Les Bourses (d’ancêtres) sont vides…
C’est la fin des shows d’automobiles de collection !
Ces 20 dernières années ont vu évoluer une forme particulière du monde étonnant de la collection des voitures anciennes : “Les shows de vieilles bagnoles”, entendez par là des expositions de voitures plus ou moins anciennes au milieu desquelles sont exposé des bazars plus ou moins modernes, souvent déclassés, rarement en parfait état…
Il n’existe que deux catégories de shows, les shows snobs chics et chers et les “bourses d’ancêtres”…, appellation équivoque laissant croire à une connotation sexuelle pourtant totalement inexistante…, sauf sous l’aspect sadomasochiste !
J’ai participé masochistement pendant plus de 20 ans aux deux catégories, y exposant parfois jusqu’à 12 voitures…
Le bilan de ces foires est pour moi plus que mitigé…
A écrire vrai, le bilan est totalement négatif !
Outre, donc, que personne n’est jamais responsable de rien dans ce type de “Bourses d’ancêtres”, (des shows ou les bourses sont vides)…, trois constats sont à établir en vue d’un procès médiatique…
– Le premier constat est que ce sont les exposants (payeurs) de voitures qui font le spectacle… Cela leur coûte une fortune : les transports aller/retour avec deux ou trois jours d’attente en week-end…, les nettoyages détaillés (façon show-room) une fois sur le show ainsi qu’après le retour…, les risques de vandalismes ordinaires (les griffes et petits vols), les risques de vandalismes extraordinaires (les sabotages et gros vols, telle la “disparition” de la voiture “vedette” du show de Gr-Bigard/Bruxelles-Karting)… et le temps passé pour cette “foire” ainsi qu’un jour avant et un jour après… etc.etc…
– Le second constat est que ce sont les organisateurs qui empochent le prix des tickets d’entrée et le prix des emplacements, qui dans certains cas, coûtent 2.500 euros par voiture…, sans assurer quoi que ce soit au profit des exposants…
– Le troisième constat est qu’au fil des années qui passent, les gens n’achètent plus de voitures dans les foires…, sauf celles qui sont super bradées, les exposants étant traités pire que des marchands de tapis !
En finale, les 9/10 ièmes des exposants reviennent de ces foires totalement désabusés et dépressifs, fatigués et appauvris !
Pas un mois, pas une semaine même où une gent ; tantôt fébrile pour réaliser ou profiter de coups d’affaires sur le dos des autres ; tantôt un peu snob voire un peu mondaine soucieuse de collectionner l’une ou l’autre soi-disant perle rare ; tantôt amateur éclairé ou non d’une passion “mécanico-maniaque” parfois déprimante pour qui doit écouter leurs sommets, leurs records, leurs ascensions… et aussi leurs dépressions ; ne se voit sollicitée par l’un des nombreux salons, foires, shows, bourses d’ancêtres qui se déroulent un peu partout dans les pays de la Communauté Européenne.
Une des raisons, est que les exposants croient que ces “foires” attirent beaucoup de monde et que c’est donc une sorte d’obligation de s’y rendre, d’y être présent…
C’est une escroquerie aussi abominable que les exagérations de tirage affirmées par les médias “papiers” pour obtenir des annonceurs…
Il faut noter également, que la foire de Gr-Bigard-Bruxelles/Karting n’attire absolument pas10.000 visiteurs payant…., la réalité prouvée par la billetterie de 2009 n’est que de 2.300 entrées, dont une grande partie étaient des invités et des entrées gratuites !
Et pour ce qui est de la foire de Gand-Flanders Expo 2010, ce n’est absolument pas 20.000 personnes qui ont visité cette foire durant ses 2 jours d’ouverture…, la même réalité prouvée par la billetterie démontre que seulement 5.800 personnes sont venues !
Imaginez donc ce qu’à coûté à chaque exposant de venir, surtout ceux avec des grands stands d’exposition et jusqu’à 10 voitures…, pour ne voir que respectivement 2.300 (Bruxelles) et 5.800 (Gand) promeneurs !!!
