Mes aventures au lac Baïkal…
Ne me demandez pas comment je suis arrivé à Ulan Bator… Non ! Niet ! Ce serait trop long… Or, certains et certaines que je ne nommerai pas ici, par décence, et pour éviter d’effroyables représailles, affirment que j’écris déjà trop long !… Quelle honte ! Ces gens n’ont jamais lu “Guerre et paix” de Léon Toltoï, ces gens ne connaissent pas Tourgueniev, le plus français des auteurs russes, ni Fiodor Dostoïevski, encore moins Mikhaïl Boulgakov, Alexandre Pouchkine, Boris Godounov, Eugène Onéguine, Lermontov, Pushkin, Chekhov, Gogol… Connaître la littérature russe est primordial à qui veut comprendre les méandres obscurs de l’âme russe : poésie, prose, théâtre en vers, contes, essais, journalisme… ouvrant la voie au siècle d’or du roman russe et ses auteurs célèbres.
Mais revenons aux prémices et au génie fondateur d’Alexandre Pouchkine. Nourri de culture française, il choisit cependant la langue russe pour écrire. Très jeune, il s’essaie avec succès à tous les genres littéraires : poésie, prose, théâtre en vers, contes, essais, journalisme. Questionnements individuels, morale, foi, tentation, crime, violence, rédemption… et des chefs-d’œuvre tels que Anna Karénine, La Mort d’Ivan Ilitch ou Les Frères Karamazov. Osez faire la différence entre un Bernard Henri Levy clown corrompu et corrupteur ainsi que âme damnée de nos misérables chefs d’Etat Français, risible en comparaison de Fiodor Dostoïevski qui a exploré les recoins les plus sombres de la psychologie humaine, percevant de manière aiguë non seulement le poids de la censure mais aussi la fragilité et l’instabilité du monde. Lire ses textes c’est plonger dans les tréfonds des âmes, son esthétique du paroxysme et du sublime illustre le cliché de l’âme russe, radicale et tout en démesure : Crime et châtiment en est le parfait exemple.
Parallèlement à ces voix tonitruantes, s’est aussi développé une littérature plus discrète dont le chef de file est Anton Tchékhov, médecin de profession, côtoyant toutes les couches sociales et s’en faisant portraitiste incisif et désabusé : aristocratie déchue, anciens serfs devenus maîtres, petits bourgeois aux vies étriquées, paysans frustres, réalités de la vie quotidienne, l’ennui, l’absurdité de la vie humaine. D’une certaine manière, il annonçait Soljenitsyne. En Russie les gens lisent des vrais livres et ne sont pas amoindris par les lobotomisations de masse de journaleux qu’on impose aux franchouillards en TV’s de fake-news en continu… Pour faire plus court, j’ai donc décidé, dans mon unanimité personnelle, de ne pas publier les 14 chapitres concernant mon périple qui m’a amené à Ulan Bator, ni celui qui concerne mon séjour à Ulan Bator, ce qui est dommage car vous auriez appris quantité de choses sur les mœurs locales et ma dépravation quasi inévitable en ce lieu…
La route est belle, Natacha et moi nous observons de nombreux Faucons-de-l’amour, souvent perchés sur les fils électriques, de très gros rassemblements de Grues-demoiselles et quelques Buses-de-Chine… Après une nuit de folies, nous quittons Ulan Bator de bonne heure le dimanche matin pour une liaison (sexuelle) de 550 km vers la frontière Russe. Un point me tracasse cependant, je n’ai pas assez de cash sur moi pour le passage de la frontière (Assurance russe obligatoire et taxes douanières), la carte bancaire de Natacha a atteint son faible plafond de retrait hebdomadaire… et ce dimanche toutes les banques sont fermées. Tout ça sent la galère à plein nez ! Nous arrivons à la douane Mongole, ou nous attendons patiemment notre tour, mais après que plusieurs voitures et camions soient rentrés en grillant la file d’attente, Natacha joue un coup de caractère et les douaniers nous laissent passer devant à notre tour. Au portail suivant, la tension monte devant la douane russe au moment de la déclaration douanière, même si je suis tout content d’avoir tous les papiers et certificats nécessaires. Erreur !!! Je sens qu’il y a un problème ! On nous balade de bureaux en bureaux, nous poirotons 3 plombes pour qu’on m’annonce que je dois payer l’équivalent en Roubles de plus de 680 euros de taxes pour la voiture, soit plus cher que le prix de cette antiquité roulante elle-même et plus cher que son expédition par container vers l’enfer.
