Les Protocoles, la suite…
Chapitre 03…
Dans l’affaire du 11 Septembre 2001, les invraisemblances se comptent par dizaines.
Mais plus encore, nous avons à faire à des prémonitions et des hasards totalement incroyables.
Voici un commentaire concernant Phillip Zelikow, directeur de la commission officielle du 11 Septembre 2001, que les familles de victimes voulurent récuser, mais en vain…
En effet, ce personnage des plus troublants, fait partie du cercle très restreint des néoconservateurs qui ont pris le pouvoir au Pentagone :
Il est intéressant de savoir que Phillip Zelikow, le directeur de la Commission officielle du 11 Septembre 2001 qui a établi le scénario officiel des attaques, est un personnage très particulier, intime du président Bush et de Condolezza Rice.
Comme le montre le lien Wikipedia, il avait notamment écrit un livre avec Mme Rice :
http://en.wikipedia.org/wiki/Phillip_Zelikow
De plus, il a co-signé en décembre 1998 un article fort intéressant, et pour le moins “visionnaire” et prémonitoire, qu’il a publié dans le très puissant CFR, Council on Foreign Relations, un lobby au plus haut niveau du pouvoir mondial:
Extrait (en anglais) :
“If the device that exploded in 1993 under the World Trade Center had been nuclear, or had effectively dispersed a deadly pathogen, the resulting horror and chaos would have exceeded our ability to describe it. Such an act of catastrophic terrorism would be a watershed event in American history. It could involve loss of life and property unprecedented in peacetime and undermine America’s fundamental sense of security, as did the Soviet atomic bomb test in 1949. Like Pearl Harbor, this event would divide our past and future into a before and after. The United States might respond with draconian measures, scaling back civil liberties, allowing wider surveillance of citizens, detention of suspects, and use of deadly force. ”
Traduction (en français):
Dans cet article ultra-visionnaire, il parle du ” World Trade Center“… “d’attentats“… de “destruction totale des tours“… d’un “événement sans précédent, comme un nouveau Pearl Harbor qui diviserait le Monde entre un Avant et un Après“… “Les Etats-Unis répondraient avec des mesures draconiennes“… “réduisant les libertés individuelles“… “permettant une surveillance accrue des citoyens” ( le Patriot Act)… “élargissant la détention de suspects” (Guantanamo, prisons secrètes de la CIA)… et “l’usage de la force mortelle” (Afghanistan, Irak)… et ensuite l’explosion atomique de la centrale nucléaire Iranienne !.
Lien officiel vers cet article assez époustoufflant :
http://www.foreignaffairs.org/19981101f … anger.html
Donc pour résumer, Phillip Zelikow, le Directeur de l’enquête sur le 11 Septembre 2001, avait cosigné en 1998 un article dans le Think Tank de la trilatérale CFR, le plus puissant lobby du Monde, en annonçant très précisément ce qui allait se passer 2 ans plus tard, alors même que ses amis venaient de prendre le pouvoir dans une élection plus que controversée (impliquant notamment Jeb Bush, co-signataire du Pnac)…
Evidemment, les familles de victimes ont demandé la démission de Zelikow vu ses liens avec Bush et Rice, mais évidemment en vain.
Patrick Heinderickx, a vu en cela la trame du livre à re-écrire sur la base de “Dictatucratie…“, tout cela était vraiment très très étrange… et seuls les officialistes ne trouvaient rien à redire et trouvaient toutes ces coïncidences incroyables tout-à-fait normales…
Intrigué par ses prises de positions à contre-courant de la vérité officielle des attentats du 11/9, nous avons eu une discussion très intéressante avec Andréas Von Bülow, avocat à Bonn qui avait été secrétaire d’Etat à la Défense et ministre de la Recherche scientifique dans le cabinet Helmut Schmidt dans les années 1970-80, et avait, en outre, été député SPD au Bundestag durant 25 ans.
Dans son livre “La CIA et le 11 septembre”, Von Bülow y développait de manière très détaillée une analyse la manipulation des groupuscules islamistes par les services secrets américains.
– Vous donnez l’impression d’être en colère…
– Ce qui me met en colère, c’est de voir que depuis les odieux attentats du 11 septembre, on pousse l’opinion publique dans une direction que je tiens pour néfaste.
– Que voulez-vous dire par là ?
– Je m’étonne que beaucoup de questions ne soient pas posées. En temps normal, lorsque quelque chose d’aussi terrible se produit, on présente diverses pistes, on exhibe des preuves, qui sont alors commentées par les enquêteurs, par les médias, par le gouvernement.
– Que faut-il en penser ? Est-ce plausible ou non ?…
– Cette fois-ci, rien de tel. Déjà quelques heures après les attentats de New York et de Washington, …… des heures d’horreur et de deuil…C’est tout à fait vrai… Mais voyez-vous, ce qui est étonnant au fond, c’est que, bien qu’il y ait aux Etats-Unis 26 services secrets totalisant un budget de 30 milliards de dollars, …
– C’est plus que le budget allemand de la défense…
– Ce qui est étonnant, disais-je, c’est que ces services secrets aient été incapables de prévenir les attentats. Ils n’ont pas eu le moindre soupçon. Et durant les soixante minutes décisives, les militaires et les services secrets ont laissé au sol les avions de la chasse aérienne… Ce qui n’a pas empêché le FBI de présenter, quarante-huit heures plus tard, une liste complète des kamikazes. Mais dix jours plus tard, sept d’entre eux étaient encore en vie.
– Quoi ?… Comment ?…
– Eh oui… Pourquoi le chef du FBI n’a-t-il pas commenté ces incohérences ? D’où vient cette liste ? Pourquoi est-elle fausse ? Si j’étais le procureur responsable de l’enquête, je me présenterais devant l’opinion à intervalles réguliers pour dire quelle piste a été abandonnée et quelle autre est encore actuelle. Après les attentats, le gouvernement américain a souligné qu’on se trouvait dans une situation exceptionnelle, qu’on était en guerre.
– Dans ces conditions, n’est-il pas normal de cacher à l’ennemi ce qu’on sait sur lui ?
– Bien sûr. Mais un gouvernement qui veut faire la guerre, doit d’abord engager une procédure pour constater qui est l’agresseur, qui est l’ennemi. Et il est tenu d’apporter les preuves de ce qu’il avance. Comme il l’a lui-même admis, le gouvernement américain ne dispose d’aucune preuve utilisable en justice. Certaines informations sur les auteurs des attentats sont étayées par des recherches. Ainsi Mohammed Atta, le chef présumé du commando, a pris l’avion le matin du 11 septembre pour se rendre de Portland à Boston, où il est monté dans l’appareil qui s’est écrasé contre le World Trade Center. Si Atta était l’homme clé de cette action, il est étrange qu’il ait couru le risque d’arriver à Boston en avion, avec une marge de temps si réduite pour la correspondance. Si le premier avion avait eu quelques minutes de retard, Atta n’aurait pas pu monter à bord de l’appareil qui a été détourné. Pourquoi un terroriste aussi consciencieux aurait-il pris un tel risque ? En consultant le site de CNN, on peut d’ailleurs voir qu’aucun des noms indiqués par le FBI ne figure sur les listes officielles de passagers. Aucun des terroristes présumés ne s’est soumis à la procédure d’enregistrement. Et pourquoi aucun des pilotes menacés n’a-t-il envoyé au sol le signal 7700 prévu en pareil cas ?… En outre, les boîtes noires, construites pour résister au feu et aux chocs, ne contiennent aucune donnée utilisable…
– Ce sont des choses qui arrivent…
– Oui, comme il arrive aussi que des auteurs d’attentats préparent leur coup en laissant derrière eux autant de traces qu’un troupeau d’éléphants… Ils paient avec des cartes de crédit établies à leurs noms, ils prennent des cours de pilotage sans même dissimuler leurs véritables identités. Ils laissent traîner dans les voitures de location des manuels de pilotage pour Jumbo Jet en arabe. Avant de se suicider, ils rédigent des lettres d’adieu et des testaments qui tombent aux mains du FBI parce qu’ils avaient été rangés dans une valise restée au sol ou expédiés à la mauvaise adresse. Vraiment, on se croirait dans un jeu de piste…
– Il y a aussi cette théorie d’un ingénieur anglais, selon laquelle on a pu, de l’extérieur, diriger les avions sans intervention des pilotes.
– Les Américains auraient expérimenté cette méthode dès les années 70 pour récupérer les avions détournés en prenant le contrôle de l’ordinateur de bord. Cette technique a pu être utilisée ici de manière abusive. C’est une théorie…Une théorie dont personne n’a jamais entendu parler… La technique en question a bel et bien été utilisée dans le cadre du projet Global Hawk… Je ne fais pas mienne cette théorie, mais je la trouve digne d’être prise en considération…
– Et les transactions boursières louches, la semaine avant l’attentat, sur les titres d’American Airlines, d’United Airlines et des compagnies d’assurance ?
