Ferrari F40, pour gérontophiles BDSM…
De tous les constructeurs d’automobiles exotiques, Ferrari est la première marque qui vient en tête des discussions inutiles et vaines, souvent vaniteuses et égotistes, sur les réseaux asociaux du genre : “Et patati et patata, un jour j’en possèderai une avant toi”… “Et patati et patata, c’est moi qui est la plus longue”... Pffff ! Et de toutes, un modèle se démarque des autres : la F40. Ce serait la starlette italienne de la fin des années quatre-vingt devenue, au cours des 10 dernières années, la Ferrari de premier choix pour les amateurs/discutailleurs sur Instagram, Facebook, TikTok et X, en sus de toutes les plateformes de partage de pensées inutiles quoique soulignant les chiffres de production relativement élevés et l’absence d’un moteur 12 cylindres sur la F40.
Le marché des collectionneurs a commencé à se rendre compte que la F40 allait être un super piège à investisseurs, lorsqu’e les prix des F40 qui étaient autrefois à six chiffres sont devenus en quelques mois “des affaires à 7 chiffres” (traduisez de plusieurs millions de dollars)…, Personne ou presque n’en voulait, mais maintenant “on” fait courir le bruit que les F40 prennent place parmi les Ferrari les plus désirables de tous les temps et finiront par être au sommet. En tant que non-passionné me situant dans la tranche des “Je m’en foutistes”, cette forme de sidération m’hallucine d’autant plus qu’une question me trotte en tête : “Alors que les valeurs de marché des F40 explosent rapidement au cours de la dernière décennie: cette chose vaut-elle vraiment tout cet argent” ?
Je n’ai jamais particulièrement aimé les Ferrari qui étaient quasi toutes des V12 et celles avec des V-8 me berçaient d’indifférence… Mais dans les années 50, l’entreprise était un constructeur prolifique de moteurs basiques quatre cylindres dont la 500 TR “Testa Rossa”. La culasse rouge originale dans un moteur de Fiat ! Bof ! Cette culasse peinte en rouge était destinée à faire partie du folklore Ferrari, quoique la 500 TR glanera quelques succès. Le bruit d’un 4cyl de 500TR est semblable à une crécelle, signifiant qu’il ne pourra jamais faire les mêmes sons que les vraies exotiques élitistes. Mais, la plupart de ces pensées négatives s’estompent dans la tête des gens de la masse, lorsqu’ils entendent un F40 s’allumer… Cela les allume en retour et ils bandent…
L’érection retombe au souvenir d’autres chiffres, car Ferrari a fabriqué 1.311 F40 ce qui est beaucoup trop par rapport aux normes phares du marché… Ce n’est pas une Ferrari rare, ni exceptionnelle, c’est du consumérisme, tout comme la 250GTO… En comparaison, Ferrari n’a fabriqué que 349 F50, ce qui s’explique en cause de son design raté de frigo ménager traité Tuning… Cette F40 est une version “européenne” sans convertisseurs catalytiques et avec un échappement “bricolé maison”. Au ralenti à froid, le moteur biturbo sonne brut et non filtré, comme quelque chose d’insoutenable à subir trop longtemps que vous entendriez le matin d’un rassemblement historique du genre Paris/St-Tropez, destiné à faire chier les gens paisibles : “Nanana rien à foutre des Ferrari’s”.
