L’anti “Ploucmobile”, la Ferrari 288 GTO Evoluzione 1987 à 200 millions !
Programmée dans une vente aux enchères privée organisée en octobre 2022 par RM-Sotheby’s, cette Ferrari 288 GTO Evoluzione 1987, pourrait dit-on, atteindre des prix inimaginables (sic !) que je ne vais donc pas imaginer en centaines de milliers d’euros mais en plusieurs centaines de millions d’euros, pendant que l’Europe se dirige vers une récession profonde et une désindustrialisation générale… Et il n’est pas question d’y aller avec le dos de la petite cuillère, que non, mais à la louche remplissant le chaudron des sorcières… J’ai entendu 200 millions, parfois même plus, ce qui rendent dérisoires les 200.000 euros de ma LéaFrancis volée dans une escroquerie simultanée sous la responsabilité d’un certain Hans Stevens organisateur d’un show d’il y a 13 ans !
Si je débute cet article par le rappel de cette crapulerie, c’est en gradation pour développer l’apocalypse dans laquelle nous plongent nos gouvernements souvent corrompus de même façon que les avocats du responsable du vol de ma LéaFrancis ont corrompus : police, magistrats et ministres ! C’est parce qu’il faut bien comprendre ce que signifie pour l’Europe et la zone euro, pour nos pays et la France en particulier, les conséquences de la guerre en Ukraine en plus des suites des discours va-t-en-guerre du genre :“Avec nous ou pour Poutine”. Avec des prix en folie du gaz naturel supérieurs de plus de 100 dollars par mégawatt/heure à ce qu’ils étaient il y a un an, les économies d’Europe occidentale se dirigent vers le Moyen Âge. Et c’est pareil pour l’essence.
Oui, c’est logique, l’économie moderne c’est de l’énergie abondante et peu coûteuse transformée en bidules et autres services. Pas d’énergie ? Pas d’économie moderne ! Sans énergie, ce n’est pas le Moyen-Âge, c’est pour être plus réaliste, les débuts de la révolution industrielle et au mieux de la machine à vapeur, mais sans charbon, ce sera compliqué et plus encore de circuler en “Ploucmobile” ! Donc avec cette Ferrari (anti-Ploucmobile), qui va pouvoir ? En fait, la question c’est : Qui va oser circuler là-dedans avec les foules en révolution ? Il ne s’agit plus d’une crise à court terme. Les histoires de l’Europe occidentale ressemblent à celles que l’on entendait dans des pays comme la Bolivie. Une inflation élevée et des rations de ressources imposées par l’État…
Voilà donc de quoi vous remonter le moral. Rationnement et inflation. C’est une évidence. L’Europe est en récession… Lorsque les Etats Européens créent les conditions du manque de tout, qu’ils ne sont plus bon qu’à gérer les pénuries et étaler les manques, alors nos “Zélus” souvent corrompus aussi pire que par les laboratoires pharmaceutiques en milliards d’euros, nous expliquent pour nous calmer et retarder la révolution qui gronde, qu’ils révisent les prévisions de croissance en France à la hausse… Effectivement, avec 10 % d’inflation et plus de dépenses dans l’énergie, c’est bien le PIB qui va monter ! Ils pensent que c’est la queue qui remue le chien et pas le chien qui remue sa queue.
Bref, il faut s’attendre désormais à une récession prolongée plus profonde et à une inflation élevée plus persistante. C’est évidemment en raison de l’impact de la hausse des prix de l’énergie, d’un cycle de resserrement plus décisif de la Banque centrale européenne et d’une demande plus faible. Cette récession dans la zone euro au quatrième trimestre persistera jusqu’au deuxième trimestre de 2023, avec une contraction de 17 % du PIB réel. Barclays a revu à la baisse les taux de croissance de la France (2023 : -12 %), de l’Espagne (-16 %), de l’Italie (-21 %) et de l’Allemagne (-23 %). L’Allemagne sera la pire en raison de sa forte dépendance au gaz russe et des goulets d’étranglement dans le transport du gaz en Europe car la plupart des gazoducs proviennent de Russie.
