Highboy’32 HotRoadster
Vous n’êtes qu’une poignée à pouvoir vous payer un “vrai” Hot Rod comme ce B’32 rouge… Pour les autres, qui sont en bien plus grand nombre que cette poignée, c’est de votre faute, entièrement de votre faute que tout s’est déglingué en Franchouille. Vous avez cru que le Hot Rodding et le Kustom étaient l’exemple d’une Simca Aronde baveuse comme une chinoiserie ne disposant que d’un 4cyl rachitique, alors que ChromesFlammes présentait le Hot Rod Hi-Boy Citroën Traction et le Hot-Rod’T C’Cab et l’Olds’48 et bien d’autres tel le Trike V12 après l’exhibition de supers Dragsters sur le circuit des 24h du mans… Le Groupe Michel Hommel a ensuite plongé en une faillite en dizaines de millions d’euros, laissant les pigistes grandes-gueules qui m’injuriaient finir dans la merde des jobs précaires et mal-payés, après que la grande gueule en chef enfui en Thaïlande s’y retrouvait en taule pour des affaires de sexe sur des gamines… Pas de quoi pavoiser ni de rire comme les donneurs de leçons d’injures quand j’avais créé un Hot Rod Bugatti sur base delaChapelle… Je n’ai pas la rancune, mais j’ai de la mémoire… Vous n’en avez gagné que de la merde et le droit d’aller pleurer dans les réseaux asociaux qui s’en branlent…
On nage dans la merde en Franchouille. Maintenant, on en est à voter pour faire barrage et favoriser les transgenres au pouvoir, jusqu’aux jeux olympiques de Paris… On déglingue, on pleure qu’il n’y a plus assez de milliards pour assurer nos vies, les hôpitaux, nos agriculteurs, parce qu’on a donné nos milliards à un clown, pianiste avec son pénis érigé, qui en rendait bien sur la moitié aux généreux donateurs… Les mêmes qui affirmaient que les Hot Rods et Kustoms devaient disparaitre car faisant un tort considérable à nos industries automobiles qui devaient migrer en Ukraine ou la main-d’oeuvre était 50% moins chère qu’en France… Maintenant tout ferme… Usine après usine… On a même perdu celles construites en Russie… On a également perdu nos colonies, notre honneur aussi… Le grand désastre… Certes vous avez été dupés par des rigolos, des minables pseudos constructeurs de Cobra sur châssis et moteur VW-Cox, des arnaqueurs qui vendaient des américaines 50% moins chères en direct des USA calfeutrés à Barbès et Gogo-la-Grenouille-sur-mer.. Pour un rien ce sera guerre atomique, on va ainsi se débarrasser de nous et tout remodeler…
C’est parce qu’il n’y a qu’une seule économie qui tienne la route. Une économie qui ne périclite jamais. Une économie qui n’est pas en quête d’une croissance à tout prix. Cette économie fonctionne depuis des milliards d’années, bien avant l’apparition de l’être humain. C’est la Terre… Ses composants, “ses agents” pour reprendre un terme à la mode, sont les océans et les forêts. Sa monnaie est l’oxygène et les rayons du soleil. Sa bourse des valeurs est essentiellement fondée sur une allocation et sur un usage raisonnables de ses ressources, secrétant un équilibre parfait qui favorise la production d’écosystèmes et la vie de 8 millions d’espèces. Tous ces actionnaires contribuent au système économique de cette planète, y apportant chacun sa valeur ajoutée. Au sein de cette économie authentique, pas d’inflation, pas de cycles infernaux de booms inévitablement suivis d’implosion de bulles. Hormis les rarissimes épisodes d’extinction d’espèces, sa performance est stable, et son bilan largement positif sur le court, sur le moyen et sur le long terme. Son air, ses arbres, son eau ne sont certes pas affublés d’étiquettes, mais leur valeur reste immuable au cours des millénaires.
