2025 Aston Martin Vanquish Volante V12 825cv
Pour les fans fidèles, Aston Martin ressemble à des personnalités de type A : perfection, compétitivité, performance, et les images des acteurs jouant James Bond 007 se surexposent en tête. Originellement, reprenant le nom des fondateurs de la marque : Lionel Martin et Robert Bamford, elle s’appelait initialement Bamford & Martin. Ils ont commencé la production mais ont été interrompus par la Première Guerre mondiale. Par conséquent, ils ont produit 55 véhicules, puis ont fait faillite en 1924.
En 1925, l’entreprise a dû être vendue “à la casse”. Bill Renwick, Augustus Bertelli et d’autres investisseurs l’ont alors rebaptisée Aston Martin Motors. David Brown a ensuite racheté Aston Martin. Les plans d’un prototype appelé DB2 ont été dévoilés en 1950 et comme quelques intrépides se sont manifestés d’acheter “la chose”, une suite s’est ouverte avec des modèles comme la DB2/4 en 1953, la DB2/4 MkII en 1955, la DB Mark III en 1957 et la DB4 en 1958. Généralement marier son destin à un bordel proposant des putes apporte plus de déboires que de jouissances…
En conséquence, l’entreprise en ruine a être cédée plutôt que vendue à Company Developments, un consortium de banques d’investissement qui ont vendu le bordel à Peter Sprague, George Minden et Jeremy Turner qui vont être propriétaires de la mauvaise affaire jusqu’en 1981 ou un miracle contre nature est intervenu… Victor Gauntlett de Pace Petroleum a acheté Aston Martin. Il a rapidement sombré, à revendu à perte à Walter Hayes en 1987 qui a lui aussi été sa propre victime… (le terme propre cache en réalité les pires saletés d’affaires).
La Ford Motor Company s’est retrouvée propriétaire pour d’obscures déraisons équivoques de 1991 à 2007, année ou le président de Prodrive, David Richards, a acheté Aston Martin pour en être le propriétaire jusqu’en 2013, date à laquelle l’entreprise s’est associée à Daimler AG dans le besoin de créer des moyens financiers impénétrables pour survivre, comme l’ont fait VW-Porsche & co avec Bugatti ainsi que BMW au travers de nébuleuses extra-terrestres qui “spermettent” diverses manœuvres hautement illégales…
Concernant Daimler AG/Aston Martin, c’est un complexe panel de sociétés oeuvrant un peu “partouze” qui devait spermettre d’éjaculer des spermatobusiness au travers de diverses entreprises formant une toile cachant les réalités inavouables d’autant que la clientèle était devenue de moeurs identiques… Investindustrial (une société européenne de capital-investissement détenant environ 33 %)… Adeem Kuwait Investor Group (une très nébuleuse arabesque détenant environ 28 %)…
Lawrence Stroll (milliardaire canadien, propriétaire de la société canadienne de vêtements Sportswear International connue sous le nom de Michael Kors, détenant environ 20 %, plus des parts dans l’équipe Aston Martin F1, plus le poste de Président du directoire Aston Martin)… Daimler Group (en fait Mercedes-Benz détenant une maigre participation de 4 % suffisante pour y positionner Aston Martin Lagonda Goup LTD ET Aston Martin Lagonda Global Holdings plc avec Tobias Moers en superviseur général) …
En finale, se trouve la société Aston Martin qui conserve les 15 % restants du capital pour créer l’illusion. En savoir plus sur Aston Martin est une aventure presqu’impossible ce qui est nécessaire en nos temps de pré-guerre atomique mondiale… Les prix des Aston Martin varient selon le modèle et les zones de paiement/livraison ainsi que leur nature qui peut s’avérer une part des escroqueries liées aux faux vaccins Covid et aux dons généreux de tous les chefs de Gouvernements dans le monde, tous fonctionnant sous les mêmes canevas.