Quel peut être le taux (le pourcentage) d’acquéreurs dans cette fiesta, dont le but, pour les exposants, est de vendre ?
L’ancien Brussels old-Timer car show du Heysel (photos du dernier show de fin 2007 ci-dessus), en faillite depuis début 2008, est également la résultante finalité, en témoignage…, de ces pratiques immondes !
Du temps ou Bernard Marreyts était l’organisateur de ce show, il est arrivé que près de 60.000 personnes viennent s’y bousculer…
Mais en 10 ans, ce show à périclité tout en prétendant au même chiffre de fréquentation pour attirer des exposants…
Pour masquer cette déglingue aux exposants, le “truc” a été de couper les salles en petites entités et de diminuer drastiquement la largeur des allées…, mais les deux dernières années, ce n’était plus possible, tel que démontré par les photos ci-avant…
Pour tenter de camoufler la réalité à la presse (qui fait venir les visiteurs), cet affairiste Français a copié le savoir-faire des organisateurs de Rétromobile-Paris en organisant dans la salle la plus “huppée” (la mieux chauffée)…, une sorte de club/réunion annuelle de copinages mondains et congratulations partisanes diverses.
L’hommage putassier de l’avant-dernier show (2006) à l’ancien importateur Ferrari, Jacques Swaters, présenté comme étant un dieu automobile… alors qu’il n’a été toute sa vie qu’un garagiste-opportuniste-vendeur d’automobiles doué dans l’art de facturer des insignifiances hors de prix…, a fini par tuer ce show aussi sûrement qu’on y eut célébré la fumeuse Grosse Lulu du bar “Les effeuilleuses survoltées” situé dans le quartier Hot de la gare du nord…, en tant que meilleure suceuse de Bruxelles…, avec coupes de champagne, petits fours et ronds de jambes complimentés par les plus raides…
Avec de telles fumisteries, le Brussels Rétro-Festival du Heysel n’attirait plus, dans ses 2 dernières éditions, que 4.000 personnes, dont énormément d’oisifs (chômeurs à temps plein… et fonctionnaires en congé-maladie), qui venaient y passer leur temps toujours libre…
Le dernier show de Bruxelles-Heysel était au trois-quart vide d’exposants : Brussels Rétro Festival 2007… La fin des haricots… !
Tout cela en a fait rire plus d’un et plus d’une (voir ci-dessus), mais le Brussels Rétro Festival du Heysel, n’était qu’une goutte d’eau dans l’océan des événements Européens ; Rétromobile/Paris, Techno-Classic/Essen, Classic-Salon/Antwerpen, pour ne citer que les foires les plus courues en matière d’automobiles anciennes dites “de collection“.
Si les expositions automobiles d’Essen et de Paris sont devenues des institutions à part entière dont le “management” est censé appartenir à des professionnels de l’automobile ancienne et de la gérance financière “à l’ancienne”, qui ont leurs enjeux propres, économiques et “idéologiques“…, les “Bourses d’ancêtres” s’avèrent d’une toute autre réalité…
Les exposants “lambda” y sont comme du bétail de foire, le but des organisateurs affairistes, n’étant que de “faire du blé”… sans y connaître grand chose !
Ce “marché” a, depuis belle lurette, été capté par diverses mouvances : marchands officiels ou “en chambre“, collectionneurs avisés ou non, ferrailleurs, brocanteurs et magouilleurs…..
Un phénomène dont les États-Unis, une fois de plus, sont le faux modèle et dont les participants en amont, ne peuvent pas ne pas tenir compte (sic !), fût-ce plus ou moins consciemment…, quoique le modèle de l’immense foire de Hershey (20.000 voitures anciennes sur 60 kms d’allées), ainsi que les shows de ventes aux enchères (Kruse, Barrett-Jackson etc etc par centaines chaque semaine), n’ont strictement rien à voir avec ce qui se passe en Europe…
Ciney par exemple, n’a aucun rapport avec Hershey…
Voyez, à notre modeste échelle de petit pays, les “Bourses d’ancêtres” qui s’y déroulent chaque année.