Entièrement basée sur le partage et sur le recyclage, cette économie prospère car tous ses habitants n’utilisent que ce qu’ils ont besoin, et y restituent leurs surplus. Pas de banquiers, pas de distributeurs automatiques, pas d’appât du gain, elle était censée être immortelle, inamovible. Jusqu’à ce que l’Homme ne pompe toutes les réserves de sa Banque Centrale, en y greffant une économie dysfonctionnelle, vivant largement au-dessus de ses moyens en multipliant les prêts. Ignorant l’étymologie même du mot “économie”, il y a établi le règne de la croissance sans limite, à perte de vue, et l’impérium de toujours prendre sans rien rendre. Contrairement aux autres espèces qui contractent parfois des crédits en cas de besoin mais qui les remboursent systématiquement, l’être humain (particulièrement l’Occidental) pour sa part n’a rien à offrir au système, si ce n’est la profusion des leviers, des titrisations et autres raffinements tels que la création monétaire quantitative. L’Humanité s’est progressivement transformée en un gigantesque business à ciel ouvert où nous sommes tous sommés d’accélérer, de rentabiliser, d’exploiter, de croître à l’infini…
Notre credo consiste à convertir tout en marchandise estampillée d’une date de péremption. Le fondement de notre système est d’épuiser, de remplacer, y compris nous-mêmes qui sommes devenus des produits. Si ce n’est que nos comptes sont négatifs, notre bilan financier largement et incontestablement déficitaire. Et pour cause: nous ne faisons que dépouiller, et – pour solde – notre dette vis-à-vis de la vraie économie excède nettement notre Produit Intérieur Brut. Ayant multiplié les crises inflationnistes, déflationnistes, les crises du crédit, des dettes souveraines, les bulles spéculatives, les flambées immobilières, ayant toujours recours aux guerres dévastatrices afin de nous réguler, nous ne pouvons plus puiser dans les réserves de notre Banque Centrale car celles-ci sont bientôt à sec. Du fait de nos dons généreux (ristournés à 50% aux donneurs) endettements massifs, accumulés au fil des générations, surtout les plus récentes, notre seul et unique créancier est sur le point de se déclarer en faillite. Comme notre Banque Centrale n’est plus en mesure de financer notre effet de levier à tous les niveaux, notre mécanisme à la Ponzi implose car la croissance exponentielle est un mythe, un cauchemar.
Pleurez pas, on peut encore rêver car les pilules anti-rêves ne sont pas encore au point pour remplacer les faux vaccins… Donc on peut encore rêver à défaut de posséder… Le roadster Ford Highboy de 1932 est considéré comme emblématique dans le monde de l’automobile. Il est connu pour son design élégant et ses performances puissantes. Un tel exemple est celui de cet article qui appartient à Bill Currie du Massachusetts, qui a demandé à Dave Lane de Fastlane Rod Shop de lui construire un look emblématique. Une sorte d’ultime “vache sacrée rouge vif” complétée par un ensemble de grands et de petits “in your face”, propulsé par un moteur V-8 Ed Pink Racing Engines à injection. Tout cela donne à ce Hot Rod tout ce dont il a besoin pour “posséder le look”. Ajoutez l’essieu abaissé et le Quick-Change et vous obtenez un Hot Rod intemporel, la définition par excellence du Hot Rod… L’opposé de l’Omlett Baveuzzzzzz… Yeahhhh ! Le roadster highboy a rapidement gagné en popularité dans le passé grâce au Ford Flathead V-8. Pour le vrai Hot Rodder c’est le Rod essentiel, avec un design minimaliste et sans fioritures qui met l’accent sur la vitesse et le style.
