ESSAI Full Sexe en FERRAMEO F12 Touring Superleggera Aéro3
L’extériorisation polie, quoique politiquement incorrecte, car dénigrante, de mon attitude concernant les Ferrari’s, se résume à ce que, caricaturalement, je les nomme Ferrailleries. Il fut pourtant un temps, certes lointain, ou les Ferrari me fascinaient et que je rêvais d’avoir enfin les moyens financiers d’en acheter une ou plusieurs et de les piloter du matin au soir au matin, à l’infini. Elles représentaient une forme de pouvoir et de possession.
Le fait d’avoir du pouvoir et de l’argent et le pouvoir de tout avoir, en est la conséquence. C’était mon imaginaire d’adolescent candide ! Je n’avais qu’un vélo-déplaçoir, ce qui, ne m’aidait pas en tant que fils du petit Maître-Tailleur provincial de costumes sur-mesure, à attirer des femmes extraordinairement belles prêtes à toutes les audaces sexuelles, ni à l’évasion d’une condition sociale modeste.
Je voulais pouvoir me vautrer dans les lits à baldaquins de propriétés extraordinaires situées dans des endroits paradisiaques… Ma moche et grosse voisine apprentie coiffeuse avait donc aussi peu de chances sociales que moi pour que nous réalisions nos rêves de jeux “Touche-pipi” dans des palais enchanteurs… L’arrivée d’un enfant de l’Amour nous aurait sur-calibré définitivement dans la misérabilité sociale politiquement-correcte !
Mais la destinée m’a laissé débuter des études d’architecture avec la fréquentation d’autres destinées possibles. En fait, j’ai mal tourné ! Ami de même classe d’études Jésuites avec le fils d’un héros Français de l’aviation de chasse durant la guerre 40/45 (et quelques autres suivantes), vivant dans un château en Normandie, c’est sa mère-cougar, de très haute classe sociale, qui m’a initié sexuellement en d’exquises déviances. Comme quoi tout tient à pas grand-chose.
Je ne vais toutefois pas ici vous étourdir en narrations équivoques en vous narrant quelconques anecdotes graveleuses et diverses orgies calquées sur les écrits du “Divin Marquis”... Que nenni ! Quoique ! C’est sans doute que la cour du château se peuplait ainsi des Ferrari de l’élite française sexuellement majoritairement sadomasochiste … C’était dans le même monde mais avant que Christine Deviers-Joncour (née deux ans avant moi) devienne célèbre..
Célèbre de sa rencontre (et de ces conséquences) avec Roland Dumas (par l’intermédiaire de la famille Dayan, proche de François Mitterrand) qui, alors ministre des Affaires étrangères, la fait entrer comme “chargée de mission” à la société Elf-Aquitaine avec un salaire mensuel de 10.000FF de l’époque, versé par Elf-Impex, un autre (également mensuel) de 40.000FF versés par Elf Aquitaine International plus des frais (mensuels eux-aussi) de 200 000FF.
En plus de ses 250.000FF mensuels, la belle a aussi eu le tour (de main et de rein) d’obtenir 4 milliards de FF en rétro-commissions, ce qui range celles que ristourne Volodymyr Zelensky à nos pontifiant(e)s pontifes occidentaux, dans les mêmes proportionnalités quasi obscènes. Il joue d’ailleurs du piano avec son pénis érigé. Les putes attirent les putes. Les affaires de putes conditionnent le monde. Mes origines modestes m’ont trompé sur le vrai sens de la vie.
J’aurais dû être plus vigilant et savoir que les putes coutent un max. Les Ferrari sont, de mes expériences vécues, des putes mécaniques et entretenir des putes est ruineux. C’est en finale une activité consumériste qui a une vertu essentielle de bien-être. Se faire vider les couilles est toutefois politiquement correct puisque c’est pratiqué dans les hautes sphères, c’est qui les vide qui prend le risque d’être définitivement marqué ! L’envers du Grand cirque…
Quoique certain(e)s tombent amoureux de putes, qui peuvent dès lors circuler dans les hautes sphères, le fond putassier général (nous voilà) ne change pas, seules les valeurs financières augmentent. Au bout de la route, panne des sens et panne d’essence, c’est à jets masturbatoires de déconfitures que la fin sonne le gland des imprévoyants coupables de molles bandaisons. Je suis sans doute mal tombé sur des particulièrement vicelardes !
