Les Protocoles, la suite…
Chapitre 01…
A-t-on le droit de remettre en question le 11 Septembre 2001 ?
Malgré l’émotion que provoque un attentat, on aime à trouver des responsables.
Pour le 11 Septembre 2001, les circonstances demeurent obscures.
Mais impossible d’en débattre : les rares personnes qui ont contesté la version officielle ont été fustigées, jusqu’à être traitées de complotistes, d’anti-israéliens, voire de nazis.8 septembre 2011
“S’il fallait un exemple de la stupidité des théories du complot, l’Espagne en est l’illustration”…
Cette phrase est extraite d’un violent plaidoyer pro-américain de Daniel Leconte lorsqu’il a introduit le sujet d’une soirée Thema intitulée : “De quoi j’me mêle : Tous manipulés ?”, le mardi 13 avril 2004 sur Arte.
Le ton est donné, sur base de deux documentaires, Daniel Leconte s’appuie sur les ratés de l’enquête du gouvernement Aznar, au lendemain des attentats du 11 mars 2004 à Madrid, pour diaboliser, médire et dénigrer le schéma de pensée des adeptes des complots : “Ce genre d’exemple devrait suffire à décourager les tenants d’une vision conspirationniste, poursuit-il. Mais ce n’est pas le cas. Tout simplement parce que la réalité ne compte pas pour eux. Ce qui compte à leurs yeux, c’est une vision a priori du monde, un bricolage idéologique où se mélangent, pêle-mêle, une détestation de l’univers démocratique, une conception policière de l’histoire et une culture systématique de l’excuse au bénéfice de tous les dictateurs de la planète qui ont déclaré la guerre à l’Occident”…
Les mots sont volontairement durs, blessants, calculés pour nuire.
Imaginons un instant que Daniel Leconte aurait employé la même rhétorique pour introduire un sujet sur les chrétiens, les musulmans ou les juifs : “S’il fallait un exemple de la stupidité des croyances religieuses, les guerres en sont l’illustration. Ce genre d’exemple devrait suffire à décourager les tenants d’une vision spirituelle. Mais ce n’est pas le cas. Tout simplement parce que la réalité ne compte pas pour eux. Ce qui compte à leurs yeux, c’est une vision a priori du monde, un bricolage religieux où se mélangent, pêle-mêle, une détestation de l’infidèle, une conception absurde de la création du monde et une culture systématique de l’excuse au bénéfice de tous les dictateurs de la planète qui agissent au nom de Dieu”...
Les croyants seraient choqués, révoltés, humiliés.
Daniel Leconte serait sans doute renvoyé sur-le-champ.
En lieu et place de l’argumentation, l’insulte, les procès d’intention et les amalgames sont pourtant des armes de destruction massive fréquemment utilisées dans les médias.
Ces attaques répétées, dictées par un schéma de pensée dépassé, justifient la défiance des conspirationnistes à l’égard des médias.
Fin du premier épisode.
Depuis le passage de Thierry Meyssan en 2002 chez Ardisson jusqu’aux déclarations de Marion Cotillard dans une émission de Paris Première, toutes les personnalités qui osent contester la version officielle du 11 Septembre 2001 sont disqualifiées, voire insultées.
La question n’est pas de savoir s’ils ont tort ou raison, mais de comprendre pourquoi la majorité des journalistes œuvrant pour les médias européens sont incapables de répondre à leurs arguments autrement que par l’anathème.
Invité dans l’émission “Ce soir (ou jamais !)”, Mathieu Kassovitz a été lui aussi l’objet d’attaques véhémentes.
Son tort ?
Estimer que la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 est obligatoirement questionnable.
Ses propos restaient pourtant bien prudents : “Il faut absolument se poser la question. Le problème, c’est que les réponses n’ont pas été données par les commissions officielles américaines. À des réponses simples, de physique, de chimie, d’ingénierie…, je ne parle pas de complots ou de choses comme ça car on n’en est pas là pour l’instant”…
Les jours suivants, plusieurs organes de presse se sont très curieusement déchaînés.
Renaud Revel a comparé Mathieu Kassovitz à l’historien révisionniste Robert Faurisson.
Lilian Massoulier, sur le site Internet du Journal du dimanche, a titré : “Kassovitz redonne des couleurs à Gœbbels”.
