Caresto Rod
En cause de leurs chromes décoratifs et des flammes crachées par leurs échappements dans les rugissement de leurs V8 grondant et leurs peintures flashy souvent surchargées, les Hot Rod’s capturent le cœur et l’imagination des politiquement-incorrects, grands consommateurs d’essence et collectionneurs de trophées en fer-blanc ainsi que d’aventures sexuelles débridées… Le virus s’est propagé mi des fifties et, malgré leur apothéose dans les deux dernières Saga’s Mad-Max, Furiosa et Furia, sont en attente d’un miracle des fanatiques amateurs de pétrole du monde entier.
Dans cet article, nous allons explorer la riche histoire des Hot Rod’s et nous nous lancerons dans une quête intrigante pour trouver les premiers Hot Rod’s made in Sweden. Attachez votre ceinture, ça va être une course folle ! Un Hot Rod incarne une sous-culture unique et fascinante dans le monde de l’automobile, profondément enracinée dans la personnalisation, la performance et le style. Pourtant, où donc cette histoire d’amour avec ces véhicules uniques à indice d’octane élevé a-t-elle commencé ? L’histoire des Hot Rod’s explore les gens, les voitures et les innovations qui ont défini une époque…
Il s’agit d’un voyage dans le temps. Des Mods Hot Rod’s originaux, aux merveilles rétro technologiquement avancées d’aujourd’hui et aux Rot Rod’s les plus Badass de tous, nous dévoilerons la passion, la créativité et l’ingéniosité qui ont motivé et que continuent de conduire les Hot Rodder’s au style de vie déjanté et politiquement-incorrect.Qu’est-ce qu’un Hot Rod ? La définition originale qui au départ se surnomait Throttle, est une voiture personnalisée, généralement une voiture américaine classique, qui a été modifiée pour des performances accrues et une apparence améliorée.
C’est la définition d’aujourd’hui qui est telle qu’elle l’était à l’époque. La genèse de l’engouement qui a balayé une nation peut retracer ses racines depuis la Grande Dépression de 1929 jusqu’à l’entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale en 1941 ciblant plus particulièrement les hors-la-loi des années 1930 qu’étaient les contrebandiers à l’époque de la prohibition. Les voitures, principalement les Ford Model A et Model T, en raison du fait qu’elles étaient bon marché et abondantes, étaient modifiées pour réduire le poids et augmenter la vitesse afin de devancer la police.
La prohibition abrogée, les jeunes disposant de peu d’argent mais de beaucoup de temps ont commencé à modifier les voitures qu’ils achetaient bon-marché ou volaient. En ce cas, pour leur donner une autre apparence et tenter de les rendre plus rapides. Ce fut le véritable début de l’histoire. Non seulement ces voitures étaient une démonstration tangible des prouesses de jeunes mécaniciens dans l’espoir d’obtenir du travail, mais elles prouvaient à ceux qui pouvaient s’offrir des voitures chères que l’argent n’était pas le seul moyen d’aller vite. Une autonomie et une indépendance mêlées à du savoir-faire.
Cette ingénierie des rues a donné aux Hot Rod’s une place spéciale dans l’histoire globale de l’automobile. C’était plus que de simples voitures, elles sont devenues des déclarations sociales. L’identification du Hot Rod original est peu à peu devenue une tâche insaisissable et il semble avoir que ce “savoir” a été perdu dans l’histoire… Alors que la plupart des passionnés et des historiens s’accordent à prétendre que la Kustom/Kulture du Hot Roding a commencé après 1945, l’identification du tout premier est compliquée en cause de plusieurs facteurs, dont le fait que le terme Hot Rod n’était pas utilisé avant 1947.