Elles m’ont vidé les couilles et poches ainsi qu’ illusionné. Quelqu’un a un jour du temps passé collé une petite note pré-imprimée sous l’essuie-glace de ma Ferrari Boxer : “Quiconque gare sa voiture comme vous, ne devrait pas être autorisé à se reproduire”… Un condom dans un emballage rose était joint. Avais-je mal garé ma voiture ? La personne qui avait déposé cette note devait être du genre indigné en permanence, un fou avec un esprit trop actif !
Le genre qui traque les mauvais stationnements, gardant un œil sur les gens indignes de reproduction, sinon il n’aurait pas une note pré-imprimée et un préservatif avec lui chaque fois qu’il en aurait besoin. Il se fait que le concessionnaire-importateur Ferrari, par manque de place avait été “ranger” ma voiture dans sa rue… A cette injonction s’est ajoutée la note d’entretien de l’importateur pour le changement de 12 bougies et un appoint d’huile…
Pour cette facturation de l’équivalent d’une Berline Renault neuve, l’explication demandée fut calquée sur celle d’Enzo Ferrari à Ferrucio Lamborghini : “Si vous n’avez pas les moyens de payer, roulez en Fiat 500”... Mon amie d’alors a laissé échapper un “Oh, mon Dieu quel cuistre !” à la lecture de la facture ET du billet de stationnement ET du préservatif, me faisant remarquer à quel point les Ferraristes peuvent être des idiots. J’étais tout à fait d’accord. Je l’étais !
Nous n’avons pas jeté les pièces à conviction mais tout rangé. Mais quel genre de dérangés est-ce ? Quelque chose comme des reptiles primitifs endémiques vivant dans leurs salles d’exposition en marbre des rues commerçantes les plus chères du monde, où des vendeurs Ferrari en costume noir et cravates rouges avec pochette assortie, passent huit heures par jour dans une solitude masturbatoire totale, comme des moines glandeurs silencieux actifs…
A moins qu’un farceur ne vienne leur demander s’il peut faire un essai (routier et sexuel) parce qu’il aimerait en garder un souvenir… Restons-en là, c’est juste une théorie de toute façon. Nous sommes partis avec la Boxer qui tournait sur 11 cylindres… “Pourquoi est-ce que ça vacille comme ça ? Ma Citroën ne fait pas ça” m’a dit ma compagne d’alors.. Je lui ai répondu : “Parce que la Ferrari ne supporte pas de rouler lentement. C’est sournois et de mauvaise humeur”…
Avoir une Ferrari range son conducteur dans la catégorie des multimillionnaires et certains demandent combien d’argent ils ont en banque. Les directeurs de banque aiment les voitures rapides, les belles femmes, les gros cigares et sont toujours prêt à faire une bonne blague à leurs clients friqués. Ils méprisent les profondeurs étranges auxquelles le solde de certains comptes plouquesques plongent… Un solde de compte comme la fosse des Mariannes est mal noté.
J’ai vendu cette Ferrari ainsi que quelques autres qui étaient toutes atteintes de la même contamination et n’en ai plus jamais acheté d’autres, par principe. Les années ont passé et en 2022 me voici confronté à une Nième pitrerie, une Ferrari transformée en voiture hommage à une Alfa-Roméo !!! LaTouring Superleggera a plongé profondément dans les annales (appréciez la subtilité des mots choisis pour commenter une sodomie) de l’histoire du sport auto.
Elle en a émergé avec des plans pour quinze Ferrari F12 Berlinetta façon Alfa-Roméo en hommage à l’âge d’or de l’innovation aérodynamique de Touring. “Après 5000 heures de travail minutieux dans les ateliers de Touring, chaque Ferrari utilisée émergera comme une Alfa-Roméo Aero3 carrossée par Touring”... Tel est l’immonde baratin de la Carrozzeria Touring débité par un Belgo-Hollandais : Louis de Fabribeckers responsable de la section design !
