Ferrari SF90 XX Stradale & Spider : L’immoralité éphémère…
Sous titre : “L’immoralité éphémère”… Ferrari présente le paradoxe de tourner à presque plein régime alors que tous les secteurs sont dans le rouge, que la vision d’un monde sans énergie fossile (polluante et éphémère) pousse à l’électrification générale, donc à une nouvelle dépendance bien plus “à risques” et que les “sanctions économiques” qu’imposent les USA au “monde occidental” d’appliquer “au monde Russe” sont contre-productives car elles détruisent davantage notre couverture économique que celles des “Russes” pour nos ventes et nos achats de matières premières… Qu’en plus, sous le fallacieux prétexte de sauver l’Ukraine (d’elle même ?) les dirigeants du bloc occidental ont monté un système pire que mafieux, les “dons charitables à l’Ukraine”…
C’est par centaines de milliards… Et il ne vont que sur des comptes hypers-anonymes dans des paradis offshores avec remerciement d’un Fee de 50% réservés aux seuls “Grands “donneurs” du monde occidental, déjà sur-gavés des “returns” de mêmes montants dans “l’opération des vaccins-Covid”... Voilà, vous avez une explication simple qui vous apparait enfin car :“Toute action à un effet engendrant une autre action”... En ce cas, elle va de pair avec : “Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse” ! N’essayez pas d’y voir plus clair, vous en mourrez. C’est la nouvelle économie que tout le monde en ayant les moyens, applique et, disposant alors de sur-moyens, pour ces gens, la valeur “des choses, des animaux et des gens” n’a plus d’importance.
Les produits de luxe se vendent majoritairement ainsi à une clientèle disposant de richesses jusqu’à ce que mort s’ensuive. Or tout le monde meurt à la fin… Ce qui compte dès-lors n’est pas la finalité éphémère, mais la route empruntée, pavée d’or. Donc, question capitale : “Qui donc achète des Ferrari et des produits inutiles hors de prix ?”… Réponse toute aussi capitale : “Ceux et celles qui ont l’argent tellement facile qu’ils ne comptent plus”... Que j’écrive que nous vivons dans un monde de merde, avec des gens de merde qui achètent des produits de merde à des prix de merde (c’est le principe de l’immoralité éphémère), c’est tellement vrai que tout le monde s’en branle… Cela les fait jouir…
Donc, il n’y a que les constructeurs automobiles des petites gens qui subissent de plein fouet les conséquences des errements économiques dus aux sanctions qu’imposent d’appliquer les USA aux pays qu’ils dominent, après la crise (fabriquée) du coronavirus (également fabriquée afin de créer une conséquence, celle d’acheter des vaccins)… Tout est écrit. La suite n’est qu’un duel de cirque protégé par les “influenceurs” chargés de lubrifier la machine. Si Ferrari présente le paradoxe de tourner à plein régime alors que tous les secteurs des produits de faux luxe des masses subissent de plein fouet les effets d’une diminution du pouvoir d’achat (démonstration que c’est artificiel car créé pour le consumérisme général), vous avez l’explication…
Ce n’est un avantage collatéral (l’inverse du dommage collatéral aboutit au même résultat), car Ferrari n’est plus une automobile d’usage (une Ferrari n’a aucun usage rationnel et pratique), c’est une sorte de vibromasseur sexuel qui procure de la jouissance tant qu’on a les moyens de l’alimenter en énergie. Une Ferrari fait vibrer là ou c’est bon, elle fait jouir, puis se range dans le garage comme dans un tiroir de table de nuit, pour recharge en attente d’être utilisé pour de nouvelles vibrations jouissives… Une nouvelle Ferrari est donc comme un nouveau masturbateur… On/off… L’article est terminé, si vous n’en avez pas les moyens, branlez vous “à la main” en matant du porno-Ferrari… Teminé, le mot “FIN” apparait… Ah non ? C’est le mot “FAIM”... OK ! Tout le monde a faim…
Vous en voulez plus ? Je continue… L’action de la marque au cheval cabré a grimpé de plus de 10% en 6 mois 2023, (laissant espérer 20% de plus value éphémère pour la fin de l’année (c’est en effet aussi pire qu’une action pourrie des sub-prime qui rapporte dans une zone de danger), alors que l’indice FTSE MIB de la Bourse et l’indice Stoxx de l’automobile accusent respectivement des replis d’environ 15% et un possible 25% négatif fin d’année en fonction des bouleversements dus à la guerre en Ukraine et autres guerres en gestation (Chine et Iran)… Emblème du “pricing power”, autrement dit des entreprises capables d’imposer leurs prix à leurs clients, Ferrari ne fait plus partie du secteur de l’automobile mais bien de celui du luxe.
