Psycho Rod ster HiBoy’32
Nous avons vous et moi deux forces qui nous réunissent et nous divisent sans qu’existe une séparation nette : j’écris ce que je veux et ce que j’ai envie… et vous lisez ce que vous voulez selon vos humeurs… Vous ne me lirez jamais pour me faire plaisir sauf vous ne continuerez pas la lecture de ce qui ne vous convient pas, sauf si vous travaillez pour le fisc, la police et/ou un parti politique qui est chargée de couper les têtes qui dépassent… Et là se découvre que le pendant de nos forces qui peuvent nous lier est inexistant ou aléatoire…
En effet, si j’ose écrire sans chercher à vous flatter vous ne lirez pas ce qui vulgairement écrit “vous fait chier”… Je suis donc conscient que vous ne me lisez pas toujours totalement et que si vous venez me lire, c’est en fonction de vos humeurs… D’où les subterfuges des photos d’accroche en titre lesquelles disposent parfois d’une beauté vénéneuse soit en direct soit en ajout manipulateur d’un montage… C’est typique de “la presse” que de publier une couverture qui accroche et suggère… C’est de “la Pub”... Le texte vient ensuite et, faut-il qu’il accroche…
L’abscons déboule en sus pour des motivations psychologiques “internes”, comme la pub qui présente la voiture que le constructeur voudrait que vous achetiez alors qu’on vous stigmatise simultanément à circuler en vélo qui ne pollue pas… C’est aussi pire que montrez des porcs et bœufs sympathiques dans une pub vantant la charcuterie… Notez que le pire c’est de présenter des reportages sur des usines d’armements en se gargarisant que ça gonfle nos profits économiques alors que chaque munition présentée avec une appétence morbide est destinée à tuer des êtres humains…
Des comme nous-mêmes qu’on envoie se faire massacrer pour satisfaire l’égo des politiques surprotégés qui en tirent des profits personnels gigantesques… C’est le coté abscons et abstrus de l’humain inhumain, toujours tout et son contraire… Je n’ose aller plus loin car ça ne mène qu’à s’interroger sur ce que nous sommes réellement : des prédateurs de nous-mêmes, on se bouffe les uns et unes des autres uns et unes pour survivre avec l’intelligence de le réaliser de plus en plus efficacement dans une confusion totale…
L’humain adulte “normal” programmé par l’éducation et qu’on bourre de “valeurs inventées” telles les religions, normalement obéit aux cycles convenus et donc, à minuit, qui est dit-on l’heure des crimes, des préparations de délations et fake-news alimentant la lobotomisation… la majorité des gens “sains” qui le lendemains iront docilement se faire chier dans des travaux divers leur permettant d’obtenir de quoi payer la survie, n’ont pas le temps de regarder les chaines de lobotomisation de masse telles “BDSMTiVi” et surtout “Elle c’est i”…
Ces deux chaines sortent du lot des quantités d’autres aussi pourries dans lesquelles des mêmes bandes d’abruti(e)s pérorent durant des heures, en boucle, sur des mêmes sujets “assommoirs” en s’évertuant de “dire du mal des ceusses qui ne sont pas là” pour créer des attitudes programmées… Ce sont toujours les sempiternels mêmes commentaires qui ont l’avantage de contribuer à ce que peu à peu la population Franchouille voue une haine viscérale envers qui ont leur dit de haïr..
Pour l’instant c’est Vladimir Poutine, car la populace est selon les irresponsables censeurs politisés des chaines de désinfos, tourmentée des ravages humains, économiques, écologiques et autres que la France et les Pays Européens subissent de sa part ces derniers temps… Ah bon !!! Pour un rien les préparations de plats indigestes préparent les diarrhées politiques qui seront déversées sur les populations… Comment en est-on arrivé là ? Que s’est-il donc passé d’aussi irréversiblement abominable envers les lobotomisés que nous sommes ?