Devant ma mine déconfite et ma décision de ne pas vouloir payer, leur expliquant (via Natacha) qu’il s’agit d’un essai automobile mélangé à une description d’un voyage romantique vers le lac Baïkal destiné à être publié dans le site-web GatsbyOnline, les douaniers russes réfléchissent au fait que “je connasse” Gérard Depardieu grand ami de Vladimir Poutine que j’ai rencontré et photographié en Crimée… C’est d’importance, ils me font attendre, encore et encore. Dans mon malheur, j’ai trois chances : 1- Je voyage avec Natacha qui me sert d’interprète, de modèle-photo et d’amante (aux étapes)… 2- Je tombe sur le douanier le plus sympa et compréhensif de Russie qui, fait extraordinaire, surfe régulièrement sur le web et particulièrement sur GatsbyOnline.com et a vu et lu mon reportage avec le nouveau Tsar… 3- Il est plus de 18h00, la douane ferme ses portes ! Le douanier militaire déchire ma déclaration, m’en fait remplir une autre (toujours via Natacha), refait tout les papiers sans paiement d’aucunes taxes (notamment celles pour la voiture plus l’assurance obligatoire), indique que nous sommes amis-invités de Vladimir Poutine… et il nous laisse partir en organisant une haie d’honneur des douaniers qui crient : “Hourrah, Hourrah, Hourrah à l’ami de Poutine”... On part en saluant sans demander notre reste, estomaqués que ça se soit passé ainsi, sans rien payer et de surcroit sans devoir payer la fameuse assurance dont nous n’avions pas le montant en liquide sur nous.
C’est dans cette ville que nous faisons notre première halte Sibérienne, au cœur de la Bouriatie. Nous prenons la route qui remonte vers Ulan-Ude, au sud du Lac Baïkal. Nous retrouvons Popov et Irina, un couple Bouriate rencontré à l’hôtel d’Ulan-Bator, qui sont encore tout excités de notre nuit d’orgie… et faisons simultanément la connaissance de Victor Dashanimaev, ornithologue et professeur à l’université des sciences naturelles de Bouriatie à Ulan-Ude, qui nous propose de refaire la même nuit qu’avec Popov et Irina, mais avec lui et sa femme Lanà en sus… Après une nuit palpitante et surtout suite à un réveil par la milice (10 mecs en treillis noirs, gilets pare-balles, Kalachnikov et interrogatoire digne du KGB) qui nous reprochent d’avoir violé par erreur deux femmes de chambre (qui ne porteront finalement pas plainte), nous décidons, Natacha et moi de quitter nos amis/amies, la ville d’Ulan-Ude, ainsi que son buste de Lénine, le plus grand du monde !!! Enfin (ou à nouveau) seuls…
Nous longeons la Selenga, qui se jette plus au nord dans le Lac Baïkal en papotant de la nuit passée… Cette première séance “Porno-Sibérienne” fut hallucinante. La sexualité débridée dans cette partie de la Russie-Sibérique (sic !) est terrifiante, délirante !!! Tout au long du parcours qui nous rapproche du lac Baïkal, nous observons de gros groupes de Choucas-de-Daourie… et des Faucons-de-l’amour… qui chassent les Libellules (très nombreuses espèces) au-dessus de la Selenga… Nous rejoignons le Baïkal, lac mythique, rêve d’enfance des livres d’histoire-géo. Ce lac accueille la plus grande réserve d’eau douce liquide de la planète (20 %), représente à lui seul un plus gros volume d’eau que tous les lacs des Amériques réunis… et est profond de 1.637 mètres… Nous passerons quelques jours au bord du Lac, entre le delta de la Selenga et les rives du sud-ouest autour du village de Vidrino. Faute de temps (durée du visa oblige), nous abandonnons la possibilité de nous joindre à un groupe de jeunes-femmes en partance sur le delta de la Selenga pour une virée-sexy de 6 heures en bateau, conscients aussi qu’à cette époque de l’année, en dehors de l’indéniable ambiance et de l’aspect paysager, nous ne raterions pas d’espèces aux mœurs particulières, car, autour du lac, d’une halte a l’autre, en fonction des endroits, diverses femmes seules rencontrées ont varié énormément nos plaisirs !