Sur France 5, dans l’émission C à vous, les chroniqueurs Nathalie Levy et Nicolas Poincaré se sont énervé à leur tour et ont tourné l’acteur en dérision !
“Mathieu Kassovitz considère qu’il fait l’objet d’outrages d’une exceptionnelle gravité qui portent douloureusement atteinte à sa réputation, à son honneur et au-delà à sa famille dont il rappelle qu’une grande partie a disparu dans les camps de concentration nazis”, répond quelques jours plus tard l’avocat du réalisateur, en annonçant le dépôt de plaintes pour diffamation.
Roland Dumas n’a pas échappé lui non plus aux critiques hautaines et insultantes.
Invité sur France 3, il s’interrogeait sur la politique américaine en Afghanistan : “Pourquoi l’Occident s’acharne-t-il à aller dans des pays où il n’y a rien à faire ? Qu’est-ce que la force américaine est allée faire en Afghanistan ? Elle a trouvé la source du terrorisme ?”...
Présente sur le plateau, Thérèse Delpech, prétendument spécialiste en affaires stratégiques, l’interrompt : “Il y a quelque chose qui s’appelle le 11 Septembre, quand même !”...
“Moi, je vous dirai ce que je pense sur le 11 Septembre…, je n’y crois pas !”… rétorque aussitôt l’ancien ministre avant d’être coupé par l’animateur qui lui demande de rester dans le sujet.
Sur son blog, Guy Sorman revient dès le lendemain sur les propos de Roland Dumas : “Roland Dumas confirmait la thèse du complot avec quelque obsession anti-israélienne, caractéristique de la grande bourgeoisie de gauche. Roland Dumas ajouta à ses élucubrations complotistes un épisode supplémentaire : les deux agressions perpétrées cette année contre les Sud-Coréens, un bateau coulé et une île bombardée, ne seraient pas l’œuvre des Nord-Coréens. En fait, il est impossible de débattre avec un ’complotiste’ car les adeptes de ce culte ne sont pas réceptifs aux arguments : ils estiment appartenir à une caste d’initiés à la manière des gnostiques en théologie. Aucun fait avéré ne pourrait ébranler les certitudes de ceux qui imaginent voir au-delà du réel”…
Fin du deuxième épisode.
La condescendance et l’accusation antisémitisme, une fois encore.
Et pourquoi antisémite ?
Tout y passe, antisémite, révisioniste, négationiste et même nazi…, parce qu’on remet en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 !
Qu’y a-t-il d’antisémite, de révisioniste, de négationiste et même de nazi, de vouloir comprendre ce qui s’est passé ?
Curieux si ce qui est visé par ces termes n’a rien à y voir…
Donc, en bonne intelligence, c’est que cela y a un lien !
Le débat semble impossible, c’est vrai, mais à qui la faute ?
Trois jours plus tard, le 21 décembre 2010, dans un entretien filmé, Roland Dumas répond à Guy Sorman sur l’accusation de théoricien du complot : “C’est une expression qui lui appartient, je ne sais pas comment il justifie cela. S’il veut dire que j’explicite quelque chose qui ressemblerait à une machine d’un complot, pourquoi pas ! Je suis comme tout le monde. Mais je ne vois pas pourquoi il y aurait une opprobre à cette explication du fait que, simplement, quelqu’un réfléchit avec sa tête et son bon sens”…
Sur un ton posé, Roland Dumas réitère ses doutes concernant la version officielle sur le 11 Septembre 2001 : “Je connais la théorie officielle, c’est-à-dire celle de l’État américain, et je connais aussi les théories qui ont été échafaudées et présentées par des professeurs d’université et par les spécialistes. Et, donc, ça fait une controverse. Vous savez que le propre de toutes les controverses, c’est qu’il y a des arguments d’un côté, des arguments de l’autre. Cet événement, d’une exceptionnelle gravité, mérite, justement en raison de son exceptionnelle gravité, qu’on en discute. Je n’ai pas trouvé de traces, dans ce que j’ai lu, d’une implication formelle d’Al-Qaida. Tout est possible. J’ai simplement un doute sur des choses inexpliquées et inexplicables. Il faudrait reprendre le processus et approfondir. Il pourrait y avoir une enquête internationale, avec des experts, des gens spécialisés, une enquête bien équilibrée, qui dirait la vérité”…
Fin du troisième épisode.
