Hot PUNK’ROD Trike…
Anarchie… Chaos général… Troubles civils… Effondrement sociétal… Climat insurrectionnel… Temps troublés… Avenir incertain… Terrorisme intérieur… Mal-être généralisé… Folies hallucinées… Insécurité générale… Psychoses morbides… Psychopathes déséquilibrés… Violences sans fin… Climat mortifère… Guerre atomique… Les États-Unis d’Amérique et d’Europe sont entrés dans ce que les merdias décrivent comme les étapes intermédiaires d’un effondrement économique et sociétal global, comme en témoigne la prévalence croissante des comportements psychopathiques en public. Au cours des 10 dernières années, il y a eu une augmentation spectaculaire de la violence de masse, crapuleries, vols, meurtres précédés de tortures, exactions et escroqueries à travers les États-Unis d’Amérique et d’Europe. De surcroit, l’avènement des merdias asociaux n’a cessé de créer et alimenter ce climat délétère et morbide créateur d’incidents de plus en plus graves parfois réalisés dans des scénarii invraisemblables de haine et cruauté.
Ces scénarii peuvent désormais être organisés rapidement et efficacement en ligne avec un grand nombre de personnes. Les émeutes, les pillages et autres comportements inciviques sont en train de devenir une caractéristique de l’Occident qui ne parvient pas à chasser ses démons qui sont à la base d’un fonctionnement colonisateur destructeur et voleur des ressources des pays conquis par la force, tels ceux du tiers-monde, créant un écart entre les nantis et les démunis qui se creuse de manière exponentielle, à cause des pillages occidentaux et de la création d’une l’inflation infinie ainsi que d’un terrorisme financier généralisé… En tant que tels, de nombreuses personnes privées de leurs droits s’organisent pour organiser des manifestations et des protestations, qui deviennent violentes car des agitateurs psychopathes, issus d’agences gouvernementales, infiltrent les groupes de protestataires pour les anéantir par l’intérieur au moyen d’idées plus fausses encore que les prêches faisant croire en un paradis sublimé par une religion.
Surtout que tout ce fatras d’ignominies est débité en tranches de religions dont le but est de faire miroiter la mort inéluctable comme étant le paradis éternel… Divers psychopathes sont formés “à la militaire” pour “simplement” fomenter de fausses révolutions, commettre des actes de violence et des assassinats en exploitant le chaos issu de toute la tourmente politique et financière, pour nuire aux innocents, abasourdis et lobotomisés aux “Fake-News”... Et c’est ainsi qu’un effondrement social planétaire commence vraiment à s’accélérer. Si personne n’agit pour éliminer cette première vague d’actions criminelles, des milliers de tueurs se déplaceront également pour en profiter… Mais cette première vague se transforme en avalanche, annihilant tout sur son passage parce que le système n’offre plus suffisamment d’incitations à se comporter… Voilà le décor est planté et les illustrations publiées sont “Hot Punk Rod Trike”, un genre littéraire Perso, issu du Gonzo inspiré du Steampunk apparu dans le domaine de la littérature, qui est aujourd’hui une culture à part entière.
Elle passe par le champ des arts visuels en allant jusqu’à la musique. Cette uchronie ouverte est basée sur la projection d’un futur probable partant du xixe siècle et de l’époque victorienne en gardant les codes et l’esthétisme de cette époque. On y retrouve l’utilisation de matériaux tels que le cuivre, le laiton, le bois et le cuir, et l’approche de l’aventure et de l’expérimentation dans un monde où tout reste à découvrir et à être développé, dans l’esprit de la première révolution industrielle et en s’appuyant sur des sources d’énergie dévoyées d’où l’utilisation massive des machines invraisemblables issues du Steampunk, mais sans la vapeur… une nouvelle invention pour requalifier le genre de littérature né à la fin du xxe siècle, forgé en référence au cyberpunk, iuci réadapté avec les bons vieux moteurs à explosions. Le “HotPunkRodTrike” fait ici son apparition dans une historiette fantasy, d’anticipation science-fictionnesque. Cette nouvelle et audacieuse esthétique a été forgée par allusion au cyberpunk de lK. W. Jeter, Tim Powers et James Blaylock… On délire comme on peut !