C’est bruyant, grondant, cher à entretenir et résolument chiant à supporter. Cela m’a toutefois aidé à comprendre pourquoi une F40 reste une voiture affiche pour tant d’utilisateurs des réseaux asociaux ! Alors que l’avant est maladroit, le trois-quarts arrière semble un kit-car… Certains plus illuminés que d’autres prétendent que ce 3/4 arrière pourrait être le meilleur de toutes les Ferrari. Ah oui ? Ah bon ! Il est ultra large, l’aile fait Tuning ancien ajouté et donne la même image d’utilité que la barre de conduite des charriots de supermarchés… Des proportions parfaites ? C’est du plastique ! Tout est plastique dans ce fourbi. Il est facile de se perdre en conjonctures (féroces) en regardant l’aile moulée gigantesque qui ne doit servir que d’appel visuel consumériste…
Au-delà du revêtement en maille, une voie à ciel ouvert file directement vers le compartiment moteur. Que d’esbrouffes ! Les yeux sont naturellement attirés vers les jantes Speedline de 17 pouces en plusieurs pièces et à verrouillage central (le genre ou il faut s’acharner avec un marteau aux risques et périls des jantes, portant des caoutchoucs Pirelli. Je pourrais regarder pendant des heures, mais il y a des questions sérieuses à poser… Bref… J’abrège… Avec l’huile moteur à la température, il est temps de sauter dans le siège baquet conducteur en carbone-kevlar et de la boucler à l’aide du harnais à quatre points. Le minimalisme se poursuit à l’intérieur, avec un tableau de bord pratiquement exempt de boutons et de switch et une finition déplorable.
Le groupe de compteurs à quatre anneaux indique la vitesse, le régime, la température du liquide de refroidissement et la pression de suralimentation. Ensuite, à droite, reposant sur le tableau de bord, il y a des compteurs pour la température de l’huile, la pression d’huile et l’état de la quantité de carburant. Sous ceux-ci, des boutons pour gérer la vitesse du ventilateur et la température de la cabine, sachant qu’il n’y a pas d’air conditionné. Tout ce dont vous aurez besoin, et rien de plus c’est le volant, qui est intemporel, pur et libre de tout bouton. Le levier de vitesses est tout aussi simple, avec un “dogleg first gear“. Conduire une voiture de plusieurs millions de dollars est effrayant, mais la F40 se veut indulgente à l’arrêt et à basse vitesse.
Dès “qu’on y va”, c’est de plus en plus bruyant à l’intérieur, et l’embrayage facile à moduler pour un simple trafic stop-and-go, devient rapidement voyou, c’est l’une des pédales d’embrayage les plus lourdes et dures que j’ai jamais ressenties dans une voiture de route. De plus la direction et les freins ne sont pas assistés… On dit aux gogos qu’ils ne s’en plaindront jamais parce que la F40 est si légère… C’est une arnaque, car la bête capricieuse est lourde de partout. La visibilité à l’avant est impeccable si on est cosmonaute habitué à piloter derrière un hublot, et la F40 a effectivement tout de la capsule spatiale… Et bien que la voiture semble ultra-large de l’extérieur, elle l’est d’impression de conduite, alors qu’elle est relativement petite par rapport aux normes automobiles.
Le maître mot est de “s’adapter”... S’adapter à la voie dans laquelle on circule est assez facile, étant donné que vous savez comment incliner correctement vos rétroviseurs latéraux manuels (bon courage pour celui de droite si vous n’avez pas l’assistance d’une âme charitable).. A basse vitesse, rien d’intéressant à en dire sinon un malaise diffus… À grande vitesse, la F40 s’anime, la direction est lourde et chaque mouvement semble ne pas se traduire sur la direction. Mais chaque petite imperfection sur la chaussée arrive au bout de vos doigts qui ne savent rien en corriger car les imperfections ne font que passer et qu’il est à chaque fois trop tard pour corriger… Donc on survole, on s’agrippe, on suffoque… Les freins font toutefois preuve de leur capacité à freiner…
Ce qui s’avère époustouflant, après les avoir utilisés, c’est d’être toujours en vie. Je me suis toutefois toujours demandé pourquoi cette abominable voiture prétendument légère, avait besoin de freins aussi assistés qu’une limousine Cadillac de 3 tonnes… Bien que le levier de vitesses long et fin puisse sembler délicat, il nécessite un max de musculation pour s’insérer dans la grille de chaque vitesse. Apprendre à être rapide et décisif est la récompense des divers changements propres et fluides, accentué par le bruit caractéristique des clics métal contre métal. Être lent et régulier n’est pas ce que la F40 apprécie. Celui qui est hésitant, s’expose à ce que la F40 lui rende la pareille avec des boucles et des trimbailles.
