Holden Sandman Doorslammer 5000cv
Ce HQ Holden Sandman est-il le plus beau Doorslammer du monde ? Waouwww ! D’un seul coup, en cause du tapotage d’une phrase en entrée de jeu, vous voilà agressé de vos croyances dont je me moque, alors qu’en plus vous n’en avez pas la traduction… Frustrant n’est-il pas ?… Regardez en parcourant d’avance les photos d’illustrations, le soin apporté aux finitions en comparaison de tout ce qu’on vous présente en presse européenne et vos yeux vont s’écarquiller de stupeur… Devinez qu’en sus je brandi un doigt d’honneur et vous allez râler…Quoique vous pouvez simplement vous temporiser en vous écriant : “Putain de merde, ce Patrice De Bruyne, où va-t-il donc chercher de tels trucs-machins-bazars ?”… Et c’est loin d’être terminé…
Explication simple et basique, je ne fais pas les poubelles et ne fréquente pas, avec la même assiduité hyper maladive que certains et certaines, les réseaux asociaux ! Voilà… L’histoire de ce StreetDragster Sandman Doorslammer créé/fabriqué par Boris Pacey (un Australien aux origines Russes), a connu quelques rebondissements au cours de sa gestation de 15 ans jusqu’à son achèvement, lorsque présenté au show Motorvation qui se déroule chaque année depuis une vingtaine (d’années) sur le continent des Australopithèques, Koalas et kangourous… Sachez que les australiens blancs sont les descendants des colons majoritairement britanniques qui ont anéanti la France Napoléonienne après avoir amené l’Europe en décadence et avoir brûlé Jeanne d’Arc…
Etre Français Républicains et être contraints par Macron 1er de s’aplatir à sa suite devant le Roi Charles d’Angleterre et son épouse, en courbettes et bassesses masturbatoires, est comme déchoir… Dans quelle fange, dans quelle basse fosse, dans quel cloaque nous retrouvons-nous avec un tel personnage aux mœurs équivoques spermettant la gérontophilie transgenre jusqu’à l’Olympisme… Ce rituel iconique du plus grand événement sportif, symbole de paix et de fraternité, est apparu en 1936 sous le IIIᵉ Reich Nazi… Continuation logique du projet olympique, c’est un coup d’éclat de la propagande nazie. Une cérémonie sans équivalent passé. Les concours olympiques (on ne parle pas à l’époque de jeux) se déroulaient à l’époque classique sur cinq jours.
Ils s’ouvraient par le serment des athlètes et de leurs proches. Au troisième jour avaient lieu des sacrifices rituels. Mais aucune flamme n’était allumée, ni par des vierges, ni par des rayons du soleil, comme le prétend aujourd’hui le site officiel des JO. Il n’y avait pas même de flamme olympique. Le principe d’un tel relais est apparu en 1936 adoubé par Joseph Goebbels ! Le flambeau olympique qui n’a jamais existé du temps des Grecs devait être inventé pour avoir un caractère symbolique fort pour l’Allemagne nazie. Selon son idéologie, les Aryens se sont donc découverts une filiation directe avec les anciens Grecs… Ce symbole permettant, en cette suite, à la propagande nazie du IIIe Reich, de relier Hitler à Zeus. La France se retrouve ainsi nazifiée par les jeux 2024…
La première flamme olympique arrive donc au Lustgarten de Berlin, le 1ᵉʳ août 1936, sous l’ovation et le salut nazi de milliers de membres des Jeunesses hitlériennes. Par la suite, Carl Diem se rapprochera de l’idéologie belliqueuse du régime Nazi. En 1943, il se félicitera des Jeux virils et guerriers, et jugera conforme à l’esprit des jeux antiques, que les Nazis défendent leurs droits vitaux les armes à la main… Lorsque, à l’été 1936, la torche inventée voyage jusqu’à Berlin, l’opinion internationale est bernée par le pseudo-pacifisme affiché par le régime nazi, tel le New York Times, qui applaudit “une inauguration notable, au-delà même des attentes”, et se satisfait d’un nouveau point de vue sur le IIIe Reich depuis la colline olympique de la paix…
Plusieurs responsables du CIO saluent un événement grandiose. Pierre de Coubertin lui-même y voit l’aboutissement de sa vision théâtrale des jeux. Le relais de la flamme, lui, continue sa course. Il est utilisé en paravent, quant au cirque du transport de la flamme olympique utilisé par la France comme l’a fait le régime nazi, que notre Président Macron s’en gargarise après d’être ingénié à favoriser les dons de charité par milliards à une Ukraine empêtrée dans diverses apologies du nazisme, crée bien plus qu’un malaise, si ce n’est que la défense “a tout prix’ d’une Ukraine ayant mis en avant les symboles du nazisme et voue un culte incroyable à un ancien dirigeant nazi de l’Ukraine (fêté en cortège chaque année) crée plus qu’un malaise : un détournement de l’histoire…
Outre les returns offshore aux dons au président Zeelinsky assurent une retraite hors norme au réceptionnaire des dons et aux donateurs utilisant nos impôts, l’image de la France se “médiocratise”, l’attente mise en marche des vaccins Covid et tous les efforts masturbatoires, ont été largement récompensés. L’éjaculation simultanée est grandiose… Appréciez que c’est presque en parallèle d’histoire avec la Street-Drag Sanbman Doorslammer… Non seulement la voiture a remporté des trophées, notamment des “People’s Choice”, mais elle a également brisé Internet et fait parler les gens bien-pensants. Et bien que GatsbyOnline/ChromesFlammes laisse la transexualité et les déviances dans la section des SecretsInterdits, cet engin se démarque pour plusieurs raisons…
