Ichiban Electric Motorcycle 2025
Cette moto électrique ultra design s’inspire de l’univers cyberpunk et futuriste du manga Akira qui continue d’influencer le design contemporain. L’Ichiban Electric Motorcycle en est la preuve ultime. Conçue comme un hommage à la légendaire moto de Shotaro Kaneda, cette moto électrique ne se contente pas d’en adopter l’esthétique, elle embarque des technologies de pointe et une innovation audacieuse dont le mode Godzilla, qui libère un surcroît de puissance pendant 10 secondes, offrant une expérience de conduite hors du commun.
Dès le premier regard, cette Ichiban impose son caractère unique. Son design s’inspire non seulement de la moto rouge emblématique du film Akira, mais aussi du concept japonais de Kanso, qui valorise la simplicité et la pureté des formes. Son extérieur est volontairement épuré, avec des panneaux lisses et des lignes géométriques qui donnent une impression de fluidité. La carrosserie se compose de deux blocs gris mats recouvrant le moteur, agrémentés d’accents rouges à l’avant et sur le siège, clin d’œil évident à l’esthétique du film.
Les roues pleines sans rayons, une caractéristique marquante du design d’Akira, renforcent encore son allure futuriste. L’attention aux détails ne s’arrête pas à l’apparence. Le tableau de bord, par exemple, affiche des graphiques en néon vert inspirés des jeux vidéo des années’80, renforçant encore son aspect rétro-futuriste. Ce minimalisme high-tech illustre l’intention des concepteurs de proposer une expérience à la fois immersive et intuitive avec la promesse de performances impressionnantes et un mode Godzilla pour obtenir une poussée d’adrénaline.
Au-delà de son look, l’Ichiban Electric Motorcycle brille par ses performances techniques, en exemple, son double moteur de 45 kW lui permet d’accélérer de 0 à 100 km/h en seulement 3,5 secondes. Mais ce qui la distingue véritablement, c’est son mode Godzilla. En activant cette fonction spéciale en tournant la poignée, le pilote bénéficie d’un boost instantané de couple et de puissance, propulsant la moto à 100 km/h en quelques 2 secondes et ce pour une durée de 10 secondes. Ce mode, conçu pour offrir une sensation de puissance brute, ajoute une touche ludique et exaltante à l’expérience de conduite.
Avec une autonomie de 250 km par charge, l’Ichiban offre une endurance respectable. De plus, elle est équipée/intégrée d’un système de charge rapide, permettant de récupérer 70 % de batterie en seulement 30 minutes, réduisant ainsi le temps d’attente (le temps d’un repas d’une boisson et d’un besoin sexuel naturel)…avant de reprendre la route. Si l’Ichiban est une moto puissante et réellement excitante, elle n’en oublie pas pour autant la sécurité. Elle est dotée de systèmes ABS et de contrôle de traction, garantissant une adhérence optimale sur la route, quelles que soient les conditions météorologiques.
De plus, son système de transmission intégrale assure une meilleure répartition du couple entre les roues, procurant une conduite plus stable et plus fluide, même à grande vitesse. Cette combinaison de performance et de contrôle fait de l’Ichiban Electric Motorcycle un modèle à la fois spectaculaire et fiable. À ce jour, la moto est prête pour une production limitée dirigé par le designer industriel Ivan Zhurba dont l’équipe annonce avoir terminé la phase de fabrication du prototype et s’est lancée actuellement sur l’optimisation des composants électroniques et mécaniques pour débuter une série limitée.
Avec son design inspiré d’Akira, ses performances impressionnantes et son approche innovante de la puissance avec le mode Godzilla, la moto pourrait bien devenir une référence, si pas dans l’esprit Outlaw politiquement incorrect de Easy Rider et des chopper’s, mais dans le monde des motos électriques parce qu’elle fait déjà rêver les amateurs de science-fiction qui n’en n’ont cure des old’boys déjantés style Hell’s Angel’s… Waouwwww ! En fusionnant esthétique rétro-futuriste, innovation technologique et sensations fortes, l’Ichiban Electric Motorcycle semble sortie d’un film de science-fiction.
Mais elle pourrait être la victime collatérale des guerres en préparation quoiqu’elle s’adresse autant aux amateurs de vitesse passionnés de design avant-gardiste, ce qui est rare… Avec son allure unique et ses performances prometteuses, elle incarne une vision audacieuse du futur de la mobilité électrique remise en cause par Donald Trump, ce qui est en contradiction avec le business de son bras droit, Elon Musk/Tesla… Wait and see… Je résume ma pensée “profonde” par : “Quitter quelque chose qu’on n’a pas encore pour quelque chose qu’on n’aura sans doute pas, est ce de l’utopie ou une manière de tuer le temps ?”...
L’insatisfaction face à l’existant et le sentiment douloureusement éprouvé que “quelque chose manque” forment le terreau d’où émerge la conscience utopique. Corrélativement, celle-ci est d’abord projection dans un ailleurs par la pensée et l’imagination, projection qui témoigne d’une capacité proprement humaine. L’existence meilleure, c’est d’abord en pensée qu’on la mène. Que l’on puisse ainsi voguer en rêves éveillés, généralement non dissimulés, révèle le grand espace réservé, dans l’homme, à une vie ouverte, encore indéterminée.
Ces rêves éveillés peuvent être vus comme une fuite hors du monde, mais ils ne sont pas que cela. En eux s’exprime aussi l’espoir d’une vie meilleure, espoir qui empêche la résignation face à l’état de fait, et incline à l’action… Ainsi, la véritable conscience utopique ne se contente pas de rêver le dépassement du déchirement relatif à son être-au-monde, elle n’en reste pas à des images de consolation, mais cherche à donner à ce dépassement une forme concrète, c’est-à-dire à l’inscrire dans la matérialité du monde. La conscience utopique est alors une conscience anticipante.
Les images qu’elle produit et les désirs qu’elle fait naître ne sont pas chimériques, ils peuvent être réalisés. Il y va d’une rupture très nette avec l’abstraction propre aux utopies classiques, cette moto se présente en effet davantage comme une fuite dans l’imaginaire que comme un véritable moyen de transformer l’existant. La perfection et le souci obsessionnel de régir chaque menu détail n’est que le pendant d’un irréalisme et de l’irrémédiable coupure qu’elle instaure avec le hic et nunc. Les créateurs utopiques construisent aussi des machines sociales parfaites dans leur esprit, tel Trump et Musk/Tesla…
Mais, ainsi que Poutine dans un autre genre, mais avec toujours avec cruauté, aucun d’entre eux ne comprenant vraiment pourquoi “le reste du monde” ne valide pas leurs plans et pourquoi l’on songe si peu à se lancer dans les travaux d’exécution de projets chimériques. Un Gaza “Cote d’Azur” ou les Palestiniens rouleraient en Ichiban, par exemple… Ou des Hells Angels devenus frapadingues de l’Ichida… La conscience anticipante construit l’utopie, non pas comme une élucubration plus ou moins farfelue, mais comme un possible en faveur duquel il s’agit d’œuvrer, mais entre les rêves et les réalités… Pffffffffffff !!!