Moins les voitures proposées sont engageantes et mieux cela vaut, un peu comme si la connotation “crasse” était garante de “bonnes affaires“.
L’attitude de ce public faussement “acheteur“, rend dépités les véritables connaisseurs de la chose automobile ancienne de par le manque de dynamisme du marché, ce qui les décident à produire finalement peu d’animation autour des “expositions” qui sont obligées de faire appel aux importateurs (ou constructeurs) de grandes marques qui se servent des anciennes voitures pour promouvoir leurs voitures actuelles…
Pour bon nombre de nos contemporains, ces “foires” représentent pourtant (et à tort) l’essentiel du marché.
Si les “shows-room-marchands” continuent d’exister, c’est moins pour eux-mêmes, ils sont désormais peu fréquentés, que comme antichambre de ces “foires“.
Il y a quelques années, l’acquéreur type d’une automobile de collection, était non seulement pressé (de la revendre plus cher), exigeant comme dans la tragédie classique, unité de temps, de lieu et d’action (une foire, un lieu, une date) mais il se sentait à défaut d’être vraiment “internationalisé”, au courant de tout et notamment des “valeurs“.
Actuellement, ce type de client n’existe plus dans les “foires”…, il perdure dans les ventes aux enchères d’automobiles de collection, mais a également déserté les shows-room marchands.
Il n’y a plus que les grands shows-expositions comme à Essen et Paris, qui répondent à ses attentes au risque, toutefois de les voir se standardiser.
Il n’en est pas de même pour les “foires” et “bourses d’ancêtres”, mais heureusement, leur banalisation même sécrète un antidote.
Elles se ressemblent toutes et finissent par provoquer l’indifférence, voire un ennui débilitant…, toutes choses qui ont offert à quelques adversaires de ce “collectivisme“, de nouvelles armes.
Les gens vont toutefois de moins en moins dans les “foires” et “bourses d’ancêtres”… et ceux qui s’y risquent encore ne se souviennent même plus, après leur visite, des marchands qu’ils ont vus.
Et pour cause, les marchands locaux ne vont plus dans ces foires, elles sont devenues trop chères, n’attirent plus grand monde et plus aucun acheteur ne s’y manifeste.
Ainsi, dans la dernière foire d’automobiles anciennes qui se tenait début mars 2010 à Anvers, il n’y avait plus qu’un seul marchand belge (Eddy D’hoe, un vendeur-réparateur spécialiste des MG)…, tous les autres venaient de pays limitrophes, vraisemblablement en semi-gratuité pour leur participation au show d’Essen mi-avril 2010, l’organisateur étant le même…
Strictement plus aucun autre grand marchand belge, il est vrai que l’année passée fut fertile en décès, Walter Dahlman, Roger Gillis et tant d’autres…, des emplacements qui ne sont pas repris !
Ces “non-évènements” ont finit par s’entre-tuer, il y en avait trop et beaucoup ne se justifiaient pas.
Les années précédentes ont vu la suppression de quantité de ces “foires” : Bruxelles-Heysel et Louvain en première ligne.
Mais, même actuellement, dans les quelques qui perdurent, ce sont les mêmes voitures qui circulent d’une “foire” à l’autre… et comme ce sont souvent les mêmes “faux-collectionneurs” et “réels-opportunistes” qui les visitent, ces automobiles-là ne se vendent plus.
Il faut y ajouter que la pression exercée par les maisons de vente aux enchères britanniques et françaises, pour être présent d’une manière ou d’une autre dans la “régulation” du marché des voitures anciennes, n’est pas faite pour arranger les choses.
