’s avant ces ventes d’automne, après un cru 2022 exceptionnel à plus de 16 milliards de dollars d’adjudications cumulées. Sotheby’s, propriété du milliardaire franco-israélien Patrick Drahi, et Christie’s, qui appartient à la holding Artémis du milliardaire français François Pinault, ont déjà engrangé chacune des centaines de millions de dollars de ventes depuis le 7 novembre 2023…
Christie’s, qui a adjugé “Le bassin aux nymphéas” (1917-1919) de Claude Monet à 74 millions de dollars et trois tableaux de Paul Cézanne pour 53 millions, a fait état lundi 13 novembre 2023 soir d’un bilan à 864 millions de dollars. Sa concurrente Sotheby’s, qui bouclera ses ventes new-yorkaises jeudi 16, en est aussi à des centaines de millions de dollars, dont le tableau “Femme à la montre” (1932) de Pablo Picasso vendu mercredi 139 millions de dollars, deuxième montant le plus haut jamais atteint pour le maître espagnol, mort il y a 50 ans.
Lundi soir, à son siège de Manhattan, Sotheby’s a adjugé à un collectionneur en Asie un Cézanne de 1891, “Peupliers au bord de l’Epte, temps couvert”, pour 30,7 millions de dollars. Un Monet de 1892, “Le Moulin de Limetz”, dans la même famille américaine depuis 130 ans, a été vendu 25,6 millions de dollars, après des minutes de bataille au téléphone et dans la salle. Enfin le très prisé peintre américain Mark Rothko a battu son record pour ses œuvres sur papier : “Untitled” (1968) a été acheté par un anonyme dans la salle pour 23,8 millions de dollars.
M’est avis que ma LéaFrancis Ace Of Spades, volée “Au nom d’AXA, par une bande d’escrocs agissant en bande criminelle organisée, va, après mon décès, ressurgir d’Israël ou elle a été “planquée” depuis plus d’une dizaine d’année, par les soins du spécialiste des exfiltrations fiscales (tel qu’indiqué dans sa littérature promotionnelle, d’Agent Général AXA pour la Belgique), une opération dont le summum a été atteint avec le vol complet du dossier pénal aux greffes de Cassation, y compris un enregistrement pourtant saisi par un Juge d’instruction, prouvant l’implication et l’identité des voleurs…
Les LéaFrancis sont très confidentielles, mais elles ont toujours été des monstres sacrés ! Le modèle qui est ici présenté est le N°2 sur 5 LéaFrancis construites. Son numéro de châssis est le #5502. Moteur 3L4, 6 cylindres en ligne Jaguar, boîte manuelle 4 rapports. C’est la seule et unique LéaFrancis en configuration LHD (volant du coté gauche pour circulation “continentale” à droite de la route). Elle n’a eu que deux propriétaires, Barrie Price (son constructeur) qui la réservait pour ses voyages sur le Continent Européen) et moi qui lui vouait une totale dévotion amoureuse. Mais elle a été volée dans des circonstances étranges. L’organisateur d’un show de voitures anciennes en Belgique, Mr Hans Stevens, voulait l’exposer pour valoriser le show qu’il organisait et y attirer un maximum de visiteurs payants. Il en était le gardien civilement et pénalement responsable pour un montant conventionnel de 200.000 euros établi avant le show. Il a promis tout et n’importe quoi pour en disposer et en fin du dernier jour de son show il a volontairement ouvert la porte 30 minutes avant la fin officielle de show en complice du vol organisé en bande criminelle. Puis, de manière surréaliste, alors que deux ans d’enquête de police avaient démontré que je n’avais aucune responsabilité dans ce vol, pour contrer une saisie conservatoire ordonnée par ma défense en Justice AXA/LAR, il a agi comme un voleur de bijoux qui se retourne contre lma bijouterie qu’il a dévalisé parce que les objets volés vaudraient moins qu’affichés, il a déposé plaine pour escroquerie sur base d’un faux contrat d’assurance réalisé 2 ans après le vol et daté 2 jours après celui-ci… Une grande aventure qui dure depuis presque 15 ans grâce aux faux qu’il utilise depuis le vol…