Les révoltes populaires sont donc inévitables, le changement viendra (comme cela vient d’être le cas en Italie) de la pression populaire qui demandera grâce et l’arrêt des âneries et imbécilités chroniques ! Finalement, la classe d’affaires européenne et la population en général feront pression sur les dirigeants pour qu’ils changent de cap ! Si cette pression s’accompagne d’un plus grand nombre d’annonces de licenciements et de fermetures d’usines (BMW et Citröen arrêtant ses chaînes de montage de véhicules électriques parce que la recharge d’une voiture est trop coûteuse, tout comme les matériaux à forte intensité énergétique nécessaires à sa fabrication, comme l’acier), alors ce sera le moment ou jamais d’annoncer le creux de la vague de cette crise.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Qu’y-a-t-il de plus beau qu’un troupeau de cons ? Élevé à ce niveau, c’est de l’Art ! Je suis admiratif. J’admire les gouvernements mondiaux. Tous. J’admire ces gens, parce qu’ils ont réussi là où pendant des centaines d’années, leurs prédécesseurs avaient échoué.
Plus besoin de se faire repérer avec des camps de concentration… avec la mise en hôpital psychiatrique… avec la soumission par la violence… Le camp de concentration c’est la Terre toute entière. Les prisonniers se sont eux-mêmes transformés en esclave consentants. Le bétail est dans un immense enclos. Marqué… QR Codé… Demain, pucé… J’écoute en boucle ce titre de Mathieu Cote : “Qu’est-ce qu’ils sont cons, ces pauvres… Et je les entends bêler”…
J’ose un plagiat…
On leur dit : il y a une pandémie mortelle… Ils disent OK…
On leur dit : il faut s’faire inoculer un produit secret… Ils disent OK…
Qu’est-ce qu’ils sont cons ces pauvres ! Qu’est-ce qu’ils sont cons…
On leur dit : il va faire froid, cet hiver… Ils disent OK…
On leur dit : c’est la faute à Poutine… Ils disent OK…!
Qu’est-ce qu’ils sont cons ces pauvres ! Qu’est-ce qu’ils sont cons…
On leur dit : le climat change…Ils disent OK…
On leur dit il faut effondrer l’économie… Ils disent OK…
Qu’est-ce qu’ils sont cons ces pauvres ! Qu’est-ce qu’ils sont cons…
OK… Ok… On passe à la Ferraillerie à plusieurs centaines de millions…
Châssis : ZFFPX16X0J0079888 – Moteur : 00004
-C’est la version de performance ultime de la supercar originale de Ferrari et la dernière voiture de course GT à recevoir l’apport direct d’Enzo Ferrari
-C’est la voiture GT la plus rapide construite par Ferrari dans les années 1980 avec 650 chevaux, capable d’une vitesse de pointe proche de 370 km/h
-C’est l’un des cinq exemplaires survivants construits par Ferrari; l’une des trois seules en dehors de l’usine Ferrari ou des collections appartenant à l’État, l’une des Ferrari les plus rares jamais produites qui de plus a été livrée neuve au célèbre pilote de course belge Jean “Beurlys” (Alias de Blaton)
-Certifiée Ferrari Classiche, elle a conservé son moteur et sa boîte de vitesses d’origine entièrement assortis
-Service complet et rénovation récente exécutée par Michelotto, totalisant plus de 133.000 €
FERRARI 288 GO
Le développement de la version 288GTO (2,855 litres, 8 cylindres), a été initié à partir de la mécanique 308GTB pour participer aux courses du groupe B,présentée au Salon de Genève 1984. Esthétiquement elle ressemblait à une 308GTB, étant une exaspération plus extrème de ce qui était proposé dans le niveau stylistique à l’étude, la 308GTB Speciale, connu sous le nom de Millechiodi, avec des ailes élargies pour accueillir des jantes/pneus 225/55VR16 avant et 265/50VR16 arrière, un becquet arrière, des fentes latérales rappelant celles de la 250 GTO, et, sous la calandre, un béquet généreux où étaient logées les lumières. La nouvelle carrosserie était en kevlar. Le même moteur V8 a été utilisé dans la Lancia LC2 sport-prototype, suralimenté par deux turbocompresseurs IHI avec deux intercooler et était monté longitudinalement, contrairement à la 308 GTB avec boîte de vitesses transversale en encorbellement derrière le moteur.
