1974-1975 Bricklin SV1…
Une escroquerie géniale !
C’est toujours un peu pareil, les automobiles extraordinaires dont on rêve, même éveillé, s’avèrent généralement celles qui déçoivent le plus parce qu’on s’en était fait des montagnes ou des rivières merveilleuses, parce qu’on avait mis la barre très haut par rapport à nos attentes, à nos envies… et cela toujours en fonction de commentaires journalistiques biaisés, calculés, qui décrivent tout et n’importe quoi pour vendre et nous convaincre d’un (possible) miracle, sublime et parfait, quelque chose d’assez monumental qui laisse complètement transi, malmenant nos ardeurs et nos impatiences.
Fin 1974, beaucoup de fous d’automobiles hors du commun, attendaient, dans un souffle retenu, les yeux grands ouverts sur les articles et photos de divers journaleux auto-proclamés spécialistes et experts en automobiles sportives, un genre de révolution éco-sportivo-automobile, un incroyable thriller onirique capable de tout réinventer, de tout redéfinir, voire de créer sa propre mythologie.
Un projet périlleux rendu véritable qui allait rendre les fameuses Corvette quelque peu figées, une partie d’échecs entre un David (Malcom Bricklin) et Goliath (Chevrolet Corvette), en multiples dimensions dont la finalité allait apporter un bouleversement planétaire.
Une telle ambition dans le design, conjuguant la splendeur esthétique d’une carrosserie éco-révolutionnaire et la puissance d’action d’un éco-V8 Ford…, une telle intelligence dans les idées déployées (les portes “papillon”)…, le tout dans une intrigue marketing adroitement élaborée et maîtrisée de A à Z…, tout cela pour ne finalement délivrer qu’un engin stérile…, à eu de quoi pleinement contrarier…, laissant le public pantelant et lourd d’une désagréable sensation de vacuité, de tromperie.
En cette suite, on a vécu quelque chose de très frustrant à subir ainsi une résolution si triste, si peu consensuelle… et qui, rétrospectivement, a transformé la Bricklin SV1 en un jouet dangereux qui s’est cassé, rompu par la perfidie de Malcom Bricklin…
Cela n’a pas amené Malcom Bricklin à errer à la poursuite de son propre pardon, de ses propres turpitudes, d’une existence qui serait, enfin, apaisée…, non pas que l’art de la manipulation dans l’automobile soit critiquable en soi, bien au contraire puisque cet art fait partie intégrante du système…, mais parce que dans le cas de la fumisterie qu’était la Bricklin SV1, il a été sans pitié envers les candides !
C’est d’autant plus regrettable qu’on s’interroge toutes et tous, justement sur les commencements, sur les déclenchements des rêves, sur ces instants si étranges, toujours impossible à déterminer et à décrypter.
Les rêves nous transportent, nous placent spontanément au cœur des événements, sans explications ni objectifs, là ou origine et fin semblent se confondre, ne pas exister, ne pas avoir d’importance ni même d’utilité dans leur logique de cheminement cérébral.
Malcom Bricklin a un peu plus de vingt ans lorsqu’il décide de devenir millionnaire…, pour y parvenir il décide de lancer une franchise de magasins de bricolage…, le procédé est simple : Malcom Bricklin vend une marque, un procédé ainsi qu’une assistance technique pour la gestion et le fonctionnement en échange de royalties.
Il vend un maximum de franchises… sans le reste…, il réclame 250.000 US dollars par magasin…, après avoir vendu 18 franchises et empoché 4.500.000 US dollars, les poursuites commencent…, les plaignants demandent 153.000 dollars et n’en reçoivent finalement que 95.000 !
Il est poursuivi en justice… mais se rend insolvable, obtient un acte d’impossibilité de poursuites définitif envers lui et disparaît avec les 4.500.000 dollars…, pour réapparaître dans un autre État en tant que conseiller en marketing.
Au cours d’un voyage en Italie, afin d’obtenir l’exploitation d’un nouveau jukebox, il rencontre des dirigeants de Lambretta, fabricants de scooters.
En échange d’un salaire garanti durant un an, il leur vend un stock de scooters à… la police new-yorkaise !
