Ferrari 499P Modificata 2023
Grande première pour GatsbyOnline en ce 6 novembre 2023 concernant une interrogation basiquement logique enrobée d’une incompréhension ayant atteint les limites de mon QI, mon intelligence ne parvenant pas à dépasser 200 ni répondre à mon interrogation basique, j’ai fait appel à l’Intelligence Artificielle d’un logiciel-robot : Ma question était relativement simple : “En pleines guerres, en Ukraine et à Gaza, qui va acheter 6 millions d’euros la Ferrari 499P Modificata 2023 qui n’a aucune utilité ?”… Le logiciel robot a tapoté un texte/réponse sidérant de clarté qui m’a servi à peaufiner le fond de ma pensée et à tapoter un article lumineux correctement “francisé” afin que vous puissiez comprendre le pourquoi du comment concernant cette Ferrari…
Le logiciel-robot a compris le sens de ma question sans toutefois pouvoir me fournir une réponse définitive puisque la société qui l’a mis au point m’a précisé avant usage, que chaque instant passé améliore ses capacités de comprendre et condenser des millions de données pour en réaliser une interprétation. l’Intelligence Artificielle n’en est qu’à ses débuts. Mais tout comme Google et autres moteurs de recherches vous donnent en quelques secondes une avalanche d’informations, l’IA va plus loin en ingurgitant la totalité de chaque contenu pour en réaliser un seul condensé, aussi bien charpenté qu’un manuel scolaire… La première phrase en réponse résumait tout : “La clientèle visée par les financiers de Ferrari ne s’encombre d’aucun sens moral”... Grandiose !
En pleines guerres, en Ukraine et à Gaza, qui va acheter 6 millions d’euros la Ferrari 499P Modificata 2023 qui n’a aucune utilité ? La clientèle visée par les financiers de Ferrari ne s’encombre d’aucun sens moral. Ferrari n’est pas une œuvre philanthropique, mais une entreprise dédiée à réaliser un maximum de profit. C’est ce qu’on nomme le consumérisme, qui est une attitude consistant à faire consommer plus que nécessaire, en faisant miroiter le plaisir qui sera obtenu pour un achat, ainsi que le prestige de la possession d’un bien que 99% de la population mondiale n’a pas les moyens d’acquérir. S’y mêle la satisfaction personnelle de la domination à travers les biens de consommation. Sur le sujet abordé il s’agit de commenter l’action consumériste de Ferrari.
Ferrari va réaliser ses profits au moyen de la vente pour 6 millions d’euros + frais légaux et taxes, d’une automobile monoplace dénommée Ferrari 499P Modificata, totalement inutilisable sur routes ouvertes, incompatible avec les règles de circulation et dépourvue d’homologation, tant pour usage routier que pour les courses officielles sur circuit. De surcroit cette voiture est totalement inconfortable, ne sachant pas être conduite par des personnes de plus d’1m80 et 90kgs. La cible visée est donc très restreinte, se limitant à des multimillionnaires, qui se sont assurés d’une protection physique et fiscale. Ce ne sont pas les seuls inconditionnels de la marque Ferrari qui sont ciblés, mais les collectionneurs hyper-fortunés.
Ce sont ceux (et celles) qui peuvent se permettre de n’accorder aucun intérêt pour quelconque utilité d’un “objet-oeuvre-d’art réalisé en production limitée”, mais peuvent se le payer cash. Dans cette catégorie, nul ne critique un tableau de VanGogh parce qu’il s’est vendu 150 millions d’euros en le prétendant trop cher et inutile, donc, concernant cette Ferrari 499P Modificata qu’elle soit trop polluante, trop puissante ou trop “quoique ce soit” pour les besoins des utilisateurs, cela n’entre pas dans les paramètres de ciblage de la clientèle richissime ciblée. 6 millions n’étant pour eux “pas grand chose”… Il en est de même que les conséquences négatives sur l’environnement, la société et l’économie.