– Il y aurait eu des gains de 1200 %, une somme de 15 milliards de dollars serait en jeu. Il est probable que quelqu’un était au courant. Mais qui ?…A vous de spéculer… On a pris prétexte de ces horribles attentats pour soumettre les démocraties occidentales à un lavage de cerveau. L’anticommunisme ne fonctionne plus pour désigner l’ennemi, on s’en prend maintenant aux peuples de confession musulmane. On les accuse d’être à l’origine des attentats-suicides.
– Lavage de cerveau ? Vous y allez un peu fort…
– Ah oui, vous trouvez ?… L’idée vient pourtant de Zbigniew Brzezinski et de Samuel Huntington, deux maîtres à penser des services secrets et de la politique extérieure américaine. Dès le milieu des années 90, Huntington était d’avis que les gens en Europe et aux Etats-Unis avaient besoin d’un adversaire qu’ils puissent haïr – de manière à renforcer le sentiment d’identification avec leur propre société. Et Brzezinski, ce cinglé, lorqu’il était conseiller du président Jimmy Carter, plaidait déjà pour la mainmise des USA sur toutes les ressources naturelles du monde, à commencer par le pétrole et le gaz.
– Vous voulez dire que les événements du 11 septembre… ?
– Ils sont tout à fait dans la ligne de ce que veulent les industries d’armement, les services secrets et tout le complexe militaro-industriel avec son soutien académique. Cela crève les yeux. Les immenses réserves naturelles sur le territoire de l’ex-URSS sont à redistribuer; il faut tracer de nouveau oléoducs et pipelines…Eric Follath en a longuement parlé dans le magazine Der Spiegel. Il écrit: “Ce qui est en jeu, ce sont les bases militaires, la drogue, les réserves de pétrole et de gaz naturel…” Je constate que la planification des attentats, tant au niveau technique qu’au niveau de l’organisation, représente une performance exceptionnelle. En quelques minutes, on a détourné quatre gros porteurs, et en l’espace d’une heure, on leur a fait effectuer des manœuvres compliquées avant de les diriger vers leurs cibles respectives. C’est impossible à réaliser, à moins de pouvoir s’appuyer de manière permanente sur les structures occultes de l’Etat et de l’industrie.
– Vous croyez donc à ces théories de la conspiration…?
– Oui, oui, allez-y… C’est là le genre de sarcasme que lancent volontiers ceux qui suivent la ligne officielle. Même les journalistes dont c’est le métier d’enquêter, se nourrissent de propagande et de désinformation. Quiconque a des doutes doit forcément être dérangé… C’est bien ce que vous me reprochez.
– Votre carrière nous conduirait plutôt à penser qu’il n’en est rien. Au milieu des années 70, vous avez été secrétaire d’Etat au ministère de la Défense. En 1993, vous étiez porte-parole du parti social-démocrate dans la commission parlementaire d’enquête sur l’affaire Schalck-Golodkowski, haut fonctionnaire au ministère du commerce extérieur de la RDA jusqu’en 1989, était agent double de la Stasi est-allemande et du BND ouest-allemand.
– Après la réunification, il fut accusé de malversations, mais l’affaire fut étouffée grâce à l’intervention de ses amis occidentaux. En fait, c’est là que tout a commencé. Jusqu’à cette époque, je ne savais pas grand-chose du travail des services secrets. J’ai très vite constaté une étrange contradiction: nous essayions de faire la lumière sur les tractations illégales de la Stasi et d’autres services secrets est-européens dans le domaine économique, mais dès que nous posions une question sur le rôle du BND ou de la CIA dans ces affaires, il n’était plus possible d’otenir le moindre renseignement. Plus la moindre volonté de coopération, plus rien. Ça m’a mis la puce à l’oreille…Schalck-Golodkowski avait, entre autres, noué des contacts à l’étranger en vue d’effectuer diverses transactions pour le compte de la RDA. En y regardant de plus près…nous avons par exemple découvert une piste à Rostock. Schalck y avait établi un entrepôt d’armes. Et voilà que nous découvrons également que Schalck a créé une filiale à Panama, et qui trouve-t-on là-bas ? Manuel Noriega, l’homme qui avait été à la fois président, trafiquant de drogues et blanchisseur d’argent sale, n’est-ce pas curieux ? Et ce même Noriega recevait pour ses activités 200.000 dollars par an de la CIA. C’est ce genre de choses qui a véritablement éveillé ma curiosité.
– Vous avez écrit un livre sur les machinations de la CIA. Vous êtes devenu un expert pour ce qui est de dévoiler les incohérences dans le travail des services secrets. Incohérences est loin d’être le mot juste.
– Ce qu’ont commis les services secrets, et ce qu’ils commettent encore, ce sont de véritables crimes.
– A votre avis, qu’est-ce qui caractérise en premier lieu le travail des services secrets ?
– Entendons-nous bien, je trouve que les services secrets ont tout à fait leur raison d’être…
– Vous ne soutenez donc pas cette ancienne revendication des Verts qui demandaient la suppression de tous les services secrets ?
– Non. Il faut qu’on puisse jeter un coup d’œil derrière les coulisses. Le renseignement en vue de connaître les intentions d’un ennemi éventuel est légitime. C’est important quand on veut se mettre à la place de l’adversaire pour savoir comment il va se comporter… Mais pour comprendre les méthodes de la CIA, il faut réaliser que sa tâche principale consiste à mener des opérations clandestines. Sans recourir à la guerre, mais en se plaçant en dehors du droit international, elle fait pression sur les Etats étrangers, en organisant par exemple des soulèvements ou des attentats terroristes, en général combinés à du trafic de drogue ou d’armes ou à du blanchiment d’argent. Au fond, c’est relativement simple: on arme des gens prêts à la violence. Mais comme il ne faut en aucun cas que l’opinion sache qu’un service secret tire les ficelles, on s’applique à effacer les traces, ce qui nécessite des efforts considérables. J’ai l’impression que les services secrets impliqués passent 90 % de leur temps à construire de fausses pistes. Et lorsque quelqu’un met en cause les services secrets, on peut parler à son propos de paranoïa ou de phobie de la conspiration.
– La vérité éclate souvent avec des décennies de retard.
– Allan Dulles, qui était chef de la CIA, a dit un jour: “S’il le faut, je mens même devant le Congrès”… Le journaliste américain Seymour Hersh a écrit dans le New Yorker que des membres de le CIA et du gouvernement considéraient que certaines des pistes pouvaient très bien être de fausses pistes destinées à embrouiller les faits.
– A votre avis, qui pourrait être responsable d’une chose pareille ?
– Je n’en sais rien – comment le saurais-je ?… J’essaie simplement de faire preuve de bon sens et je constate que les terroristes ont été aussi imprudents qu’il est possible de l’être. Et bien que musulmans intégristes, ils sont allés se saoûler et s’amuser dans un boîte de strip-tease.
– Ça s’est déjà vu…
– Peut-être… En tant qu’individu isolé, je ne peux rien prouver, cela dépasse de loin mes possibilités. Mais j’ai vraiment beaucoup de mal à imaginer qu’un homme, au fond de sa caverne, puisse être à l’origine de ce mauvais coup.
– Vous reconnaissez que vous êtes bien seul avec votre critique. Jadis, vous faisiez partie de l’establishment politique ; aujourd’hui vous faites figure de marginal.
– C’est parfois problématique, mais on s’y habitue. D’ailleurs, je connais quantité de gens, y compris des gens très influents, qui me donnent raison à voix basse.
– Avez-vous encore des contacts avec vos anciens collègues du SPD, comme Egon Bahr ou l’ancien chancelier Helmut Schmidt ?
– Pas vraiment. J’avais l’intention d’assister au dernier congrès du SPD, mais je suis tombé malade.
– Vos prises de position actuelles seraient-elles calquées sur l’antiaméricanisme classique ?
– C’est absurde. Ce que je dis n’a rien d’antiaméricain. Je suis un grand admirateur de cette société de liberté que sont les USA, je l’ai toujours été. J’ai fait mes études aux Etats-Unis.
– Comment vous est venue l’idée d’associer les services secrets américains aux attentats ?
– Vous vous souvenez du premier attentat contre le World Trade Center, en 1993 ? Un attentat à la bombe qui a fait six morts et un millier de blessés… Eh bien, au centre du groupe terroriste, il y avait un ancien officier égyptien ; c’est lui qui a bricolé la bombe. Pour perpétrer l’attentat, il a rassemblé autour de lui quelques musulmans : des gens à qui le State Department (le ministère des Affaires étrangères), avait refusé le visa d’entrée, mais que la CIA a fait passer clandestinement aux Etats-Unis. Il se trouve que le chef de la bande était en même temps un indicateur du FBI. Celui-ci, mis au courant, lui a demandé de faire comme si de rien n’était, lui promettant de remplacer, au dernier moment, l’explosif de la bombe par une poudre inoffensive. Le FBI n’a pas tenu sa promesse; c’est en connaissance de cause qu’il a laissé exploser la bombe. La version officielle fut très vite trouvée: les coupables étaient tous des musulmans intégristes.
