Big-Balls Baggers…
Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec le terme “Baggers”, permettez-moi d’ajouter un peu de contexte à cet article avant de plonger dans plus de détails croustillants…
En termes simples, une moto “Baggers” se réfère à un moto “non-Baggers” qui dispose de sacoches !
Cependant, la réalité est toute autre, en ce qui se référence aux motocyclettes Harley-Davidson qui incarnent la passion d’un Cow-boy mécanisé pour voyager plus loin que le bar local et aller sur la “Road Trip Adventures”.
Cela écrit, certains veulent ajouter juste plus de sacoches pour le stockage… et cette création “Insane” permet beaucoup plus de personnalisation supplémentaire.
Ce que vous voyez ici est une Harley Davidson “Road King Baggers” qui a eu un traitement via “Misfit industries”, une société qui gagne un max de thunes, de pépéttes, de flouze et autres… par le biais de créations diverses et comme vous pouvez le voir, dans ce cas, le résultat est totalement génial.
C’est un dénommé Chris Eder qui a créé “Misfit industries” en 2007 au Texas (USA), où avec une équipe “badass” il a débuté la construction d’Harley’s choppérisées Pro-Street.
Toutefois son rêve n’était pas uniquement de créer une entreprise qui serait à la pointe de l’innovation dans la fabrication de motocyclettes, les marchés de fabrication d’accessoires et de vêtements, tout en exploitant (le terme est faible) le monde des Harleyistes avec la plus grande intégrité possible et un sens de l’éthique (sic !)… que nenni, le bonhomme avait quelque chose d’autre en tête… ou plus précisément “entre les jambes”…
– “Nous créons et fabriquons les motos et les pièces les plus avancées dans l’industrie des choppers. Nous pouvons vraiment dire que nous sommes un leader de l’industrie dans la technologie et la tendance des motos sur mesure. Beaucoup de nos pièces sont “brevetées”. Nos clients peuvent monter leur moto avec confiance. Chaque pièce que “Misfit industries” fabrique est garantie à vie”…, m’a dit Chris Eder…
Au cours des dernières années, “Misfit industries” à créé des “emballeurs de spectacles gagnants”, c’est à dire “des machines de show destinées à “emballer” le public et à gagner les premiers prix”…, toutefois une construction coûte plus de $120.000 pour un client lambda et plus du triple pour des stars et starlettes qui exigent encore plus dans les détails (c’est comme pour les sandwichs “Corse”, ils sont pareils mais le prix pour les “touristes” est le double du même sandwich destiné aux “locaux”)…
Pour résumer…, dans ces shows…, si être pompeux n’est pas suffisant, les putassiers sur ce type de bécanes se sodomisent tout seuls…, après les frasques, les déboires et les loufoqueries habituelles…, toutes choses en boucle, partouze pour que le peuple en soi gavé comme des oies engraissées de conneries…, ne manquent que les traquenards “aux miches folles”, et les chantages “aux cul bouillants”…
Comme spectacle, c’est pas difficile, on comprend tout de suite…, ça consiste rien qu’en coïts, mais mimés, “des eaux à la connasse” fougueusement simulées par des nananas typiquement splendides, des créatures bouleversantes, bandatoires à mort (faut reconnaître), des brunes, des blondes, des longilignes, des rouquines, des menues, des trapues, des langoureuses, des chichiteuses, des sauvages, des dodues, des vampiriques, des fulgurantes, tous les goûts…, pas de dégoût…, un assortiment diabolique de carnations éblouissantes…, du sex-appeal vertigineux, le tout en convulsions égayantes car ondulatoires.