L’ensemble des Ferrari 499P Modificata n’aura d’ailleurs aucun impact sur le réchauffement climatique, la congestion du trafic, l’épuisement des ressources, l’endettement des ménages, l’inégalité sociale ni même à la frustration des consommateurs… Le consumérisme utilisé dans les automobiles inutiles peut aussi être vu comme une forme de simulacre du don, c’est-à-dire une façon de se donner une image positive de soi-même en se faisant croire qu’on est généreux, altruiste ou solidaire, alors qu’on ne fait que satisfaire son égoïsme, son narcissisme ou son conformisme : “Il y a des gens très riches qui n’ont aucun sens moral, ce sont des gens qui sont passionnés avant tout parla possession de biens rares et chers, d’or et d’argent”…
Qu’il y a des guerres en cours ne les préoccupent pas car ils en vivent indirectement. Certains de cette caste, voient cette voiture comme un investissement similaire à une pièce de musée qui prendra de la valeur avec le temps qui passe. Ce type de motivation est lié à la rationalité économique et à la maximisation du profit. Bien sûr, ces “hypothèses” ne sont pas exhaustives ni exclusives, il peut y avoir d’autres raisons qui expliquent l’achat d’une Ferrari 499P Modificata de 6 millions d’euros, ou une combinaison de plusieurs raisons, dont l’évidence que chaque acheteur potentiel est unique et a ses propres motivations. Dans ce cas, force m’est de vous faire remarquer qu’en publiant un article et des photos de cette Ferrari 499P Modificato 2023, je participe au consumérisme…
En effet, car le logiciel-robot IA, additionnant mes données, m’a calculé une prévision de 20% d’augmentation du trafic/visiteurs/internautes payants en plus que la moyenne actuelle. Dans cette analyse, l’IA a analysé la clientèle des internautes qui s’intéresse aux automobiles extraordinaires et en a réalisé un constat. Dans un monde où l’image et le statut social jouent souvent un rôle central dans nos vies, la possession de biens de luxe est devenue une manière de définir qui nous sommes aux yeux des autres. Cela est particulièrement vrai dans le cas des voitures de luxe et de sport, des objets non seulement de désir mais aussi de démonstrations de succès personnel et de réalisations financières… et ces consommateurs c’est en partie vous, qui me lisez…
C’est donc certains d’entre-vous qui investissez dans certains véhicules haut de gamme qui êtes en grande partie les internautes qui viennent lire mes articles. Si vous en achètez, comment justifiez-vous ces achats onéreux ? Cette question s’étend au-delà des voitures et touche à la psychologie complexe derrière l’achat de tout bien de luxe, que ce soient un sac à main de 500 euros pour votre femme où votre maîtresse, ou une montre de 1.000 euros pour vous. En France, comme dans de nombreux autres pays, l’achat de voitures de luxe est un indicateur de richesse et de statut social. Cependant, il est essentiel de comprendre que posséder une voiture de luxe ne correspond pas toujours à un niveau de richesse extrême.
Divers facteurs, y compris les priorités personnelles, les décisions financières et même les offres de financement des entreprises, peuvent permettre à différents segments de la population d’accéder à ces véhicules haut de gamme. Mais ce n’est pas une généralité. Il est important de noter que même s’ils peuvent se permettre d’acheter des voitures de luxe, la décision d’en acheter une n’est pas seulement une question de capacité financière. Elle est souvent influencée par des facteurs personnels, des valeurs, des passions, ainsi que des considérations sociales et culturelles. De plus, certains peuvent opter pour des voitures de luxe malgré des contraintes financières, en privilégiant le statut et l’image sur la sécurité financière à long terme.
La psychologie derrière les achats de luxe, en particulier des voitures, n’est pas seulement une question de moyens financiers. C’est souvent une question d’identité personnelle, de valeurs et de priorités. Pour certains, l’acquisition d’une voiture de luxe est le résultat de nombreuses années de travail acharné et est vue comme un investissement mérité dans leur confort et plaisir personnels. Pour d’autres, ces achats peuvent être motivés par le désir de communiquer une certaine image ou statut social. Cependant, les apparences peuvent être trompeuses. Comme le soulignent de nombreuses études, y compris celles provenant de personnes ayant une expérience directe dans l’industrie automobile, beaucoup peuvent en fait se situer sur un terrain financier précaire.
Ils peuvent être motivés par le désir de paraître aisés, plutôt que d’avoir une véritable stabilité financière. Ces consommateurs, souvent appelés “millionnaires de 30 000 euros”, peuvent consacrer une part disproportionnée de leurs revenus à maintenir une image de richesse, souvent au détriment de leur sécurité financière à long terme. Le mirage de la richesse amène à des priorités financières déroutantes… Lorsqu’on examine les comportements de dépenses des consommateurs, une tendance fascinante émerge : les individus ont des priorités extrêmement variées et parfois déroutantes. Certaines familles peuvent choisir de conduire des voitures de luxe tout en ne réussissant pas à épargner pour l’éducation de leurs enfants.