Multipliant les contacts, il entre en contact avec la Fuji Heavy Industries…, après plusieurs rendez-vous, il réussit à importer les scooters Subaru vers les USA…, c’est grâce à cette marque japonaise qui se lance peu-après dans la fabrication de petites voitures, qu’il met les pieds dans le monde automobile.
En effet il commercialise bientôt la Subaru 360 aux USA…, un pari réputé impossible, car à cette époque, les consommateurs américains n’utilisent que des voitures de plus en plus grandes et lourdes.
Il y croit, il espère, mais, téléguidée par les “Big-Three” de l’industrie automobile américaine (les mêmes qui ont coulé Preston Tucker), manque de chance, la voiture est attaquée par une association de consommateurs américains qui la déclare dangereuse.
Qu’à cela ne tienne : Bricklin lance des courses promotionnelles pour faire connaître la Subaru 360, écrase les prix et réussit à en vendre un bon millier avant de négocier le rachat de l’importation aux USA par Subaru pour un million de dollars…
Il fonde en 1971 la Général Vehicle Inc. et la Bricklin Véhicule Corporation dans l’état du Delaware qui offre une fiscalité avantageuse…, il souhaite y produire sa propre voiture… et fait appel à Bruce Meyers qu’il charge de plancher sur différents projets, tous très flous, à l’image du bonhomme qui excelle plutôt dans les films pornographiques…
Malcom n’est pas insensible à toutes les suggestions, il est même complètement influençable et change d’avis régulièrement grâce aux charmes de différentes starlettes plantureuses qui jouent dans les films de Bruce Meyers.
Cela finit par lasser Meyers, jaloux…, qui laisse sans regrets sa place à Marshall Hobart.
Hobart se fait assister par Herb Grasse qui a roulé sa bosse à Detroit et amène avec lui deux anciens de chez Ford : Garth Dewey, spécialiste carrosserie et Tom Monroe qui a travaillé sur les Mark VI du Mans.
Hobart dessine une voiture selon les directives de Bricklin…, la voiture aura des portes papillon parce que “Monsieur” Malcom Bricklin aime les portes papillon…
“Monsieur” Malcom Bricklin veut aussi une partie arrière inspirée de la Datsun 240Z parce qu’il aime beaucoup cette voiture.
“Monsieur” Malcom Bricklin est un fin connaisseur (sic !), puisqu’il décide d’équiper sa voiture d’un six cylindres Chrysler.
Les suspensions sont d’origine Datsun, les autres composants viennent de Toyota ou de Général Motors.
Le résultat est approximatif, la voiture ne tient pas la route…, mais bon, ça suffit pour faire des photos et un film publicitaire afin d’attirer des “investisseurs”…
Pendant la gestation, Hobart voit défiler un grand nombre de personnalités dont un certain John De Lorean qui prend des notes et des photos…, qui lui parle de Preston Tucker…, malgré ses dettes, Bricklin obtient des prêts de plusieurs banques, qu’il garantit avec des valeurs qui ne lui appartiennent pas !
Ces prêts lui permettent d’ouvrir un atelier à Levonia et d’embaucher officiellement Hobart et son équipe.
Malcom mène la grande vie.
Il passe des heures en avion.
Il rencontre les dirigeants d’AMC et négocie l’achat de 3.000 V8 que la firme destinait à un coupé sportif qui n’a jamais vu le jour.
Mais “Monsieur” Malcom Bricklin recommence à avoir besoin d’argent….
Ayant du mal à en trouver (à cause de sa réputation ?), se souvenant de ce que John De Lorean a dit à Hobart concernant l’escroquerie titanesque que Preston Tucker a réussit en percevant des avances financières pour la commande de milliers de Tucker alors qu’il n’en construira que 50…, il se tourne vers le Canada et discute dans un premier temps avec le gouvernement québécois pour reprendre des usines Renault désaffectées.
Les relations échouent, mais un homme d’affaires canadien met Bricklin en relation avec le gouvernement de la province du New Brunswick.
La province et plus particulièrement le chef du gouvernement, Richard Hatfield, vont voir en Bricklin l’homme providentiel, l’homme par qui le chômage et les crises économiques vont disparaître.
Les contribuables de cette province canadienne vont devenir les vaches à lait des sociétés Bricklin…, la province lui consent un prêt de 4 millions de dollars et lui donne des garanties pour 12,5 millions de dollars.