Généralement les beaufs lambda n’ont plus les moyens d’acquérir une Aston et autres bétises similaires, la basique bon-marché d’entrée de gamme étant positionnée à 500.000 euros/dollars les autres s’échelonnent jusqu’à plusieurs millions. Ford fut longtemps le fournisseur de moteurs estampillés Aston. En 2020, Mercedes-Benz devenu l’actionnaire principal a fourni des moteurs Mercedes estampillés Aston et c’est en finale Honda qui fabrique maintenant les moteurs V8 et V12 estampillés Aston…
Les Aston Martin fabriquées à la main sont une vue de l’esprit quoique la firme dispose d’ouvriers qualifiés qui assemblent les pièces reçues, contrairement à d’autres marques qui utilisent des robots. Voilà l’entrée en matière… Pour répondre d’avance à toutes questions, comprenez que ma position d’éditeur (maintenant numérique regroupant plus que 200.000 abonnés), sachez que cela m’offre diverses relations. J’en ai eu beaucoup au cours des derniers mois, et bien qu’il faille toujours un certain temps pour régler divers problèmes, j’ai développé une sorte d’affection pour les stupidités roulables…
Cela m’ouvre quelques diverses portes dérobées dont les préposés sont attentionnés. L’un d’eux m’a demandé si j’aimerais faire un tour dans la “P’tit dernière”. Étant donné que le secret est de mise et que je dois apparaitre comme un fantôme je suis sensé ne pas trop en conter… C’est ainsi que j’ai lié connaissance avec la Vanquish qui m’a rendu plus dubitatif encore en rapport de mon préambule… Elle avait l’air géniale alors qu’elle était polie à la main par un préposé/larbin. J’ai ainsi eu l’occasion de voir les bagages en cuir personnalisés qui s’insèrent dans le compartiment arrière.
L’alerte spoiler concerne les petits étuis de la taille d’un sac à main pas très attrayants dont les fermoirs matériels cliquettent lors de la conduite de la voiture. Non merci, je vous conseille de sauter cette option, que le larbin me préposé en courbettes, a sorti de la voiture en me faisant le clin d’oeil typique du gars qui va les garder pour lui. Monter (en fait descendre) dans la voiture m’a semblé d’une banalité affligeante. Le fait de ne pas avoir à apprendre le contenu d’un ancien dictionnaire pour comprendre comment cette chose fonctionne me l’a immédiatement rendue rassurante et confortable.
J’ai pu me concentrer sur la dynamique de conduite. Je pensais qu’elle semblerait incroyablement longue à l’avant, mais honnêtement (ce qui est un terme incongru en tel équipage), depuis le siège du conducteur, elle ne m’a pas semblé différente de ma DB12 qui traine à l’abandon dans mon sous-sol. J’ai mis en Drive et S+ et lorsque j’ai relâché la pédale de frein, la voiture voulait déjà avancer… OK…il m’a fallu y aller ! J’ai pris une section de route à deux voies et j’ai planté mon pied à fond… Ouaisss… Rapide…
La caisse était motorisée d’un V12 d’une douceur comme dans du beurre voire un vagin accueillant (quoiqu’en France on favorise le cul pour suivre la tendance Elyséenne du Transgenrisme comme dans du beurre fondu, mais avec un hurlement agressif idem d’un sodomisé par obligation, ce qui qui rend l’action unique et différente)… Je cause en rapports du V8 biturbo d’AMG… Bande de vicieux et vicieuses… Pfffffff ! Les amortisseurs Bilstein et le comportement général de la voiture étaient très similaires, sinon identiques, à ceux de la DB12.