Niché dans le sud de la Sibérie, loin des destinations touristiques classiques, le lac Baïkal offre à ses visiteurs un paysage exceptionnel, avec près de 31.000 kilomètres carrés de pureté et de charme naturel. Surnommé “la perle de Sibérie” et connu dans le monde entier pour ses richesses naturelles, le lac Baïkal demeure un lieu Intemporel mais est menacé par le développement. Sur ce site cohabitent des dizaines d’espèces de flore et de faune sauvages uniques, dont les fameux phoques sans oreilles ou encore l’Omul, un poisson qui constitue l’une des principales ressources alimentaires des riverains. Réputé le plus profond du monde (1.637 mètres), le lac Baïkal constitue aussi un cinquième des réserves d’eau douce de la planète. Classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1996, il est ainsi devenu un lieu d’expédition pour les scientifiques…, ce qui a provoqué un engouement touristique pour la région. Toutefois, certains habitants craignent que les nombreux voyageurs ne détruisent à terme la beauté sauvage du site. La haute saison touristique débute en juin pour se terminer en août, une période qui offre aux visiteurs des conditions idéales pour la randonnée, le vélo, le camping, Ie canoë-kayak et la pêche.
Les pratiques sexuelles locales particulières ne sont pas reconnues comme touristiques, mais l’activité favorite qui permet d’y accéder “naturellement”., reste le traditionnel “Bania”, un sauna à la russe, avec toute la culture qui lui est propre ! En hiver, les touristes peuvent profiter des promenades en traîneau et de la pêche sur glace. Pour certains, le lac Baïkal est l’une des escales du voyage à bord du Transsibérien. Le plus souvent, les voyageurs descendent à Irkoutsk et choisissent le village le plus développé de la région : Listvïyanka. Ce lieu est presque devenu le confluent de deux continents, car on y croise de nombreux Asiatiques et Européens. L’ile d’Olkhon, située à environ 300 km au nord d’Irkoutsk, reste l’un des sites les plus purs et sauvages de la région. Accessible en bus, en taxi ou avec sa propre voiture, Olkhon est la plus grande des 27 îles du lac Baïkal. Pour atteindre Khoujir, la capitale de l’île, il faut compter une demi-journée sur des routes rocailleuses, ainsi qu’une traversée en bac. Pourtant, ceux qui s’aventurent sur l’île d’Olkhon ne le regrettent pas. Le temps semble y avoir retenu son souffle, protégeant ses quelques 1.500 habitants de la vie stressante et mouvementée des grandes villes et de la civilisation. Ici, l’électricité n’est installée que depuis 2005.
Sa situation géographique fait d’Olkhon le lieu idéal pour rencontrer des individus rudes (et forts bien membrés m’a dit Natacha), de même que les peuples du Baïkal comme les Bouriates d’Asie. Les peuples de Sibérie se différencient des autres habitants de la Russie par leur exposition permanente aux éléments naturels, ils disent vivre en harmonie avec la nature, respecter les traditions. Selon leur culte, le Rocher Chamanka alentours, serait sacré. En respect pour les croyances locales, les touristes ne peuvent pas prendre de photos des chamans ni endommager les marquages sur les arbres, ou autres symboles sacrés. L’île d’Olkhon offre aussi des paysages contrastés : des montagnes rocheuses et des forêts, mais aussi des steppes à perte de vue… et même un petit désert. Mais ces lieux préservés ne sont pas pour autant dépourvus de tout confort : de nombreux hôtels accueillent les touristes et l’île a son propre musée.
Elle offre également des aires de jeux pour enfants, une bibliothèque comportant des livres en anglais et en allemand, ainsi qu’un zoo. L’hôtel Nikita, dirigé par Nikita Bentcharov, résident de l’île et fervent écologiste, reste de loin le plus connu de la région.