S’agit-il vraiment d’élucubrations complotistes, d’un discours traduisant une obsession anti-israélienne et de certitudes mystiques inébranlables qui fermeraient la porte à tout débat ?
Peut-on vraiment qualifier de théoricien du complot quelqu’un qui revendique le droit de douter et qui suggère simplement la création d’une commission d’enquête internationale indépendante pour faire toute la lumière sur les attentats de 2001 ?
Comment s’étonner ensuite de la violence des réactions des militants du Mouvement pour la vérité ?
En mars 2008, la rédaction de Marianne2 choisit de consacrer un long article, non signé, pour se plaindre des attaques dont elle est la cible depuis la parution sur son site, trois jours plus tôt, d’un court papier au vitriol sur les propos de Marion Cotillard : “Marianne2 a été littéralement pris d’assaut par des adeptes de Thierry Meyssan qui ont déversé leur haine et un flot de calomnies”, se plaignent-ils après avoir comptabilisé plus de cinq cent cinquante commentaires d’internautes en colère.
Et de conclure, après avoir pris soin de les associer aux lecteurs de National Hebdo : “En 2008, il y a des gens qui, bien à l’abri derrière leur petit écran, prisonniers de leur peur panique du complot, ne craignent pas d’employer les moyens les plus bas pour défendre la forteresse assiégée de leurs illusions. Manifestement, ils ne craignent pas le ridicule non plus”…
L’auteur de l’article, comme beaucoup de ses confrères de la presse écrite, de la radio ou de la télé, n’a pas compris que Marion Cotillard n’a aucune autre arrière-pensée que de croire qu’on ne nous dit pas tout.
Le débat restera impossible tant que les journalistes s’obstineront à regarder ces “questionneurs” avec morgue et suffisance.
Réduire les conspirationnistes à des marginaux, des illuminés ou des extrémistes constitue une erreur d’appréciation héritée d’une vision archaïque.
C’est à cause de cette propagande que Les Protocoles des sages de Sion sont aujourd’hui quasiment inconnus du grand public à qui les lobbys Juifs ont fait croire qu’ils étaient faux, interdits et antisémites, truquant les vérités historiques, écartant les jugements qui leurs sont défavorables, inventant des histoires et intoxiquant tout débat, avec bien souvent des menaces !
Au lieu de taper à bras raccourcis sur les millions de personnes qui remettent en question les vérités officielles, il faudrait s’intéresser à l’impact produit sur l’opinion publique par la révélation des complots avérés.
Pour ne prendre qu’un exemple, comment croire que les mensonges avérés de l’administration Bush sur les viols dans les couveuses de nouveaux-nés Kowétis perpétrés par les soldats de Saddam Hussein…, que les prétendues armes de destructions massives en Irak… et les tonnes de Viagra donné à ses soldats par Kadhafi pour qu’ils violent toutes les femmes des faux rebelles…, ne soient pas sans effets sur la montée en puissance des théories du complot post-11 septembre 2001 ?
Ceux qui doutent de la rélité des “vérités officielles”, ne sont pas des illuminés, il faut au contraire enquêter sur les mensonges officiels organisés et sur les manipulations gouvernementales pour essayer de comprendre comment chacun d’entre nous peut être amené, de bonne foi, à cesser de croire la parole officielle pour emprunter d’autres voies d’interprétation.
“Quand le sage désigne la Lune, l’idiot regarde le doigt”…
Tentons de regarder dans la bonne direction, de nous intéresser à la Lune… et aussi à sa face cachée.
Epouvantails, autruches et perroquets par Epouvantails
C’est très exactement ce que j’ai voulu faire durant les fameux attentats de Londres !
J’étais tout petiot quand on m’a parlé d’un futur monde de merveilles, sans inégalité, sans pauvreté…, ou il suffirait d’être sage et obéissant, d’étudier vaillamment, puis de travailler assidûment sans revendication… pour être assuré d’un certain bien-être et d’une fin de vie heureuse.
J’y ai cru.