Cette pitrerie plus qu’énorme, méritait un article conséquent ! C’est l’aileron de requin de la Touring Aero 3 qui fait tout en contrepartie d’un prix indécent et astronomique… Ce n’est pourtant qu’une décoration “rétro-statique” qui n’a pas de fonction aérodynamique en soi, mais évoque sournoisement l’aileron de requin vertical, héritage aérodynamique de l’Alfa-Roméo Touring des années 1930…
“Moquez-vous si vous voulez, c’est génial et il y a des clients qui payent. Chacun des exemplaires de la Ferrari/Maserati/Touring-Aero3 variera selon les désirs de son acheteur, fidèle à la tradition de la carrosserie de l’Alfa Romeo 8C 2900 B LM Coupé Berlinetta Aerodinamica qui a couru au Mans en 1938. La voiture n°19, malheureusement, ne s’est pas particulièrement bien comportée dans cette course, mais elle est devenue l’ambassadrice de la fascination de Touring pour l’aérodynamique et la construction légère”… M’a dit Louis de Fabribeckers !
Dans une tournure grotesque, la voiture choisie par Touring comme base de l’Aero 3 est une Ferrari conçue par son collègue carrossier Pininfarina. (Suivant ce modèle, Ferrari a apporté tout le design en interne). Bien que vous connaissiez peut-être mieux le curriculum vitae de Pininfarina que celui de Touring, la liste des réalisations de ce dernier est tout aussi étonnante. Touring a été le pionnier de la construction “superleggera”, qui utilisait une combinaison de petits tubes et de panneaux en alliage pour créer une structure de carrosserie légère horriblement chère à réaliser, d’où un prix de vente astronomique.
Des dizaines d’entreprises ont depuis concédé sous licence et copié la technologie de Touring, mais l’héritage de l’entreprise est le plus évident chez Aston Martin. La relation de Touring avec Aston a été forgée avec la DB4 et la DB5 et ressuscitée dans la DBS Superleggera. Touring a également eu un lien étroit avec Alfa Romeo (la 8C et la 2600). Pour boucler la boucle, la société était également responsable de la toute première calandre en caisse à œufs à apparaître sur une Ferrari. Pour compléter de dossier (judiciaire), sachez que l’Aero 3 utilise les composants mécaniques et électroniques de la Ferrari F12…
… Notamment son V12 atmosphérique de 6262 cc dont la puissance se situe autour de 730 chevaux à un glorieux 8250 tr/min et tous les fragiles et couteux chevaux italiens à sang rouge sont envoyés aux roues arrière via une boîte automatique à double embrayage à sept vitesses. L’Aero 3 pèse lourd, soit 3600 livres, ce n’est donc pas un poids plume complet malgré sa tenue en fibre de carbone. Les quinze “chanceux” propriétaires d’Aero 3 auront droit à une expérience intérieure “chic”, du cuir italien fragile, naturellement, avec un mélange de bon et de mauvais goût d’aluminium noir malpoli et mat.
Tout cela en plus de la garniture en fibre de carbone requise, l’extérieur Alfaquesque de l’Aero 3 préserve les proportions des Alfa de course d’avant-guerre : long capot, cabine à l’arrière. Cependant, toutes les Aero 3 ne feront pas de cosplay en tant que Vintage ; Touring a fourni des images d’un autre Aero 3 pour illustrer les changements cosmétiques disponibles pour les clients exigeants : incluant des mesures d’angle pour l’aileron arrière inscrites sur l’aileron ; le délicat badge “Superleggera” sur le capot, les bouchons d’essence surélevés et les embouts d’échappement rectangulaires aux dimensions généreuses.
J’étais là, présent, chez Touring en Italie, accompagné d’une belle pute vénéneuse et carnivore à la fois… Installés à bord, j’ai appuyé sur le bouton magique adéquat en demandant à quoi servait encore le volant ? Au cours des premiers kilomètres dans la circulation urbaine, les choses se sont déroulées comme d’habitude. Nous avons été photographiés, filmés, acclamés et enviés. Ensuite, il était temps d’agir. Route à deux voies. Beaucoup de trafic. Une longue file de voitures devant nous. A gauche, une VW Golf roulant à environ 30 km/h, tout comme nous. Tout était cool…
Le problème était que la tête du pilote de la Golf était complètement tournée vers la droite. Il n’avait d’yeux que pour la Touring, son aileron et les gros seins de ma pute… Alors il n’a pas remarqué que la Tesla rouge devant lui s’était soudain arrêtée. Le bruit fut furieux, il y avait des éclats et des morceaux de voiture cassés partout, le conducteur de la Tesla fut de suite à bout de nerfs. Je me suis senti coupable, mais je n’ai pu réprimer un éclat de rire. Nous sommes un pays comportant des dizaines de millions d’abrutis !