C’est ce qu’a expliqué Gérard Moulin, gérant actions du fonds “Amplegest Pricing Power”, lors d’une conférence à Paris. Or mis à part Ferrari ce secteur du luxe souffre, 40% du chiffre d’affaires des groupes qui le composent ont vu les flux se tarir, y compris mon voisin Bernard LVMH des Parcs de St-Tropez . Mais si Kering et Moncler figurent parmi les pires contributeurs du fonds “Amplegest Pricing Power” cette année, Ferrari en occupe une ligne de fin de page avec une pondération de 5,5%. “Ferrari n’est pas tributaire des affaires courantes”, a dit Gérard Moulin : “Il faut attendre au moins 12 mois pour avoir la Ferrari commandée, et les clients ne sont pas sortis de la file d’attente”.
C’est que la firme de Maranello, qui brille sur les circuits et devant les palaces depuis des décennies, est un symbole universel, à la différence par exemple d’Aston Martin, marque très britannique dont l’image vieillotte est étroitement associée au plus illustre de ses conducteurs : James Bond, a chuté de plus de 60% en 6 mois depuis le début de l’année 2023… Ferrari a toutefois subi l’arrêt de la production de certains de ses fournisseurs, notamment le fabricant de freins Brembo et en conséquence n’a pas pu sortir tous ses modèles cette année : “La firme de Maranello ne comporte plus aucun des vieux de la vieille qui formaient son image désuète d’un atelier d’artistes, les fameux mécaniciens bourrus qui tutoyaient le patron, faisaient des caprices en jettant leurs outils au sol”.
C’est terminé depuis longtemps. Maintenant chez Ferrari il n’y a que que des jeunes sortis d’école, diplômés compétents à superviser des machines-outils et des robots de fabrication, même au service course, tout est informatisé et la motivation des employés est financière pour faire ce qui est demandé en fermant sa gueule… Si un fait “son genre” il est remplacé… “Le potentiel de rattrapage est important”, a expliqué Gérard Moulin, “S’il faut faire des journées doubles, ils les feront faute de quoi ils iront au chomage”... Bruyantes, clinquantes, thermiques et polluantes, les vieilles Ferrari “classiques” ne sont plus dans l’air du temps et leur place est dans un musée. Leur potentiel de séduction auprès d’une clientèle cosmopolite et fortunée reste cependant intact.
Si Ferrari ne souhaite pas aller vers le 100% électrique car il vit du bruit des moteurs, le constructeur s’est engagé dans l’hybridation pour justifier de demander des aides financières gouvernementales… Imaginez un notaire faisant la quête aux fins de messe… De plus, comme une Ferrari n’est pas utilisable au quotidien, y parcourir en moyenne 500 kms par an autour de la maison secondaire, fait que sur un an, une Ferrari n’est pas plus polluante qu’une vieille 2CV. “Notez que les propriétaires de ces bolides de l’épate ne roulent en effet pas plus qu’entre 500 et 1.000 kilomètres par an et revendent leur monstre au bout de trois ans en moyenne, avec moins de 5.000 kilomètres au compteur”, a argumenté le gérant d’Amplegest.