Notre pays (tout comme d’autres avec lesquels sont noués des accords de cons-fraternités illusoires) se retrouve aujourd’hui dans une situation critique et sans trop de précédents historiques car nous sommes désormais toutes et tous otages de ces multiples et diverses conneries, c’est volontairement répétitif et volontairement créé pour engendrer la peur d’une infection Poutiniène généralisée par le biais du vaccin Macron qui a fait ses armes avec les vaccins Covid et les injections obligatoires de substances Macronpolitiques destinées à nous rendre gagatisant(e)s.
De vouloir tout diriger et se rendre complice d’invraisemblables magouilles nos gouvernants créent et alimentent une surchauffe des “Bourses” pulvérisant jour après jours leurs records historiques d’érectilisations forcées dans une fuite en avant morbide des slips, une bulle d’inégalités aberrantes que seule une vraie révolution patriotique serait susceptible de résorber… C’est similaire à une malédiction qui infecte notre univers contemporain car, de fait, l’implosion volontaire d’une bulle déplace mécaniquement la fièvre sur un autre champ de déshonneurs…
Et ce dans une dévastation généralisée des classes consuméristes que les plus vulnérables de nos concitoyens vénèrent…. Pour la toute première fois dans la longue histoire de notre présence sur cette planète, les évènements survenant dans le pays le plus corrompu de l’univers, l’Ukraine, qui se surcroit s’est doté d’un président ex-clown qui s’est fait connaitre en jouant au piano avec son pénis érigé !!! Le plus curieux c’est que tous les chefs d’Etats veulent lui serrer la main, celle qui pianotait…
Concernant notre Président Marron et ses accointances sexuelles déviantes dans l’anormalité alternative, celles-ci peuvent aider à comprendre le pourquoi des poignées de mains viriles… Mais venant d’Ursula von Leylen c’est plus touffu concernant les palpations réciproques fort enrichissantes… Ces enjeux de mains fébriles à toucher les points sensibles, affectent simultanément toutes les autres parties… des corps constitués du monde… Jamais depuis l’Empire Romain et ses mœurs contre-nature, ces pratiques n’avaient éjaculés tant de liquidités et vidés tant de bourses…
Elles sont de plus ballotées au gré des crises engendrées dans diverses interactions subliminales… C’est un des volets de la masturbation financière générant des accouplements contre-nature… Il est indéniable que nos conditions de vie actuelles se retrouvent bien plus influencées et ballotées par les aléas survenant ailleurs, voire très loin de nous, que par ce type de con-texte, accentuant du même coup notre hyper fragilisation… Tout pareil que dans nos premières masturbations réciproques, nous avons, au final, progressivement perdu le contrôle des sens…
C’est par ce que nos existences ne dépendent plus guère (pour paraphraser Joseph Stiglitz) de nos salaires, ni même de l’éducation sexuelle prodiguée par divers membres familiaux bien couillus… La politique et le politique, tous deux comme de pauvres bourses vidées de leur substance, ne peuvent pratiquement plus rien sortir de bon, même dans des masturbations frénétiques en bandes organisées, car ayant été méticuleusement dépouillées. Le grand Hayman Minsky, disparu en 1996, théorisait à ce sujet, que la stabilité est trompeuse et qu’elle est en réalité déstabilisante.