– Vous étiez membre du gouvernement Helmut Schmidt lorsque les soldats soviétiques sont entrés en Afghanistan. Que s’est-il passé à l’époque ?
– Les Américains nous ont poussés à décréter des sanctions économiques; ils ont réclamé le boycott des Jeux Olympiques de Moscou en 1980. Le gouvernement fédéral allemand a donné suite à cette demande… Aujourd’hui, nous savons que la stratégie de Brzezinski, le conseiller du président Carter pour les questions de sécurité, consistait à déstabiliser l’URSS à partir des Etats musulmans limitrophes. Il s’agissait d’attirer les Russes en Afghanistan et de leur faire connaître l’enfer, leur Viêt-Nam en quelque sorte. Avec l’aide majeure des services secrets américains, on a entraîné en Afghanistan et au Pakistan 30.000 combattants musulmans, tous des malfaiteurs et des fanatiques, prêts à tout… et ils le sont encore aujourd’hui. L’un d’eux est Oussama Ben Laden. Il y a déjà plusieurs années, j’écrivais: “C’est cette sale engeance qui a produit les talibans, formés dans les écoles coraniques avec l’argent américain et saoudien, et qui maintenant terrorisent et détruisent le pays.”
– Vous dites que les USA en veulent aux ressources naturelles de la région. Mais ce qui a déclenché les attaques américaines, c’est quand même bien l’attentat terroriste qui a coûté la vie à des milliers de personnes…
– C’est tout à fait exact. Il faut toujours avoir à l’esprit l’horreur de cet acte. Néanmoins, quand j’analyse des événements politiques, je suis en droit de me demander à qui ils profitent et qui en subit les conséquences, et quelle est la part du hasard. Dans le doute, il suffit de jeter un coup d’oeil sur la carte: où se trouvent les ressources naturelles, quelles sont les voies d’accès ? Prenez ensuite la carte des guerres civiles et des points chauds. Comparez…,elles sont identiques. Même chose pour la troisième carte : celle de la drogue. Quand tout colle, vous pouvez être sûr que les services secrets américains ne sont pas loin. D’ailleurs, le gouvernement Bush est très lié à tout ce qui touche le pétrole, le gaz naturel et l’armement et ce, via la famille Ben Laden.
– Que pensez-vous des vidéos de Ben Laden ?
– Quand on a affaire aux services secrets, on peut s’attendre à une manipulation de grande qualité. Hollywood dispose de la technologie nécessaire. A mon avis, une vidéo ne prouve absolument rien.
– Vous croyez que la CIA est vraiment capable de tout…
– Au nom de la raison d’Etat, la CIA n’est tenue par aucune loi lorsqu’elle intervient à l’étranger. Pas de droit international qui compte; un ordre présidentiel suffit. Si le terrorisme existe, c’est notamment parce qu’il existe des services secrets comme la CIA. Et lorsqu’on diminue les crédits, lorsque la paix s’annonce, alors une bombe explose quelque part. Ce qui prouve que rien ne va sans ces services secrets, que tous ceux qui les critiquent sont des crétins, des nuts comme les appelait Bush père, qui a été président et directeur de la CIA. Il faut savoir que les USA mettent chaque année 30 milliards de dollars dans leurs services secrets et 13 milliards dans la lutte contre la drogue.
– Et le résultat ?
– Le chef d’une unité spéciale de lutte stratégique anti-drogue a déclaré, résigné, au bout de 30 ans de service: “Dans tous les cas importants de trafic dont j’ai eu à m’occuper, la CIA est intervenue avant la fin afin de me retirer le dossier.”
– Reprochez-vous au gouvernement allemand la manière dont il a réagi après le 11 septembre ?
– Non. Il serait naïf de penser que le gouvernement puisse faire preuve d’indépendance dans ce genre d’affaire.
– Qu’allez-vous faire à présent ?
– Rien. Ma tâche se limite à dire : les choses n’ont pas pu se passer de cette façon-là; à vous de rechercher la vérité…
Membre de la conférence Axis for Peace et politologue russe influent, issu des milieux nationalistes, le général Léonid Ivashov était chef d’état-major des armées le 11 septembre 2001.
A cette suite, nous avons entendu le Général Léonid Ivashov, vice-président de l’Académie des problèmes géopolitiques, chef du département des Affaires générales du ministère de la Défense de l’Union soviétique, secrétaire du Conseil des ministres de la Défense de la Communauté des États indépendants (CEI), et chef du Département de coopération militaire du ministère de la Défense de la Fédération de Russie.
Ce jour-là, il avait placé ses satellites en alerte pour observer les manœuvres militaires aériennes annoncées aux USA, mais c’est un tout autre spectacle auquel il fut confronté.
Au vu des analyses de cet événement par ses experts, il a écarté l’hypothèse Al-Qaïda et conclu à une provocation de l’élite financière anglo-saxonne.
Sur cette base, il a développé la vision stratégique russe du monde post-11-Septembre.
– Général Ivashov, vous avez à maintes reprises, parlé de l’émergence d’un nouveau sujet, de nature supranationale, sur la scène mondiale.
– Il s’agit de l’élite financière et des multinationales, unies pour dominer le monde, contrôler tous les pays et toutes les unions entre les pays. Ce nouveau phénomène géopolitique est intéressant car il lie les personnes les plus riches de la planète et un réseau d’institutions financières (plus de 500 des multinationales les plus puissantes possèdent plus de 16 trillions de dollars et sont responsables de plus de 25 % de la production industrielle mondiale). Sans aucun doute, les principaux acteurs sont les trois cent cinquante-huit personnes les plus riches du monde; elles ont autant d’argent que 2,5 milliards des habitants du tiers-monde.
– Mais, l’élite russe et des ex-pays de l’Est a augmenté le nombre de ses membres.
– La particularité de ces élites est qu’elles abandonnent les intérêts de leur pays pour les remplacer par le système de valeurs d’une oligarchie mondiale unique. Pour eux, l’État est simplement un moyen supplémentaire de s’enrichir, un instrument permettant d’écraser toute résistance et de contrôler le monde. Les outils du contrôle et de la domination du monde sont, entre autres, les instruments financiers, surtout la pyramide financière virtuelle, le réseau des institutions financières internationales, les commissions, les comités, les clubs et les gouvernements de nombreux pays. L’idéologie de cet ordre géopolitique est un mélange de deux modèles de relations internationales : libéralisme radical, frontières ouvertes pour l’expansion d’une part et régimes démocratiques uniformisés obéissant à la volonté des oligarques d’autre part. Les médias, véritable clé de voûte de ce système, modifient fondamentalement la vision et la psychologie du public en imposant à la société, à l’État et aux individus un modèle de comportement permissif.
– Après la « guerre froide » et la chute de l’URSS, les derniers arguments pour se disputer les territoires et les ressources n’étaient-ils pas la force militaire, les agences de renseignement et le réseau du terrorisme international ?
– L’empire financier mondial dépense sans compter pour la création d’une force militaire puissante, ayant l’apparence des forces américaines et de l’OTAN, afin d’étendre son système de surveillance mondiale et de contrôler chaque mètre carré de terre et de mer (cela inclut la destruction d’avions au décollage et de missiles au lancement et la possibilité de frapper n’importe quel point de la planète à tout moment). Intimider le monde entier et vaincre sa résistance garantira à l’oligarchie mondiale une domination totale et à l’élite financière des profits impressionnants. Comment dire la vérité (que vous soyez le président des États-Unis ou d’un autre pays) si vous êtes au service d’un maître tout-puissant et cruel (la mafia internationale) qui vous accepte au sein de son élite en échange d’une soumission indiscutable ?
– Et si vous refusez ?
– Alors vous partagerez le même sort que John F. Kennedy, Olaf Palme, Slobodan Milosevic, Saddam Hussein et les dirigeants de beaucoup d’autres pays. Par contre, pour bons et loyaux services, vous deviendrez prospères, comme Cheverdnadze, ou peut-être recevrez-vous même un prix Nobel comme Gorbatchev.