C’est parce que ces premiers Throttle ont été fabriqués dans des Box’s sur des voitures d’occasion ou volées produites en série en utilisant des pièces très souvent mal-acquises par des méthodes moins que légitimes… Aucun enregistrement n’a été conservé, et de plus il n’y avait aucunes directives standardisées sur ce qui constituait un Throttle. Les voitures, principalement les Ford Model A et Model T, en raison du fait qu’elles étaient bon marché et abondantes, ont été modifiées pour réduire le poids et augmenter la vitesse afin de devancer la police. C’était une lente évolution pas soudain.
Il est né d’une nécessité de vitesse, et ces véhicules se sont développés à partir de modifications pratiques à des modifications plus axées “performances et apparences”. Cela a jeté les bases de ce qui allait devenir un style de vie. De plus, il ne reste pratiquement aucun exemple de Throttle’s des années ’20, ’30 et ’40… En tant que phénomène culturel, existait depuis 1940 le magazine Throttle y dédié. Mais son éditeur est décédé durant la guerre contre le Japon. Profitant qu’il devait le remplacer pour s’occuper de la promo d’une exposition de Throttle’s, Robert Petersen à repris le magazine en l’appelant Hot Rod…
Le nom Hot Rod a ainsi remplacé “Throttle”, et a profité de la joie de l’après-guerre… La promotion de l’ exposition de ce type de voiture a donné vie aux fameux Shows de voitures transformées ex-Throttle’s nommées Hot Rod’s et Robert Petersen est devenu milliardaire… L’alibi de ce “meurtre sans cadavre” est devenu un mouvement collectif alors que ce n’était qu’un vol camouflé en une invention singulière. Le terme Hot Rod lui-même restait quelque peu énigmatique,… et son origine a fait l’objet de nombreux débats, tous étouffés par ce qui est devenu le Groupe Petersen Publishing.
Certains attribuent le prix de l’escroc le plus génial à Robert Petersen, institué fondateur de Hot Rod Magazine, qui a fait ses premiers tours en 1948. D’autres pensent plus laxistes, que s’il a repompé le magazine Throttle, son éditeur/créateur était mort, donc ca ne gênait personne… Ils préféraient montrer que Robert Petersen avait été malin en ne reprenant pas le nom mais en en choisissant un autre extrapolé d’une combinaison de “Hot off the Road” ou d’une modification de “Hot Roadster”. Il se peut également qu’il provienne du nom des arbres à cames améliorés qui étaient connus sous le nom de “Rod’s”.
Quelle que soit son origine, le terme est devenu synonyme d’une Kustom/Kulture dédiée à la transformation des voitures de tous les jours en machines extraordinaires.Le Hot Rodding a donc démarré en force après la Seconde Guerre mondiale, en particulier en Californie du Sud. Lorsque les GI sont rentrés chez eux avec des compétences d’ingénierie et une prime de combat, sans parler de la disponibilité généralisée des pièces excédentaires militaires, les nouvelles voitures étant un luxe inabordable, alors ils ont regonflé les anciennes et les courses ont commencé pour voir qui avait la plus rapide.
Puis, l’évolution a ajouté le coté “flashy” et comme la communauté des Hot Rodder’s automobile de la Californie du Sud s’aventurait souvent à l’ouest, dans les lits des lacs asséchés du désert de Mojave, comme El Mirage et Muroc, pour voir qui était le meilleur, les premières expositions de Hot Rods ont proliféré à la fin des années 1940 et ont attiré des dizaines de milliers de spectateurs, enrichissant encore plus Robert Petersen… Et c’est sur les lits des lacs asséchés que les Hot Rod’s sont devenus célèbres, notamment Bill Burke, Veda et Karl Orr qui utilisaient des Ford Flathead V8.
En 1951, la NHRA (National Hot Rod Association) a été créée pour légitimer et normaliser ce qui n’était en fait qu’un passe-temps. Cependant, dans les années 1960 et l’avènement des Muscle -Cars, couplé aux effets positifs du boom économique d’après-guerre, la popularité des Hot Rod’s a commencé à décliner. Des voitures brutalement rapides et haut de gamme étaient disponibles dès la sortie des salles d’expositions. Au cours de la décennie suivante, le paysage a toutefois recommencé à changer en cause de la crise pétrolière mondiale de 1973 forçant les constructeurs automobiles à privilégier la sécurité.