Le gouvernement canadien va, en plus, lui accorder 3 millions de dollars en cash-flow…, en contrepartie la province possède 67 % de General Vehicle Inc… ce qui est une astuce géniale dans la réalisation de l’escroquerie de Malcom Bricklin puisque ce sont eux, actionnaires majoritaires qui auront à subir la grande déglingue finale…
L’argent va donc couler à flot pendant deux ans pour le seul train de vie de Malcom Bricklin qui n’est pas juridiquement responsable, puisque déclaré comme salarié !…
Et la voiture ?
Oui bien sûr…, mais passer d’une voiture qui ne roule pas à un véhicule en série qui roule mal, ce n’est pas si simple.
Malcom Bricklin voit très grand dans ses plans destinés aux actionnaires principaux, puisque pour les endormir dans la béatitude et les inciter à payer de plus en plus…, il prétend que les statistiques (sic !) et les études de marché (gag !) pronostiquent (re-sic !) des ventes de 12.000 voitures la première année, 30.000 la deuxième, 50.000 la troisième, 100.000 la quatrième…
Le gouvernement du New Brunswick, croyant à toutes ces folies, achète une usine pour un million de dollars.
Elle emploiera 500 personnes “normalement”, payées par l’État du New Brunswick….
Mais, arrêtons de rire… et revenons à la voiture…
“Monsieur” Malcom Bricklin veut une carrosserie en fibre de verre…, il y croit énormément et le dit dans le dossier de presse.
Pourtant la carrosserie est loin d’être au point…, c’est même un casse-tête : la température de polymérisation des composants de base n’est pas maîtrisée et les ingénieurs constatent que l’acrylique ne peut résister aux hautes températures extérieures.
Résultat, tous les panneaux de carrosserie sont mal ajustés, rien ne correspond vraiment, la peinture craquèle, le polyester se fendille et casse par endroit, l’ensemble craque et gémit, brinqueballe lorsque la voiture roule…, de plus, les portes papillon constituent une source de tracas supplémentaires pour eux…, mal conçues, alourdies pour des raisons de fausse-sécurité, les portières qui de plus se coincent contre les flancs de la carrosserie, refusent de se relever (gag !) et ne ferment pas correctement (gag-bis !)…, à moins qu’elles se relèvent à plus de 120km/h…
On essaie tout : commandes hydrauliques, amortisseurs à gaz, commandes électriques…, “Monsieur” Malcom Bricklin n’arrange pas les choses, il pique des crises lorsque les ingénieurs, pour des raisons techniques, modifient un détail de style qui lui tient à cœur.
Il n’est pas le seul, car papa Bricklin est dans l’affaire, tout comme maman, la sœur, le beau-frère et Oncle Ben.
Papa prend son rôle très au sérieux et passe au-dessus des dirigeants.
C’est même un grand génie…, la preuve, il a eu l’idée fabuleuse de tester la résistance aux chocs de la carrosserie en y donnant des coups de masse !
Il fallait y penser !
Malcom décide de présenter la voiture à la presse le 25 juin 1974.
Le gouvernement du New Brunswick commence à s’impatienter car la production tarde à être lancée.
Le 24, il fait venir à New York un avion rempli de journalistes…, il a loué pour l’occasion une salle pour 50.000 dollars…, la présentation ne réunit que du beau monde, dont John De Lorean qui continue de prendre des notes…
Après un discours, Malcom Bricklin saute sur une plate-forme où se trouve déjà papa Bricklin.
Dans un style cow-boy, papa prend un fer à marquer le bétail…et marque la carrosserie d’un B en disant : “J’ai appelé cette voiture Bricklin”.
La foule est impressionnée.
Ce n’est pas fini…, Samy Cahn, une vieille pointure de Broadway, arrive sur la plate-forme et entonne la chanson “The most beautiful car in the world”.
Bricklin, qui continue de singer très exactement ce qu’a fait Preston Tucker, passe dans la foule, serre la main à tout le monde, c’est devenu une star.
A ce moment là, la province du New Brunswick a déjà avancé 4.5 millions de dollars… et 3 millions au moins sont arrivés directement dans les poches de Malcom Bricklin…
En septembre, il fait poser les 300 salariés autour de la Bricklin pour Playboy.