– Au sujet de l’OTAN, il peut sembler que les Etats-Unis y règnent en maître…
– Pourtant, ce n’est pas exactement le cas. Les militaires, les diplomates et les politiciens américains continuent simplement de gagner leur vie en ignorant, souvent, la véritable hiérarchie de l’organisation. Grâce à mes anciennes fonctions, je suis au courant de certaines choses qui ont eu lieu pendant la préparation de l’acte fondateur OTAN-Russie : la protection contre l’agression anti-yougoslave, la nouvelle stratégie de l’OTAN, la prise de conscience tardive des chefs des pays dirigeant l’OTAN quant aux dangers induits par leurs décisions. Des forces invisibles les ont poussés à commettre des actions contraires à la paix internationale. L’hésitation de Clinton à engager son pays dans la guerre contre la Yougoslavie lui a valu le scandale Monica Lewinsky. La menace d’impeachment n’a été levée qu’après sa décision d’engager le pays dans la guerre. C’est pourquoi les espoirs des généraux, des diplomates et des politiciens russes de calmer les appétits de l’OTAN sont vains. En effet, ces appétits sont illimités !
– Le but des vrais chefs de l’alliance est la domination de la Terre.
– Oui, les modérateurs feraient mieux de lire plus attentivement les travaux des porte-paroles de la nouvelle élite mondiale comme Z. Brzezinski et les experts de la RAND Corporation et autres instituts de recherche. Leurs travaux constituent des pistes d’action pour le Pentagone et l’OTAN. Par exemple, Brzezinski a déclaré dans son livre Out of Control (1993) que si l’Amérique souhaite contrôler le monde, et elle le souhaite, alors elle doit exercer une suprématie sur l’Eurasie, en particulier sa périphérie occidentale (l’Union européenne) et son cœur (la Russie), le Moyen-orient, l’Asie centrale et les réserves de pétrole qui s’y trouvent. Ce que nous voyons n’est qu’un terrorisme instrumentalisé par les grandes puissances et qui n’existerait pas sans elles. Plutôt que de feindre une guerre mondiale au terrorisme, j’avance que la meilleure manière de réduire les attentats se situe dans le rétablissement du droit international et la coopération pacifique entre les États aussi bien qu’entre leurs citoyens. Comme le montre la situation mondiale, le terrorisme apparaît partout où s’exacerbent les contradictions, où intervient un changement de relations sociales ou de régime, où apparaît une instabilité politique, économique ou sociale, où se libèrent des potentialités agressives, où intervient la déchéance morale, où triomphent le cynisme et le nihilisme, où le vice se légalise et la criminalité explose.
– C’est la globalisation qui crée les conditions pour ces phénomènes extrêmement dangereux.
– C’est dans son cadre qu’intervient le nouveau découpage de la carte géostratégique mondiale, que les ressources planétaires sont redistribuées, que les frontières des États sont défaites, que le système de droit international est mis en pièces, que les particularités culturelles sont effacées, que la vie spirituelle s’appauvrit… L’analyse de l’essence du processus de globalisation, ainsi que des doctrines politiques et militaires des États-Unis et de certains autres pays, prouve que le terrorisme contribue à la réalisation d’une domination mondiale et à la soumission des États à une oligarchie mondialisée. Cela signifie que le terrorisme n’est pas un sujet indépendant de la politique mondiale mais simplement un instrument, un moyen d’instaurer un monde unipolaire ayant un seul centre de direction globale, un expédient pour effacer les frontières nationales des États et instaurer la domination d’une nouvelle élite mondiale.
– C’est justement cette nouvelle élite qui est le sujet clef du terrorisme international.
– L’objet principal de la nouvelle élite mondiale est la réalité naturelle, traditionnelle, culturelle et historique, le système existant des relations entre les États, l’ordre mondial national et étatique de la civilisation humaine, l’identité nationale. Le terrorisme international actuel est un phénomène qui combine l’emploi de la terreur par des structures politiques étatiques et non étatiques, comme moyen d’atteindre ses objectifs politiques par la voie de l’intimidation, par la déstabilisation sociale et psychologique de la population, par l’écrasement de la volonté de résister des organes du pouvoir et la création des conditions propices à la manipulation de la politique de l’État et de la conduite de ses citoyens.
– Le terrorisme est donc l’instrument d’une guerre d’un nouveau type !
– Simultanément, le terrorisme international, en accord avec les médias, devient le système de gestion des processus globaux. C’est précisément la symbiose des médias et de la terreur qui crée les conditions permettant des tournants dans la politique internationale et des modifications de la réalité existante. Si l’on analyse dans ce contexte les événements du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, on peut en tirer les conclusions suivantes :
1. Les commanditaires de ces attentats sont les cercles politiques et les milieux d’affaires qui avaient intérêt à déstabiliser l’ordre mondial et qui avaient les moyens de financer cette opération. La conception politique de cet acte a mûri là où sont apparues des tensions dans la gestion des ressources financières et autres. Les raisons de ces attentats doivent être recherchées dans la collusion des intérêts du grand capital au niveau transnational et global, dans les cercles qui ne sont pas satisfaits par les cadences du processus de globalisation ou par la direction que ce processus prend. À la différence des guerres traditionnelles dont la conception est déterminée par des politiciens et des généraux, les initiateurs en furent des oligarques et des politiciens qui leur sont soumis.
2. Seuls les services secrets et leurs chefs actuels ou retraités, mais ayant conservé de l’influence à l’intérieur des structures étatiques, sont capables de planifier, organiser et gérer une opération de telle ampleur. D’une manière générale, ce sont les services secrets qui créent, financent et contrôlent les organisations extrémistes. Sans leur soutien, de telles structures ne peuvent pas exister et encore moins effectuer des actions d’une telle ampleur à l’intérieur de pays particulièrement bien protégés. Planifier et réaliser une opération de cette échelle est extrêmement compliqué.
3. Oussama ben Laden et al Qaïda ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 septembre. Ils ne possèdent ni l’organisation requise pour cela, ni les ressources intellectuelles, ni les cadres nécessaires. Par conséquent, une équipe de professionnels a dû être formée et les kamikazes arabes jouent le rôle de figurants pour masquer l’opération.
– L’opération du 11 septembre a donc changé la marche des événements dans le monde ?
– Oui, dans la direction qu’avaient choisie les oligarques internationaux et la mafia transnationale, c’est-à-dire ceux qui aspirent au contrôle des ressources naturelles de la planète, à celui du réseau d’information globale et des flux financiers. Cette opération a aussi joué le jeu de l’élite politique et économique des États-Unis qui aspire également à la domination globale.
L’usage du terme “terrorisme international” vise à remplir les objectifs suivants :
-la dissimulation des buts réels des forces réparties à travers le monde, luttant pour la domination et le contrôle global ;
-le détournement des revendications des populations dans une lutte aux buts incertains contre un ennemi invisible ;
-la destruction des normes internationales fondamentales, l’altération conceptuelle des termes tels que : agression, terreur étatique, dictature ou mouvement de libération nationale ;
-la privation des peuples de leur droit légitime à la résistance armée contre l’agression et à l’action contre l’activité de sape de services spéciaux étrangers ;
-la renonciation à la défense prioritaire des intérêts nationaux, la transformation des objectifs dans le domaine militaire par un glissement vers la lutte contre le terrorisme, la violation de la logique des alliances militaires au détriment d’une défense conjointe et au profit de la coalition antiterroriste ;
-la résolution des problèmes économiques par voie d’une contrainte militaire forte sous prétexte de la lutte contre le terrorisme.
– Que faire ?
– Il faut prendre les mesures suivantes : confirmer devant l’assemblée générale de l’ONU les principes de la Charte des Nations-Unies et du droit international comme devant être respectés par tous les États ; former une union géostratégique de civilisation, peut-être sur la base de l’Organisation de coopération de Shanghai, qui regroupe la Russie, la Chine, le Kazakhstan, la Kirghizie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan, avec une autre échelle de valeurs que celle des Atlantistes ; élaborer une stratégie de développement des États, un système de sécurité internationale, un autre modèle économico-financier, ce qui signifierait remettre le monde sur deux pieds ; associer les élites scientifiques à l’élaboration et la promotion des conceptions philosophiques de l’Être humain du 21ième siècle et organiser l’interaction de toutes les confessions religieuses du monde, au nom de la stabilité du développement de l’humanité, de la sécurité et du soutien mutuel.
– Mais encore ?
– Ainsi que la situation internationale actuelle le montre, le terrorisme apparaît là où la contradiction s’aggrave, là où il y a un changement dans les relations sociales ou un changement de régime, là où il y a une instabilité politique, économique ou sociale, là où il y a une décadence morale, là où le cynisme et le nihilisme triomphent et là où le vice est légalisé et où le crime s’étend.
– Est-ce la mondialisation qui crée les conditions de l’apparition de ces phénomènes extrêmement dangereux ?
– C’est dans ce contexte que la nouvelle carte du monde géostratégique est conçue, que les ressources de la planète sont en cours de redistribution, que les frontières disparaissent, que la loi internationale est déchirée en morceaux, que les identités culturelles sont gommées et que la vie spirituelle s’appauvrit… L’analyse de la nature même du processus de mondialisation et des doctrines militaire et politique, des Etats-Unis et des autres pays, montre que le terrorisme contribue à la domination mondiale et à la soumission des Etats à l’oligarchie globale.