Aujourd’hui, et à l’avenir, les Hot Rodder’s se sont tournés vers le Deuce highboy en raison de son superbe style de carrosserie Pour Bill, tout a commencé à l’âge de 13 ans. Il a vu un Roadster Deuce filer dans la rue, et avec le soleil qui brillait sur la peinture et en regardant à travers les feuilles qu’il brûlait dans le caniveau de la rue, il est devenu accro. Il n’a pas fallu longtemps avant qu’il découvre qui était le voisin magique qui possédait ce Roadster Ford Highboy de 1932 et à ce moment-là, il a commencé à s’abonner à ChromesFlammes qui grâce à ses articles a maintenu son enthousiasme et, pendant qu’il était dans les forces spéciales de l’armée US, il a maintenu “Les Flammes des Chromes” allumées. Une fois sorti du service, il était temps pour lui de se marier et de fonder une famille “à l’américaine”... Une fois la famille fondée, il y avait du temps pour cultiver une carrière dans l’industrie automobile des Hot Rod’s. Bill n’est pas radin et a demandé à rien de moins qu’aux célèbres Thom Taylor et Boyd Coddington de l’aider et conseiller pour réaliser un Hot Roadster “Number One”. À partir de là, il n’a pas fallu longtemps avant que le Hot Roadster Ford ’32 que vous voyez ici soit construit…
La carrosserie vient de chez Brookville avec un capot Rootlieb qui comporte des “louvers” de capot personnalisés par Fastlane. Toute la carrosserie et la peinture nécessaires ont également été traitées chez Fastlane qui a pulvérisé sur la couche de base/vernissage Axalta Hot Hues Fastlane Red. Le roadster rouge brillant de 1932 repose sur une paire de rails de châssis de Jim Weimer (JW Rod Garage). À partir de là, Bill a apporté quelques modifications de son cru avec la partie avant du châssis plus pincée, une traverse arrière façon modèle A et un kick-up à l’arrière. Une poutre en I de 4 pouces chromée Super Bell, des axes et des amortisseurs Bilstein chromés ont été utilisés, ainsi qu’un ressort transversal et les fameuses “épingles à cheveux” chromées de Pete & Jakes Hot Rod Parts. La direction est une boîte Mullins-Vega couplée à une colonne LimeWorks sur mesure, tandis que les freins sont poussés en service via un maître-cylindre Wilwood. Plus de Pete & Jakes est le freinage avant, un kit de frein Hot Rod SO-CAL Speed Shop poli et plaqué qui ressemble à des freins à tambour à ailettes vintage mais qui cache commodément les étriers et les disques polis Wilwood.
D’autres freins d’apparence vintage et le changement rapide poli obligatoire sont présentés à l’arrière. Cette fois-ci, de Winters Performance, leur V-8 rapide à l’apparence nostalgique arbore des engrenages à coupe hélicoïdale de 3,78 avec des essieux Winters, un arbre de transmission Sadler Powertrain, un ressort à lames transversales peint et une autre paire d’amortisseurs à tube Bilstein chromés. Aux coins se trouvent un ensemble de jantes polies de style Real Rodders Halibrand mesurant 16×10 à l’arrière et 15×5,5 à l’avant. Les façades ont été envoyées à Eric Vaughn, qui y a effectué sa magie. Les caoutchoucs bigs ‘n’ littles sont des pneus radiaux Michelin XZX 145SR15 à l’avant et des Michelin Defender LTX 265/70R16 à l’arrière. À l’avant se trouvent des phares de chez Greening Auto Company avec des enjoliveurs vissés, tandis que les feux arrière sont quelque chose que les premiers rodders auraient trouvé sur une Chevrolet de 1941. Blotti entre les longerons du cadre Deuce se trouve un bloc de fer Chevrolet Performance prêt à basculer 383 pouces avant qu’Ed Pink Racing Engines n’effectue un travail copieux pour atteindre la perfection du V-8.
Les composants internes comprennent des pistons CP billettes 10:1, des tiges Carrillo, des arbres Competition Cams sélectionnés par les maîtres d’Ed Pink’s et un vilebrequin Lunati Pro Series. Les culasses en aluminium Edelbrock E-CNC 185 sont maintenues en position par le matériel ARP, qui est également utilisé dans tout le moteur, et elles sont recouvertes d’une paire de couvercles de soupape en billette personnalisés fabriqués par C. Cook Enterprises pour reproduire les couvercles de soupape peints Chevrolet V-8 des années 1960. Ils sont nécessaires pour donner le dégagement supplémentaire requis pour les bascules à rouleaux. Lane avait également un autocollant “Ed Pink Racing Engines” placé dans la cavité centrale d’origine de la couverture. En haut se trouve la cerise sur le gâteau, qui se présente sous la forme d’une admission en aluminium Hilborn Chevy #814 surmontée d’une injection de carburant Hilborn EFI… Y a-t-il quelque chose de plus extraordinaire que tout cela qui dit au monde que nous sommes au milieu des années 1960 et que c’est l’heure de la course ? Les Hot Rods doivent avoir un moteur qui ne chauffe pas et un SBC avec Hilborns est, par définition, très cool.