Contrairement aux stéréotypes sur les russes et la vodka, Nikita Bentcharov nous a privilégié, à Natacha et moi, un accueil pour le moins différent de la tradition alcoolisée vécue jusqu’ici : l’alcool au sein de l’établissement est interdit, à la place, le gérant nous a offert une délicieuse cuisine Sibérienne dans la plus pure tradition. Les habitués de la vie chère sont souvent étonnés par les prix locaux : 750 roubles (20 euros) pour une nuit d’hôtel pour deux personnes, y compris trois repas chacun au buffet en libre-service. Si vous choisissez de prendre une chambre au Nikita en y venant de ma part (précisez GatsbyOnline), vous recevrez un repas supplémentaire offert par l’établissement, plus si affinités. Le développement du tourisme dans la région, notamment l’hébergement, a cependant contribué à la destruction des ressources naturelles. Le risque serait qu’à terme, le tourisme submerge l’île et la fasse disparaître. Mais, donnant raison aux anciennes légendes, c’est l’esprit du lac qui attire les visiteurs, venus de plus en plus nombreux du monde entier contempler le site et communier avec la nature !
Nous ferons plusieurs bivouacs dans la Taïga, chacun apportant de nouvelles observations sur les coutumes sexuelles locales ! D’Irkoutsk nous prenons la route vers l’ouest à travers la Taïga et ses paysages magnifiques, d’autant plus que la forêt se pare des ses couleurs automnales. La Sibérie (et sa traversée par la route au travers de la Taïga) révèle ici des notions d’échelles kilométriques un peu hors de nos repères occidentaux. Il n’est pas dans nos habitudes de voir des panneaux routiers qui indiquent les prochaines grandes villes à 1.500, 2.300 ou 3.550 km de distance, soit plusieurs fois la traversée de la France du nord au sud !!! Et c’est ici que le challenge imparti par la limite de temps de notre visa prend tout son sens. Nous devons relier la Mongolie à la Crimée en moins de 25 jours (19 jours depuis Irkoutsk), ce qui représente une distance de 6.500 km, soit environ à vol d’oiseau, la distance qui sépare la France de l’Afrique du sud !
Tout cela est largement faisable, mais nous avons déjà grignoté quelques jours d’euphories sexuelles au bord du Baïkal et c’est sans compter les plus de 250 km de piste boueuse à parcourir entre Irkoutsk et Novosibirsk ainsi que les éventuels problèmes mécaniques (et les arrêts sexuels). Soudain ! Un bruit incroyable vient de la roue avant droite, la voiture se met à trembler énormément et la pédale de frein pompe dans le vide. Hélas, c’est une de mes plus grosse galère mécanique qui me tombe dessus en plein milieu de la Taïga, heureusement non loin d’un petit village. Arrêt immédiat. Après le démontage de la roue avant droite, le verdict tombe : le roulement de roue est mort de chez mort (il faisait du bruit depuis quelques temps). La roue tournait en faisant des huit en vertical, complétement voilée, altérant la virginité du disque de frein et risquant de fausser définitivement celui-ci. On roule a 5 km/h jusqu’au village ou on demande un garage auto qui n’existe pas. Mais on tombe par chance sur le garage d’entretien et de réparation mécanique des camions d’une grosse entreprise d’exploitation forestière.