Vient dans ce récit, le moment de vous causer de la monocoque qui est une chose impressionnante, faite d’un mix de fibre de carbone, de kevlar et d’acier. Alors que le premier châssis entièrement en carbone n’arrivera que quelques années plus tard dans la Jaguar XJR-15, le châssis complexe de la F40 était à son époque un grand pas au bord du vide du monde de la technologie automobile étant donné que la toute première monocoque en carbone est apparue six ans plus tôt en Formule 1, sous la peau de la McLaren MP4/1. Le châssis de la F40 est relativement rigide et alerte, mais ne se sacrifie pas pour la conduite. En effet le contrôle de la carrosserie sur de l’asphalte moins que parfait tue tout espoir d’une expérience de conduite isolée et pittoresque.
On entend chaque caillou lancé par les pneus, chaque fissure sur la route, sans exception. C’est assez angoissant… Les radins de chez Ferrari auraient pu tapisser l’intérieur des passages de roues avec du caoutchouc. De plus, lorsqu’on tourne dans des dénivellements, on entend d’affreux grincements et craquements… C’est sinistre et ne donne pas confiance. On a l’impression de conduire un Kit-car bon-marché. On m’a répondu que ce n’étaient pas l’équivalant de cris de douleurs sous la torture, mais des cris de joie car il résiste à la torsion… C’est un foutage de gueule qui signifie que la F40 après 35 ans est trop âgée pour qu’on s’imagine que c’est encore une jeunette espiègle qui sait baiser en se contorsionnant..
Désolé, mais comme on ne peut décemment calculer qu’une bagnole de 35 ans a été déflorée à peine née après vente ce qui serait comme de la pédophilie automobile, la Ferrari déjà mure à sa création devait avoir la trentaine humaine, disons 35 ans et baisable comme une nanana de 35 ans. De là les 35 ans passés font que la belle essayée en a l’équivalent de 35 ans de plus, ce qui lui fait humainement 70 ans avec des retouches de chirurgie esthétique… Et donc entrainer une vieille encore belle de 70 ans, c’est du vice, la vieille ne va plus faire la Toupie sexuelle comme les beautés Italiennes de 35 ans… Les dérapages contrôlés ou non et les sur-régime de rouler à tombeau ouvert vont l’amener aux soins intensifs, voire à la morgue…
Notez que de la morgue ce n’est pas ce qui manque aux Ferraristes. Ces gens baisent tout ce qui est rouge…Même le conducteur émérite de 74 ans comme moi, ne va prendre aucun plaisir dans le ridicule de cette situation… Quoique entrer et sortir du cercueil roulant F40 est moins pénible qu’une Countach qui bat tous les records… Sur ces points “G” brûlants, à même supposer que la F40 avait des qualités il y a 35 ans, celles-çi sont maintenant obsolètes, la F40 est donc une vieille occaze comme peut l’être une Maîtresse d’école de 35 ans pour un écolier 24 ans plus jeune. Le temps passant devenu vieux con de 50 ans, sa belle en aura plus de soixante-dix… La comparaison certes osée, est on ne peut plus explicative : la différence d’âge est irrattrapable malgré les soins…
Soins esthétiques et psychologiques mélés… Et ces soins qui peuvent atteindre un million d’€ pour un ravalement forcément éphémère ne rajeunissent en rien la réalité. Une vieillerie est forcément âgée… Donc, acheter une vieille beauté 35 ans plus tard expose à des désillusions… Et, concernant l’usage, ben… J’aimais beaucoup ma grand-mère tout comme j’adorais Alice Sapritch… De là à vouloir l’utiliser comme une jeunette dans des activités hors limites, c’est du vice. La gérontophilie (du grec : geron, qui signifie “vieillard” et philie, qui signifie “amour”) est une paraphilie, un comportement atypique de type chronophilie (excitation due à la différence d’âge) dans laquelle un jeune est attiré par une vieille…