L’Amérique était l’exemple à suivre, les Américains étaient des héros, ils avaient su tuer tous les méchants indiens grâce à John Wayne et Rintintin, puis avec le vrai Eddy Murphy ils avaient su tuer tous les méchants boches et grâce à Elona Gay (sûrement un transsexuel pilote de l’USAF, copain de Buck Danny, Tumbler et Sonny), ils avaient pu trucider des millions de méchants enfants et très méchantes femmes avec de merveilleuses bombes atomiques qui symbolisaient la paix dans le monde !
Puis les héros Américains ont du encore défendre le monde contre les méchants barbares communistes qui en voulaient à nos valeurs occidentales, en bombardant la Corée, puis le Viet-Nam, que même John Wayne (mais sans Rintintin tué sans doute par de très méchants noirs ennemis de Charlton Heston) était revenu avec ses bérets verts pour tuer tous les méchants jaunes !
C’était une époque fantastique !
J’ai ensuite voulu être Juif, un vrai colon de la paix, oeuvrant dans un kibboutz pour créer le pays de la paix universelle, ce qui obligeait tout naturellement de se défendre contre les très méchants arabes aux dents pointues pleines de sang qui tuaient les enfants pour les manger…
Je me souviens même, qu’après Zappy-Max à la radio du soir, on écoutait en palpitant les nouvelles de ce pays de la paix universelle que de très méchants et sales arabes voulaient prendre et que grâce à un héros qui avait mis un bandeau sur l’oeil pour ressembler à John Wayne comme dans un de ses westerns, les braves colons avaient gagné !
Oui, oui…
Si, si…
Je vous assure…
Quoi de plus normal ensuite d’aimer l’Amérique, de vouloir en acheter ses symboles : boire du Coca-Cola au lieu d’un jus de pomme…, manger des Mc-Do au lieu d’une baguette jambon beurre…, s’habiller en jean’s western avec franges au lieu d’un beau costume faichement repassé du dimanche…, écouter Elvis Presley chanter le twist ricain au lieu de Charles Trénet : l’amour de la France…, rêver de la Route 66 plutôt que de la Nationale 7…
Je n’ai rien compris alors de Bob Dylan qui osait critiquer les héros de l’Amérique, qui prédisait la grande déglingue, qui fusionnait avec Joan Baez chantant sa tristesse du massacre des indiens…
J’ai rien compris quand j’ai voulu être Donald Trump, milliardaire d’affaires… que je suis devenu commerçant…, tant d’études et de rêves pour n’avoir comme avenir, qu’acheter beaucoup moins cher n’importe quoi revendu beaucoup plus cher…
Architecte, j’ai bâti des cages à poules, édifié des temples à la gloire du petit commerce local…
Publiciste publicitaire, j’ai poussé les foules à consommer tout et n’importe quoi, jusqu’à fumer de la merde sous prétexte de devenir cow-boys des temps modernes…
Éditeur, j’ai sacrifié des millions d’hectares de forets si précieuses pour débiter des sornettes poussant des cohortes d’ahuris à des customisations débiles de bagnoles apocalyptiques !
J’ai même poussé le vice jusqu’à collectionner des Excalibur’s !
Pensez-donc…, comment peut-on être pire ?
Il m’a fallu vivre le 11 septembre 2001 et les attentats de Londres et Madrid pour comprendre que j’avais été dupé, que le monde entier avait été trompé et que bientôt on vivrait le retour du balancier…
Je l’ai écrit avec un humour déjanté dans “Dictatucratie”…, me rendant compte que souffler contre le vent c’était comme pisser contre le vent, ça revient en pleine figure…
J’ai récidivé avec “LesProtocolesDeSion”… et ce fut pire, quoique ce fut comme une résurrection, comprenant tout, car vivant le pire…
Le même pire qui est revenu comme en 1928… nous frapper en 2008… et que c’est loin d’être fini !
Depuis quelques années nous sommes de retour à la case départ.
Il suffit de voir la tête des ouvriers en lockout et celles des mis à pied de diverses usines franchouillardes qui, grâce à Sarkozy et sa clique d’illuminés nazifiants, appartiennent à des Mexicains, des Hindous, des Chinois et des sans nationalité avérée… qui ferment définitivement leurs portes…, pour comprendre le désastre.
Il faut voir la fierté sur fond de peur qui se lit dans les yeux des travailleurs pour comprendre que rien ne va plus.
Ils ont tous de longues années de travail dans le corps et la quasi-certitude que la retraite qu’ils ont épargnée va leur filer entre les doigts.