Ce fut la première Ferrari avec injection électronique dérivée de la formule 1 (Weber-Marelli IAW) qui améliorait la fluidité. Avec une pression de suralimentation de 0,9 bar et 400 CV de puissance maximale (496 nm), la 288 GTO a été déclarée apte à atteindre 305 km/h et réaliser 12,7 secondes pour couvrir les 400 mètres à partir d’un départ arrêté. Malgré les données de performance de la voiture, dépourvue de dispositifs électroniques de contrôle, tout cela était très difficile à contrôler en cause du décaissement de peu de puissance linéaire et en raison du délai de réponse des moteurs turbo de ces années. Le programme n’a jamais été achevé, mais les 272 GTO (toutes peintes en classique Rosso Corsa) ont été rapidement vendues sur réservation, même avant que la voiture est venu à terme. Sa succession a été assurée par la F40 de 1987 équipée d’une évolution du même moteur.
Ferrari 288 GTO Prototype
Avant le début de la production de la voiture, Ferrari a produit quatre prototypes de la 288 GTO. Deux de ces voitures ont été détruites lors de l’essai de collision. Une autre a été démantelée et les composants vendus comme pièces de rechange à un client Ferrari dont la voiture avait été accidentée. Une seule de ces voitures (avec châssis #47649) reste donc la seule voiture existante expérimentale et le prototype original ne figure pas parmi les 272 288GTO de série. La voiture est restée chez Ferrari jusqu’en 1987 quand un richissime client (très spécial) Ferrari a été en mesure de l’acheter. Aujourd’hui, la voiture est en excellent état et est soigneusement soumise à d’interminables et couteux travaux d’entretien au département Ferrari Classics.
Ferrari 288 GTO Evoluzione
Au cours de 1985, 5 exemplaires 288 GTO Evoluzione ont été construits afin de les déployer dans les courses ouvertes en groupe B. L’interdiction de cette catégorie pour des raisons de sécurité, depuis 1987, a persuadé Ferrari de les transformer en voitures de laboratoire. Les changements comprenaient une forme nouvelle aérodynamique pour l’armature de trame et l’éclaircissement des interventions de carrosserie (avec la masse totale réduite à 940 kg) et le traitement du moteur (stimulé à 650 hp grâce à l’utilisation de turbocompresseurs plus grands, des pistons redessinés et autres ajustements) : à la suite de ces mesures, la vitesse maximale est montée à environ 360 km/h très proche des prototypes qui ont dominé la scène dans les années suivantes !
Au milieu des années 1980, le Groupe B en particulier avait pris d’assaut le monde, rivalisant même avec la Formule 1 en termes de popularité mondiale. De nombreux constructeurs ont participé au Championnat du monde des rallyes, dont Audi, Lancia et Peugeot, Ferrari souhaitant entrer dans la mêlée, mais les courses de voitures de sport du Groupe B ont continué d’être dominées par la M1 de BMW. Suite à la saisie et à l’autorisation d’Enzo Ferrari, une demande a été déposée par Ferrari SpA via l’Automobile Club Italia pour l’homologation Groupe B de la 288 GTO. Le critère d’acceptation était que le constructeur était tenu de produire un minimum de 200 variantes du véhicule en question.