Si le Steampunk est présent dans le cinéma, la musique, le dessin et par le mouvement “Do it yourself” où des “vaporistes” créent des costumes, accessoires et décorations dans l’esprit de cette culture, allant jusqu’à inventer des personnages évoluant dans ce monde imaginaire, les interprétant physiquement lors d’événements ou sur les médias numériques tel que divers forum steampunk ou quelques réseaux asociaux., ici sur GatsbyOnline, est créé un “mouvement” Hot Punk Rod Trike, en mini communauté de créateurs, d’exégètes et de fans du genre. Défilés de mode, happenings, expositions d’objets, et sites internet pourraient en être les principaux moyens d’expression à l’initiative principalement de ce site-Web GatsbyOnline particulièrement actif dans la folie… Le steampunk pouvaitt être résumé approximativement en un mot : “bricoleur”… Ici ce n’est pas loin du même style mais sans la vapeur… C’est un état d’esprit visant à créer, expérimenter, et construire des objets ou des œuvres… (c’est en quelque sorte une nouvelle incarnation du D.I.Y. (Do It Yourself) ou D.O.Y. du mouvement punk), comme l’illustre le cliché du savant fou ou de l’ingénieur de génie.
2 commentaires
Maître, les grands penseurs se rejoignent. Lisez La Tribune d’Edgar Morin publiée dans le Monde cette semaine. Je pense que pour des raisons de droits d’auteurs vous ne ferez que la lire, sans publier le message car il est inutile de s’attirer des ennuis. Je fais partie de ceux qui pensent qu’il est opportun de tirer parti de l’instant présent, car dans dix ans, on pourrait se demander : “Edgar Morin ? Qui est-ce ? Combien gagnait-il et combien a-t-il rapporté ?”
“S’il est minuit au siècle” : Lorsque Victor Serge a publié le livre qui porte ce titre, en 1939, l’année du pacte germano-soviétique et du démembrement de la Pologne, il était en effet minuit, et une nuit irrévocable s’épaissirait et durerait cinq ans. N’est-il pas minuit dans notre siècle ? Deux guerres sont en cours. Celui de l’Ukraine a déjà mobilisé l’aide économique et militaire d’une partie du monde, avec une radicalisation et un risque d’expansion du conflit. La Russie n’a pas réussi à annexer l’Ukraine, mais elle reste dans les régions séparatistes auparavant russophones. Le blocus l’a partiellement affaibli, mais il a également stimulé son développement scientifique et technique, en particulier dans le domaine militaire. Cette guerre a déjà des conséquences considérables : l’autonomisation diversement avancée du Sud par rapport à l’Occident et le resserrement d’un bloc Russie-Chine. Un nouveau lieu de guerre s’est enflammé au Moyen-Orient après le massacre commis par le Hamas le 7 octobre 2023, suivi du bombardement meurtrier de Gaza par Israël. Ces carnages, accompagnés de persécutions en Cisjordanie et de déclarations annexionnistes, ont réveillé la question palestinienne endormie. Ils ont montré à la fois l’urgence, la nécessité et l’impossibilité de décoloniser ce qui reste de la Palestine arabe et la création d’un État palestinien. Il faut lire aussi en ce sens :”Le Bilan du Monde” : Il y est dit : “2023, au bord du précipice ? Comme aucune pression n’est ou ne sera exercée sur Israël pour parvenir à une solution à deux pays, nous ne pouvons que prévoir une aggravation ou même une expansion de ce terrible conflit. C’est une leçon tragique de l’histoire : les descendants d’un peuple persécuté pendant des siècles par l’Occident chrétien, alors raciste, peuvent devenir à la fois les persécuteurs et le bastion avancé de l’Occident dans le monde arabe. La pensée est devenue aveugle. Ces guerres aggravent la conjonction des crises qui frappent les nations, maintenues par l’antagonisme virulent entre trois empires : les États-Unis, la Russie et la Chine. Les crises se parlent dans une sorte de polycrise écologique, économique, politique, sociale et civilisationnelle qui s’amplifie. La dégradation écologique affecte les sociétés humaines par leur pollution urbaine et rurale, aggravée par l’agriculture industrielle. L’hégémonie du profit incontrôlé (cause majeure de la crise écologique) augmente les inégalités dans chaque nation et dans toute la planète. Les qualités de notre civilisation se sont détériorées et ses lacunes ont augmenté, en particulier dans le développement de l’égoïsme et la disparition des solidarités traditionnelles. La démocratie est en crise sur tous les continents : elle est de plus en plus remplacée par des régimes autoritaires, qui, en ayant les moyens de contrôler par ordinateur les populations et les individus, ont tendance à