Ce fut l’époque de l’efficacité plutôt que la puissance pure, ce qui a finalement ravivé l’intérêt pour les Hot Rod’s et leur philosophie fondamentale d’être ludiques avant d’être tristement pratique. Les Hot Rod’s époustouflants ont fait leur retour. Les V8 Chevrolet 5L7 et Ford 5L8 étaient des choix populaires pour les Hot-Rodders des années ’70… Et, dans les années 1980, la scène du Street Rodding a émergé, se concentrant sur la création de Hot Rods autorisés donc légaux sur les routes qui pouvaient donc être conduits sur les routes… Ils sont devenus des objets de loisirs et promenades…
La beauté de la scène originale des Hot Rods d’avant et d’après guerre était qu’elle se concentrait sur des voitures construites à partir de zéro, bricolées pour presque rien. Les années 1980 et 90 ont vu l’évolution d’une scène professionnelle embrassant des projets de personnalisation frisant le “scandaleux” car très très coûteux, allant de travaux de peintures complexes à des intérieurs sur mesure et des modifications de moteur équipés de turbos ou compresseurs. Les peintures enflammées, les V8 Big-blocs exposés et les chromes ne se démoderont jamais parmi la communauté des Hot Rod’s…
Avec les années Chromes le mouvement est passé d’une sous-culture de niche à un phénomène diversifié, technologiquement avancé et mondialement reconnu., particulièrement à partir du nouveau siècle 2000 ou ChromesFlammes est devenu le premier mag’numérique planétaire avec plus de 200.000 abonnés…Il reflète non seulement l’évolution, mais aussi des changements culturels plus larges, embrassant à la fois le passé et l’avenir et faisant fi des mascarades telles la guerre délationnelle engagée par le Groupe Michel Hommel qui a fait finalement une faillite en centaines de millions… RIP !
En effet, le mouvement Hot Rodding s’est ainsi élargi mondialement… L’avenir devra considérer que certains constructeurs incorporent des technologies électriques ou hybrides, quoique les Hot Rod’s les plus célèbres sont “à essence” et se revendent aux enchères pour des sommes d’argent stupéfiantes, souvent au delà de 100.00$ et bien plus puisque le “Tom McMullen Deuce Roadster Ford Highboy’32”, s’est vendu pour plus de 700.000 $ tandis que le Ford Roadster 1929 de Dick Flint s’est vendu environ 600.000 $. La liste des Hot Rod’s emblématiques est longue…
On y découvre le V8 1000cc de 1.600cv de Boyd Coddington… le California Kid, la Ford 1934 de Jim Jacobs, La Beatnik Bandit V8 7L d’Ed Roth et l’Eliminator Ford 1933 de Billy Gibbons du groupe ZZ Top….L’histoire des Hot Rods, des modèles T modifiés aux chefs-d’œuvre modernes sur base Ford B’32, reflète un siècle d’innovation, de créativité et d’une passion implacable pour la vitesse et le look. Ces Hot Rod’s, avec leurs moteurs rugissants et leurs chromes éclatants, sont plus que de simples machines, elles sont l’incarnation d’une culture et un symbole de l’évolution automobile.
Tout cela inspire et fait vibrer. La route est encore longue à parcourir et il n’y a pas de ligne d’arrivée en vue. Et quoi que vous pensiez des rallyes Gumball 3000, il y a une chose que vous ne pouvez pas nier : ils regorgent de certaines des voitures les plus étonnantes au monde. Mais même dans cette atmosphère raréfiée, il y a des voitures qui se démarquent de toutes les autres. Cette année, c’était la voiture Batman d’Arkham Knight, l’année dernière la RS6 fabuleusement exagérée inspirée de DTM, et l’année précédente, la Rebellion qui semblait avoir pris un mauvais virage sur le circuit de course local.