J ’ai réussi à accélérer à partir d’un quasi-arrêt à des vitesses à trois chiffres sur un tronçon de route de desserte grande ouverte. Ca m’a rappelé quelques souvenirs d’Afrique… J’ai senti que la voiture aurait pu facilement continuer à tirer des G comme des pets de soulagement. Cette voiture glisse et fend l’air comme un pénis bien érectionné bien chauffé dans du beurre mou. C’est un plaisir à déguster, si vous êtes familier et un peu vicieux, vous aurez l’impression d’être un parent de la famille, bien qu’il s’agisse d’un parent vachement cher…
Cela vaut-il la différence ? C’est une excellente question. Exclusivité. Rareté et quasi-extinction de l’ère V12. Le “Tombé-mode” est magnifique. L’ajustement et la finition sont exquis. Les personnalisations sont presque infinies grâce à Q. C’était un vrai régal. Si vous en avez l’occasion, allez en conduire une. Cela peut vous faire repenser à la différence de sexe préconisée par notre Président. Cela fait moins de deux ans qu’Aston Martin a entamé le renouvellement de sa gamme de conneries hyper chères entièrement prévisibles, mais belles comme des putes carnivores/vénéneuses.
Lorsque les livraisons aux clients commenceront plus tard cette année, tout comme les soins palliatifs soulagent les efforts, la nouvelle Vanquish deviendra la voiture une des plus chères du portefeuille dodu actuel d’Aston Martin, mais aussi la voiture de route décapotable la plus rapide et la plus puissante que la société ait produite à ce jour. Sans doute est-ce du à un souci de préservation de l’espèce… Les caractéristiques mécaniques sont, sans surprise, identiques à celles du coupé Vanquish. Donc, pas de quoi se branler en en voyant une…
Le cabriolet utilise le même V-12 biturbo de 5,2 litres qui développe des pointes de 824cv et 737 lb-pi, avec tous les efforts envoyés à l’essieu arrière par le biais d’une boîte de vitesses automatique à huit rapports et d’un différentiel à glissement limité à commande électronique. Les chiffres d’Aston (probablement conservateurs) indiquent que le temps de 0 à 60 mph de 3,3 secondes de la Volante la rend un dixième plus lente que le coupé, mais avec une vitesse de pointe identique de 214 mph revendiquée pour les deux styles de carrosserie. Mouaihhhh !
Cette vitesse est celle que ce cabriolet ne pourra atteindre qu’avec le toit en toile relevé (mis en place). La masse supplémentaire du mécanisme de toit a ajouté surement un quart de tonne au poids du coupé Vanquish, la Volante étant maintenant officiellement trop lourde pour être honnète soit 4145 livres sans les fluides (corporels). À titre de référence, c’est plus que le chiffre correspondant de Ferrari pour la 12Cilindri Spider. Comme pour le coupé Vanquish, la Volante est une voiture à deux places, avec seulement une petite quantité de bagages “baises en ville” supplémentaires derrière les fauteuils.
La DB12 Volante, moins chère, est toujours livrée à la plouquesque moins fortunée avec des sièges arrière minimaux “plus deux” pour tous les “ceusses” qui ont besoin d’un modeste coup de pouce en termes de praticité. Je préfère l’index… Le toit en tissu/toile à commande électrique se replie de manière imprévisible sous un couvre-tonneau lorsqu’il est replié, ce qui peut foirer entrainant des dommages laissant la Vanquish Volante avec une silhouette encore plus impressionnante… Le toit peut être ouvert en seulement 14 secondes et fermé en 16 secondes, avec un fonctionnement possible mais pas certain…
Et c’est valable uniquement à des vitesses “de ville” allant jusqu’à 31 mph. C’est pour épater les putes et ça marche… Il peut également être commandé à distance avec la voiture à l’arrêt sous le contrôle du porte-clés, idéal en terrasse également pour épater les ploucs. D’autres détails sont comme le coupé Vanquish. La Volante bénéficie du même système d’interface utilisateur amélioré que sa sœur, avec un contrôle via un écran tactile de 10,3 pouces au centre du tableau de bord. Je n’étais suis pas impatient de découvrir d’autres problèmes. Aussi, je suis rentré tapoter cet article… Je dois encore rendre la bête…