BMW Motorrad Vision 100…
BMW fait sensation avec un drôle de prototype de moto auto-stable préfigurant ce que pourrait devenir le deux-roues d’ici une quinzaine d’années…
Cette Motorrad Vision 100 n’est toutefois qu’un concept très futuriste dont la possible fabrication n’interviendra pas avant au moins 2030…, compte tenu des progrès à finaliser/réaliser pour être capable de concevoir une moto réellement auto-stable !
Pour ma part, c’est la nanana qui m’a fait sensation…, matez la vidéo pour comprendre…
Cette nanana a causé presque autant d’intérêt que la moto, beaucoup de gens, moi en premier, voulaient savoir si elle était simplement une jolie mannequin-poseuse avec un joli visage et un corps “bandatoire”… ou une motocycliste aguerrie…, en fait, elle se prénomme Michaela et c’est une vraie “affaire”…
Michaela Sonderegger, créatrice du “Kraftherz” blog : ( http://brand.bmw-motorrad.com/en/stories/people/michas-kraftherz.html ) habite à Feldkirch en Autriche, elle est économiste et responsable du marketing et de la communication d’une agence suisse de réadaptation médicale… et elle chevauche chaque jour sur 100 kms plus retour…, pour aller travailler en Suisse au départ de son domicile situé en Autriche, sur une de ses deux motos : une 1986 BMW K100 ou une Shovel Harley Low Rider de 1976…, les deux étant personnalisées, tout comme elle les aime.
C’est un de ses amis qui travaille pour un magazine allemand, qui a entendu que BMW recherchait une jolie jeune dame sexy, apte à piloter la Vision Next 100… et elle a présenté sa candidature en juin… aux bonnes personnes.
C’est juste et simplement parti de là… et elle est fière de cette “collaboration” même si elle n’est pas certaine d’apparitions futures :
– Je suis très occupée à mon travail à plein temps…, dit-elle.
Waouwwww !
Et pendant ce temps, Paris agonise, les gens prennent peur, les routes de dégagement ne dégagent plus ; elles sont saturées, on se croirait en juin 40, les cohortes !
Les hommes d’abord, comme toujours quand ça panique…, c’est l’exode dans toute sa navrance…, la fuite éperdue…, ils abandonnent leurs télés, leurs machines à laver, leurs maîtresses et même leurs habitudes…, la capitale leur fait peur…, ils savent qu’elle va se transformer en cendres, s’hiroshimer entièrement…, le gouvernement prend des mesures, c’est vous dire !
Savez-vous qui m’a parlé lors de la “férence” de présentation “con” (d’où “con-férence”), il n’y a pas plus tard qu’un instant déjà passé depuis quelque temps ?
Devinez…, approchez, que vous puissiez lire ce que je vous écrit en confidence.
Lui…, parfaitement, lui-même, j’ai reconnu tout de suite sa voix, sans le moindre préambule, tout de go, sa chère noble voix, sa merveilleuse voix…, il m’a parlé, à moi qui vous parle par le biais de l’écrit vain.
J’ai encore ses paroles dans ma tête…, elles y demeureront gravées comme dans le granit…, il a pris la peine, LUI, personnellement… et je me demande s’il n’a pas composé soi-même cette phrase en deux parties.
Etes-vous prêt à lire la phrase qu’Il m’a prononcé à bout portant dans ma trompe d’Eustache droite ?
Chuuuut !
Silence autour !
Vous êtes prèts ?
C’était en Fridolin…, mais je traduis l’allemand à la “BMWervektion”…
Edgar Heinrich, directeur du design de la division moto de BMW m’a dit, de ses fabuleuses cordes vocales, que “Normalement, lorsque nous développons une moto, nous avons tendance à penser 5 à 10 ans à l’avance. Cette fois, nous avons regardé beaucoup plus loin et avons trouvé cette expérience particulièrement excitante”…
Fabuleux…
Vous me recevez quinze sur cinq ?
LUI, avec son calme habituel…, pas une inflexion qui dépasse l’autre…, mais une force profonde, une gravité gutturale.
Je me suis signé, en l’écoutant, en double exemplaire, j’ai été motard, moi aussi.
C’est un homme qui sait ce qu’il fait, où il va et à quelle heure il y arrivera.
Enfin quelqu’un qui n’a pas l’air d’un loustic, d’un promoteur…, tous les employés de BMW ont sa photo, quand ils sont seuls, ils la contemplent.., une espèce de sublime connivence s’établit…, alors un pleur leur vient, ils laissent couler…
Décrite comme “la moto du futur”, elle reçoit des fonctionnalités d’autonomie avancées et un système d’auto-équilibrage basé sur des gyroscopes, comme ceux utiilisés sur les gyropodes de type Segway et autres skate-boards auto-stables.
Alliée à une armada de capteurs développés pour les véhicules autonomes (caméra, sonar, GPS, le tout connecté en temps réel avec les infrastructures !), cette moto atteindrait un niveau de sécurité tellement élevé qu’elle ne nécessiterait plus le port du casque, ni de vêtements de protection adaptés (bottes, pantalons et gants)…, on n’aurait besoin que d’une seule chose pour piloter cette moto : des lunettes.
Ces dernières ne se contenteraient d’ailleurs pas de protéger leurs yeux des bourrasques de vent et de la poussière puisqu’elles seraient aussi capables d’afficher des informations en surimpression, et notamment la trajectoire à suivre sur la route et l’angle à prendre dans les virages.
Fameux écueil que devrait surmonter BMW : convaincre les pouvoirs publics de revenir sur l’obligation légale de porter un casque à moto, en vigueur dans la plupart des pays du monde…, un défi qui s’annonce au moins aussi complexe que d’arriver à fabriquer cette moto basse et monoplace, dont le cadre est une sorte de coque taillée reliant ses larges roues d’un seul tenant !