Sur le circuit de Fiorano, Ferrari a dévoilé ses toutes premières voitures de route XX en tant que SF90 XX Stradale et SF90 XX Spider, des éditions limitées qui prétendument combler le fossé (la fosse à purin ?) entre les programmes Ferrari Special Series et XX… Le programme XX a été imaginé comme engendrant des bêtes exceptionnellement rentables comme la Ferrari FXX-K Evo, la 599XX et la FXX basée sur l’Enzo, tandis que le programme Special Series a donné naissance à la 812 Competizione. Tout ce “Bazar pour gogos fortunés” n’est que de l’art commerçant pour créer de l’image. La combinaison d’un biturbo avec pistons, vilebrequins et soupapes et de trois moteurs électriques (pas plus complexes que 3 démarreurs) est d’ailleurs reprise de la SF90…
Mais la configuration, en poussant sur divers boutons, ne produit que 1.016cv, soit une augmentation psychologique de 30 chevaux. A ces niveaux de racontars, personne ne sait contrevérifier, d’autant plus que toutes les autres firmes qui peuvent manipuler, manipulent elles aussi… Le gag nouvellement mis en avant est que les ingénieurs Ferrari trouvent des solutions pour aider leurs conducteurs/propriétaires à garder leurs voitures collées aux routes qu’elles fréquentent… Lesquelles ? Ou donc avec les limitations ? Nulle part ! C’est de l’arnaque bourre-cons… Mais comme rouler à 300km/h sur routes ouvertes aux beaufs sont après les garages et salons la première utilisation d’une Ferrari, il est clair et évident que l’utilisation d’un aileron arrière est une obligation…
Une obligation “sécuritaire” depuis la F50 en 1995. La beaufferie organisée est devenue une spécialité…“Le moteur F154FB est maintenant beaucoup plus extrême, afin que nos clients puissent utiliser leur Ferrari au maximum de ses possibilités” explique Ferrari via ses matraquages et histoires alternatives, ce qui justifie des conduits d’admission et d’échappement polis, des taux de compression accru, des nouveaux pistons, d’un usinage spécifique de la chambre de combustion, d’un système d’échappement retravaillé pour un son plus évocateur, aidant à transmettre plus de pulsations à la cabine. Aahhhhhhhh bon…. Ce n’est que pour ça que le tube de plénum d’admission a également été redessiné et rapproché de la cloison de la cabine ?
Oui, gagné ! C’est pour obtenir un meilleur bruit d’induction !!! Pour parfaire ce gag, un nouveau résonateur de bruit permet une nette amélioration de la qualité sonore et cette amélioration est plus perceptible à mi-régime… Et tout ce cirque Barnum, bien que “les trucs à haut régime soient toujours fantastiques”... Les moteurs électriques additionnels sont également plus puissants, passant de 217ch à 230cv grâce à un nouveau logiciel accessible en mode “qualifiant”... Kekcekça ? Simple, une arnaque de plus… La soi-disant “logique de contrôle de boost supplémentaire” fournit jusqu’à 30 rafales de puissance supplémentaire et le groupe d’informations situé derrière le volant indique au conducteur où les déployer au mieux pour gagner quelques secondes sur les temps au tour.
Des temps au tour ou ça ? Le tour du quartier ou du périf ? L’aller retour dans les tunnels de Monaco ? Mais, quels foutages de gueules !!! La transmission sans doute adaptée aux vitesse règlementées a également été mise à jour à l’aide d’innovations introduites sur la Daytona SP3. “Cela améliore l’accélération et ajoute un craquement fort à la note d’échappement pendant les changements de vitesse”. Ahhhhhhhh ! Les putes ! Le cycle de pression de la chambre de combustion a été optimisé pour maximiser l’intensité du bruit. Ferrari affirme que l’efficacité aérodynamique (invérifiable) de cette voiture de route (toutes sont en limitation de vitesse) n’est comparable qu’à celle de la “LaFerrari”, améliorant l’adhérence et produisant un temps au tour plus rapide à Fiorano.
Mais qui va aller tourner sur ce circuit ? Pourquoi faire ? Mais le gag est que Ferrari organise des séances de casse-automobile pour ses clients en spermettant à ceux-ci d’établir : “Leur temps au tour”... Un nouveau temps au tour dans un programme international d’essais routiers de Ferrari de route !!! La SF90 régulière a ainsi été déclarée déjà 0,7 seconde plus rapide que la LaFerrari sur ce circuit. Imaginez ce gag, même pas une seconde pleine. Ferrari ajoute (il s’agit de l’entité générale, pas du spectre d’Enzo) qu’avec l’aileron arrière (massif), le volet Gurney (Kekcekça ?) a été redessiné pour une faible traînée et un mode d’appui plus élevé, aidant à atteindre un appui arrière de 694 lb à 155 mph au dela de 330km/h !!!