La première est que la carrosserie est en carbone nu, ce qui donne juste ce qu’il faut de contraste pour mettre en valeur les lignes de lutte de la forme générale. De profil, elle a l’air proche du stock, jusqu’à ce que vous arriviez au pare-brise, puis c’est la fête ! Tout d’abord, il s’agit d’une voiture magnifiquement réalisée puis présentée avec une fabrication vraiment époustouflante, quoique créée dans un sordide hangar d’arrière-cour. OK, le hangar est peut-être un peu plus étrange que la moyenne, et il y a dedans une cabine de peinture complète, mais c’est dans le jardin de Boris… L’inspiration derrière cette construction était quasi raciste, une HQ noire qu’il a rachetée à son père pour 2.600 $ Australiens…
La genèse de cette construction remonte à plus de 15 ans, Les plans initiaux étaient de concourir avec un dragster roulable sur routes “ouvertes” et de faire profits des paris concernant les burnout’s sur les parkings de supermarchés, et les concentrations. Boris ne voulait pas d’arceau de sécurité exposé, d’où le carénage qui part de l’arrière de la cabine. Boris était enthousiaste à l’idée d’utiliser un 308ci avec un compresseur 6/71 pour les Outlaws, mais les frères Chapman que Boris a aidés lorsqu’ils construisaient leurs voitures de course, lui ont déconseillé. Ils lui ont dit : “Votre moteur V8 308ci ne va pas durer ; Il va exploser, alors pourquoi ne pas remotoriser directement avec un Big Bloc ?”... Le Monde est soudainement devenu plus complexe à Boris Pacey…
Il vit une aventure dans un univers impitoyable ou l’homme non fortuné n’est qu’un jouet du destin… Boris à donc méthodiquement œuvré pour obtenir l’excellence absolue. Le châssis d’origine a été remplacé par une unité chromoly actuelle aux spécifications Doorslammer construite par un constructeur de châssis local et modifiée au fur et à mesure de l’évolution du projet et des pièces échangées. Un exemple est le différentiel, qui est un énorme Mark Williams modulaire de 12 pouces qui peut faire 600 courses sans se casser. L’objectif second de Boris a donc été de rendre la voiture aussi facile à entretenir que possible. La longueur supplémentaire pour répondre à l’empattement requis de 115 pouces a été ajoutée derrière les roues avant.
Cela a signifié de devoir remodeler les lignes de carrosserie. Bien que celle-ci puisse facilement être soulevée par 4 personnes, elle pesait tout de même environ 120 kg, ce qui était relativement lourd pour une carrosserie de dragster de course. Par exemple, une carrosserie de Corvette ’53 en fibre de verre est de seulement 54kg ! Boris admet qu’il est allé un peu lourd avec les renforts pour s’assurer qu’il ne s’effondre pas avec le V8 Brad Anderson Hemi surmonté de culasses BAE-6 et rempli d’un ensemble composé d’un vilebrequin Bryant, de bielles PRV de pistons Carrillo et de soupapes Manton (admission de 2,40po et échappement de 1,90po). Toutes chose très chères…
Le blower à vis PSI 206D est surmonté d’un chapeau en fibre de carbone Jeff Burnett et d’un système d’injection conçu par Greg Gower, le moteur produisant entre 4000 et 5.000cv pour fonctionner dans les 5,80…lui permettant de jouer et gagner… L’ensemble du clip avant se détache en quelques secondes, révélant la magnifique billette Brad Anderson Enterprises Hemi. Boris a spécialement commandé les cache-culbuteurs avec des dessus vierges, afin qu’il puisse y graver le logo Sandman CNC par ProWest Engineering…La transmission est une boîte à trois vitesses B&J attachée à un convertisseur Ty-Drive, qui contrôle le verrouillage Neal Chance. Au-dessus se trouvent les huit packs de bobines MSD qui remplacent la magnéto…
En résumé, le V8 est un 491ci BAE Hemi, le Blower est un PSI-D BAE-6, vannes Victory 2,40 pouces (int), 1,90 pouces (exh). Les pistons sont des Carrillo, l’allumage est un MSD PRO 600 CDI. La boîte de vitesse est uneB&J à trois vitesses avec Ty-Drive, boîtier en titane BOHR Racing Products, le convertisseur est un Neal Chance. La direction pignon/crémaillère est de chez Stiletto. Les freins sont à deux pistons avec disques en fibre de carbone , étriers à quatre pistons et disques en fibre de carbone. Les jantes sont des Mickey Thompson avec montage sur broche 15×3,5 (AV), Pro 5 ET Drag 16×16 (AR). Les pneus sont des Hoosier; 23×5-15 (AV), et 17×36-16 (AR)…
Boris Pacey remercie Lisa, (son épouse) d’avoir supporté toutes les nuits tardives et les coûts douteux des pièces ; son fils James Pacey qui travaille chez Jampac Fabs pour l’excellente fabrication des pièces, les soudures TIG, la tôlerie et l’aide générale… Il salue Gerry Andrijich pour son aide dès le premier jour et Josh Lawson de Promarine Fremantle pour son aide chaque semaine au cours des six dernières années ; Jeff Cutajar de JC Race Stuff pour le câblage électrique de la voiture et l’organisation des dernières pièces de course ; Joel Eddleston de MP Media ; George Separovich de Blown Motorsports pour être le constructeur du moteur ; Joe Latham de ProWest Engineering pour son aide dans tous les travaux CNC et moi d’en avoir réalisé cet article…
J’ajoute à l’attention de mon lectorat que cet engin est un Dragster qui pour d’obscures raisons est immatriculé et peut circuler sur routes “ouvertes” en Australie uniquement…