Le moteur de la vioque est un autre rappel des années passées. Nom de code F120A pour les nerds, ce V-8 est un exemple de l’usage d’une suralimentation (turbocompresseur) à l’ancienne, même comparé à d’autres icônes à induction forcée que j’ai conduites comme la R34 Nissan Skyline GT-R et la Renault 5 Turbo II. Sous 4500 tr/min, le moteur de la F40 est à la limite de la léthargie, remplissant la cabine d’un gémissement métallique caquettant (un appel au secours de ne pas utiliser les grands moyens en appuyant à donf sur la pédale d’accélérateur. Les choses évoluent rapidement une fois que le boost arrive, transformant la note d’échappement en un hurlement chaotique qui pénètre vos oreilles et fait vibrer votre cerveau qui imagine l’agonie…
À côté du bruit vient une poussée brutale qui lance la voiture vers l’avant comme une flèche quitte l’arc d’un archer. Ce n’est donc pas la puissance du canon d’un char de combat moderne actuel… La F40 était sur évaluée à 478 ch et 425 lb-pi de couple lorsqu’elle était neuve, et on sent que le cœur et l’élan n’y sont plus qu’aux 2/3. L’élan ne s’arrête pas jusqu’à ce que vous soyez à court de régimes, il lance des appels au secours via des ratés et si on a un zeste d’humanité, tout ce que vous avez à faire pour empêcher une fin tragique est de lever le pied, car continuer à sprinter vers l’avant en faire glisser le levier de vitesses dans la vitesse suivante est similaire à un assassinat envers une entité affaiblie par l’âge.
La façon dont la F40 offrait puissance et vitesse il y a 35 ans, n’est plus d’actualité, cela spermet de comprendre facilement pourquoi certains humanistes hurlent au génocide des automobiles anciennes martyrisées… Par contre, en l’utilisant “pépère et mémère” une histoire d’amour est possible quoique le montant à payer est prohibitif pour la seule gloriole de s’afficher avec une ancienne star.. Mais même avec toutes ces capacités d’un temps d’avant révolu, cette voiture suscite une forme de pitié. Parce qu’alors la F40 reste une vieille dame délicieuse et amusante, effrontée et excitante dans un monde de supercars plus récentes qui isolent et manquent de connexion et de correction….
C’est un pneu pareil que se payer Amanda Lear amène l’illusion de cotoyer ses ex-sex… Durant sa carrière, l’actrice de 83 ans a en effet été la muse et l’amante d’un génie de la peinture : Salvador Dali alors qu’elle était mannequin pour Paco Rabanne en 1965. Puis, tout comme une F40 change de mains, au début des années 1970, Amanda Lear a vécu pendant deux ans à New York avec David Bowie. Puis Amanda Lear a été l’amante de nombreuses célébrités telles que des chanteurs, des créateurs de mode mais aussi des hommes politiques dont Donald Trump. Donc en se payant une F40 on aura l’impression d’embarquer les ex-possesseurs de la belle dans un monde brut d’illusionements souvent macabres…
Le terme “brut” a tendance à être surutilisé dans cette industrie, mais c’est un descripteur approprié pour la F40. C’est le plaisir à la fois véhiculaire et vésiculaire embarquant des relents d’orgies, de sperme et de cyprine distillés sous une forme pure et non coupée. La F40 évite en effet toute notion d’honnêteté pour atteindre un niveau rarement accessible de rétroactions malsaines ininterrompues, comme je n’en ai jamais ressenti dans une voiture auparavant. Il n’y a de plus aucun confort, aucun autre plaisir que masochiste… Pas de radio, pas de tapis, pas d’électricité. Juste un volant, des pédales et un levier de vitesses. Chaque aspect est conçu pour offrir une expérience viscérale sado masochiste.
