Les naufragés de l’âme…
Le monde de ce moment fugace, à l’instant où j’écris, qui peut être aussi d’hier, d’avant hier, de la semaine passée, du mois oublié et des années qui s’écoulent, n’est plus le même que de plus loin encore, le temps où pour écrire, enfant rêveur, de merveilles inaccessibles, d’affaires de pirates et d’aventuriers téméraires, de belles inconscientes en quête d’or, de bijoux et d’amours illusoires… Si maintenant je tapote sur un clavier d’ordinateur, avant, d’il y a longtemps, c’était une plume qui transcrivait mes pensées, mes rêves et cauchemars. Elle était une aile d’oiseau magnifique virevoltant dans le ciel de mes imaginaires, sans cesse, soutenue par ma main pour que son ombre soit projetée sur le papier, chaque mot se précipitant vers catastrophes ou apothéoses.
L’idée d’histoires est concrète, chacune d’elles, une fois émise, correspond à une création, à un point quelconque de l’absolu. C’est l’heure où, dans la nuit, des mâchoires délicates s’accouplent à des gueules de pirates. L’heure est venue des représailles. Le nouveau corsaire vêtu d’un smoking est à l’avant de son yacht rapide qui de son sillage blanc singeant les princesses des cours périmées, heurte dans sa course tantôt le corps des naufragés errant depuis la nuit des temps, tantôt, enveloppé d’un ridicule drapeau, le corps de celui qui décéda avant d’arriver au port, tantôt la troublante arête-squelette d’une sirène défunte pour avoir, une nuit, traversé sans son diadème de méduses, les eaux d’une tempête éclairées par un phare puissant perdu loin des côtes et proie des oiseaux fantômes.
Ahhhhhh !!! Apprendre à comprendre fait changer bien des choses ! Muter le temps qui passe. Le visage d’une beauté rare et vénéneuse d’une femme, est forcément pour un homme un objet extrêmement variable, le plus souvent, il n’est qu’un miroir, où se reflète comme dans les eaux calmes, tantôt une passion, tantôt un enfantillage, tantôt une lassitude, et il s’efface si vite, comme une image dans un miroir sans tin, qu’un corsaire, mieux qu’un pirate d’affaires, peut sans difficulté oublier, d’autant mieux que l’âge y fait alterner l’ombre et la lumière et que des costumes nouveaux l’encadrent différemment. Un texte d’écritures est un miroir qui se promène sur un océan d’amertumes. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt le glauque des abysses. Et moi qui porte ce miroir risque sans cesse d’être, par vous lecteurs, lectrices, accusé‚ d’être immoral ! Mon miroir, certes, montre l’abominable et la beauté mélangés en bourbier, et vous, lecteurs, lectrices accusent le miroir de briser vos rêves et illusions ! Accusez bien plutôt l’amer de l’océan des mensonges…
Nous sommes des naufragés de l’âme, l’écriture n’est que le reflet de ce chagrin. Le reflet de l’âme, la poésie, le rythme de la vie. Pfffffff ! Si l’âme est triste et que la vie est obscurcie par les malheurs, à quoi bon l’image suggestive et les vers réussis ? Vaut-il mieux vaut se retrancher dans la méditation plutôt que de façonner des œuvres avec des pulsions négatives ?… Parmi les innombrables gens que j’ai rencontré, la gamme entière des possibilités humaines m’a été révélée, chacun des numéros de la loterie génétique ayant son tour. J’ai cru comprendre que l’humanité est issue d’un immense chaudron de contradictions et qu’au nombre de ses antécédents se comptent des mendiants et des sots, des saints et des héros, des infirmes et des beautés, de belles âmes et des criminels violents, des altruistes et des voleurs. À se trouver confronté à autant de vies au cours d’un laps de temps trop bref, j’ai gagné une nouvelle compréhension de moi-même et de ma place dans le monde, un élément d’un ensemble trop immense ! J’ai ainsi cru comprendre qu’on est chacun/chacune, finalement, unique responsable de son avenir.
Parlons-en de l’avenir… Tout va de travers. Les gens s’accrochent aveuglément à la première bouée de sauvetage venue : la politique d’avant, celle de droite, de gauche et d’entre-deux, la diététique, le zen, le surf, la danse classique, l’hypnotisme, la dynamique de groupe, les orgies, le vélo, l’herbe, la religion authentique, les haltères, les voyages, le retrait intérieur, la cuisine végétarienne, l’Inde, la peinture, l’écriture, la sculpture, la musique, la profession de chantonneur/chantonneuse de conneries éculées, les balades sac à dos, le yoga, la copulation, le jeu, l’alcool, les yaourts surgelés, Beethoven, Bach, Bouddha, le Christ, le jus de carotte, le suicide, les costumes sur mesure, les voyages en avion, alors que tout se casse la gueule, alors que tout part en fumée. Cons et connes se disent alors qu’il faut bien trouver quelque chose à faire en attendant de mourir. Du Covid où des faux vaccins ? L’art de l’embrouille fleurit dans le terreau de la bêtise humaine.