La voiture semble ridicule devant les énormes 6 roues motrices russes dont un convoi part le lendemain pour ravitailler une mine d’or en Gazoil (trois jours de route en pleine forêt). On est pris en charge par Piotr, le chef d’atelier (adorable), qui, grâce à ses recherches dans ses catalogues en vient a la conclusion que toutes les berlines russes (Lada, Maz, Uaz, Kamaz…) possèdent les mêmes roulements, mais qu’il n’en a pas, mais va la fabriquer, quoique ça risque de durer quelques jours et nuits… !!! Natacha décide de m’abandonner au profit sexuel d’un malabar musclé conducteur de camion. Piotr me dit qu’en Russie les femmes vont et viennent et que sa femme lui a dit qu’elle se laisserait volontiers abuser sexuellement par moi car elle fantasme sur les Français et que j’y gagnerais en intensités… ! Du coup je lui explique que je suis éditeur de magazines automobiles et de sites-web itou-la-la… Bagnoles, femmes etc.etc.etc… Le miracle des pulsions s’enclanche… En attendant les réjouissances son épouse va préparer un repas Sibérien pantagruélique de mise en forme (sic !) et Piotr m’entraine vers son bijou automobile, une Zil 1938 copie presque conforme d’une Mercedes. Il me dit que son épouse a été mannequin à Moscou et qu’elle serait heureuse de poser pour moi devant sa voiture, que cela pourrait lui ouvrir les portes du festival de Cannes…. J’en ai rajouté une couche pour parfaire le cliché ! Elle se prénommait Anouchka et, quoique Piotr est resté après dîner pour participer à la nuit Sibérienne, je dois avouer qu’elle savait y faire et s’y prendre ! La toupie Sibérienne en trio m’a laissé un souvenir impérissable…
Le lendemain, séance photo avec Anouchka. Malgré l’insistance à recommencer le soir suivant d’autres toupies Sibériennes, la présence d’un Piotr en érection besognant l’autre “entrée au paradis” d’Anouchka m’a refroidit et j’ai prétexté un rendez-vous important dans quelques jours à Moscou avec Vladimir Poutine pour repartir avec un de ses camionneurs jusqu’à une gare. Piotr m’a juré que ma voiture serait prête pour le lendemain… J’ai du attendre 3 jours et nuits de toupies Sibériennes ET de repas Sibériens pantagruéliques avant que la réparation soit faite ! Je suis reparti le lendemain vers 9h sans avoir dépensé un seul kopek (ce qui est vraiment le cas de le dire ici en Russie), abasourdis de tant de gentillesses et de savoir-faire sexuel !!! Le coffre était chargé de présents (légumes, confitures et conserves maison, ainsi que des petits chaussons de laine) Ici, chaque maison dispose d’un énorme potager et de caves très remplies en légumes et conserves pour pouvoir passer l’hiver long et rude (très régulièrement des température en dessous de moins 40° C…). Les Sibériens et surtout les Sibériennes, malgré leurs visages parfois fermes et austères, sont des gens adorables et très chaleureux. J’ai par la suite vécu plusieurs autres jolies rencontres en Sibérie, Andreï un autre garagiste et sa femme Ourélia, chez qui je m’étais arrêté pour faire réparer deux pneus et avec qui j’ai également passé un superbe moment à d’abord déguster du poisson du Baïkal (l’Omul, une espèce endémique), à boire de la vodka… et ensuite, plus… car affinités sexuelles !… Prochaine grande étape : la liaison entre Novosibirsk et la chaîne des Monts Oural, ou j’ai changé de continent pour passer d’Asie en Europe…et par là même, dans l’ouest palé-arctique…
Ne me demandez pas comment, ni pourquoi… ni même quand… ou autres questions stupides… Ce serait trop long… Or, comme déjà écrit en ce début d’article, certains et certaines que je ne nommerai plus ici par décence, affirment que j’écris déjà trop long… Pour faire plus court j’ai donc décidé dans mon unanimité personnelle de ne pas publier les 12 chapitres concernant mon périple qui m’a amené dans l’ouest palé-artique… ni les 7 autres qui concernent mon retour en France… ce qui est tout aussi dommage que pour les 14 chapitres décrivant mon arrivée à Ulan Bator… et celui plus particulièrement relatif aux joies sexuelles vécues dans cette ville du bout du monde… ! Dommage (pour vous) car vous auriez appris quantité de choses sur les mœurs locales et ma dépravation quasi inévitable en ces lieux qui vous sont inconnus et le resteront…
5 raisons de se rendre au lac Baïkal :
1- C’est le plus grand lac d’eau douce au monde et le plus profond. Il abrite 848 espèces animales et 133 espèces végétales endémiques.
2- Il est l’une des destinations touristiques les plus réputées pour ses circuits d’aventures, randonnées pédestres et VTT, baignades, rafting, équitation, excursions en 4×4 russe, pêche, ou encore séjour exotique dans une yourte confortable au bord du lac.
3- C’est un lieu mythique à la fois du bouddhisme et du chamanisme en Russie. Des centaines de visiteurs viennent découvrir les danses rituelles des chamans, ou méditer dans un monastère bouddhiste.
4- La route menant au lac Baïkal vous fera découvrir des paysages splendides et profiter des équipements offerts par la Sibérie.
5- En 1996, le lac Baïkal a été classé au “Patrimoine mondial de l’humanité” par l’Unesco et nominé au concours des sept merveilles naturelles du monde (en 2008).
–