D’autres peuvent vivre dans des maisons modestes, éviter des vacances coûteuses, et pourtant conduire des véhicules qui sont bien au-delà de leurs moyens. Cette dichotomie souligne un aspect crucial de la consommation humaine : tout est question de choix. Comme le dit le proverbe : “Nous pouvons nous permettre n’importe quoi, mais pas tout”. Chaque individu et chaque famille fait des choix sur la manière de dépenser leur argent, et ces choix sont influencés par une myriade de facteurs, y compris les valeurs culturelles, la pression sociale, les aspirations personnelles, et les circonstances économiques. L’étrange réalité des acheteurs de voitures de luxe est déroutante… L’expérience du monde des ventes de voitures de luxe révèle une image complexe…
Beaucoup de ceux qui entrent dans une salle d’exposition de voitures de luxe ne peuvent pas vraiment se permettre les véhicules qu’ils souhaitent acheter. Ils sont souvent handicapés par des dettes existantes, ont peu de liquidités à investir, et sont généralement surchargés financièrement. Cela contraste fortement avec l’image de succès et de richesse qu’ils tentent de projeter. En revanche, les acheteurs qui ont réellement les moyens financiers d’acheter des voitures de luxe ont tendance à adopter une approche très différente. Ils sont plus susceptibles d’acheter des voitures d’occasion, de négocier le prix, et de payer en liquide. Ils comprennent la valeur de l’argent et voient leur achat non pas comme un symbole de statut, mais comme un investissement réfléchi.
Le rôle des circonstances personnelles et des priorités se résume en une question : “Comment certaines personnes semblent-elles se permettre des voitures de luxe ?”... Parfois, cela peut être dû à des circonstances uniques. Certains peuvent bénéficier de programmes d’entreprise qui leur permettent d’acquérir des véhicules de luxe à des prix réduits. D’autres peuvent avoir terminé de payer leur hypothèque, libérant ainsi une somme considérable dans leur budget mensuel. Ou bien, ils peuvent avoir des priorités différentes, choisissant de dépenser de l’argent sur une voiture plutôt que sur une maison plus grande ou des vacances fréquentes. Le luxe, n’est qu’une question de perspective. En fin de compte, la question est de savoir qui peut se le permettre !
Et pas que des voitures de luxe, il faut savoir pourquoi ils choisissent de le faire, même si c’est complexe et nuancé. Il ne s’agit pas seulement de finances, mais aussi de psychologie, de culture, et de choix personnels. Il est crucial de reconnaître que la richesse et le succès ne se mesurent pas à l’aune des biens que nous possédons, mais plutôt à la qualité de vie que nous menons et à la sécurité financière que nous établissons pour nous-mêmes et nos familles. Les véritables indicateurs de richesse sont souvent moins visibles : une gestion financière saine, la capacité d’épargner pour l’avenir, et la liberté de faire des choix qui reflètent nos valeurs et aspirations personnelles, alors que la société continue de valoriser les symboles extérieurs de richesse…
Il est donc essentiel de se rappeler que la vraie prospérité vient de ce que nous épargnons et investissons, pas seulement de ce que nous dépensons… Voilà… J’en viens maintenant à Ferrari qui a présenté la 499P Modificata, une voiture destinée à une utilisation non compétitive sur piste, présentée lors de la finale mondiale Ferrari sur le circuit du Mugello pour célébrer le retour de l’entreprise dans la catégorie reine des courses d’endurance . La 499P Modificata est une version considérablement modifiée de la 499P qui a triomphé lors de l’édition du centenaire des 24 Heures du Mans en juin 2023, et vise à établir une nouvelle référence en matière de sensations de conduite sur piste.
Conçue pour “faire de l’argent” sur le dos d’une clientèle très sélecte et très particulière, la 499P Modificata représente un nouveau type de projet pour Ferrari : un véhicule foncièrement créé pour des millionnaires qui ne l’utiliseront jamais… C’est au départ d’un modèle de piste développé directement à partir d’une voiture de course plutôt que d’un modèle de série, mais sans les limitations imposées par les règlements techniques. Bien que la 499P Modificata soit basée sur la 499P, le fait de ne pas avoir à se conformer à aucune loi de circulation ni aux paramètres sportifs et techniques du FIA WEC, a permis à l’équipe d’ingénieurs de Ferrari de “faire n’importe quoi” sous l’image d’introduire un certain nombre de modifications importantes…
Du genre qui améliorent les sensations de conduite et rendent les performances de la voiture plus accessibles… Pfffff ! Les principales modifications techniques entre la 499P Modificata et la 499P comprennent l’essieu électrique et les quatre roues motrices qui peuvent être activées même à basse vitesse, la fonction “Push to Pass”, qui offre aux conducteurs la possibilité de bénéficier d’une puissance supplémentaire de 120 kW ; des pneus spécifiques développés par Pirelli, et un recalibrage complet des réglages de la suspension, des contrôleurs électroniques et des cartographies moteur. La Ferrari 499P Modificata conserve l’habitacle, avec sa configuration monoplace, et l’ergonomie de la 499P,.