L’art d’écrire est un art très futile s’il n’implique pas avant tout l’art de voir le monde comme un potentiel d’illusionnements collectifs. Le matériau de ce monde peut être bien réel, pour autant qu’il y ait une réalité, mais n’existe aucunement en tant qu’intégralité acceptée comme telle : c’est un chaos, et à ce chaos j’écris : “Allez-y ! Foncez !” et quand bien même j’écrirai l’inverse, le monde vacille et entre en fusion de lui-même. Et, c’est en cette suite que se recombinent non seulement ses éléments visibles et superficiels, mais ses atomes mêmes. L’écrivain, à ne pas confondre avec le scribouilleur-journaleux mal payé pour tapoter le plus de conneries possibles, est le premier homme à en dresser la carte et à donner des noms aux objets naturels qu’il contient. Le grand artiste traverse mers et océans et, arrivé dans une île imaginée, battue par les vents, qui croyez-vous qu’il rencontre ? Ses lecteurs et lectrices en béatitude haletants et heureux, ébahis…
Quoi d’autre pour traverser mers et océans qu’un bateau, quoique, bateau n’est pas bateau, il en est de grands et de riquiquis… Pour arriver dans l’île imaginée, faut-il dépenser des fortunes avant d’avoir joué à l’abordage tel un chef-pirate ? Fi de l’esquif, de la barquette de pêcheur, du radeau et du cuirassé géant, un entre deux, abordable, ce qui est ici un double-sens de pirate en mers calmes, un yacht suffit à l’affaire. Mais qu’est-ce ? Un yacht est un bateau de plaisance qui peut être à voiles ou à moteur. Le plus souvent à usage privé, sa taille est suffisante pour contenir une cabine. Toutefois, le terme est parfois aussi utilisé pour décrire de plus petites embarcations sans cabine.
Le terme yacht vient du hollandais “jacht”, qui signifie chasse, qui désignait à l’origine les voiliers de petite taille qui étaient utilisés pour poursuivre les pirates. Ils sont par la suite devenus de plus en plus populaires comme bateaux de plaisance. Le terme s’est ensuite anglicisé au XVIIe siècle quand le roi Charles II est revenu de son exil hors du Commonwealth (qu’il a passé notamment en Hollande) avec une passion pour le yachting. Le terme est ensuite progressivement associé aux bateaux de plaisance à vapeur et à moteur. Par la suite, pendant son âge d’or, le yacht est devenu un symbole de statut social pour Américains fortunés. Par exemple, J.P. Morgan possédait un yacht de 73 mètres de long, appelé “The Corsair” (il a ensuite été racheté par la Navy pour être transformé en canonnière). Les yacht-clubs, des clubs très exclusifs fréquentés par les yachtmans, sont aussi devenus très populaires à cette époque et ont contribué à associer l’image du yacht à celle de la richesse dans l’imaginaire collectif.
La passion du yacht s’est dissipée pendant et après la Grande Dépression, mais lorsque la consommation extravagante est revenue à la mode dans les années 1980 et 1990, les financiers américains ont commencé à s’affronter pour voir qui serait capable d’acheter le plus gros yacht à moteur. Ces énormes bateaux de luxe privés, que l’on surnomme parfois mégayachts, ou superyachts, dépassent régulièrement 60 mètres en longueur et peuvent coûter des dizaines de millions, voire des centaines de millions de dollars à la construction. Et, bien que ces énormes yachts offrent suffisamment de place pour abriter une cave à vin, une salle de cinéma privée et un terrain de basket, ils peuvent parfois causer quelques désagréments ! Certains d’entre eux sont trop imposants pour entrer dans des ports plus modestes et sont donc forcés de se mettre à quai dans des marinas commerciales, aux côtés de pétroliers et autres bateaux de commerce ou de service.