Les “arrangements” entre amis du sérail, sous la houlette de Simon Kidston, une sorte , un “regroupeur d’affaires” qui tient les directeurs de quelques maisons de vente aux enchères sous son influence, étant un des éléments de cette vaste machinerie destinée à faire de l’argent en quantités astronomiques…
Les maisons de ventes aux enchères d’automobiles de collection, engrangent de 10 à 15% perçus auprès des vendeurs, ajoutés aux 10 à 15% perçus auprès des acheteurs…, ce qui représente environ 30% du volume des transactions…
Comprenez dès-lors que ces gens n’ont aucune envie de partager leur gâteau… et que tous les moyens sont bons pour que quiconque ne se soumet pas à leurs diktats se voit écarter sous n’importe quel prétexte, un de ces moyens étant d’ignorer superbement ceux qui veulent participer à leurs ventes en remettant en cause leurs prétentions financières…, ou de les étrangler tout en les sodomisant très profond en leur imposant un prix de réserve extrèmement bas, bien inférieur au prix coûtant de leurs chères automobiles…
Un autre moyen est pour eux, d’accepter une inscription à la condition qu’il n’y ait aucun prix de réserve (le prix minimum en dessous duquel le Commissaire-Priseur ne peut pas adjuger)…, ce qui est assez souvent un des moyens de dégoûter tout en ruinant, quiconque espère vendre sa ou ses voitures à un bon et juste prix…
C’est dans ce contexte que jouent les “regroupeurs d’affaires” qui sont aimablement prévenus par un des responsables des maisons de ventes aux enchères… et qui en organisent l’achat à vil prix avec l’argent et la complicité de vautours fortunés…
Inutile de dire que ces mêmes voitures, après un an se retrouvent au pinacle des valeurs…
Bref, ces pratiques mafieuses et ce gigantisme n’arrangent rien quant à la déglingue du monde de la voiture ancienne, certainement pas les ventes !
Il arrive que, comme dernièrement chez Bonhams, ces “choses” sont étouffées par l’éviction des dites personnes “responsables”…, sans bruits ni remous…
Toutefois, on commence à voir fleurir çà et là, aux quatre coins du monde occidental, une nouvelle génération de marchands et/ou collectionneurs convaincus que l’automobile est une passion et un plaisir et doit le rester !
L’un d’entre eux, Dirk Libert, que je connais bien, m’a dit, lors du show de Gr-Bigard-Bruxelles-Karting : “Ce trop-plein d’automobiles anciennes dont les 3/4 ne présentent pas le moindre intérêt, ces multitudes de shows et surtout de foires et bourses d’ancêtres insipides, ces manifestations foireuses de plus en plus coûteuses ou quasi plus rien ne se vend, parce que les ressources financières des collectionneurs ne sont pas infinies ou pas constantes dans leurs envies, voire fragilisées par les contraintes imbéciles de nos politiciens et fiscards rapaces, est occupé à gangréner le monde de l’automobile ancienne… Qui plus est, l’exposition des voitures de bas de gamme, souvent dans un état poubelle, nuit au monde de l’automobile de collection, alors que ces engins immondes ne se découvrent que dans les foires à bestiaux comme ici, mais Ciney est un autre exemple de cette déglingue” !
