HOT ROD CRASH DIARY
Pour que vous saisissiez le sens de l’introduction textuelle de cette saillie, ma supplication de ne pas ici venir vous vautrer afin de lire un article concernant les Hot Rod’s malchanceux qui ont mal terminé leur médiocre existence, partait d’un bon fond que je suis le premier à déplorer, car le mal semble fait puisque vous avez débuté la lecture sur et dans cet article…
Il me reste à malgré tout insister vous informer qu’il n’est pas recommandé que vous veniez vous aventurer en cet article, mais qu’à ce stade, pour peu que vous survoliez ce qui s’y trouve, pourrait vous sembler uniquement constitué de rip-off de standards occidentalistes périmés dont les sujets sont maltraités par des sagouins trisomiques nitrocéphales… Et toc !
Ils se contentent d’une nomenclature basique pour obliger les lecteurs désabusés à farfouiller dans le contenu inexistant et creux de leurs autres divers articles sans intérêts contenant le peu de fond ayant été à l’origine de leur utilisation pour créer du papotage liant diverses photos entre-elles sur le thème des accidents de Hot Rod’s.
Il est évident que ma totale mauvaise foi ne peut qu’être mise en doutes divers, car s’inspirant librement de quelques grandes sagas que leurs auteurs souvent inconnus tentaient de monnayer avec de bonnes grosses louches de mauvaise foi… Il est d’évidence que cet article ne doit pas s’apparenter aux Hot Rod’s utilisés dans les classiques cinématographiques de la saga australienne du post-nuke…
Je vous cause de celle invoquant dans les esprits, des déserts arides traversés par des bandes de punks sauvages en quête de la moindre goutte d’essence. Pour le coup, il va vous falloir remiser ces fantastiques attentes car de tout cela, rien n’est présent dans cet article. Non, la seule connexion ostensible avec “Mad Max”, c’est le style des Hot Rod’s déglingués.
Mais attendez, ce n’est pas une raison pour déserter ma chronique, larme à l’œil et truffe humide, car les photos sont capables à elles seules de provoquer votre effondrement hilare tels des Sâdhus ayant fait vœu de morosité. Alors il ne vous reste plus qu’à kiffer la life, la suite… Aaah ! Je suisse certain que vous tentez de m’imaginer aux manettes, mon regard de braise verdâtre, mon charme inamovible et ma coupe de cheveux indémodable.
Sans oublier mon sex-appeal légendaire, ma virilité digne d’un concentré de purée des morceaux nobles d’Alain Delon, mon incarnation auto-consciente de l’âme du parfait Hot Rodder… Et surtout, mon style unique, insurpassable et quasi-indescriptible qui me distancie du regard crabe intoxiqué par un mélange de speed Ball, d’Energy drink et de Ritaline qu’ont les nitrocéphales mutants.
Ce total contraste inhumain, associe dans leurs profils officiel de 3/4 un sourire autant figé qu’il gesticule de grimaces dès qu’ils se réveillent et se rendent compte qu’ils sont abandonnés depuis presque 5 ans, constituant ainsi un monument de la fascination psychiatrique dont il est impossible de se lasser. Et ça tombe bien, les photos ici publiées forment un ensemble de séquences morbides supersoniques.
Elles sont accompagnées par un même et unique silence parvenant, ô miracle, à sublimer encore un peu plus cet acmé de la perfection néantisatrice. Mais, ces mêmes photos vont parvenir à multiplier votre plaisir d’en finir en apocalypse en gardant intact le plaisir des lecteurs survivants, surprenant toujours par de nouvelles variantes martiales d’une réjouissante naïveté.
Y’a pas à dire, mais on voudrait refaire la même chose aux débuts de notre époque qu’on n’y arriverait pas… Mais je cause, je cause, et je n’ai toujours pas abordé la raison pour laquelle je compte vous mettre toutes et tous en branle. Je dois constater que malgré le coté bienvenu de ma démarche, je ne vous vois pas bien cerner tous les enjeux.