Cela signifie que le terrorisme n’est pas quelque chose d’indépendant de la politique mondiale mais seulement un instrument, un moyen d’installer un monde unipolaire avec un seul quartier général mondial.
– Est-ce un prétexte pour effacer les frontières nationales et pour établir la loi d’une nouvelle élite mondiale ?
– C’est précisément cette élite qui constitue l’élément clé du terrorisme mondial, ses idéologues et ses “parrains”.
Les réalités historique, culturelle, traditionnelle et naturelle sont les cibles principales de cette élite mondiale.
Elle vise le système existant de relations entre les Etats ; les ordres nationaux et étatiques de la civilisation humaine partout dans le monde, ainsi que les identités nationales. Le terrorisme international d’aujourd’hui est un phénomène qui combine l’utilisation de la terreur par des structures étatiques et non-étatiques comme moyen d’atteindre leurs objectifs politiques par l’intimidation des personnes, la déstabilisation psychologique et sociale, l’élimination de la résistance d’organisations puissantes et la création de conditions appropriées pour la manipulation des politiques des pays et du comportement des gens.
– Le terrorisme est-il l’arme utilisée dans un nouveau type de guerre ?
– Bien sur que oui ! En même temps, le terrorisme international, en complicité avec les médias, est à la tête du processus global. C’est précisément la symbiose entre les médias et la terreur qui permet de modifier la politique internationale et la réalité existante.
Parce qu’il faut forcément écrire une fin pour transformer un manuscrit en livre, certaines informations restent dans un tiroir attendant une suite, pour autant que d’autres informations importantes ou déterminantes viennent s’ajouter en suffisance pour envisager l’écriture d’un second opus… Tout comme pour un bonus de DVD, nous avons obtenu d’autres informations…
L’énormité des déclarations d’Andréas Von Bülow et du Général Léonid Ivashov, nous a poussé à chercher des confirmations, que ce soit par le biais du web ou via des témoignages.
C’est dans ce contexte que nous avons obtenu le témoignage d’un agent du MI5, David Shayler.
Ex agent du MI5, David Shayler, qui avait déjà dénoncé le gouvernement britannique d’avoir versé à Al-Qaïda £200.000 (300.000€) pour procéder à des assassinats politiques, a refait parler de lui en faisant part de son intime conviction selon laquelle le 11 septembre était un coup monté de l’intérieur afin de créer un état d’urgence permanent en Amérique et de paver la route pour les invasions de l’Afghanistan, de l’Irak et en dernier ressort, de l’Iran et de la Syrie.
David Shayler a rejoint le MI5 en octobre 1991 et y a travaillé pendant cinq ans.
Il a d’abord intégré la branche F (contre-subversion) en janvier 1992, puis il a travaillé à la branche T (terrorisme irlandais) d’août 1993 à octobre 1994.
Shayler a fait une apparition sur le Show d’Alex Jones pour lancer ce qui sera une campagne publique plus vaste pour informer le plus grand nombre au sujet des questions relatives au 11 septembre, questions demeurées sans réponses, ainsi que la corruption gouvernementale.
Une fois encore, en s’exprimant, Shayler a risqué la prison.
– Le gouvernement britannique vous a bâillonné et empêché de parler de votre travail au MI5 et des vérités que vous y aviez collecté.
– Un des moyens utilisé fut mon emprisonnement à deux reprises distinctes, je me sens à présent plus serein en apparaissant au grand jour.
– Vous avez fouillé dans vos anciennes enquêtes et obtenu des preuves irréfutables qui ont conduit certaines personnes au sein du MI5 à conclure que les Israéliens avaient plastiqué leur propre ambassade en juillet 1994.
– J’ai déclaré avoir la preuve que les Israéliens avaient monté une machination contre deux Palestiniens qui sont toujours, à ce jour, en prison. La même chose est arrivée à deux Palestiniens qui furent inculpés de conspiration dans l’attaque de l’ambassade israélienne en Grande-Bretagne en 1994. Mais le MI5 n’a pas rendu public deux documents qui démontraient leur innocence. Le premier document indiquait que c’était un autre groupe qui avait mené les attaques et le deuxième, relatait la conviction d’un officier du MI5 selon laquelle les Israéliens avaient vraiment plastiqué eux-mêmes leur propre ambassade, par explosion contrôlée, afin de tenter d’obtenir une meilleure sécurité. Ces documents n’ont jamais été produits au juge du tribunal et à plus forte raison à la défense.
– Vous avez expliqué que vos soupçons à propos du 11 septembre se sont éveillés pour la première fois lorsque le parcours habituel des enquêtes sur la scène du crime a été entravé par l’envoi maritime immédiat des décombres saisis vers la Chine.
– En fait, déranger une scène de crime est un délit et, pourtant, dans l’affaire du 11 septembre, tout le métal des buildings a été envoyé par bateau en Chine. On n’a fait aucune expertise sur ce métal. Et bien, cela me suggère qu’ils n’ont jamais voulu que quiconque examine ce métal parce qu’il n’aurait pas fourni la preuve qu’ils voulaient pour montrer aux gens que c’était l’œuvre d’Al-Qaïda.
– Vous avez poursuivi en balayant la théorie de l’incompétence.
– Plus je m’intéresse à cette affaire, plus je réalise qu’il ne s’agit pas d’incompétence. Les officiers du FBI étaient partout dans le pays. Il est évident que c’est Colleen Rowley qui a réussi à obtenir une audition au Congrès et qu’il y avait sûrement une tonne de preuves. Il y a tellement de questions qui nécessitent une réponse ! On a passé outre les protocoles au sein de la défense nationale ; des personnes ont été activement empêchées de mener leurs enquêtes. Il ne s’agit pas d’un hasard, ils avaient conscience que des renseignements indiquait ce type d’attaques. Il y a eu des interceptions par le FBI dans les jours qui ont précédé les attaques qui le prouvent. Lorsque j’ai examiné tout cela, il m’est paru évident que les services de renseignements étaient au courant. Pourtant on les a empêchés de faire leur boulot, on les a empêchés d’essayer de protéger les Américains, et cela est criminel. Ces preuves suggèrent que l’attaque a été conçue à l’origine pour être d’une bien plus grande envergure et qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’état violent destiné à décapiter l’ensemble du gouvernement, pour servir de prétexte à l’instauration de la loi martiale.
– Donc, vous avez observé une situation dans laquelle il y avait un coup d’état…
– Vous devez garder présent à l’esprit qu’il y avait des armes qui ont été découvertes sur les avions qui n’ont pas décollé le 11 septembre. A présent, les gens pensent forcément qu’ils allaient peut-être attaquer la Maison-Blanche et le Capitole. Pour moi, cela ressemble à une tentative de détruire le gouvernement américain et de déclarer l’état d’urgence.
– En fait : un coup d’état, un coup d’état violent.
– On se pose tellement de questions là-dessus !
– Et vous vous êtes rendu compte une nouvelle fois qu’aucune demande de renseignements ne pouvait aller au fond des choses ?
– Ces gens-là ne prennent pas en compte l’ensemble des preuves. Le plus souvent, lorsque qu’ils témoignent sous serment, ils ne produisent aucune preuve, alors qu’ils devraient le faire, particulièrement parce que c’est sous serment. Ces attaques avaient été planifiées et exécutées au sein des décideurs du complexe militaro-industriel. Ils l’ont fait arriver afin de créer une étincelle qui permette de déclencher l’invasion de l’Afghanistan et l’invasion de l’Irak et, bien sûr, ce qu’ils essayent de faire maintenant est la même chose pour envahir l’Iran et la Syrie.
– Vous soulignez aussi la nature hautement suspecte de l’effondrement des tours jumelles et du Building no7…
– Ce sont les premiers gratte-ciel de l’histoire qui se sont effondrés le même jour à cause des seuls dégâts causés par un soi-disant incendie ! Balivernes ! J’ai vu les résultats d’explosions terroristes et ce genre de choses. Aucune explosion terroriste n’a jamais fait s’effondrer un gratte-ciel. Lorsque l’IRA a placé quelque chose comme des tonnes d’explosifs artisanaux en face du bâtiment du Baltic Exchange à Bishopgate et qu’ils ont déclenché cette bombe, toutes les vitres se sont brisées, le building a un peu tremblé, mais personne n’a jamais cru que le building pouvait tomber. Cela n’obéit pas aux lois de la physique. Les buildings ne tombent pas ainsi, du moins de la façon dont le World Trade Center s’est effondré le 11/09/2001 ! Si l’on compare l’effondrement du building no7 à celui des tours nord et sud, on constate que c’est la même chose : elles ont été volontairement démolies.