Offrandes, reptations, trémulations, extases hypnotiques… et en musique… toute cette fantasia, est insistante, baratinante, impitoyable…
Comble de la “tentalerie”…, ces stupreries ne sont offertes aux beaufs crétinisés qu’après d’interminables et très réticents déshabillages, allées-venues, voltes échappées…, et “revenez-y” de croupes, gigoteries de fessiers, fricoteries vibratoires, effrénésies de charmes, écartement de toisons, délires de moules, tribulations merveilleuses de tous les trésors au pavois…
Le peuple, lui, après tout ça, il pète et rote…, heureux de sa masturbation, il remet la révolution à pluche…, faut turbiner un peu, dormir avant de penser aux congés payés à crédit et au p’tits boulots en noir pour arrondir et payer la bagnole et les vacances dans dix ans…, y a pas de fin à c’t’aventure…, sauf qu’après on finit par mourir…
De la philosophie aux balloches, il n’y a qu’un pas que j’ose allégrement franchir… mais que “Misfit industries” a également dépassé dans la limite de l’inacceptable…, du consumérisme pur et dur…, c’est là ou l’entre-jambes défini plus haut revêt une importance cruciale…
Qui dit entre-jambe, signifie qu’on attaque sous la ceinture un jujet sensible…, les testicules (qui en a de bien grosses sait que les bijoux de famille on une certaine importance dans l’inconfort motard)…, sont en effet un sujet délicat…, mais je suis rompu aux sujets touchant au plus profond de l’humanité…, néanmoins, je conseille aux familles d’éloigner les enfants qui pourraient être choqués par tant de bêtise humaine.
Les femmes se sont, de tout temps, tartinées la poire et la figue avec toutes sortes de crèmes, d’avocat, de concombres, de yaourt pour maintenir une illusion de cette jeunesse qui s’envole et coule inexorablement entre les doigts comme un maroilles trop fait.
Aujourd’hui, les hommes, même les vrais : les mâles, les motards, les Harleyistes et Hells-Angels… peuvent s’y mettre en s’en mettre, mais pas sur la tronche…
A grand coup de crèmes hydratantes “pour nous les hommes”, parce que nous le valons bien…, nous essayons de ressembler à nos femmes… qui, elles, ne pissent pas “d’urgence” dans le lavabo…, de toute façon comme dit Stephane Plazza : “Chacun sa vasque si elles sont doubles”…, ce que m’a confirmé mon pote motard “Rotty Scarla” dont le surnom vient de son ex-entreprise de poulets rôtis…
“Misfit industries”, se spécialisant dans l’intime…, a lancé une crème anti-âge pour les couilles des Harleyistes…, crème que tous les vrais mecs peuvent également utiliser pour leurs joyeuses valseuses baladeuses…
Je ne sais pas pour vous, mais perso, je ne passe pas assez de temps à admirer mes roubignoles, je n’ai donc jamais songé à me tartiner les rouleaux avec une crème concentrée en plantes indiennes hydratantes, qui raffermira, apaisera et lissera la peau de mes balloches en me délestant les bourses d’une petite centaine d’euros quand même.
Grâce à l’argent récolté, le cours de bourse de “Misfit industries” remontera plus vite que mes roubignoles…, mais ça, c’est une autre histoire…, en attendant, pour rendre à mes breloques la jeunesse qui les fuit… (heureusement que ce ne sont pas mes noisettes qui fuient) et pour éviter les sillons sur mes roustons…, je bois assez couillu…
Le “Bike-baggers” qui sert d’engin promotionnel à cette cause… ET à cause des deux grosses baloches-valises-Bagger’s…, a été nommé : “Big balls”… et la première chose qui frappe quand vous voyez cette bête est la couleur que vont avoir vos coucougnettes après avoir été tartinées de crème !
La pub précise qu’avec la crème, les motards ne seront plus gênés aux entournures et n’éprouveront plus le besoin de se les gratter au guidon, ce qui est dangereux…, c’est super frais…, un mélange secret de produits divers fournit cette finition riche façon satin rouge, ce qui donne à ce “Baggers” hors-norme une forme de sexualité machiste assez subtile…
https://www.youtube.com/watch?time_continue=24&v=vrHzCWEVpEw