Black Pearl on St-Tropez Majorelle Garden
Tu connasses mon jardin Majorelle-Tropézien mon Popu ? Non ? Ahhhhh ! Et le Hot Rodding local Franchouille du Var ? Tu connasses pas non plus ? Et mes Hot-Rod’s ? En fait tu connasses rien de rien, tu perds ton temps en footbaaleries et autres sportivoconneries, en politiqueries aussi…
Tu votes toujours du mauvais coté de la farce et tu es accroc à BDSMTiVi qui te lobotomise… Puis tu pleures sur ta connerie… Pfffffffff !!! Actuellement on cause même de crever pour l’Ukraine d’y envoyer nos soldats, nos enfants ! Elle était’y pas Russe avant d’être nazie l’Ukraine ? Bien, tu attends de voir ?
Ce sera pour qui crie le plus fort et ensuite tu vas atteindre la connasserie ultime : la guerre nucléaire avec la Russie pour soutenir l’Ukraine qui s’affiche en politiques mémorielles néonazies et élève au rang de “combattants pour l’indépendance” des groupes néo-nazis tel l’Organisation des Ukrainiens Nationalistes.
Les milices OUN participèrent avec les nazis à l’extermination des Juifs… et sa branche militaire, l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), responsable entre autres du massacre de cent mille juifs Polonais… L’une et l’autre bénéficient désormais d’un hommage national chaque 14 octobre…
Et, de plus, chaque 1er janvier, à Kiev, une marche aux flambeaux honore la mémoire de Stepan Bandera, dirigeant de ces deux organisations et collaborateur du IIIe Reich nazi. Ce sympathique tableau serait incomplet sans mentionner l’intégration à l’armée, en mai 2014, du bataillon Azov,…
Grave…, c’est une milice néonazie qui emprunte son emblème à la division SS Das Reich… Ce sont ces nazis que notre président Macron veut aider en envoyant nos pt’tis gars de France atomiser la Russie ? Franchement mon Popu… Même Napoléon a vu sa Grande Armée détruite en Russie…
Tu connasses la Bérézina ? Va lire le dico en en click sur ce lien : Ukraine : histoire – LAROUSSE … Je ne ne sais plus quand, d’il n’y a pas trop longtemps, que tu ne connasses pas plus, tout le monde était heureux que Chromes&Fflammes et GatsbyOnline s’installent à St-Trop’, y présentant le premier Hot Rod local…
Il a été directement sacré par vote secret comme le “Premier Hot Rod Tropézien”... Ce fut un évènement avec soutien d’une Asso-locale et le Hot Rod a non seulement remporté le prix du premier Hot Rod Tropézien mais aussi le trophée Hot Rod de la semaine, puis la médaille du Hot Rod du mois… Un délire…
Et en pré finale, le prix du premier Hot Rod de l’année Tropézienne, avec récompense officielle mais devant rivaliser avec les gagnants de chaque catégorie pour remporter le titre de “Hot Rod de l’année Tropézienne” pour la finale des gagnants pour le titre de “Best of the Best Hot Rod de l’année Tropézienne écoulée”.
Sans pouvoir différencier le prix hypothétique virtuel destiné au vainqueur global du prix de l’encouragement réservé au choix aléatoire des participants… C’est pareil qu’en politique et en justice, tout est combiné d’avance pour que quiconque n’y comprenne pas plus que gagner à l’Euro Million est aléatoire…
Hèèèèèèèèèèèèèèèè ! Je vais faire bref… C’est tombé à l’eau… Plouf… Est arrivé le Covid et les faux vaccins… Rien que pour entrer dans un lieu public, il fallait lire 3 pages de recommandations, signer une décharge, se laver à la Bétadine, s’habiller avec des sacs poubelles Handy Bag et faire 5 tests PCR….