Le 1er juin 1985, après avoir mis les chaînes de montage de l’usine à pleine vitesse pour compléter la quantité requise de voitures de production routière, la FIA a officiellement approuvé la demande de Ferrari. En tant qu’annexe à l’homologation du modèle, la FIA a autorisé les constructeurs à construire un nombre minimum de 20 modèles Evolution (par an si nécessaire), ce qui a principalement permis une portée et une amélioration supplémentaires en ce qui concerne les améliorations aérodynamiques et de cylindrée du moteur. La construction était déjà en cours sur plusieurs des versions de compétition qui s’écartaient quelque peu de la 288 GTO standard .
Nommée Ferrari 288 GTO Evoluzione, leur développement n’a malheureusement jamais été destiné à voir la compétition du Groupe B car toute la formule a été annulée du sport automobile de haut niveau en 1986 à la suite d’une série d’accidents malheureux au cours de cette saison. Au début de 1987, seulement cinq de ces versions de compétition ultimes de la Supercar emblématique avaient été construites et la production a cessé ! Poussant le concept un peu plus loin, la 288 GTO Evoluzione est devenue encore plus axée sur la course avec l’aide de Michelotto, et la 288 GTO Evoluzione était de la sorte réputée pour être utilisée pour des événements sur asphalte au sein du groupe B entre les mains de corsaires.
Pininfarina a retravaillé la carrosserie des voitures en utilisant du Kevlar et de la fibre de verre pour réduire le poids autant que possible et l’aileron arrière de la voiture était en fibre de carbone. Équipé de turbos plus gros et d’un réglage du moteur encore plus raffiné, le moteur Tipo F114 CK de la voiture produisait une puissance monstrueuse de 650 chevaux, soit une augmentation de plus de 60% par rapport aux 400 chevaux de la voiture de route. En faisant pencher la balance à seulement 940 kg, les performances étaient vraiment étonnantes avec une vitesse maximale en ligne droite publiée à 370km/H. La 288 GTO Evoluzione avait un rapport puissance/poids de 1,61 Kg qui pouvait surpasser n’importe quelle rivale de cette période.
Mais cette voiture n’a jamais vu la concurrence ! La 288 GTO Evoluzione s’est seulement avérée essentielle en tant que banc d’essai pour développer la F40, la Ferrari suivante, sans doute plus emblématique visuellement dans la série des Supercars Ferrari. Placez les deux côte à côte et la ressemblance est instantanément apparente et est plus que superficielle. Le châssis #79888 est le quatrième des cinq 288 GTO Evoluzione restantes construites. La production de la voiture a eu lieu à Maranello avec l’aide de Michelotto à Padoue, et la voiture a été officiellement achevée en 1988. En décembre 1988, la voiture a été vendue par le Garage Francorchamps de Jacques Swaters au pilote de course et homme d’affaires belge Jean Blaton.
Ce riche industriel belge qui courait souvent sous le pseudonyme de «””Beurlys”, Blaton s’est rapidement lié d’amitié avec Jacques Swaters et a conduit avec l’équipe nationale belge Ecurie Francorchamps dans les années 1950, 60 et 70. Il a couru aux 24 Heures du Mans quinze fois différentes, dont onze au volant d’une Ferrari. Il a terminé sur le podium à presque toutes les sorties et a possédé une magnifique gamme de Ferrari de cette époque : 250 Testa Rossa, 250 LM, 250 GTO et 330 P4. Il était logique qu’une 288 GTO Evoluzione ait trouvé son chemin vers l’un des coureurs privés les plus favorisés de Ferrari. qui fut par la suite de beau-père de Jacky Ickx.
En 1992, #79888 est revenu à la propriété de Garage Francorchamps via Jacques Swaters, et est resté avec lui jusqu’en 2006 car vendue à un collectionneur privé au Royaume-Uni. L’année suivante, la voiture a été vendue au milliardaire québécois Lawrence Stroll, un autre collectionneur de Ferrari qui était à l’époque occupé d’assembler l’une des collections Ferrari les plus importantes de la planète. Restant dans la collection de Stroll pendant six ans, la voiture a été vendue à Rick White de Californie en avril 2013. L’année suivante, la voiture a été vendue à David SK Lee de Los Angeles avant d’être acquise par David Raisbeck à la fin de 2014, et la voiture a été titrée pour une utilisation routière à son nom dans l’État du Minnesota.