Cela “offre” pour 6 millions d’euros, exactement la même expérience de conduite que les équipages qui ont piloté les voitures de course #50 et #51 qui ont remporté la victoire, l’Hyperpole et le meilleur tour en course aux 24 Heures du Mans. La dérivation évidente de la 499P fait de la 499P Modificata la voiture “à roues fermées” la plus performante que Ferrari ait jamais proposée pour une utilisation non compétitive. Les voitures seront toutefois alignées dans le nouveau programme Sport Prototipi Clienti qui, à partir de 2024, se déroulera parallèlement au programme F1 Clienti existant. Cela permet aux propriétaires de 499P Modificata de participer chaque année à un certain nombre d’événements payants sur des circuits internationaux…
Bien évidement, Ferrari s’occupant de la logistique, de l’assistance en bord de piste et de la maintenance en tire profit… Le cout de cette gigantesque foire va tripler le montant d’achat de la 499P Modificata et en détruire quelques-unes… L’affaire consiste donc à appâter à 6 millions pour en recevoir 18… Le groupe motopropulseur hybride de la Ferrari 499P Modificata combine un V6 à combustion interne monté en position centrale arrière avec un moteur électrique sur l’essieu avant. Le système peut fournir une puissance maximale de 640 kW (870 cv), sans être gêné par les réglementations FIA-ACO. Le moteur à combustion interne partage l’architecture de l’unité de puissance de la 296 GT3, mais a été entièrement révisé par les ingénieurs de Ferrari.
Une caractéristique particulièrement distinctive du moteur V6 de la 499P Modificata est le fait qu’il est porteur, ce qui lui confère une fonction structurelle (façon F40), par rapport aux voitures de course GT où le moteur est monté sur un sous-châssis. Le groupe motopropulseur est équipé d’un moteur électrique de 200 kW (272 cv) avec différentiel et d’un système de récupération d’énergie (ERS) qui recharge la batterie lors de la décélération et du freinage. La batterie de 800 volts a été développée en utilisant l’expérience de l’entreprise en Formule 1. Le groupe motopropulseur est couplé à une boîte de vitesses séquentielle à sept rapports. Dotée d’un châssis monocoque entièrement en fibre de carbone, la Ferrari 499P Modificata présente des solutions de pointe.
Il y a une suspension à tige de poussée et un système de freinage sophistiqué intégrant le freinage électronique qui permet à l’essieu avant électrique de récupérer de l’énergie pendant le freinage. La mécanique (amortisseurs et ressorts centraux, barres antiroulis) a été spécialement conçue pour maximiser les sensations de conduite et garantir un comportement prévisible de la voiture dans toutes les conditions. Les cartographies du moteur et de la maniabilité ont été peaufinées selon la même philosophie. Une logique spécifique de contrôle de traction a été développée pour faciliter la gestion du couple à la limite d’adhérence, et une logique d’assistance au démarrage dédiée a également été introduite.
En ce qui concerne la 499P, la 499P Modificata utilise des pneus Pirelli spécifiques qui ont été développés pour une maniabilité prévisible et pour maximiser le retour d’information en conduite non compétitive, ce qui les rend rapides à chauffer et favorise des niveaux d’adhérence constants pendant plusieurs tours plutôt que des performances de pointe. Le fait de ne pas avoir à se conformer au règlement FIA WEC a permis aux ingénieurs d’introduire de nouvelles solutions sur la 499P Modificata. La première concerne l’activation de l’essieu avant à basse vitesse (la 499P était limitée à des vitesses supérieures à 190 km/h) permettant au conducteur de bénéficier de quatre roues motrices. Cette solution offre des avantages en termes de performances et de maniabilité.
Ils permettent d’exploiter l’adhérence supplémentaire offerte par les roues avant, et d’optimiser la répartition du couple entre les essieux. Le résultat est une voiture encore plus réactive et précise en sortie de virage, ce qui permet aux pilotes de trouver plus facilement les meilleures trajectoires de course et inspire confiance pour conduire à la limite dans une voiture capable de performances extraordinaires. Une autre modification importante rendue possible par l’absence de contraintes réglementaires spécifiques de la Ferrari 499P Modificata est l’introduction du système “Push to Pass”. Cela permet au conducteur de bénéficier d’une puissance de 120 kW (163 ch) disponible pendant une période limitée pendant le tour.