Nous autres, motards, motardes, moutardes et autres.., tout ce qu’on peut essayer, après ça, c’est de prier… et c’est ce que font nos compagnons d’infortune sur deux roues, j’espère.
On tape tout azimut : Jésus, Bouddha, Mahomet, Confucius et leurs auxiliaires, tous les saints du paradis…, de préférence, pas ceux qui sont surmenés par les quémandeurs : les Pierre, les Joseph, les Jean, les Paul, les Marie, Thérèse, Jeanne, mais les modestes, auxquels on ne pense pas et qui se les roulent, là-haut.
Je prends pour exemple des auréolés dans le genre de Godefroy, de Magne, de Nazaire, de Quentin, d’Evariste, de Servais, d’Anselme, de Fridolin.
Tiens, saint Fridolin, qui donc aurait l’idée de le prier, cézigue-pâte, de lui présenter des requêtes à transmettre en haut lieu ?
Tu t’imagines, mon Popu-motard, recommandant tes os à “Saint Fridolin de BMW”…, un noble à particule ?
Il serait vachement ébaubi, le chéri, lui qui coince la bulle papale depuis si tant longtemps sur son nuage, on fait la queue devant son auréole…, il ne sait plus où donner de la barbe, les obscurs peinards, eux, ne demandent qu’à se remuer…, en plus, ça les flatte que quelqu’un pense à leurs pommes, pour leur futur en plus…, tout soudain.
Leur intercession n’en a que plus de vigueur, ils disent au Saigneur : “Ecoutez, Edgar Heinrich qui m’invoque, vous n’allez pas me faire passer pour un con, mon Dieu, pour une fois que quelqu’un me fait appel, merde !”…
La Motorrad Vision Next 100 est construite sur une structure du nom de Flexframe censée lui offrir un meilleur maintien… et permettant à BMW de supprimer la plupart des pièces articulées que l’on retrouve sur les deux-roues (je cherche le rapport !).
Le cadre noir assez large en forme de triangle serait (ou rendrait) hommage à la fameuse BMW R 32 de 1923 et donc à la toute première motocyclette construite par la marque…, promo toujours, il suffit de le dire et de le graver dans la farde de presse pour que cela soit diffusé…
L’engin futuriste est recouvert d’une texture mate dans laquelle est gravé le logo de l’entreprise (promo toujours, faut pas qu’on confonde avec une marque japonaise), la forme de la pièce étant selon la farde de presse “spécialement étudiée pour protéger les pièces de la moto mais également pour protéger le pilote du vent et des caprices de la météo, remplaçant d’ailleurs le carénage que l’on retrouve sur la plupart des deux-roues de la marque”…
Le moteur s’inspire quant à lui de l’allure caractéristique des actuels bicylindres à plat, l’architecture maison de BMW depuis sa première moto, la R32 de 1923.
Ce propulseur est annoncé comme ne rejetant aucune émission polluante…, ça ne coûte rien pour BMW de l’affirmer dans ce qui n’est qu’une “promo”…, il pourrait donc s’agir d’un moteur électrique qui à la forme du traditionnel bicylindre “à plat” opposés (gag !)…, à moins que des modes de propulsion à la fois propres lors de leur utilisation mais aussi leur fabrication et leur recyclage ne voient le jour d’ici là.., une motorisation estampillée “zéro émission” sans donner plus de détails.
https://www.youtube.com/watch?v=prHb2odv35Y
Saint Fridolin, je te dis…, c’est la bonne recette opportune… et je lui pose la colle suivante : “Bon saint Fridolin, ineffable brailleur, toi que j’imagine plein de toiles d’araignée et de moisissure, chenu, barbu, kroumé à bloc, sors de ta léthargie pour supplier le Saigneur qu’Il nous sauve la mise à tous ! Certes nous sommes obscurcis de péchés et notre comportement n’a pas toujours été blanc-bleu, mais quoi, mince, on n’est que des motards. On aspire sans trop savoir. On est d’accord pour le bien, en se demandant par quel bout le choper, comprends-tu ? Alors manie-toi la rondelle, saint Fridolin. Y a urgerie”…
Et sur cette grande, belle, noble et ardente suppliance, on se plante…
Tous ces coups qui partent à travers le monde, madoué !
Ces coups de bite et ces coups de fusil…, ces coups fourrés, ces coups de rouge…, ces coups du sort…, ces coups pour rien…, ces trois coups…, ces coups de bambou…, ces coups de grisou…, ces coups de pot ou de bol…, ces coups pour coup…, ces coups redoublés…, ces coups de sonnette…, ces volées de coups…, ces coups de fouet…, ces coups de bec…, ces coups d’épingle…, ces coups d’épée et ces coups de barre…, ces coups mortels…, ces coups de grâce…, ces coups de Trafalgar…, ces coups durs…, ces coups de gosier…, ces coups de gueule…, ces coups de main (les plus rares)…, ces coups de balai…, ces coups d’archet…, ces coups de sang…, ces coups de téléphone…, ces coups de fourchette…, ces coups de minuit…, ces coups de marteau, de chapeau, de Bourse…, ces coups heureux…, ces coups de foudre et ces coups de mer…, ces coups de dé…, ces “à-tous-les-coups-on-gagne”.., ces coups d’essai et ces coups de maître…, ces coups de cidre…, ces cent coups…, ces coups de Jarnac…, ces coups montés…, ces coups férir…, ces coups de théâtre…, ces coups d’Etat.
A force de tous ces coups, on attrape le coup… et à trop le discuter on finit par le boire : le coût de la chose !
Ce sera cher et ça servira à quoi ?