La présentation de la Bricklin et la publication des photos dans Playboy ont été bénéfiques pour “Monsieur” Malcom Bricklin…, des concessionnaires ont en effet versé de grosses avances (toujours le fil Preston Tucker) et ils ne vont pas être déçus lorsqu’ils reçoivent la voiture (gag !) : les portes ne s’ouvrent pas, l’habitacle prend l’eau, le circuit électrique est un réseau de courts-circuits…, rien n’a été prévu pour la garantie et l’approvisionnement est hasardeux dans la mesure où Bricklin change de fournisseurs régulièrement.
Tout le monde s’inquiète et Bricklin lance l’opération “tout va très bien”.
Il annonce l’étude d’un lancement d’un nouveau modèle, la Bricklin Chairman.
Ce sera une limousine exclusivement noire avec des décorations plaqué or.
Les acheteurs se verront payer un voyage en avion à l’usine pour voir naître leur voiture qui sera livrée à domicile une fois terminée.
On y croit ! Tout le monde y croit ! Du coup, l’argent continue d’affluer…
La Bricklin SV 1 n’est pourtant pas encore au point (elle ne le sera jamais)…
“Monsieur” Malcom Bricklin qui a compris qu’en tirant tout en longueur avant la grande déglingue, ce qui lui permet de percevoir des brouettes de dollars de l’État du New Brunswick, actionnaire principal…, veut que la voiture résiste à un choc frontal de 45 km/h soit trois fois plus que la norme.
Les ingénieurs re-dessinent donc un imposant châssis de tubes carrés, très renforcé au niveau du toit et de l’habitacle et qui se termine à chaque extrémité par deux pare-bœufs montés sur amortisseurs hydrauliques…, tandis que le V8 AMC est remplacé par un V8 Ford 5.9 litres de 160 chevaux !
Il est temps de faire les comptes après…
Résultat, seules 2.900 Brincklin SV1 seront (très mal) fabriquées… et, avant que tous les clients et concessionnaires portent plainte…, “Monsieur” Malcom Bricklin dépose le bilan, le 25 septembre 1975.
La société Bricklin doit 3 millions de dollars au gouvernement fédéral canadien.
Elle doit aussi 19,7 millions de dollars au New Brunswick, 100.000 dollars à la Plastic Maritimes Ltd, 6 millions de dollars à d’autres fournisseurs…, etc.etc…
Soit au total 32.354.870,03 dollars… qui sont en réalité dus par l’État du New Brunswick, actionnaire majoritaire avec 67% !!!!
Tous les partenaires se sentent trahis et attaquent Malcom Bricklin.
Le procès va durer des semaines et ce ne sont pas moins de 43 volumes de plusieurs centaines de pages qui vont décrire les faits et causes qui ont conduit la société à la faillite.
Dans les documents on apprend que maman Bricklin gagnait 30.000 dollars par mois, papa 60.000…, mais en finale, Malcom Bricklin n’est pas condamné personnellement, car c’est sa société qui a contracté les dettes et non lui…
Et comme tout ce qu’il a perçu l’a été en tant que salarié de l’usine, l’État du New Brunswick doit seul supporter la faillite et payer des indemnités à Malcom Bricklin ainsi que les lois sociales et divers en fonction de ce qu’il a touché…, une escroquerie parfaite, Preston Tucker est battu…, ce sera ensuite au tour de John De Lorean de se lancer dans une affaire semblable !…
John De Loréan va, plus tard, intégralement copier la manière de faire de Malcom Bricklin, quasiment à 100%, mais en Irlande à qui il promettra exactement les mêmes choses que Bricklin au Canada…
A la suite de cette affaire Richard Hatfield et son gouvernement démissionnent.
L’aventure va rapporter des millions de dollars à John De Lorean qui sera à deux doigts de pousser l’Irlande dans une totale déconfiture…
On prétend que c’est à cette suite que fut imaginé un stratagème des services secrets pour amener John De Lorean responsable d’un trafic de drogue et tenter ainsi de l’envoyer en prison à vie !
Qu’est devenu Malcom Bricklin ?