Cela en plus de la puissance nominale de 520 kW (707 ch), ce qui permet d’atteindre ainsi une puissance maximale totale de 640 kW (870 ch). La logique est conceptuellement similaire à celle introduite en Formule 1 en 2009 avec le système KERS. Le conducteur peut activer le système à l’aide d’un bouton situé à l’arrière du volant. La puissance supplémentaire n’est disponible que lorsque l’accélérateur est poussé à plein régime et pour une durée maxi de 7 secondes par activation. Le nombre maximum d’activations par tour dépend du type de piste et du bilan énergétique de la batterie : le système se désactive automatiquement en dessous d’un certain seuil de charge, puis se réactive lorsque la récupération d’énergie a rechargé la batterie à un niveau approprié.
La 499P Modificata est équipée de pneus spécifiques – 310/710-18 à l’avant et 340/710-18 à l’arrière – développés par Pirelli à partir de simulations virtuelles. Basé sur les règlements de la FIA, le design lisse présente une structure dédiée et un composé de bande de roulement dérivé de la technologie F1. Le développement visait à mettre l’accent sur la maniabilité de la voiture et à maximiser le retour d’information sur la tenue de route pour les conducteurs non professionnels, à optimiser les temps de préchauffage et à réduire la dégradation des performances lors des longs relais. Le pneu pluie est également doté d’une nouvelle bande de roulement et a été développé pour assurer la meilleure adhérence dans des conditions semi-humides et 100% mouillées…
Le design de la 499P Modificata a été défini en collaboration avec le Centre de Style Ferrari dirigé par Flavio Manzoni. La voiture affiche ses qualités techniques et aérodynamiques à travers des formes simples et sinueuses dans une expression explicite de son ADN Ferrari. La surface supérieure plate des flancs est sculptée pour donner une forme harmonieuse aux nacelles latérales et aux passages de roue. Ces derniers se caractérisent par de grandes ouvertures, dans le but de réduire la pression à l’intérieur des passages de roue. Les phares confèrent à l’avant du caractère et une qualité expressive, leur design évoquant étroitement les éléments de style qui rendent la voiture immédiatement reconnaissable comme une Ferrari.
L’arrière incarne la combinaison de la technologie, de l’aérodynamisme et du design. Une peau légère en fibre de carbone s’enroule autour du groupe motopropulseur, laissant les roues et la suspension complètement exposées. L’arrière est caractérisé par une double aile horizontale, le profil supérieur étant soigneusement conçu pour produire l’appui aérodynamique requis. L’aileron inférieur abrite également une barre lumineuse qui confère au design de l’arrière un caractère résolu et minimaliste. Une prise d’air multiple pour le moteur V6 et pour le refroidissement de la batterie et de la boîte de vitesses domine le toit de la voiture. L’histoire de Ferrari a été écrite en partie par les nombreux modèles qui ont participé aux courses d’endurance.
Cela avec des résultats prestigieux dans les catégories GT et sport-prototype. Depuis les débuts de l’entreprise jusqu’en 1973, Ferrari a remporté neuf victoires au classement général des 24 Heures du Mans, suivies cette année de sa 10e victoire avec la 499P. La Ferrari 499P Modificata a été développée spécifiquement pour célébrer cette glorieuse histoire des courses d’endurance avec une voiture exclusive qui pourrait suivre les traces de ces légendes. À partir de 2024, le département Corse Clienti organisera le programme “Sport Prototipi Clienti” où les propriétaires de 499P Modificata pourront compter sur l’assistance de Ferrari pour l’entretien et l’assistance – à la fois technique et logistique – pour tous les événements dédiés à la piste.
CHÂSSIS ET SUSPENSION : Châssis : Monocoque en fibre de carbone. Suspension : Double triangulation, tige de poussée
MOTEUR À COMBUSTION INTERNE : Type : V6 – 120 degrés – carter sec. Cylindrée totale : 2994 cc
ESSIEU AVANT ÉLECTRIQUE : Puissance maximale : 200 kW (272 cv). Vitesse d’activation : Non limitée par la réglementation
GROUPE MOTOPROPULSEUR : Puissance maximale, moteur à combustion interne et essieu électrique : 640 kW (870 ch)
PNEUS ET ROUES : Avant : 310/710-18 – Arrière : 340/710-18
TRANSMISSION ET BOÎTE DE VITESSES : Boîte de vitesses séquentielle à 7 rapports
COMMANDES ÉLECTRONIQUES : Antipatinage, système de freinage électronique