Comme vous le savez, je ne suis pas obsédé par les voitures de sport comme certains chroniqueurs sont possédés par le diable. Une force démoniaque, mais pas autant que des “je t’aime” ou que des ” j’aime, bien sûr, mais presque car elles sont aussi une cause de souffrance pour moi”… Plus tard, j’ai commencé à mousser à la bouche en atteignant 250km/h alors que l’aileron vibrait comme s’il allait s’envoler en enfer… Même la splendide pute aux longs cheveux que j’avais débauchée de son donjon avant de m’aventurer chez Touring, m’a dit ne pas pouvoir m’aider pour les seulement 1.000€ de sévices pré-payés…
Elle a ajouté : “Ne me conduisez pas aussi à la tentation. Comme si cela ne suffisait pas de voir à quel point ces monstres sur roues m’atteignent. De plus, j’ai une responsabilité envers vous, et comme on dit, ne conduisez jamais plus vite que votre ange gardien ne peut voler. Ce sera mille euros de plus pour mes conseils, tours de mains et mise en bouche”... J’ai soupiré. Mon regard se perdait au loin. J’ai laissé ses appels sans réponse. Bien sûr, je voulais ressentir la puissance et la splendeur, dans une moindre mesure alors que je n’en étais qu’à glander sur une autoroute.
Tout ce qu’il a fallu pour revenir à moi, c’est un coup d’accélérateur à plein régime en deuxième vitesse pendant pas plus de quatre secondes ; 5 000, 6 000, 7 000, 8 000, 9 000 tr / min! La bête a rugit, si perçante une fois de plus, et tonné comme si elle était tirée d’une rampe de lancement, anéantissant l’espace et le temps en inhalant le flux d’air plein de cupidité. Passer de la deuxième à la troisième vitesse était comme un coup au cou, mais je n’avais pas peur du tout de mourir. J’attendais avec impatience. Toutefois, quelque chose d’incroyable s’est passé…
Bien que n’importe quel réalisateur le retirerait du scénario parce que c’est tellement par trop incroyable, comme s’il venait d’y avoir un attentat terroriste ou si une guerre avait éclaté, à un péage des policiers armés de mitrailleuses se tenaient prêt à je ne sais quoi, arrêtant quiconque leur semblait suspect. Alors pourquoi ne devaient-ils pas arrêter, entre autres, cette Ferrari ressemblant à une Alfa Roméo Touring avec des plaques d’immatriculation italiennes, conduite par un homme qui ressemble au trésorier de la Cosa Nostra avec une pute presque nue sur le siège passager ? Je nous voyais déjà en enfer…
Un des deux policiers avait déjà levé la main pour m’arrêter : “Nous sommes dans le pétrin” ai-je dit à ma pute tout en baissant la vitre prêt à demander de la clémence à la police. “Je suis désolé d’aller si vite, mais c’et pour un essai dans mon site GatsbyOnline”, ai-je commencé, mais le policier armé d’une mitrailleuse m’a coupé court : “Tout va bien. Mais nous voudrions savoir l’utilité de cet aileron ?“, a-t-il dit ! Ma première pensée a été que cela ne pouvait être vrai, pas habituel du tout (les policiers italiens sont, à côté des shérifs texans, les agents des forces de l’ordre les plus durs du monde)…
Je n’aurais jamais imaginé cela possible. Nous étions, remarquez, dans une zone de 60 km/h, mais j’allais tout dire pour satisfaire le brave homme. Pour des raisons dramaturgiques, je me suis arrêté de causer dans le vide et j’ai créé toute une agitation moteur au ralenti : Vroooom ! Vroooom ! Vroooom ! C’était une scène toute droite sortie de la série de bandes dessinées de course Michel Vaillant. Le policier m’a fait un clin d’œil et m’a donné un coup de pouce. Ma pute a hurlé d’excitation en agitant ses gros seins ! Ensuite, j’ai mis la voiture en première vitesse.