Mon dentiste (Michel Mede migré à Cogolin) est battu concernant ses histoires d’arracheurs de dents… Mais Ferrari n’en a pas terminé avec ses stupides calembredaines, affirmant que le système de refroidissement a été amélioré grâce au soubassement qui a été redessiné avec des caractéristiques techniques vues sur la 296 GT3… C’est stupéfiant de conneries… Et les persiennes latérales sur la zone inférieure du pare-chocs avant qui ont été agrandies pour aider à soulager la contre-pression… Vous savez ce dont il s’agit ? Une arnaque de plus, je ne l’invente pas… Restez calme, relax, ne jetez ni l’argent par les fenètres ni avec des putes semblables ! Deux conduits en “S” au centre du capot avant augmentent l’appui de 20% (expliquez-moi comment SVP !)…
Restez assis ! Ferrari argumente cette avancée technologique en affirmant (sans rire) que de nouvelles prises d’air latérales et de nouvelles bouches d’aération sur les ailes arrière améliorent encore l’efficacité aérodynamique aux côtés d’un séparateur avant plus grand, d’un diffuseur avant plus large (augmentant l’appui de 99 lb à 155 mph), de générateurs de vortex (Ahhhh le voortex, il ne fallait pas l’oublier) redessinés et de persiennes sur les ailes avant (c’est l’esprit des maisons de pêcheurs Saint-Tropéziens adaptés des volets aux fenêtres). Malgré le fait que l’appui avant global atteigne 716lb, la traînée a été réduite au minimum grâce à deux conduits soufflés (je le suis également) différents dans le pare-chocs avant qui réduisent la surpression…
Vous êtes tout paf ? Moi aussi, mais Ferrari ajoute que tout cela augmente “la volonté de flexion de la carrosserie”. La “volonté de flexion” est-elle la même qui faisait que les Ferrari Enzo se coupaient en deux si trop de bosses sur la route ? Naturellement, le diffuseur arrière a également été redessiné pour un équilibre optimal. Franchement, qui peut croire en tout ça ? Mais le délire n’est pas terminé. Le “Ferrari Dynamic Enhancer 2.0” fait ses débuts ici, spermettant d’effectuer des dérives (sexuelles ?) avec une relative facilité, tandis que le contrôleur ABS EVO qui a fait ses débuts sur la 296 GTB (j’ignorais) améliore considérablement les performances de freinage.
Ici, il a été mis à jour et fournit beaucoup plus de données qu’auparavant, promettant une plus grande sécurité. Comment c’est possible que de fournir des données augmente la sécurité ? C’est comme la Boite noire d’un avion, elle indique le “pourquoi” mais n’empèche pas les catastrophes ! Ces racontars Ferraristiques resteront à jamais des énigmes ! Évidemment, Ferrari a également profité de l’occasion pour améliorer les disques Brembo (en rupture de stock tel qu’indiqué en début d’article), l’avant étant redessiné pour améliorer leur refroidissement et l’arrière obtenant des disques plus gros de 390 millimètres. Les plaquettes sont également nouvelles, maximisant le contact avec les disques.
Les jantes sont maintenant de forme aérodynamique pour extraire l’air chaud des passages de roue (avant pas, elles gardaient l’air chaud pour elles ?)… Ferrari a également pris le temps dans la soufflerie de maximiser le confort descendant (qu’en est-il du montant ?) de la SF90 XX Spider, et le toit rigide rétractable (en aluminium) s’ouvre et se rétracte (forcément) en 14 secondes à des vitesses allant jusqu’à 28mph… Enfin, abordons l’aspect général. Les persiennes de type “Tropéziennes” apparaissent partouze sur les Ferrari et sont maintenant un élément de design typique, aussi beau que lorsque nous les avons vus pour la première fois sur la F12tdf… Même les ailes avant et arrière de la Stradale sont “persiénnées” de l’élément de style.