Il est vrai qu’un ouragan est très souvent tapi derrière les périodes d’accalmies et de prospérité. Ce loustic devrait toutefois être contraint de revoir, en profondeur, sa copie, car les secousses de tous ordres – financières, inflationnistes, géopolitiques – jalonnent notre vie depuis de longues années dans un monde ne daignant même plus vouloir masquer sa dangerosité, pas plus que de modérer sa capacité de nuisance. L’instabilité est désormais la règle, elle n’est plus l’exception. Et Taleb peut s’arracher les cheveux qui lui restent car les cygnes noirs sont partouzes…
Les travaux de Taleb portent sur les problèmes de hasard , de probabilité et d’incertitude. Le physicien Max Planck notait à ce sujet que la science n’avance qu’au rythme d’un enterrement à la fois… Mais il n’y a aucune chance de nos jours que les hécatombes auxquelles nous seront prochainement confrontés soient sources de progrès. Je pense chaque jour à la chute de Constantinople le 29 mai 1453, hyper fragilisée par les discussions byzantines de ses élites dans le Palais de l’Empereur et ayant dilapidé un temps précieux en tergiversations stériles, facilitant ainsi grandement la tâche des envahisseurs turcs…
Le monde n’est ni édénique ni misérable, c’est plutôt d’un monde homéostatique dont il s’agit, un monde émotionnellement et affectivement appauvri, qui veut à tout prix se protéger de toute forme de souffrance et de douleur tout en créant celle-ci en pire encore… Arthur Schopenhauer, conversait concernant la souffrance morale insupportable mais inévitable de l’homme, qui, selon le philosophe pessimiste, est causée par la soumission constante de l’être humain à la tyrannie du consumérisme et du du “vouloir-vivre”. Le système qui mène les néo-humains à conserver leur équilibre de fonctionnement.
Leur stabilité énergique qui les maintient en vie, est la maintenance de l’ensemble des paramètres physico-chimiques de l’organisme qui restent constants et semblent ne pas changer d’un néo-humain à l’autre. D’ailleurs, la fixité du milieu intérieur est la condition d’une vie libre et indépendante : pour évoluer les populaces ne sont pas véritablement censées se préoccuper de l’environnement. Le seul compagnon du “néo-humain” est le chien, lui-même clone d’autres chiens, alors que les relations entre hommes et femmes se font par maintenant par écran où l’on correspond et échange des informations textuelles…
Et parfois, de manière inattendue, des poèmes… ce qui déclenchera un jour une nouvelle mutation, cette fois “Kulturelle”, vers un au-delà des sentiments tels qu’ils existaient chez les humains primitifs. À ce sujet, la jalousie, le désir et l’appétit de procréation ont la même origine, qui est la souffrance d’être qui nous fait rechercher l’autre, comme un palliatif sexuel… Pourtant, un paradoxe se profile, une dimension à laquelle on ne s’attendait pas, non moins importante : le bonheur… Sans amour il n’y a plus que la peur de la mort et du vieillissement. Le sexe sans amour, quant à lui, ne survit pas à la vieillesse…
L’importance accordée à la sexualité et à l’attrait physique des jeunes personnes, influence tout leur comportement en ce qui concerne l’amour. La sexualité n’est qu’un divertissement plaisant, guidé par la séduction et l’érotisme, qui n’implique aucun engagement sentimental particulier, sans doute que l’amour n’a finalement jamais été, comme la pitié selon Nietzsche, qu’une fiction inventée par les faibles pour culpabiliser les forts… Les sociétés animales et humaines mettent d’ailleurs en place différents systèmes de différenciations hiérarchiques.
Ils peuvent être basés sur la naissance (système aristocratique), la fortune, la beauté, la force physique, l’intelligence, le talent… Tous ces critères paraissent d’ailleurs à certains et certaines, également méprisables… Bref, tout cela écrit afin de vous instruire bien mieux qu’en légendes illustrant des photos qui ne font que répéter l’action, une façon de vous “imbéciliser”… Il est donc temps d’en venir au Hot Rod qui illustre cette chronique d’un texticule qui ne se retrouvera jamais dans un magazine “papier” où une page Facebook…
Ce roadster Ford Highboy (où Hi Boy) est le produit d’une construction de 2021 utilisant une carrosserie en acier de style 1932 montée sur un châssis en acier caissonné personnalisé. Finie en noir avec intérieur bleu, la voiture est propulsée par un V8 Mercury flathead de 1950 équipé de triples carburateurs Stromberg 97, de culasses en aluminium à ailettes Offenhauser et de collecteurs d’échappement en acier inoxydable personnalisés. révisée, modifié par le regretté Mark Kirby de Motor City Flatheads à Dundee, Michigan….