En 2010, Larry Ellison, un magnat du business, a décidé que son yacht de 137 mètres de long, le Rising Sun (Soleil Levant), était devenu trop gros pour lui et l’a revendu à David Geffen, un grand producteur de musique (Ellison quant à lui racheta un navire plus modeste qui ne mesurait que 87 mètres de long). Ironiquement, et bien que le principal attrait du yacht soit l’intimité qu’il offre à son propriétaire, les yachts de très grandes tailles (ceux qui excèdent une jauge brute de 299) doivent en permanence, comme l’exige l’Organisation maritime internationale, transmettre publiquement leur position grâce à un transpondeur de système d’identification automatique (vous pouvez consulter la position actuelle de ces yachts, ainsi que d’autres bateaux de très grande capacité, sur www.marinetraffic.com ).
Des bateaux de toutes tailles coûtent généralement chaque année environ 10% de leur prix d’achat en entretien. Les grands yachts de luxe demandent l’attention d’un équipage permanent qui comprend un capitaine, des ingénieurs, des stewards, des chefs cuisiniers et des matelots. Beaucoup de propriétaires de yachts affrètent leur bateau quand ils ne s’en servent pas pour couvrir une partie des coûts de maintenance. Les yachts américains sont souvent immatriculés à l’étranger pour des raisons d’imposition et pour contourner les problèmes de visas associés au fait de travailler sur un navire enregistré aux Etats-Unis pour un équipage rarement composé de citoyens américains. Dans d’autres pays anglophones, le terme yacht n’est pas autant synonyme de richesse qu’il ne l’est aux Etats-Unis ou en France, et il s’applique même couramment à de tous petits voiliers. Des membres de la classe moyenne britannique, australienne ou néo-zélandaise amateurs de voile peuvent ainsi être désignés comme yachtmans.
Deux orientations, soit du contemporain, soit de l’ancien, les montants à débourser ne sont absolument pas les mêmes.
Contemporain d’abord avec les Tenders/Chase-Boats qui font office d’annexes de vrais yachts (grands, gros et chers) qui séduisent de plus en plus les plaisanciers à la recherche de day-boats d’exception. Entre constructeurs, la guerre fait rage sur un secteur où ils se doivent de proposer des modèles à la fois design, glamour, rapides et confortables !
Le terme “Chase-Boat” revient de plus en plus souvent au fil des discussions animant les pontons des salons de Cannes, Saint-Tropez ou Monaco. Ces mini-Yachts sont conçus pour faire office de tenders de yachts tout en se montrant capables de suivre ces derniers où qu’ils aillent (où presque, car un tour du monde leur est inenvisageable quelles que soient les conditions de mer).
Ces unités chic’s et choc’s présentent parallèlement des plans de pont à ranger certainement parmi les plus confortables du marché. Véritables day-boats de rêve pour plaisanciers en quête d’embarcation permettant de filer à haute vitesse vers les plus beaux mouillages de Méditerranée ou des Caraïbes de , ces bateaux naviguent également tous, sans exception, sur des carènes remarquables. Sans surprise, l’Italie est le pays dont les constructeurs sont les mieux représentés. Les modèles du chantier Wally sont d’ailleurs considérés par beaucoup comme les véritables symboles de ce monde un peu à part. On retrouve également un grand nombre de marques hollandaises dont les VanDutch, des vedettes parvenant toujours à se démarquer en termes de design. Comme le plus souvent en matière de motonautisme haut de gamme. Glamour, design et confortables, les Chase-boats sont de plus en plus appréciés pour leurs qualités propres, et se présentent aujourd’hui comme une alternative aux grands coupés et fly-bridge dans le cœur des amateurs de plaisance haut de gamme, qui préfèrent rentrer au port le soir venu plutôt que de passer la nuit à bord. Un marché en pleine expansion, les prix varient, neufs de 600.000 à 3.000.000 € et en occasion, ce n’est pas misérable, quoique, mais au moins 50% avec un peu plus de contraintes et d’emmerdes…
Je me suis donc orienté vers du moins ostentatoire, et donc forcement moins cher, soit entre 80.000 et 250.000 €, tous en occaze car c’est le style “à l’ancienne”, du genre “Papy fait une croisière sur la Seine, l’Escaut, la Meuse où le Rhin. Quoique (bis) ces bateaux en bois peuvent aller en mer, ce sont des bateaux de canaux et rivières, tels les bateaux à moteur Super Van Craft, construits par le chantier naval Hollandais “Jachtwerf Klaassen” depuis de nombreuses années. À l’heure actuelle, plus de 600 d’entre eux naviguent sur les voies navigables intérieures et le long des côtes du nord-ouest de l’Europe. Les yachts à moteur Super Van Craft se caractérisent par leur étrave évasée et leur superstructure en teck. Avec exactement le bon mélange de savoir-faire traditionnel et d’innovation technique, les yachts à moteur Super Van Craft sont conçus pour les courts, moyens et longs voyages.