On ne le voit pas pendant des années puis il réapparaît en 1993 en créant la société Electric Vehicles Corporation dont l’objectif est de convertir des voitures fonctionnant à l’essence en véhicules électriques…, mais ce n’est pas tout : le concept va plus loin puisque le client pourra changer l’intérieur, les pneus, la peinture…
En 1995, la société disparaît… et Bricklin va créer la société Electric Bicycle Company.
Sanyo et Delco Electronics participent à l’aventure.
Cette société va concevoir un vélo électrique, l’EV Warrior… et souhaite le vendre 800 dollars.
Beaucoup de commerçants suivent Bricklin et payent des avances et franchises…, mais à sa sortie le vélo coûte en fait 2.000 dollars.
C’est un fiasco et l’entreprise fait faillite.
Sanyo perd 5,45 millions de dollars tandis que Delco Electronics en perd 1,5 millions.
Malcom Bricklin disparaît avec la caisse, à nouveau légalement, tout est une question de contrats….
On le retrouve en Chine ou il négocie l’importation de micro-voitures totalement pompées sur la Smart…, la firme Smart/Mercedes enrage, cherche un moyen pour interdire ce projet…
“Monsieur” Malcom Bricklin s’en sort encore par une pirouette en réclamant plusieurs millions de dollars à la société automobile Chinoise pour rupture de contrat…
Où est-il aujourd’hui ?
On raconte qu’il vit à Malibu, mais son nom ne figure sur aucun annuaire…
Partir à sa recherche, c’est comme explorer les vastes champs possibles du subconscient de l’inhumanité, en se jouant des échelles physiques et temporelles…, lancé à toute allure sur les traces de Malcom Bricklin, escroc à la recherche d’une improbable vérité, d’une rédemption aussi, mais se heurtant aux glissements, l’un dans l’autre, du monde et de ses chimères.
Que reste-t-il, que peut-il lui rester au terme de toutes ces escroqueries ?
Est-ce la vie, la mort ou un incommensurable néant ?…
Non, un fantôme… et des centaines de millions de dollars…
Il y a quelques années, Jonathan Briklin, le fils de Malcom à voulu réhabiliter l’image de sn père en réalisant un film documentaire sur “sa vie, son œuvre”, “utilisant” même Susan Sarandon pour y contribuer (d’autant plus facilement qu’il est l’amant (36 ans) de Susan (66 ans)… depuis 10 ans !
Il s’agit de “The Entrepreneur”…
Si vous êtes un entrepreneur-escroc…ou si vous êtes intéressé par ce qui pousse les gens à continuer a flouer les autres dans l’adversité, procurez vous ce film…., il a fallu 5 ans et plus de 1500 heures d’images à Jonathan Briklin pour créer cette association stellaire de l’humour, de la détermination, des succès, des défaites et de l’esprit d’à-propos en toutes circonstances.
À travers tout cela, la vie de Malcolm est un rappel qui démontre que lorsque vous faites quelque chose (et même n’importe quoi) du moment que vous êtes passionné, c’est comme travailler avec votre cul comme une pute…, c’est amusant quand il y a beaucoup d’argent à-la-clé !
J’espère que vous obtiendrez une chance de le vérifier…, en 70 ans, Malcolm Bricklin a été marié 4 fois… et a créé plus de 30 entreprises différentes… et moins de la moitié ont réussi.
Ce film de 91 minutes, produit par Morgan Spurlock et réalisé par Jonathan Bricklin, fils de Malcolm Bricklin (le sujet du film) fait partie du système “SnagFilms” propriété de “SummerFest” en partenariat avec la société “Hulu”.., ils fournissent “en première mondiale” un nouveau film chaque vendredi disponibles en streaming et exclusivement en ligne pendant une semaine, avant d’apparaître dans les festivals, théâtres, salles de cinémas, salles de classe et en DVD…
Cherchez sur Google…, bonne chance !
http://bricklinpartsva.com/technicaldocuments/techlibrary.htm
http://ici.radio-canada.ca/sujet/bricklin
http://ici.radio-canada.ca/sujet/bricklin/2013/06/06/003-chaine-montage-bricklin.shtml
https://www.youtube.com/watch?v=ktbY5cx_hVs
https://www.youtube.com/watch?v=X6urwtfP13M
https://www.youtube.com/watch?v=7F-abU6J0E0
https://vimeo.com/70615833