L’équipement supplémentaire comprend une transmission manuelle Tremec à cinq vitesses manœuvrées via un levier Hurst, un pont arrière Quick-change Winters. Les différentiels à changement rapide sont la norme dans le monde de la course et du Hot Rodding depuis des décennies. Ils permettent de modifier les rapports de transmission finaux grâce à un simple changement de pignon, ainsi les coureurs peuvent optimiser leurs performances de circuit en circuit, et les Hot Roddeurs peuvent passer d’un engrenage adapté à l’autoroute à un engrenage de course en quelques minutes.
Il y a là-dedans également des freins à disque So-Cal Speed Shop dissimulés, un essieu surbaissé percé, un ressort à lames transversal avant, des barres d’échelle arrière, des combinés filetés réglables, une capote amovible noire, des jantes chromées chaussées de pneus Firestone Deluxe Champion 5,60 à 15po AV et 7,50 à 16po AR. Le volant à deux branches fait face à un tableau de bord en acier de la couleur de la carrosserie. Un ensemble Classic Instruments est centré autour d’un compteur de vitesse de 140mph…
Ce Hot Rod est comme le sexe qui perd son obscénité lorsqu’il va au-delà de tout fantasme personnel et pousse l’aventure des esprits fantasmés dans la lancée de l’aventure des corps. C’est une vie qui se déroule chez moi avec humour parce que selon moi, seuls les corps parlent et que ceux-ci ont beaucoup plus d’humour que les plus beaux esprits. Il faut que, du même mouvement par lequel le langage tombe de haut, puis s’enfonce, nous soyons ramenés à la surface, là où il n’y a plus rien à désigner ni même à signifier, mais où le sens pur est produit dans son rapport essentiel avec un troisième élément…
C’est le non-sens de surface… Et, là encore, ce qui importe, c’est la vitesse, capter l’impulsion, le dynamisme, le style. Car il ne suffit pas de donner forme aux mots, il faut surtout leur communiquer un élan. Ajuster les mots de telle façon qu’ils tiennent encore ensemble lorsqu’on a retiré les corps, consiste à retirer les corps et à garder l’élan. Alors la peur est transformée en pure jouissance. L’évanouissement du corps qui nous est procuré dans l’expérience de la jouissance est la rançon du total investissement corporel lié à la peur.
L’émoi corporel est transmué en émotion musicale. Cela ne crée pas l’émotion, mais la transmet au moyen d’une technique. Cela fait passer des corps aux mots, avec comme corollaire, la transformation de la peur en jouissance. En aucun cas, un mot à lui tout seul ne saurait être émotif. Ce qu’il faut comprendre par “style émotif”, c’est cette opération de restitution de l’émotion corporelle à travers les mots, un travail très spécial de profilage qui consiste à enfiler les mots (comme les corps) les uns dans les autres, par delà le vide laissé… et faire ainsi l’expérience de la pure vitesse.
Qu’advient-il de la morale dans ces considérations d’ordre stylistique ? La morale sexuelle est davantage une question de style que de code . Styliser plutôt que codifier, procéder par stylisation pour redonner sens à un monde qui va sans doute vivre l’apocalypse et l’effondrement de toutes les hypocrites valeurs morales qui ne sont pas des questions de valeur, elle sont directement issue des corps. Elles ne sont pas des armatures qui redressent les corps, elles forment une architecture imprévisible et mouvante que dessinent les corps dans leur zone de contact.