– Vous avez rejoint plusieurs dénonciateurs récents et crédibles avec lesquels vous partagez les mêmes sentiments au sujet de la véritable histoire qui se cache derrière le 11 septembre.
– Il y a d’abord Morgan Reynolds, l’ancien chef économiste du Ministère du Travail lors du premier mandat du Président George W. Bush. Il a publiquement mis en doute au début du mois de juin 2005 l’effondrement inexpliqué du Building no7. Et aussi, Paul Craig Roberts, ancien Secrétaire-adjoint au Trésor sous la Président de Reagan, il a fait part de ses inquiétudes en déclarant que l’Administration Bush commettait les mêmes erreurs que les Nazis lorsqu’ils envahirent la Russie à la fin de l’hiver. Roberts met sérieusement en doute l’explication officielle du 11 septembre…
– Toujours dans le même tiroir, vous avez retrouvé une anecdote qui ne fait pas rire tout le monde surtout le FBI !
– Exact et elle est de taille ! Il a été rapporté que l’agent américain d’al Qaïda, démasqué comme étant celui qui avait planifié la démolition du Pont de Brooklyn, a été détenu pour la première fois en mars et a été utilisé par le FBI pendant des mois en tant qu’agent double. Les autorités américaines ont attendu pour annoncer l’arrangement pénal passé avec Iyman Faris, un chauffeur routier né au Pakistan auquel on avait donné l’ordre de rechercher des cibles pour des actions terroristes, y compris dans la région de New York. Ils n’ont pas dit que Faris, auquel on avait aussi donné l’ordre d’étudier l’aviation ultra-légère et la possibilité de faire dérailler un train dans un entrepôt de produits chimiques à Washington, était contrôlé depuis des mois par le FBI. Des officiels du Département de la Justice ont dit au magazine Time que Faris avait été détenu en secret pendant environ deux semaines après la capture spectaculaire, le 1er mars au Pakistan, de Khalid Sheikh Mohammed, le chef des opérations d’al-Qaïda. Installé dans une maison protégée en Virginie, Faris a envoyé des messages à ces commandants terroristes par l’intermédiaire d’un téléphone portable et du courrier électronique. “Il est tranquillement assis dans la maison protégée, passant des appels pour nous. Ce fut un grand triomphe”, a déclaré au Time un membre haut placé de l’administration Bush.
– La logique nous interpelle et une déduction malsaine prend forme dans notre tête : Si cet agent double du FBI avait des contacts avec Al Qaïda, c’est que forcément il savait ou les joindre et donc on pouvait facilement localiser ces “terroristes”…, alors pourquoi courent-ils toujours aujourd’hui ?
– Un reportage spécial de la BBC accuse de manière accablante les deux présidents Bush et la politique étrangère des Etats-Unis : L’Amérique était elle-même à blâmer pour les événements du 11 septembre parce que le gouvernement américain y allait avec des “moufles” dans sa traque d’Oussama ben Laden et des “autres fanatiques liés à l’Arabie Saoudite”. Ce reportage, que la BBC prétend être basé sur un document secret émanant du bureau principal du FBI à Washington et qui porte le No 1991 WF213589 , soutient que le cynisme de la classe dirigeante américaine et les “liens entre la CIA, l’Arabie Saoudite, les hommes de Bush et les ben Laden” peuvent être la vraie cause de la mort de milliers de personnes dans les attaques du World Trade Center. En reprenant cette enquête, qui a été diffusée dans le programme de la BBC traitant des principales affaires en cours, Newsnight, a déclaré que le FBI a reçu l’ordre de “renoncer” à enquêter sur l’un des frères d’Oussama ben Laden : Abdulhah. Ce dernier était lié au WAMY, le World Association of Muslim Youth (l’association mondiale de la jeunesse musulmane), financée par l’Arabie Saoudite, et suspectée d’être une organisation terroriste. Ses comptes n’ont jamais été gelés par le Trésor américain malgré son interdiction au Pakistan et en Inde au prétexte qu’elle était liée à une organisation impliquée dans un attentat à la bombe au Cachemire. Newsnight a déclaré qu’il y avait une longue histoire de connexions américaines “mystérieuses” avec l’Arabie Saoudite, entre autres, les “relations d’affaires” des deux présidents Bush avec les ben Laden, ainsi qu’un autre lien plus insidieux avec l’ancien chef de la section américaine des visas à Djedda Tchad. Ce fonctionnaire du FBI a déclaré qu’il avait été inquiet au sujet de visas délivrés à un grand nombre d’hommes “non qualifiés” et “sans attache familiale avec les Etats-Unis ou l’Arabie Saoudite”, mais qu’il avait découvert plus tard qu’il ne s’agissait pas de “visas frauduleux” mais un élément d’un plan plus vaste dans lequel des jeunes gens, “recrutés par Oussama ben Laden”, étaient envoyés aux Etats-Unis pour “recevoir de la CIA un entraînement terroriste”, après quoi ils étaient envoyés en Afghanistan.
– En reprenant une accusation bien connue émise par un ancien associé de George W. Bush, la BBC a déclaré qu’il avait gagné son premier million de dollars il y a 20 ans sur le dos d’une société financée par Salem, le frère aîné d’Oussama.
– Et elle a ajouté une affirmation plus dérangeante selon laquelle les deux présidents Bush avaient des participations lucratives en compagnie des ben Laden dans Carlyle Corporation, une petite société qui est devenue l’une des plus grosses entreprises de sous-traitance avec l’Amérique en matière de défense. Selon la BBC, les ben Laden ont vendu leur participation dans Carlyle peu après le 11 septembre. Les politiciens américains ont déclaré plus tard à l’émission de la BBC qu’ils rejetaient l’accusation selon laquelle l’establishment aurait rappelé à cause des intérêts stratégiques en Arabie Saoudite, les plus grandes réserves mondiales de pétrole, les types des agences de renseignement, qui étaient auprès des ben Laden et de la maison royale des Saoud. Et puisque je cite justement le groupe Carlyle et son pouvoir d’influence, une autre information vaut la peine d’être mise en évidence : Qui va rejoindre le groupe Carlyle ?
– Je ne sais pas…
– Le plus grand partisan ou plus exactement ‘lèche cul de Bush’ monsieur Tony Blair ! Hé oui… Si le Premier ministre britannique avait besoin de se relever de l’humiliation surprenante que lui a infligée le Président Bush, qui s’est adressé à lui par un “Yo, Blair !”, entre autres choses…, alors, il est peut-être sur le point de se voir plus qu’indemnisé. Tony Blair vient juste de tenir des “discussions formelles” pour rejoindre la société d’investissements privés, opaque mais très rémunératrice, le Carlyle Group, qui a des liens étroits à la fois avec le président des Etats-Unis et avec son père. “Tony a rencontré des responsables du groupe et ils sont allés jusqu’à parler salaire“, m’a dit un proche collaborateur du Premier ministre. “Un des sujets de préoccupation était que John Major était impliqué jusqu’à récemment dans Carlyle et que Tony ne voulait pas être vu comme acceptant un rôle dans la société qui serait inférieur à celui de son prédécesseur. La vérité, c’est que les grosses-légumes de Carlyle opèrent toutes en loups solitaires“. Si Blair accepte le job après son départ de Downing Street, dans “un an et des brouettes”, si nous devons en croire ce qu’Alastair Campbell a déclaré au Spectator, les sourcils se lèveront. Le gouvernement Blair a été remarquablement gentil avec Carlyle : la vente qu’elle lui a consentie en 2002 des 31% que l’Etat britannique possédait dans QinetiQ, l’ex-entreprise de laboratoire du Ministère de la Défense, s’est avérée être une gigantesque mine d’or. Carlyle a négocié sa mise à 42,4 millions de livres (env. 28 M€). Lorsque QinetiQ a été introduite en Bourse en début d’année, sa part valait £380m (env. 250 M€). Interrogé, un porte-parole du Premier ministre a dit qu’il n’était pas “au courant” s’il y avait des discussions avec Carlyle. Mais Dan Briody, l’auteur du best-seller The Iron Triangle: Inside the Secret World of the Carlyle Group (Le Triangle de Fer : À l’Intérieur du Monde Secret du Groupe Carlyle) a dit qu’il avait entendu dire que Blair avait l’intention de rejoindre Carlyle.
– Cela signifie-t-il qu’il travaillera avec le Président Bush dont on murmure l’arrivée dans la société en 2009 ?
– Carlyle a été appelé le Club des Ex-Présidents parce qu’il se plaît à employer des anciens dirigeants du monde et à utiliser leurs contacts. Le groupe a déjà dû affronter la controverse, mais il s’agit de conspirations planétaires et d’argent. Ne comptez pas découvrir combien gagnent les gens importants qu’il emploie. C’est une société privée.