Dirk Libert à raison, c’est la fin d’une époque…
C’est également l’avis de Bernard Marreyts (le bonhomme barbu sur la photo ci-dessus) qui, bien qu’ayant créé le Brussels Rétro Festival du Heysel, a finalement décidé de le vendre (tel qu’explicité plus avant)… et ne participe plus à ces foires, mais uniquement aux shows de Essen et de Paris : “Actuellement, la majorité des ventes se passe au départ d’annonces visionnées sur le Web. Les gens regardent, téléphonent ou envoient un e-mail…, ensuite, si tout “est bon” rendez-vous est pris pour voir et essayer le véhicule. Au vu et au vécu de cette évolution, j’ai modifié ma façon d’agir et d’être, je ne participe plus aux salons que si les prix d’emplacements sont raisonnables et de toute manière, seulement avec une ou deux voitures. Près des 3/4 des ventes se déroulent au départ d’Internet”…
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C’est également l’avis de Guy Evens qui fut organisateur de shows et bourses d’ancêtres, mais qui a préféré tout revendre en 2009 à Hans Stevens (voir en début de cet article), parce que tout cela ne correspondait plus à rien : “Comme vous le savez, j’étais actif, depuis 1989, comme organisateur professionnel d’événements automobiles ancêtres. En 2009, j’ai vendu mes activités et me suis dirigé vers l’Internet. J’y ai créé une sorte d’exposition virtuelle ou tout le monde, en ce compris les exposants désabusés par les foires et bourses d’ancêtres sont bienvenus pour y ouvrir un “webshop”. Jour et nuit, sans relâche, sans qu’ils aient besoin d’être présent, ce “webshop” va travailler pour eux, la terre entière pourra y accéder. En un “click”, des millions de gens intéressés pourront examiner ce qu’ils proposent en vente : automobiles, pièces et accessoires, miniatures, rétromobilia et automobilia, art de l’automobile, littératures, folders, carrosseries, restaurations, réparations, entretiens, transports…. ou n’importe quel autre service spécifique… Le site sera disponible dans les 20 langues les plus usitées dans le monde (jusque fin mars 2010 seulement en Anglais) et est soutenu par la FIVA, la fédération mondiale des véhicules anciens. Une newsletter sera envoyée mensuellement vers un public mondial. Cela va représenter un tirage de plus de 1.000.000 d’e-mails vers des personnes inscrites et intéressés”.
Ce sera objectivement beaucoup plus efficace et bien moins coûteux que de participer à des “foires” de 2.300 visiteurs !
“J’ai également un accord rédactionnel avec des magazines comme Australian Classic Car Magazine, Hemmings (USA), Classic & Sportscar (UK), Avtoklasika (Bulgarie), etc… Un million de clients potentiels intéressés dans les voitures de collection et tout se qui tourne autour de ce sujet…, c’est une opportunité unique pour les amateurs de voitures de collection, vendeurs et acquéreurs, d’augmenter leurs cercle de relations, clients, amis et connaissances ! Vendre et/ou acheter sans bouger de sa maison, sans frais, sans risques, sans beaucoup d’efforts… Y-a-t-il eu déjà eu une meilleure opportunité dans le monde ?”…
Qu’est-ce que ça va coûter ?
“Ce sera gratuit : la seule chose que les gens devront faire, sera de s’enregistrer, comme ils le font sur un forum, puis de publier leurs annonces de manière illimitée”…
Autant d’annonces que veulent les gens ?
“Absolument, c’est gratuit et illimité. Les annonces qui seront placées seront immédiatement visibles par tous les visiteurs, bien en évidence, grâce à la News-letter envoyée chaque mois à plus d’un million d’adresses e-mails, ce qui leur assurera une très importante audience. Et pour avoir un maximum d’impact, les premières annonces déposées avant fin mars 2010 seront favorisées, c’est pour cela qu’elles doivent être en place avant que le premier mailing de news-letter ne soit lancé… et que la campagne médiatique débute. Dans un an, les nouveaux arrivants se verront proposer un abonnement annuel, mais toujours avec un nombre illimité d’annonces, il ne ne coûtera que 50 euros par an… Une annonce individuelle automobile ne coûtera alors que 5 euros et les autres se vendront à 1 euro”.
Mais d’ici-là, c’est entièrement gratuit ?
“Absolument, c’est entièrement gratuit. Ce que j’ai fait durant 20 ans, c’est-à-dire des foires, des bourses et des shows, soit environ une centaine, fut une bonne combinaison qui ont apporté des résultats positifs aux visiteurs et aux exposants. Mais les temps changent et le monde évolue. J’espère maintenant, pouvoir faire encore mieux pour les 20 prochaines années. Souvenez-vous que le manque d’évolution fut la cause de la mort des dinosaures. Venez voir par vous même “…
Pour en savoir plus :
Brussels Rétro Festival 2007… La fin des haricots…
Réflexions d’un Gnou désabusé…
Antwerpen 2008, show et froid…
Faire la foire quand tout se déglingue… (Brussels Collection Car 2008)
Maastricht 2009, le miroir des vanités perdues…
Les sémiophores de l’inutile…
Antwerpen Old-Timer Show 2009…