J’avais encore la vitre baissée et j’ai dit au policier : “Souviens-toi d’une chose, mon cher ami : tout, n’est que compromis et compromissions. C’est une citation de Walter Röhrl. Adieu, je vous inclurai dans mes prières du soir et ferais une mention dans mon article. Lisez www.GatsbyOnline.com !”… Puis je me suis lâché, j’ai mis l’Alfa-Roméo/Ferrari/Touring à la fin de la zone des 60 km/h à plus de 200 km/h… Mes pensées se sont tournées de Röhrl vers Leonardo da Vinci en pensant : “Il y aura dans quelques temps, des charriots conduits par des ânes qui rouleront avec une force incroyable”…
Je voudrais écrire une chose clairement en cette suite/souvenir : il y a, bien sûr, le risque que l’un des supérieurs des policiers italiens, ou même le ministre de l’intérieur lui-même, lise ces lignes. Que se passera-t-il alors ? Peut-être une enquête pour savoir qui était le mouton noir parmi les Policiers. Bien sûr, je prendrais la défense de ce policier exemplaire et jurerais sous serment que j’ai écrit cette histoire à bord d’un bateau de pêche thaïlandais sous l’influence de champignons magiques et que rien de tout cela n’était vrai… Il y avait beaucoup de trafic sur l’autoroute.
Aucune chance de tout faire et de rendre justice à cette voiture. Nous avons joué, ma pute et moi d’abord à “touche pipi à 250km/h” avant de passer à trois tours de Twenty Questions avec des personnages célèbres. La première fois, j’étais le premier humaniste Dionigi di Borgo San Sepolcro (1300-1342), la deuxième fois le troubadour médiéval Walther von der Vogelweide (1170-1230), la troisième fois Ray Harroun, le vainqueur du premier Indianapolis 500 (1911). Ma pute n’a deviné aucun des trois, bien que je lui ai donné à chaque fois l’indice précieux que la personne en question était déjà morte.
Elle était sa mère la première fois, son oncle Herbert la deuxième fois et sa meilleure amie Alicia la troisième fois. Étonnamment, j’ai deviné les trois… Mais lentement, ma belle pute devenait impatiente. Elle avait encore l’espoir de vivre trois cents kilomètres à l’heure. J’étais indécis. Mais même si je l’avais voulu, le trafic ne l’aurait pas permis quoiqu’il y avait déjà beaucoup moins de trafic. J’ai pris une décision. Mais je n’écrirai pas en détail ce qui s’est passé sur les vingt kilomètres suivants. Je veux seulement vous écrire ce qui va suivre, chers lecteurs, parce que je considère que c’est mon devoir de vérité…
Nous étions en septième vitesse et je spermattais tout en écumant un peu (à nouveau) devant ma bouche, ce que j’ai pu contenir rapidement avec ma langue avant qu’il ne ruine mon T-shirt… Mais j’affirme sous faux-serment qu’à aucun moment je n’ai mis en danger nos vies d’ailleurs ma pute se trouvait dans un état de béatitude cocaïné et vivait un beau rêve pas encore totalement inassouvi. Il est extrêmement important pour moi que vous en preniez note pour en témoigner, cela va de soi ! Nous étions tous les deux tellement échauffés que j’ai finalement décidé d’aller dans un Palace.
Ce n’est pas vraiment une tâche facile, car il en faut toujours plus. Nous avons dû nous arrêter et faire un travail qui nécessitait un peu de dextérité manuelle.. Vous payez une fortune pour une voiture comme celle-ci, et vous n’avez même pas assez d’espace pour baiser à l’aise… Peu de gens peuvent s’en spermettre autant mais je le peux. Voilà, c’est terminé… Il faut un peu plus de temps à mon âge (73 ans) pour que les couilles soient de nouveau pleines et l’envie au “Top” pour que la machine se remette à fonctionner…