En tant que sa propriété, la voiture a été présentée à la Cavallino Classic 2015 où elle a remporté un prix Platinum et la Supercar Cup. L’année suivante, la voiture a été présentée au Ferrari Club of America Annual Meet à Columbus, Ohio, ainsi qu’à l’édition spéciale américaine du Finali Mondiali à Daytona. Cette voiture spéciale est ensuite passée chez son dépositaire européen actuel en 2019 où elle a été entretenue à grands frais depuis son acquisition. Plus récemment #79888 a été envoyée à Michelotto à Padoue pour une variété de travaux cosmétiques et mécaniques, y compris un service complet de plus de 133.000 euros ! De nombreuses pièces périssables ont été remplacées, conduites de carburant, d’huile, de frein et les bottes d’arbre de transmission.
Les amortisseurs de suspension et les étriers de frein ont été révisés, ainsi que la pompe à eau et les deux turbos. De nouveaux pneus ont été montés et les quatre jantes changées tandis que la boîte de vitesses d’origine a également été révisée afin que tous les joints internes et l’arbre d’embrayage puissent être remplacés. Esthétiquement, la voiture a été entièrement repeinte dans la teinte Rosso Corsa d’origine, et les housses de tableau de bord, les housses de siège, les ceintures de sécurité, les vitres de porte et les vitres des rétroviseurs ont toutes été remplacées. Dans le compartiment moteur, le système d’admission et l’échangeur de chaleur ont été polis, tandis que les couvercles de culasse ont été repeints.
Tous les travaux effectués sur la voiture par Michelotto ont totalisé plus de 133 000 €, laissant la voiture en excellent état mécanique à l’intérieur et à l’extérieur. Ce travail a commencé avec un chéquier ouvert à l’esprit et aucune pierre à laisser sans retour et la voiture s’est avérée être dans un état général exceptionnel pour commencer, attestant de la qualité et de la provenance de la voiture. Aujourd’hui, elle est entièrement prête à être utilisée et appréciée et donc vendue (à prix d’or) si son prochain propriétaire cherche à profiter des sensations fortes de l’une des voitures les plus rares et les plus excitantes de Ferrari sur piste.
Cette Ferrari est un cas fascinant de la dernière voiture de course GT dirigée par Enzo Ferrari et la première version de course de la légendaire série de Supercars de Ferrari, la 288 GTO Evoluzione qui reste aujourd’hui l’une des Ferrari de compétition les plus rares et les plus recherchées jamais construites. Rarement vue en public et cachée dans des collections à long terme, la possibilité d’en acquérir uen est encore plus rare que d’avoir la chance d’en voir une lors d’un concours ou dans un musée. Sans aucun doute, c’est la Ferrari la plus radicale des années 1980, l’opportunité d’acquérir cette voiture est un must pour toute collection Ferrari axée sur les Supercars et les voitures de course. Peut-être est-ce un internaute lisant www.GatsbyOnline.com qui va l’acheter ?
6 commentaires
40 ans d’évolution… mon cher Gatsby, tandis que les articles sont vendus moins chers à vos lecteurs, combien de parasites nourrissiez-vous en plus en 1984 et quels autres parasites nourrissez-vous en 2022 qui n’existaient pas en 1984 ? Les rentabilités sont-elles comparables… en termes de plaisir intellectuel et bien sûr financiers ? Tous les gros chiffres de la Ferraillerie donnent le tournis, le popu préfère mesurer l’inflation au prix de son magazine ou du café au bar du coin !