Tous les trois partagent un sens de l’humour et une exécution technique engagée, mais ce n’est pas tout ce qu’ils ont en commun. Ce que la plupart des gens ne savent pas jusqu’à présent, c’est que tous les trois ont également été minutieusement construits à la main par un seul homme et quelques fournisseurs clés dans un petit hangar en Suède. Cet homme, c’est Leif Tufvesson, et sa micro-usine située dans un petit village appelé Angelholm, à deux heures au sud de Volvo Central à Göteborg, s’appelle Caresto AB. Si vous avez une légère impression de déjà-vu à propos du nom de Leif et de l’endroit où il vit !
Ce ne peut pas être complètement étrange. Christian von Koenigsegg l’a débauché de Volvo en 1998 pour l’aider à démarrer ce qui est maintenant devenu Koenigsegg Automotive AB, le producteur des Supercars suédoises complètement folles. Il y a donc le même ADN fou chez Caresto. Construire des Hot Rod’s concept-cars et des pièces pour ces concept-cars est une passion. Il avait été un constructeur de voitures personnalisées amateur pendant des années avant cela et a de nombreux prix prestigieux pour le prouver. Alors, lorsqu(il s’est mis en tête de construire des Hot Rod’s, je suis allé le voir…
Pour les impressions d’artistes dans des matériaux solides, il est la bonne personne. Il n’avait travaillé qu’un an avant que Christian Koenigsegg ne le repère et ne le persuade de le rejoindre à Koenigsegg. Leif, qui a commencé par installer des autoradios, était un restaurateur de voitures prolifique et qualifié. En 1996, il a lancé Caresto (e nom n’est qu’une version abrégée de Car Restoration) et s’est immédiatement fait connaître en Suède et au-delà pour son travail de haute qualité. Avec cela et sa capacité à créer des concept-cars à partir de rien, il était un choix naturel.
De plus, il vient d’Angelholm qui est à l’autre bout de la piste de Koenigsegg , donc Christian n’a pas eu à chercher très loin pour embaucher Leif qui a commencé avec Christian sur la toute première Koenigsegg, la CC/V8S, qui a fait ses débuts en 2001. Puis le CCR. Mais après cela, il a décidé de partir et de faire son propre truc. “Chez Koenigsegg, c’était le rêve de Christian que je construisais, pas le mien. Donc, après avoir reçu le prix Hot Rod de l’année, j’ai pensé que c’était le bon moment pour aller à temps plein ici en créant Caresto”.
Les trois plus célèbres Caresto sont sa Volvo T6 Roadster, qui a remporté le Hot Rod de l’année aux États-Unis et a été la vedette du salon SEMA, le V8 Speedster bleu ciel propulsé par un V8 Volvo , et la recréation de Jakob, la Volvo originale de 1927 construite pour célébrer le 80e anniversaire de cette voiture. Il en a déjà fait une autre, la Caresto K2. Il s’agissait d’une commande d’un client qui voulait à l’origine construire une réplique de voiture de F1, mais qui, après avoir trouvé une vraie voiture de F1 à acheter, a changé d’avis. Leif a alors suggéré de construire un Hot Rod et le projet K2 est né.
La voiture finie avec un châssis entièrement en fibre de carbone et une carrosserie propulsée par un V8 suralimenté de 550cv se trouve maintenant dans le garage du propriétaire. Ce n’est pas immatriculé sur la route, c’est juste une voiture super cool. Ça ressemble à du gaspillage , mais ce n’est pas le cas. Parce que c’est la K2 qui a fait démarrer Leif sur les voitures de la Gumball… L’as suédois du free-ski sponsorisé par Red Bull, Jon Olsson, un connaisseur des Audi et des Lamborghini rapides, a eu vent du K2 et a pensé que Leif pourrait l’aider avec une reconstruction de la R8 sur laquelle il avait calé.