Déjà, je ne saurais vous dire quelle est l’activité exacte à atteindre de ce foutoir… Attention, c’est de l’humour pour public averti… Et puis les amateurs des SecretsInterdits savent que les goûts en matière de pin-up sont sans doute la seule bonne raison d’interdire l’accès de l’Europe à l’Ukraine. Si Volodymir Zeelinsky a un charme certain (une fois qu’il joue du piano avec son pénis, maquillage de poids-lourd retiré) il ne valorise pas ses bijoux de famille…
Il le pourrait en bonimentant avec insistance pour alimenter ses fonds totalement dégueulasses… Quant aux autres bimbos Ukrainiennes, elles exsudent un charme de frelaté évoquant le douloureux souvenir du combat en chambre… Qu’on veuille bien excuser ces considérations assez machistes de ma part, mais il faut comprendre qu’on à affaire ici à de l’exploitation dans ce qu’elle a de plus pur, donc de moins noble.
Tout y est en effet pensé et conçu pour un public populaire exclusivement masculin pas franchement raffiné… Et pour ceux qui auraient été tentés d’interpréter la présence d’une femme, l’ineffable directrice auto-proclamée de l’Europe a tout appris des retours sur dons à la Bundeswehr comme signe d’ouverture et de progrès social, la désillusion phallocratique ne tardant pas à pointer le bout de son vilain nez.
En effet, lorsqu’il s’agit de désigner le chef de mission, on lui rappelle avec un joli sourire que ce n’est pas là un poste pour elle, car “c’est une femme”. La preuve, son personnage a beau posséder des titres de championne des retours sur dons et vaccins, cela ne l’empêche pas d’embourber l’Europe dans la gadoue et elle n’est pas du genre à mouiller le maillot pour l’en sortir.
Elle ne ferait que montrer ainsi ses piètres arguments pulmonaires aux mâles avides mais respectueux d’une certaine pudeur. Quand elle se prendra une balle dans le cul, tirée par le fieffé coquin de Poutine qui ne cache pas son envie de lui coller un autre type de munition dans le fondement. Ou pire, qu’on ne se sert d’elle que comme simple appât sexuel à gredins, histoire de lui faire connaître une expérience de viol collectif européen.
Mais tout ça dans la bonne humeur, hein, à l’Europe on sait s’amuser ! Tout pourrait ainsi rouler sans problème jusqu’à la fin, mais les amateurs de rebondissement n’ont pas été oubliés. Pour une raison assez obscure, les commanditaires de la fine équipe commettent finalement la pire erreur qui soit : trahir, ce qui va donc en entrainer quelques-uns… et d’en faire des affaires personnelles.
Surtout quand, pour faire pleurer sous les chaumières, le PRESIDENT n’hésitant pas à mettre en péril la bonne santé de LA FRANCE. Plus aucune arme n’est alors interdite et c’est avec délectation que l’on verra utiliser arcs, couteaux de cuisine, pains de dynamite, cartouches explosives et même diverses tortures employant la méthode de la baignoire, tout ça pour faire cracher un pauvre homme avant de l’achever par noyade !
J’évolue toutefois dans le haut du panier, plus iconique que jamais, irradiant mon charisme flamboyant à la moindre de mes publications/apparitions. Voilà donc ce fort plaisant reportage constitué de Hot Rod’s accidentés de multiples manières qui se termine… C’était une anthologie trouvant sa force dans l’alliance entre les bonnes vieilles techniques éprouvées emmêlées de diverses nouveautés vulgos plutôt intrigantes…
Même si j’avais déjà laissé deviner un certain goût pour la transgression, c’et gagné, le tout sans aucun temps mort entre les photos sur-vitaminées, hyper explosives, ainsi que les gags désolants engendrés par quelques sbires inimitables “En voulez-vous en voilà pour vous”…. Et comme un illuminé du web je me suis mis en tête de tout publier.
Le but étant afin de permettre à la communauté internationale dont vous êtes spécimens, de goûter la saveur nanarde de ce nouveau genre car il n’y a vraiment plus de raison de résister aux charmes de la décrépitude générale. Est-il encore utile de vous faire croire qu’on peut trouver par les voies officielles un tel ensemble formant un chef-d’œuvre exotique ? Bien certain que ça ne pouvait être qu’ici… Voilà, c’est terminé.