– Quelle force se cache derrière les atrocités commises aux États-Unis ? Á qui tout cela profite-t-il ?
– La force qui cherche à contrôler ce monde et qui veut introduire son état fasciste global, ce réseau que certains nomment les Illuminatis, qui sont mélés au groupe Bilderberg et semblent suivre pas à pas les fameux et fumeux “Protocoles des Sages de Sion“, qu’ils soient, d’origine, faux ou vrais, n’ayant à ce stade fort peu d’importance puisque seul compte le résultat, est ce qu’il y a de plus probable et logique concernant les évènements du 9/11 aux États-Unis. L’horreur incroyable perpétrée contre les villes de New-York et de manière moindre sur le Pentagone à Washington, a marqué l’esprit collectif de toute l’humanité grace à une manipulation “barnumesque” orchestrée avec l’estampe “problème-réaction-solution”. Je m’attendais à un événement de cet ampleur depuis quelques années, les signes avant-courreur de la mise en place d’une dictatucratie planétaire se faisaient jour, peu à peu, via de multiples attentats visant à créer la peur des populations par le biais d’une nébuleuse terroriste…
– Les fameuses tueries du Brabant Wallon en Belgique, de même que les multiples attentats en France, Allemagne et Italie n’en étaient-ils que les balbutiements ?
– J’ai pensé que tout cela déboucherait sur une fausse guerre civile en suite d’une explosion nucléaire fomentée par des faux-terroristes pour compte de gouvernements soucieux d’étendre leur pouvoir par la peur engendrée, mais quelque chose de fantastique devait toutefois se produire pendant les années de la présidence de Bush alors que, comme certains l’ont écrit le jour de son assermentation, la cadence de la mise en place de divers plans secrets s’est accéléré.
– Depuis tout ce charivari, le monde avance rapidement vers un fascisme global centralisé, mais le rythme n’est pas suffisamment rapide pour rencontrer l’échéancier.
– L’opposition à leurs plans de globalisation et à leurs assauts sur la liberté augmente de jour en jour. Il est clair que quelque chose d’une magnitude inimaginable est orchestrée pour dévaster l’esprit collectif humain avec la crainte, l’horreur et l’insécurité. Ceci entraînera l’application d’une “solution” qui fera faire un bond colossal à leur échéancier pratiquement du jour au lendemain. Et c’est ce que nous avons vu en Amérique le jour rituellement significatif du onze du neuvième mois… 9/11. Aussi abominable que ces atrocités puissent être, ce n’est que le début, et non la fin, d’un prochain cycle pour l’emprisonnement mental, émotif, spirituel et physique de l’humanité.
De plus en plus de morts et de destruction s’ensuivront alors que le “Monde libre” s’unit autour d’une armée mondiale et d’un gouvernement mondial, tout ceci en employant la menace du terrorisme qui n’est que leur création, pour justifier une guerre contre les peuples et les pays qu’ils ont choisis et choisiront encore, afin d’essuyer le contrecoup de ce que les forces internes de ce même “Monde libre” sont responsables d’avoir créés. Même la guerre avec les peuples islamiques n’est pas une fin, mais un moyen justifiant la fin d’un conflit avec les forces restantes du communisme.
– La prévisibilité de l’esprit de manipulation peut être constatée en regardant la gestion des “nouvelles” qui a suivi cette histoire aux États-Unis.
– Regardez ce qui se produit toujours dans ces circonstances et vous verrez que le modèle est le même dans presque chaque cas. Avant que l’événement ne se produise, le responsable est déjà désigné pour prendre le blâme, détournant ainsi l’attention du public des dangereuses spéculations pour diriger la concentration vers une cible prédéterminée. Après l’assassinat de Kennedy, c’était Lee Harvey Oswald, après Oklahoma City c’était Timothy Mc Veigh, maintenant c’est Osama Bin Laden. Son nom a été présenté juste après que le désastre ait été dévoilé de la même manière que Lee Harvey Oswald avait été pointé AVANT même que le président Kennedy soit mort.
– L’idée que Ben Laden, cet homme des montagnes de l’Afghanistan pourrait être le génie de cette énorme opération, n’est-ce pas une insulte absolue à toute personne ayant une intelligence moyenne ?
– Ce n’est effectivement pas un fanatique qui aurait conduit une voiture pleine d’explosifs sur un restaurant de Jérusalem. Il s’agit de quatre avions de ligne commerciaux qui devaient (selon l’explication officielle) être piratés simultanément, pilotés dans l’espace aérien américain en provenance d’aéroports américains et dirigés sur des cibles spécifiques à l’intérieur d’un intervalle de 45 minutes.
– Comment fut-ce possible ?
– Seulement parce que c’était un contrat de l’intérieur orchestré par les forces internes des Etats-Unis et planifié par les niveaux les plus élevés de l’Intelligence des Etats-Unis en coordination avec d’autres organisations de la toile mondiale. Avec une armée d’individus conditionnés, il est possible de leur faire effectuer n’importe quelle tâche une fois que l’esprit est programmé et que le déclencheur est activé. Ceux qui sont responsables du détournement de ces avions et qui les ont dirigées sur des édifices, dans leur esprit conscient, ont cru à la cause pour laquelle ils ont été programmés. Mais ils ne détournaient pas ni ne pilotaient ces avions, c’est la programmation qui le faisait ! Ils étaient programmés pour simplement reprogrammer les deux seuls vrais avions de ligne “détournés” en entrant les chiffres de deux balises placées dans chacune des tours du World Trade Center (une balise par avion)…, une affaire simple ! Une fois les avions encastrés et la machine médiatique en marche, il suffisait de faire imploser les tours et d’hurler partout que c’était un attentat programmé par Bin Laden…
La suite est connue…
– J’ai entendu dire que c’était un autre “Pearl Harbor” !
– Effectivement c’est le cas. Dans “And The Truth Shall Set You Free” et d’autres livres, on peut lire comment le gouvernement américain était informé que les Japonais allaient attaquer “Pearl Harbor”, mais n’ont rien fait à ce sujet.
– Pourquoi ?
– Parce qu’ils voulaient que ça se produise pour une raison spécifique : justifier l’entrée des Etats-Unis dans la deuxième guerre mondiale alors que le Président Roosevelt (de la lignée de sang des Bush) avait déclaré, juste pour être élu, que l’Amérique ne s’y impliquerait pas. Problème-réaction-solution. Et la même stratégie s’applique en ce qui concerne les évènements terribles du 9/11. Immédiatement après les attaques, la campagne de responsabilisation de Bin Laden a été lancée telle qu’il avait été préalablement planifié. Même les passeports intacts au nom et avec photo, des “terroristes” ont été pris pour argent comptant par les médias… Le sénateur républicain et faire-valoir des Illuminatis, Orrin Hatch, a dit à CNN qu’il avait eu des informations par le biais de sources de rang élevé du FBI à l’effet que Bin Laden était derrière les attaques. CNN qui était au bord de la faillite juste avant de conclure un accord avec le Gouvernement Américain pour couvrir la première guerre du Golfe selon le point de vue exclusif officiel…, a reconduit la même façon de procéder, décrétant et imposant l’histoire officielle d’attentats terroristes… Le public a même eu droit à l’histoire de la voiture de location trouvée si opportunément à l’aéroport de Boston ou deux avions ont été détournés, qui contenait, une copie du Coran avec un manuel et une vidéo d’instruction en Arabe pour le pilotage des avions de ligne commerciaux !!! Il n’a jamais existé de manuels ni de vidéos d’instruction en Arabe pour des Boeing ! Je suis étonné qu’ils n’ont pas prétendu avoir découvert une lettre de Bin Laden dans la voiture souhaitant aux occupants la meilleure des chances pour leur mission !
– Qui a bénéficié de tout cela ?
“Les Protocoles des Sages de Sion” sont un manuel existant bien plus crédible que le manuel de vol en Arabe…, il y est clairement expliqué que les “Sages” veulent un gouvernement et une armée mondiale, une devise mondiale et une dictature aux commandes financières globales centralisées. Ils veulent des personnes et une société basée sur la surveillance constante. Ils veulent créer un peuple effrayé, docile qui s’en remets aux autorités. Le désastre du 9/11 signifie ceci : Les américains ont maintenant l’excuse pour exercer des représailles contre n’importe qui nuit à la propagande officielle. Toutes les raisons sont bonnes pour manipuler la population. Les attaques contre les cibles islamiques offrent des possibilités intéressantes pour être le déclenchement d’un conflit massif et d’un bouleversement à travers le monde, particulièrement au moyen et proche Orient. Les occasions d’élargir alors le conflit pour impliquer la Russie et surtout la Chine sont sans fin.