Mais ensuite, de fil en aiguille, la Rebellion R2K est née. Essentiellement, c’est ce qui se passe lorsque vous associez un châssis et des trains roulants Ultima GTR à une transmission Lamborghini, puis créez une toute nouvelle carrosserie scandaleuse pour l’habiller. Jon l’a conduite dans le Gumball de Copenhague à Monaco, en passant par la majeure partie du bloc de l’Est, sans problème. Les seuls dommages ont été causés aux cous des millions de spectateurs qui se sont précipités pour jeter un coup d’œil à la voiture qui se déplaçait en permanence sur les routes.
Aussi difficile que cette voiture ait été à suivre, la prochaine création de Leif pour Jon, l’Audi RS6 break inspirée du DTM, est devenue si populaire qu’elle a fasciné les fan’s car publié dans d’énormes pans d’Internet pendant des semaines après son dévoilement. Leif salue celle-ci comme étant “juste un peu de moulage de carrosserie” plus un peu de réglage du moteur, mais c’était toujours l’une des voitures phare du Gumball. Et probablement aussi l’une des plus lourdement tarifées. Celle-ci n’était pas l’idée de Jon, mais celle d’autres anciens de Gumball, connus collectivement sous le nom de Team Galag.
Ils avaient péniblement essayé de conduire une reconstitution de la Batman Tumbler lors du même rallye que Jon, et étaient envieux de la fiabilité mécanique de la voiture de Jon par rapport aux mauvaises performances routières de leur véhicule. Ils ont donc demandé à Leif de faire leur nouvelle Batmobile, la version Arkham Knight, qui a volé la vedette lors de l’événement de Dublin à Bucarest. Aussi incroyable que cela puisse paraître. Leif et sa joyeuse bande de fournisseurs, en utilisant rien de plus qu’une maquette ont conçu, fabriqué et construit toute la voiture à partir de zéro en moins d’un an.
C’est une Lamborghini Gallardo motorisée, comme la Rebellion, et a utilisé de gros morceaux des sous-ensembles de cette voiture, comme le compartiment moteur et le réservoir de carburant, pour économiser du temps et de l’argent. Mais sinon, tout est le travail de Leif et de son équipe. Leif n’est pas sûr de ce que l’équipe Galag va décider, mais il semble qu’ils vont à nouveau faire rouler cette voiture, avec quelques réparations et modifications. Leif a plein d’autres projets pour le tenir, lui et son équipe, occupés. Outre le transporteur de voitures Volvo XC60 à six roues sur lequel il travaille…
Mais, il construit également un véhicule électrique à sièges tandem pour une entreprise vénézuélienne. Et ses Caresto’s sont ses préférés… Il s’agit d’une collaboration entre Leif et un carrossier. Il s’agit d’un sosie de Ford ’32 ultra léger, à châssis tubulaire, propulsé par un moteur électrique. Leif le décrit comme un Hot Rod avant_gardiste qui peut également être utilisé pour les journées sur pistes de dragsters. Il a donc tout l’aspect d’une vieille voiture, mais aussi toutes les capacités d’une voiture moderne.
Sa voiture de démonstration magnifiquement construite et finie est propulsée par un six cylindres à plat Honda Gold Wing, mais il y a de la place dans le compartiment moteur pour à peu près tout ce qui est raisonnable… Leif a pensé à s’agrandir, mais pas trop. Il ne veut pas gâcher sa petite installation parfaitement formée : “Je veux juste faire les choses que j’aime le plus”, dit-il. Ce qui semble assez correct mais pas assez “Politiquement-incorrect”, si vous pouvez le faire, n’est-ce pas l’idéal ? Voilà, je suis au bout et à bout de tapotages… Je coupe et vais voir ailleurs si j’y suis aussi…