Je gagnais plus en 1984, malgré tout, si ce n’est qu’il y a eu la délation fiscale de 117 millions et les emmerdes qui en ont découlé ensuite. Actuellement que j’ai migré en France en tant que Français expatrié de la dictatucratie Belge, je me retrouve en dictatucratie Franchouille, mais au soleil du sud, ou mes écrits me sont plus psychologiquement utiles que rentables en cause de l’arnaque du distributeur presstalis et de l’incapacité de Nouvelles Messageries Lyonnaises de Presse. Facebook tombe à rien à cause du désintérèt général qui ne supporte pas la dictature de Zuckenberg et ses effacements ainsi que l’émergence de la presse Fake News de Libération et BFMTV en tête… Tout devient pourri avec les Fake-News qui prolifèrent avec des pourris, jusqu’aux gouvernements aux ordres de l’Oncle-Sam… C’est devenu impossible de “causer” de Hot-Rods et autres bastringues qui viennent d’un pays de crapules… C’est pour cela que vous assistez à l’évolution de mes articles désabusés enveloppés d’humour et de politiquement-incorrect… Mais, vous êtes le seul qui prenez plaisir à entretenir des échanges en commentaires. Ailleurs (Facebook) les rares qui y viennent déposent des Gifts… Bien… La vie continue encore…
L’enthousiasme m’a gagné en écrivant le précédent commentaire. 15 francs de 1984 ne font pas 32 euros mais 5… disons 4.99 ! Gatsbyonline ne connaît pas l’inflation, c’est un truc pour les états défaillants !
Il m’arrive de défaillir également
Mon cher Gatsby,
Cet article a tout à fait sa place dans la section Ferraillerie ! Cette belle automobile est tout à fait inutile pour survivre à une émeute ou un accident nucléaire. Sa valeur d’usage en 2022 est donc presque nulle, et absolument disproportionnée à sa valeur d’échange, et aux 133 k€ de révision qu’elle impose. Aucun popu fronchouille ne pourrait survivre aux nuits blanches en pensant à tous ces tracas.
Alors que la recette du bonheur est tout à fait simple, et tient en quelques chiffres. Laissez-moi vous rappeler l’excellent remède que vous avez mis au point : anti inflation, anti-crise, anti-ferrailleries et anti-cons. Ceci, en ces temps difficile, saura intéresser nombre de vos lecteurs, qui sont d’ailleurs par définition anti-cons, le groupe Hommel ayant fait faillite.
Vous avez publié, rien que dans la SSeXion automobile 33 articles pour le mois de septembre. Un rythme effréné… Le Magazine Calandres d’avril 1984 contenait 11 articles et coûtait 15 francs. Actualisé avec l’inflation cela fait 32 de nos euros de 2022. 2.9€ par article. 3 fois plus d’articles qu’en 1984 et ceci à vous tout seul ! Combien de personnes en moins dans l’équipe ?
Gatsbyonline pour 4.99 par mois, 33 articles… 15 centimes d’euros l’article. 20 fois moins cher. L’abonnement à Gatsbyonline ne nécessite pas d’assurance, pas de capacité de stockage autre qu’un cerveau humain et n’attire pas (encore) l’attention du fisc.
Preuve est donc faite qu’en 2022 les gens de bon sens lisent Gatsbyonline qui est à prix cadeau et une excellente affaire, plutôt que s’offrir une Ferrari payée plus cher que le neuf et parfaitement inutile ? Mon cher Gatsby, si les gens de chez Ferrari avaient vos capacité, leurs autos seraient 3 fois plus rapides en 2022 qu’en 1984 et 20 fois moins chères. Tant pis pour ceux qui ne l’ont pas compris…
J’ai donc fait une erreur de “calculation”, je devais augmenter le prix de l’abonnement par vingt soit 99,80€ et non me brader à moins d’un euros le premier mois et 4,99 les mois suivants. et Ferrari devrait comme vous l’acez calculé, diminuer ses prix par 2O… CQFD ! Eureka ! De plus selon des tarifs ignorant l’inflation. Je me sens potentiellement infiniment plus riche…
Mes clones et moi-même vous remercions de votre contribution “calculatoire” et votre reconnaissance à nos vains efforts…
Commentaires désactivés.