former des sociétés de soumission que l’on pourrait appeler néototalitaires. La mondialisation n’a pas créé de solidarité et les Nations Unies sont de plus en plus désunies. L’optimisme pour la croissance est sérieusement mis à l’épreuve par les effets secondaires du progrès technologique. Cette situation fait partie d’un paradoxe mondial spécifique à l’humanité. Le progrès scientifique technique qui se développe prodigieusement dans tous les domaines est la cause des pires régressions de notre siècle. C’est lui qui a permis l’organisation scientifique du camp d’extermination d’Auschwitz ; c’est lui qui a permis la conception et la fabrication des armes les plus destructrices, jusqu’à la première bombe atomique ; c’est lui qui a rendu les guerres de plus en plus mortelles ; c’est lui qui, poussé par la soif de profit, a créé la crise écologique de la planète. Notez ce qui est difficile à concevoir, que le progrès de la connaissance, en la multipliant et en le séparant par des barrières disciplinaires, a déclenché une régression de la pensée, qui est devenue aveugle. Lié à une domination de l’informatique dans un monde de plus en plus technocratique, le progrès de la connaissance est incapable de concevoir la complexité du réel et en particulier des réalités humaines. Cela conduit à un retour du dogmatisme et du fanatisme, ainsi qu’à une crise de la moralité dans la vague de la haine et de l’idolâtrie. L’absence d’espoir Nous nous dirigeons vers des catastrophes probables. S’agit-il d’un catastrophisme ? Ce mot exorcise le mal et donne une sérénité illusoire. La polycrise que nous vivons sur toute la planète est une crise anthropologique : c’est la crise de l’humanité qui ne peut pas devenir l’humanité. Il fut un temps – pas si loin – où nous pouvions envisager un changement de voie. Il semble qu’il soit trop tard. Certes, l’improbable et surtout l’inattendu peuvent se produire. Nous ne savons pas si la situation mondiale est seulement désespérée ou vraiment désespérée. Cela signifie qu’il est nécessaire, avec ou sans espoir, avec ou sans désespoir, de passer à la Résistance. Le mot évoque irrésistiblement la résistance des années d’occupation (1940-1945), dont les débuts, d’ailleurs très modestes, ont été rendus difficiles par l’absence d’espoir prévisible après la défaite de 1940. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés En ces temps tragiques, que pouvons-nous espérer ? Ajouter à vos sélections L’absence d’espoir prévisible est similaire de nos jours, mais les conditions sont différentes. Nous ne sommes pas actuellement sous occupation militaire ennemie : nous sommes dominés par de formidables puissances politiques et économiques et menacés par l’établissement d’une société de soumission. Nous sommes condamnés à subir la lutte entre deux géants impérialistes et l’éventuelle irruption de la guerre du troisième. Nous sommes entraînés dans une course au désastre. Fraternité, vie et amour La première et fondamentale résistance est celle de l’esprit. Il faut résister à l’intimidation de tout mensonge fait comme vérité, la contagion de toute ivresse collective. Il faut ne jamais céder au délire de la responsabilité collective d’un peuple ou d’un groupe ethnique. Il exige de résister à la haine et au mépris. Il prescrit le souci de comprendre la complexité des problèmes et des phénomènes plutôt que de céder à une vision partielle ou unilatérale. Il faut la recherche, la vérification de l’information et l’acceptation des incertitudes. La résistance impliquerait également de sauvegarder ou de créer des oasis de communautés avec une autonomie relative (agroécologique) et des réseaux d’économie sociale et solidaire. La résistance nécessiterait également la coordination d’associations dédiées à la solidarité et au refus de la haine. La résistance préparerait les jeunes générations à penser et à agir pour les forces d’union de la fraternité, de la vie et de l’amour que nous pouvons concevoir sous le nom d’Eros, contre les forces de la dislocation, de la désintégration, du conflit et de la mort que nous pouvons concevoir sous les noms de Polemos et Thanatos. C’est l’union, au sein de nos êtres, des pouvoirs de l’Eros et de ceux de l’esprit éveillé et responsable qui nourrira notre résistance à l’esclavage, aux ignominies et aux mensonges. Les tunnels ne sont pas sans fin, le probable n’est pas le certain, l’inattendu est toujours possible”…
Voilà, tout est dit et écrit… Quels autres mots en phrases pourraient mieux faire ?
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