Les piles sont surmontées de purificateurs d’air personnalisés par Steve Moal Coachworks. L’allumage commence avec un contrôleur Holley EFI Dominator, une magnéto électronique ressemblant à Joe Hunt avec de l’électronique par Steve Sbelgio d’Eclipse Engineering, une bobine MSD Blaster, un ensemble de fils de prise personnalisés par Lane et une pompe à carburant électrique située dans le réservoir d’essence des réservoirs montée à l’arrière entre les rails du cadre. Les accessoires supplémentaires du moteur comprennent la pompe à eau courte en aluminium Edelbrock, un alternateur et un démarreur Powermaster, ainsi qu’une batterie montée sur le coffre Optima. Les collecteurs, l’échappement, les silencieux Stainless Works et les embouts de cloche ont tous été fabriqués grâce au travail méticuleux de Lane chez Fastlane. Le SBC est équipé d’un TREMEC TKO600 à cinq vitesses avec un cinquième rapport de 0,82, d’un volant d’inertie et d’un embrayage Centerforce et d’un levier de vitesses Hurst. Le tableau de bord est une reconstitution de Ford Brookville 1932 avec une finition lisse. Il est équipé de jauges Stewart-Warner vintage et d’une électronique moderne de Chris Schlaff, The Gauge Guy.
Les aiguilles, les lunettes et le verre incurvé proviennent d’anciens calibres Stewart-Warner Survey (pouvez-vous dire très rares). Les écartements et autres câblages requis sont tous réunis par un kit American Autowire Highway 15. Attachée au tableau de bord par une chute de colonne se trouve une colonne de direction personnalisée LimeWorks. La prochaine étape est un volant de 15 pouces à quatre branches de style Bell avec Jesse Greening de Greening Auto Company. Les sièges baquets personnalisés rappellent les sièges bombardier du Boeing B-17 Flying Fortress recréé par un Hot Rodder de longue date aux nombreux talents et un bon ami de Modern Rodding : Frank Wallic. Il s’est également occupé des ceintures de sécurité personnalisées. Une petite touche de confort provient des sièges chauffants installés par Ron Mangus. Les coutures ont été réalisées en cuir noir fourni par Wollsdorf, tandis que la moquette est un tissage carré allemand par Tracy Weaver de Hot Rod Interiors. Le levier de vitesses Hurst, la poignée de frein électronique et le bon nombre de trois pédales apparaissent à travers les planchers. Le Bop Top noir provient de Sid Chavers en Twillfast Sonnendeck, recouvrant les arcs chromés.
Aujourd’hui, le roadster Ford Highboy de 1932 reste très recherché en tant que voiture de collection ou chasseur de beignets et de nananas en jupes plissées à carreaux sans dessous, chemisier déboutonné sur pas de soutien… Yeahhhh ! Le design intemporel, les performances puissantes et son histoire riche en font une véritable icône de la scène Hot Rod, appréciée des passionnés de tous âges. Avec ses lignes épurées, son attitude de conduite élevée et sa réputation légendaire, ce Hot Roadster Ford highboy de 1932 occupera toujours une place spéciale dans le cœur des amateurs de voitures du monde entier. Bill peut être très fier de ce qu’il a fait, car cela nous rappelle ce que nous imaginions autrefois que nous conduirions lorsque nous serions grands… Valeur du bijou, plus de 250.000 $… J’en reviens donc au début de cet article que je vous suggère de relire et relire en boucle pour bien vous imprégner de la Hot-Kulture du Hot Rodding, aux antipodes de toutes Omlett’s pour baveux… Voilà, je vais moralement bien mieux d’avoir tapoté tout cela… Je vais disparaitre comme par magie afin de jouer avec mon Blacky qui va me raconter un tas de choses utiles concernant les cancaneries locales… A pluche, mes Popu’s…