Il existe plusieurs modèles de bateaux à moteur Super Van Craft à vendre. La longueur des bateaux à moteur varie de 11 à 22 mètres, ce qui se reflète dans le nom du modèle. Les modèles les plus populaires de Super Van Craft sont le Super Van Craft 12.20 et le Super Van Craft 17.50…, la classe et le charme d’un bateau ancien et robuste mais avec tout le confort et la technologie moderne ainsi que la fiabilité de la motorisation ! Vous aimez aussi ? Alors ce bateau est pour vous, pour moi ? Pourquoi pas ? Un ami d’ami m’a proposé ce Super Van Craft de 1973, 14m30 de longueur et 4m30 de largeur à vendre dans le Nord. Il peut naviguer à la fois sur les canaux, les rivières et en mer. Entièrement rénové de 2017 à 2019 par des professionnels, ce Yacht hollandais de renom est qualifié de ‘Vedette” et donc s’avère féminine et ainsi amarrée dans le port sécurisé de Hautmont.
Absolument tout a été refait. Cette “Vedette” a toutefois gardé son “look” d’origine avec ses appliques, ses laitons, ses instruments de navigation, ses inox extérieurs, le teck du pont et la superstructure en acajou de Birmanie, toutes choses qui lui confèrent une ligne classique et très élégante. Une électronique (SIMRAD) de navigation, avec lecteur de carte (avec connexion wifi), sondeur et VHF a été ajoutée. Les installations électriques 230Vac, 24Vdc et 12Vdc sont neuves. Un onduleur de 3.5kVA fournit le 230Vac durant la navigation. Tous les accessoires sont posés pour recevoir un groupe électrogène. L’entièreté de la plomberie a été remplacée, y compris les tuyaux passe-coque avec leurs vannes. La “Vedette” dispose d’un réservoir d’eau potable de 1.400 litres. Deux moteurs diesel DAF 575, complètement remis à neuf et révisés, lui assurent une propulsion confortable avec un réservoir de plus de 2.000 litres. Un nouveau système de refroidissement apportant aux moteurs une réduction substantielle du bruit des échappements sur le pont arrière.
Les vernis intérieurs sont magnifiques tant dans le carré que dans les cabines avant et arrières où une nouvelle moquette a été posée. Un cabinet de toilette avec WC électrique fait face à une spacieuse cuisine rénovée qui garde son cachet original. La cuisinière-gaz a été remplacée au profit d’une taque à induction. Beaucoup de rangements. Les deux cabines avant avec leurs couchettes superposées et dotées d’une nouvelle literie permettent de loger confortablement 4 adultes et leurs effets. La cabine arrière (généralement la cabine du capitaine/propriétaire) est totalement séparée du carré grâce à une double porte . Elle dispose d’une couchette double et d’une couchette simple qui peut aussi servir de sofa ainsi que d’un meuble coiffeuse. Une douche spacieuse avec un WC électrique est attenante à cette cabine ainsi qu’une penderie de grande capacité. Tous les équipets du bateau disposent d’un éclairage LED. Le carré est très vaste et a beaucoup d’élégance avec sa banquette renouvelée et 2 cabriolets d’époque assortis, un bar et de nombreux espaces de rangement. Il y a également un toit ouvrant, très agréable par beau temps.
Le pont arrière avec ses nouveaux coussins est large et peut facilement accueillir quelques invités. Cette “Vedette” est équipée d’une bâche de cockpit amovible. Les pare-brise s’inclinent pour permettre de passer un peu partout sur le système des voies d’eaux intérieures. Le pont avant est vaste et très confortable. Les sièges-coffres de l’avant ont reçu de nouveaux coussins et permettent de s’asseoir ou bronzer pendant les navigations pour profiter pleinement des paysages qui défilent. Vedette fluvio-maritime idéale pour profiter d’une navigation en famille ou entre amis est suréquipée. Son niveau de confort permet d’envisager la vie à bord ou une exploitation commerciale. Un dossier technique complet a été établi par un professionnel, tout est documenté. Une expertise complète a été effectuée et est particulièrement dithyrambique quant à la qualité de la rénovation. La “Vedette” qui se nomme “Marco Polo” est fin prête pour partir vers de nouvelles aventures ! Pour plus d’information ou organiser une visite à bord, veuillez contacter : marco.polo.svc@gmail.com : Prix a discuter, plus où moins 150.000 € ! https://www.marco-polo-svc.com/