La morale vit dans l’entre-deux des corps, un entre-deux qui a pris son autonomie, qui a capté la chaleur corporelle et qui existe par lui-même… On canalise les masses, on les prépare à l’abattoir, à coups de règles et de préceptes. Cette morale sociale codificatrice, je ne veut plus en entendre parler. J’ai définitivement opté pour l’autre versant de la morale : la morale imprévisible ou les mots et les personnages sans foi ni loi, tous plus désossés les uns que les autres, dressent malgré eux une admirable perspective…
Là alors on voit… tout le jeu… tout le grand travail… le tintouin… le carrousel… les gros… les minces… les effilés…les camouflés… Moi ça me fascine… je ne le cache pas… je m’émerveille des chocs et des contre-chocs, totalement étrangers à la ligne abstraite qui sépare le bien et le mal. Dans ces conditions, la littérature retrouve sa nature… Nous naissons tous mélancoliques, certains le restent… Voilà, il est temps d’en finir… J’ose espérer en l’arrivée de vos dons financiers (voir le cartouche en page d’accueil)…
2 commentaires
Maître,
Comme vos lecteurs, vous avez fait de coquettes plus-values grâce aux manipulations informatiques, au trading à haute fréquence et à la spéculation algorithmique,.
Cela est du reste paradoxal car le marché financier avoue lui-même que la valorisation des entreprises est bidon, puisqu’il ne sait en assurer la stabilité. Mais au fond, quel intérêt, puisque les possibilités financières se trouvent déconnectées des désirs personnels ? Par exemple, je pourrais avec mes plus-values m’offrir un chouette hot rod comme celui de l’article, mais il est interdit de rouler avec en France… il vaudrait donc mieux être un peu plus pauvre et un peu plus libre ? Jean-Jacques Rousseau, affirmant que “La pauvreté est la liberté” aurait-il pu se retrouver dans un Hot Rod , libre des normes et des conventions préétablies dans l’industrie automobile, désireux de créer quelque chose d’unique et de personnel avec des ressources limitées en réutilisant des pièces et des matériaux, et en défiant les normes sociales et les réglementations routières ? Nul ne le sait, pas même les ordinateurs qui manipulent la bourse ou les chaînes d’information…
Il y a une raison à tout… En ce cas, je dispose d’un (trop) grand nombre de photos… Et en sus, il y a mon sens du devoir (dans le sens devoir d’écolier soucieux d’écrire de nombreuses lignes)… Ces faits font que mathématiquement, si je veux les placer toutes, il me faut disposer d’un long texte permettant au moins 3 lignes et demi de texte entre chaque photos… Donc, je crée une histoire et il se fait que des histoires de Hot-Rodders sont chiantes… Soit il faut du sexe, soit de l’action, soit les deux… Mais les robots Google (et autres) qui génèrent du trafic dès que les photos sont trop sexe, ne valorisent pas l’article dans le référencement et les moteurs de recherche… Donc, il faut jongler… En ce cas, je me suis amusé à incorporer un texte complexe et long dans une adaptation qui flirte avec le farfelu… En ce cas nous dérapons dans la psychologie… Croyez bien, Docteur, que les Hot Rodders en général n’ont strictement aucun bagage de ce style, je ne connais aucun Docteur Hot Rodder, généralement ils sont Porschistes s’ils ont de la clientèle puis conviennent avec Madame qu’une Mercedes est plus adéquate, éventuellement une Française en Province pour ne pas faire jaser les commérages… Moi-même, maintenant Saint et Tropézien, je suis 95% piéton ou casanier… Je roule rarement soit avec le Grand Chéro soit la Smart, mon seul souci étant de prévoir des jours d’avance que les batteries soient chargées… Autre raison à ce que vous pouvez prendre comme une insatiable soif d’écriture et publications, ça m’amuse et me détend d’écrire mais comme j’ai déjà tout raconté, j’en viens à des “complications” consistant à écrire sur un sujet inabordable qui devient surréaliste accroché par mes artifices à des Hot-Rods… Cela devient une adaptation inversée, et je vous assure que psychanaliser un moteur alors que je n’ai aucune connaissance médicale et psychologique en dehors de mes vécus de santé, et que je serais bien en peine d’assembler un V8, me procure vraisemblablement la même satisfaction imbécile que Macron jouant au chef de guerre…
Commentaires désactivés.