Les phares présentent maintenant un profil supérieur/inférieur relié à deux accents verticaux (gag !) et les prises d’air avant sont censées sembler flottantes… Flottantes ? Vous avez bien lu… Allez, hop, interlude musical… “Ohhhhhh mon bateau oh oh, tu es le roi des bateaux oh oh ! Hey ho, Hey ho, Sur la route qui nous mène, Loin du monde et des problèmes, Je fuis (il fuit), Comme la gazelle aimable, Aux grands cils de velours, Je bondis de vague en vague, Les mouettes me crient leur bonjour, Oh mon bateau, Tu es le plus beau des bateaux, Et tu me guides sur les flots, Vers ce qu’il y a de plus beau, Tu es le plus beau des bateaux, Bravant toutes les tempêtes, Sifflant comme une alouette, Je vole (il vole), Vers de fabuleux rivages, Où je serai bientôt roi, J’entends des rythmes sauvages, Les algues dansent autour de moi, Hop la, Oh mon bateau, Tu es le plus beau des bateaux, Et tu me guides sur les flots, Vers ce qu’il y a de plus beau, Tu es le plus beau des bateaux, Nu sous le ciel étoilé, Les voiles gonflées de bonheur, Les poissons chantent en choeur, Les crevettes (les crevettes), Me crient olé (olé), Olé, Oh mon bateau, Tu es le plus beau des bateaux, Et tu me guides sur les flots, Vers ce qu’il y a de plus beau, Tu es le plus beau des bateaux, Tu es le plus beau des bateaux, Cha-cha-cha.”.. Remplacez “bateau” par “Ferraillerie” et c’est tout bon !
À l’arrière, la conception trimaran de la queue (sic, cela fera plaisir aux navigateurs au long cours) ajoute des évents derrière les roues et intègre deux embouts d’échappement. La barre lumineuse arrière est prise en sandwich entre l’aileron soufflé (sic !) et l’aileron arrière, créant un effet superposé.C’est une description chirurgicale d’une évidence mathématique… Fait intéressant, le Spider semble plus bas que le modèle Stradale en raison des arcs-boutants inférieurs et de l’effet optique causé par la finition des arceaux de sécurité et du toit en fibre de carbone. Cool… À l’intérieur, les panneaux de porte, le tunnel central et les tapis ont tous été simplifiés dans la forme et les matériaux.
Le haut du tableau de bord reçoit de l’Alcantara, tandis que le bas reçoit du “tissu technique”, inspiré de la course. Les panneaux de porte ont maintenant des persiennes (gag !) aussi, qui cachent les interrupteurs et les poignées de porte. La commande de transmission apparaît maintenant plus au centre et plus en avant sur le tunnel central avec les interrupteurs des lève-vitres/fenêtres. Enfin, les sièges sont dotés d’un mécanisme de dossier qui a été intégré à l’aide de matériaux de garniture élastiques pour donner à leur structure en fibre de carbone l’impression d’une seule pièce. Dans l’ensemble, les sièges ont permis d’économiser 2,8 lb par rapport aux perchoirs monoblocs du modèle Stradale qui coûte environ 844.000€/$, tandis que le Spider coûte environ 932.000€/$.
Chacune plus taxes, frais, entretiens, assurances et emmerdements fiscaux. Heureusement pour les ploucs, qui auraient pu avoir envie de dépenser 800 mois de salaire pleins (80 ans) ou seulement 1/3 du salaire moyen du plouc lambda soit 2.000€/$ mois (166 ans mais en réalité 300 ans avec les intérêts) sans compter les frais annexes, tous les exemples de cette longue race d’automobiles destinées à l’Elite, seraient déjà écoulés… ce qui vous donne la valeur du monde, la votre, la notre… En effet, il convient d’ajouter le prix d’une maison de services, plus une maison de vacances, plus, plus, plus, plus, plus, donc faut pas s’étonner que certains/certaines veulent tout exploser… Circonstances atténuantes…