Une guerre du tiers monde fait partie des ordres du jour pour contenter les associés financiers et ceci peut ouvrir la voie pendant que les dominos tombent. L’Otan et les Bilderberg’s ont déjà mis en gage un support à tous ces efforts. La conscience collective est manipulée tellement largement en ce moment que la plupart des personnes supportent la stratégie américaine au nom du combat au terrorisme, et cela jusqu’à la folie… L’escalade de ce genre de lois liberticides et de faux attentats vise à renforcer les moyens policiers et centraliser la puissance militaire jusqu’à ce que l’armée mondiale soit en place. Une armée du monde avec la puissance d’attaquer tout pays qui ne correspondrais pas à la machine de propagande, c’est d’ailleur très clairement ce qu’à affirmé le “patron” de l’ONU. L’esprit collectif de l’humanité, et en particulier celui de l’Amérique, est dans un état profondément traumatisé. Il a été soumis à la manipulation médiatique basée sur le traumatisme et comme tout contrôleur d’esprit, chercheur et psychologues et psychiatres pourront vous le dire, un esprit traumatisé est un esprit suggestible. Ainsi, à la suite du traumatisme vient la programmation pour manipuler la population à percevoir les évènements au mode désiré. Le plus grand obstacle potentiel au Nouvel Ordre Mondial étant la psyché des américains, toutes les contradictions ont depuis le 9/11 été détruites à l’aide de la manipulation flagrante et intense des esprits.
– Problème-réaction-solution.
– C’est une autre raison pour laquelle ces attaques ont frappé au cœur même du système économique Américain et pourquoi, quelques jours auparavant, l’idée d’une récession économique globale avait été lançée à travers les médias du monde. Maintenant, “ils” ont carte blanche pour justifier un tel effondrement pour contrer la Chine et vous verrez les corps économiques globaux apporter une réponse à la crise économique.
– En effet, le groupe G7 (Illuminatis) a déjà commencé ce processus…
– Ce sont seulement quelques bénéfices à l’ordre du jour suite au massacre de New York et Washington, qui sont coordonnés, je le répète, par les forces intérieures des Etats-Unis. Ces grands responsables n’ont aucun respect pour la vie humaine comme la plupart des humains qui n’ont aucun respect pour la mort et la souffrance du bétail.
L’esprit de ceux qui visent le pouvoir absolu a un niveau émotif très peu développé et qui ne procure que très peu de conséquences émotives pour constater la profondeur des horreurs commises.
– La poussée finale vers le fascisme global a commencé, le monde ne sera plus jamais pareil. Nous devons donc reconnaître la triste réalité et nous regarder dans le miroir et se demander ce que nous allons faire.
– Être victime ne changera rien, il est temps de réagir. Il y a tellement de choses à faire, il s’agit de s’engager à consacrer notre vie à la détermination inébranlable de ne jamais se mettre à genou devant la dictatucratie. Regardez la vue aérienne de New-York, réalisée le 9/11… Les tours ne sont même pas visibles dans l’immensité de New-York, seule la fumée témoigne du drame… Immédiatement, le sens des proportions amène le retour du sens des réalités, la première pensée réaliste est : “ce n’est même pas une piqure d’épingle par rapport à New-York, ce n’est rien par rapport à l’ensemble des Etats-Unis, c’est moins que rien par rapport à l’immensité de la terre“… Vous serez alors sur le chemin pour comprendre que ce n’était pas grand chose pour le Gouvernement américain de sacrifier deux tours qui devaient de toute façon être détruites suite aux attentats d’extrème-droite quelques années auparavant, afin d’avoir le prétexte d’envahir l’Afghanistan puis l’Iraq… Remettez l’Afghanistan et l’Iraq en perspective avec les deux tours, à la même échelle…Vous comprendrez…
– Nous avons été berné…
Les gens ont donc peur parce que les médias gagnent de l’audience en faisant peur.
Le monde a peur, peur de perdre quelque chose d’autre que ses illusions perdues.
Les gens ont peur d’avoir peur et ça en devient commerce.
D’autres gens vendent alors de l’anti-peur à ceux qui ont peur.
Ca fait peur…
Cette incompréhension ne fait qu’alimenter la peur, celle des autres surtout.
On ne sait plus entendre la raison tellement toutes les déraisons sont assénées en même temps dans les oreilles. On ne voit plus tellement on voit défiler des images, souvent trafiquées, traficotées aussi, pour alimenter les peurs, donc pour faire peur, afin que tourne la machine.
Un jour, au milieu des “boum”, il y a un plus gros “boum”, qui fait plus peur encore et qui est prétexte à sur-armer en sur-imposant pour y parvenir…
Ce cercle vicieux n’amène que la démocratie dictatoriale, un machin politique pire qu’en quarante parce que plus insidieux encore, c’est la fascisation-socialisante-démocratique !
Sous prétexte d’être démocratique et social, de défendre quelques libertés illusoires, on renforce police et fonctionnaires à la solde, non de nous, mais des gouvernements qui ne sont dès-lors plus démocratico-socialisants mais démocratico-dictatoriaux…
Et la machine tourne folle dans un monde qui tourne fou.
On ne crèe plus rien sauf des besoins, là ou il n’y avait nul besoin de rêver à des conneries inutiles.
Même les jeux ne sont plus ludiques.
Taper comme un con dans un ballon mène à jouer un jeu de cons.
Les droits du foot par exemple se négocient à des hauteurs astronomiques, celles du sordide, c’est scandaleux et ça ne sert à rien, on n’en a rien d’autre que des ennuis, des coups de batons des flics, des casseurs saouls et des footbaleurs pourris de pognon qui jouent aux stars de l’inutile tandis qu’on crève tous à gagner de quoi dépenser en conneries débilitantes.
Le bonheur qu’on nous impose, qu’on doit chèrement payer, c’est donc en finale de travailler comme des forçats à produire des bêtises… et d’acheter les bêtises des autres pour regarder les stars, assis dans un fauteuil, en mangeant des chips de la bière ou un cola tout en criant “Penalty”… ou quelque chose de pas trop loin du style “tête d’oeuf”…
On ne s’en rend pas vraiment compte, mais défendre nos “valeurs”, défendre nos “idéaux”, c’est défendre ça.
Ca ne mène à rien…, on fonce dans une impasse, on va droit dans le mur… et derrière le mur c’est le vide, le trou noir, le puits sans fond de la bétise humaine…
Sauf qu’on nous y a concocté “Le nouvel ordre mondial”…, dormez en paix brave gens, on veille sur vous…
Mais en ces années 2.000, on y va en entrainant tout le monde, ce qui révolte ceux et celles qui n’ont même pas à manger.
Parfois ils n’ont même plus de dents.
Ils commencent par jeter des pierres, puis “Le nouvel ordre mondial” récupère en jetant des avions…
Nous hurlons alors avec les loups qui nous “dictaturalisent” démocratiquement sans comprendre !
On fait baston, on finit Bastogne, “Nuts”, on en meurt.
Mourir à Omaha-Beach/France pour que sa descendance puisse rouler en voiture teutonne…
Mourir à Pearl-Harbour pour que sa descendance puisse rouler en voiture jap’s…
Dérisoire !
Surtout les drapeaux brandis en victoire !
Stop…, tout ça pour que Focke-Wulf/BMW rachète Spitfire/Rolls-Royce ?
“Jamais un si grand nombre n’a du à un si petit nombre” disait Churchill…
Parlez-moi de victoire pareille, je répondrais d’amertume.
On est dupé, profond, et en chansons…, tellement qu’on en fait des commémorations !
Chaque chose est un prétexte pour perdre bien plus que ce qu’on nous prend.
Chaque jour, partout dans le monde des nouvelles lois sont promulguées, toutes diminuent les libertés…
AUCUNE loi n’offre jamais plus de liberté…
Toujours restreignent…
Nous sommes tellement abrutis que nous ne savons même plus prendre du recul pour comprendre… et tant bien même, personne ne sait rien y changer.
Alors, inexorablement, nous fonçons…, droit dans le mur de l’impasse !
David Rockefeller (Newsweek International, 1er février 1999) : “Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire”
Henry Kissinger, s’exprimant à Evian le 21 mai 1992 à la réunion du Bilderberg : “Aujourd’hui, les Américains seraient indignés si les soldats de l’ONU entraient dans Los Angeles pour y restaurer l’ordre ; demain ils en seront reconnaissants. Ceci est particulièrement vrai si on leur dit qu’il y a une menace venant de l’au-delà, quelle soit vraie ou promulguée, qui met en danger notre existence même. C’est alors que tous les peuples du monde prieront les dirigeants mondiaux de les délivrer de ce mal. La seule chose que tous les hommes craignent est l’inconnu. Lorsqu’on leur présentera ce scénario, les droits de la personne seront volontairement abandonnés contre la garantie de leur bien-être par leur gouvernement mondial“.