La F40 est, sans aucun doute, une illusion, un illusionnement, l’une des pires putes que j’ai cotoyé. Elle ne vaut très clairement pas le ou les millions que des détraqués sado masochistes sont prêts à payer aujourd’hui… et les millions de plus que les gens paieront peut-être à l’avenir tout en participant à des galas de charité… Même Maranello est dirigé par des mortels et toutes leurs créations ne peuvent pas être gagnantes. Ferrari a subi sa part de ratés au fil des ans, et c’est ce dont j’écrivais ci-dessus… Aucune des gloires de conception de Ferrari n’est venue sans tentatives infructueuses. Pour moi, personne n’a atterri plus égaré que la F40, je n’ai jamais compris l’adoration de tant de passionnés envers elle…
4 commentaires
Excellente question. Je m’exclus de la masse que je décris car je me considère comme plus mature psychologiquement, étant lecteur assidu de Gatsbyonline, et ayant compris, hors jours de déprime ou de solitude, que mon avenir n’est pas dans un passé idéalisé. L’équilibre familial, la vie professionnelle me commandent de n’acheter ni l’une ni l’autre. quel homme censé et honnête achèterait en 2023 l’une de ces deux autos, et pour quoi faire ? La Ferrari sent plus les facture d’entretien que l’argent gagné en travaillant, et s’amuser en Ford Capri serait admettre que ma vie est à ce point triste qu’il me manque une Ford pour déclencher un sourire ?
Docteur, vous êtes guéri… En tant qu’ami je ne vous conterai ni vous compterai d’honoraires si ce n’est le devoir de commenter les bientôt 4.000 articles que j’ai publié au sein de http://www.GatsbyOnline.com
Pour mon cas qui est également psychologique, je vous réécris que je n’ai jamais été si heureux de ne quasi plus rouler dans les autos dont je publie les travers dans mon website.
J’en ai toujours dans mon entrepôt mais j’en suis indifférent sauf à en râââââler ferme en pestant qu’elles me pèsent car ne me servent plus. Pire, je n’ai aucune envie de les faire rouler, sachant d’avance que ça va me coûter un pont, les batteries, plus les aléas de remises en marches… Ici à St-Trop, que ma Smart (110.000 km, mais plus roulé depuis un mois) et mon Grand Cherokee Jeep de 320.000 kms (pas roulé depuis 15 jours)… Valérie a elle aussi bazardé sa Golf Cabrio qui ne servait pas beaucoup. Par contre je m’amuse comme un jeune fou de conter mes aventures automobiles, car j’ai pu presque tout conduire en 56 ans de vie ou l’automobile était un business. A vrai dire (écrire) vrai, heureusement, sinon je n’en connaitrais rien et n’aurais rien à en écrire… Cela explique que je n’écris quasi rien sur les avions et motos et bateaux sauf quelques rares aventures ou je suis passager et/ou “regardant” (la misère des autres)… L’affaire LéaFrancis a contribué à mon dégout qui va jusqu’à déconsidérer à priori tout le monde sauf preuve contraire… Voilà…
Maître, Il me semble qu’il faut également considérer l’impact qu’ont pu avoir les jeux vidéo sur toute une génération. Faites jouer avec des Ferrari F40 sur un écran avec une résolution minable, dès 6-8 ans, plusieurs heures par jour ceux qui sont les quarantenaires aujourd’hui, en position d’acheter pour certains qui ont réussi, en position de se tripoter ou de commenter pour les autres, revenez 35 ans plus tard et demandez leur s’ils veulent la voiture qui permettait de gagner la partie ou une Ford Capri ?
Ben… En fait… Voilà… Je vous pose la question… Je précise que vous n’en pouviez rien d’avoir un écran d’une résolution minable, moi même je regardais RinTinTin sur une TV noir/blanc en 65mz… Mais donc maintenant que vous êtes en position d’acheter pour certains qui ont réussi en position de se triooter… Ferraillerie où Ford Capri ?
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