Ils vont ramasser des miettes tandis que Sarkozy en tête et toute sa clique de mielleux opportunistes, vont se la couler douce dans un Ranch comme Bush, voire une Hacienda ou une ile paradisiaque.
Chaque fois que l’économie va mal, que tout se déglingue, les Maîtres du monde par le biais des politiques à leurs bottes via les journaleux obséquieux, demandent aux citoyens, même les plus pauvres, de se serrer la ceinture pour sauver l’énorme machine capitaliste qui n’hésite pas à gonfler les salaires et les primes de ses dirigeants, ni à renflouer les banques comme ce fut le cas pour sauver le système bancaire américain qui coulait après avoir ruiné le monde entier par l’entremise des subprimes.
Ces mêmes politiques qui se lamentent devant leurs pauvres citoyens, achètent des avions de guerre à prix fort, des bateaux de guerre sans regarder à la dépense, des armes par milliers de tonnes…, n’hésitant pas à les utiliser pour écraser les plus démunis et les sans défense pour payer la facture…, d’abord dans d’autres pays comme la Tchécoslovaquie, la Serbie, le Kosovo, l’Afghanistan, l’Irak, la Palestine, la Libye… suivis par la Syrie et bientôt l’Iran… après avoir bombardé l’Europe sous prétexte du péril Nazi repris depuis à leur compte, puis le péril Japonais avec l’atomisation d’Hiroshima et Nagazaki, puis le péril communiste avec la Corée et le Viet-nam, puis le péril terroriste… puis le péril intellectuel… qui va nous tomber sur le coin de la tête avec la Loi Sopa américaine…
La méthode est la même partout où le capitalisme a trouvé une terre fertile chez les imbéciles !
Ce serait trop facile de dire que les citoyens n’y sont pour rien !
Qu’ils ne sont que des victimes d’un système qui leur maintient la tête sous l’eau tout le temps.
Qu’ils n’ont aucune responsabilité dans ce qui leur arrive.
Le choix des citoyens de ne pas se mêler de politique, de voter souvent n’importe comment (souvent parce qu’ils ont une belle gueule), refusant de s’informer et de jouer un vrai rôle de citoyen va toujours vous coûter de plus en plus cher.
Quand vous aurez compris que la politique n’est pas un jeu, vous aurez repris la partie du pouvoir qui vous revient…, mais il est tard…
Vous avez accepté d’être désarmés au nom du terrorisme, vous avez accepté que nos pays deviennent des dictatures démocratiques…
Vous avez accepté le sécuritaire, les millions de caméras qui vous épient, la tracabilité de vos conversations intimes…, la mise sur papier de vos rêves secrets, de vos pensées…
Vous avez accepté les vaccins obligatoires, les micro-puces, les drones, les délations, la soumission…
Qu’avez-vous de tout ça ?
Rien…
Ceux qui ont vraiment les moyens de mettre du beurre sur leur pain ne prennent jamais le métro !
Ils prennent leur retraite après avoir touché des indemnités de départ à la hauteur de la valeur qu’ils se donnent et qui servent juste à arrondir leurs fins de mois.
Leurs gains d’une seule année sont souvent l’équivalent de ce qu’un bon ouvrier gagnera durant toute sa vie.
Les écarts sont si grands qu’ils font peur.
Ils se font soigner au privé et leurs enfants peuvent fréquenter les universités de leur choix.
L’augmentation des droits de scolarité ne les empêche pas de dormir.
Ils voyagent en jet privé et discutent de l’état du monde en jouant au golf.
Et ils pensent que les pauvres le sont parce qu’ils n’ont pas le courage de travailler.
Ils payent le moins d’impôts possible et souvent leur argent est en Suisse ou aux Bahamas.
Ce sont ces gens-là qui pensent que le peuple doit faire un effort.
Ce sont les mêmes qui poussent aux crimes généralisés, des serial’s-killer’s planétaires qui rêvent d’atomiser l’Iran, de saigner la Syrie, de s’approprier le monde, de vous voir disparaître parce que vous ne représentez plus rien, voire rien, parce que vous coûtez en chômages, en soins de santé, en retraites, parce que vous votez pour d’autres qu’eux, parce que vous ne consommez presque plus, parce que…, parce que…, parce que…
Parce que vous êtes du mauvais coté…