Il fut vite oublié le temps où tout le monde s’en battait les couilles de l’hygiène collective.. Ma mémoire n’ayant pas encore été effacée, j’ai gardé quelques souvenirs, le meilleur étant lorsque toute cette mascarade est tombée à rien… Plouf dans les eaux du port de Saint-Tropez… Terminées les conneries…
Oui, place à d’autres aussi pires… Ne restent que des souvenirs qui perdurent à me chambouler le cerveau… Maintenant la vie Tropézienne a repris son long cours… De temps à autre on va fêter le temps qui continue de s’écouler dans un resto Tropézien typique du cru, monté de mains de Maîtres manière locale…
C’est à destination des touristes… Un lieu où il règne une atmosphère de zouk et est tenu par des émigrés de Ramatuelle (qui y vivent parce que c’est 3 fois moins cher) pour garder l’illusion de la couleur locale…. C’est très loin du velours, de la flanelle et des discutions feutrées. Viens avec valérie, Blacky et moi…
Il est 19h45. À peine mon cul à t-il touché la chaise inconfortable que le serveur aussi roux qu’un pêcheur local peut-être (je ne savais même pas que cela existait), il pose un verre de vin de Saint-Tourpez devant moi… Déjà 12 euros… Je n’avais rien commandé, mais j’avais soif “Autant finir le taf”, me suis-je dit…
Cela d’autant que je ne suis pas entré dans ce trou du cul du monde dans un objectif de calbute immaculé ! J’ai commandé un plat local, du curry d’agneau avec un cheese-nan et un vin Tropézien en Cubi aussi pur que l’eau bénie par le cureton local… et, en attente j’ai reparcouru le menu…
“Spécial spécialités épicées et copulations pimentées” qu’il se nommait ! savourant mon vendredi soir peinard et décontracté du gland… Le serveur est arrivé avec mon plat en me demandant quel dessert j’allais prendre…. Déjà … ! Il était pressé de fermer sa turne avant un contrôle sanitaire…
D’autant que prendre un dessert dans ce type d’endroit est aussi risqué que d’avaler 2 litres de méthanol au-dessus d’un bec de gaz ! Mon voisin était en train de s’étouffer avec un dessert, un tas nauséabond de graines de porc à l’huile de colza baignant dans un sachet de gravas…
Le tout inséré dans un pot-pourri parfumé au sésame fermenté à la pisse de vache sacrée… Le type est passé du vert au mauve en moins de temps qu’il lui a fallu pour pisser sur sa chaise. J’avais à peine fini de saucer le curry indien avec un bout de cheese nan froid, que le loufiat m’a claqué la note.
Elle était aussi épicée que le dessert. J’ai payé en Bitcoins et je me suis précipité dans l’arrière salle ou se trouve un véritable WC à pédale Turc… C’est complètement fou, mais les gens rêvent de vivre ça à Saint-Tropez… Quelques jours plus tard, Blacky et moi avons assisté à la remise du prix principal…
C’était pour la construction du plus beau Hot Rod du Var. Le gagnant a dit : “Mon chemin vers la construction de ce Hot Rod vient du désir de créer un grand design par la modification et au début des années’90 je me suis lancé dans le spectacle, avec le rêve d’appliquer certaines de mes techniques au Hot Rodding Provençal”…
C’était poignant à écourter pour pouvoir se tailler fissa… Mais je devais vivre cet évènement jusqu’à son terme… C’était un discours poignant… J’ai eu l’impression de sentit l’âme du récitant, l’âme qui était déjà enfouie dans quelque chose que je sais que d’autres apprécieront, un jour dans le futur.
Le concours du plus beau Hot-Rod du Var est une occasion spéciale offerte uniquement aux membres ayant payé leurs cotisations. Les membres actifs ont une période de deux semaines pou présenter le Hot-Rod qu’ils possèdent en fournissant des photos et une description.
Au cours de la période de deux semaines qui suit, tous les votants et votantes, peuvent voter individuellement en faveur de leur Hot-Rod préféré… Celui ayant le plus grand nombre de voix de membre sera le Hot-Rod Tropézien du mois et figurera sur les réseaux asociaux.
À la fin de chaque année civile, le conseil consultatif du club choisira un Hot-Rod parmi les lauréats du Hot Rod du mois de cette année-là. Le Hot Rod de l’Année sera présenté sur les réseaux asociaux… Bien… Tournons la page d’autant que c’est mort de mort… Bienvenue dans notre jardin secret…
Nous, Valérie, Blacky et moi, avons oeuvré celui-ci dans le style majorelle d’inspiration Sahara… Plutôt qu’aller au Sahara, on l’a refait rien que pour nous… Le jardin Majorelle (en berbère : ⵓⵔⵜⵉ ⵎⴰⵊⵓⵔⵉⵍ ; en arabe : حديقة ماجوريل) est un jardin botanique touristique d’environ 300 espèces sur près d’1 hectare.
Il cerne une villa Art déco labellisée “Maisons des Illustres”, qui est un musée de l’Histoire des Berbères, à Marrakech au Maroc. Le jardin est baptisé du nom de son fondateur, l’artiste peintre français Jacques Majorelle (1886-1962), qui l’a créé en 1931, en s’inspirant des oasis, jardin islamique et jardin espagnol.
C’est en fait hispano-mauresque…. Acheté par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé en 1980, il appartient à ce jour à la Fondation Jardin Majorelle qui comprend également le musée Yves Saint Laurent et est un des hauts lieux du tourisme au Maroc, avec près de 600.000 visiteurs annuels.
En 2022, selon un palmarès du site anglophone HouseFresh qui a agrégé les avis de dizaine de milliers de touristes, le jardin Majorelle est désigné deuxième plus beau jardin du monde, derrière le Gardens by the Bay de Singapour et devant le jardin du Luxembourg de Paris.
En 1919, le peintre français Jacques Majorelle (1886-1962) (fils de Louis Majorelle) s’installe durant le protectorat français au Maroc, dans la médina de Marrakech, dont il tombe amoureux. En 1922 il achète une palmeraie en bordure de celle de Marrakech, au nord-ouest de la médina.
Et à partir de l’été 1929, il fait construire par le cabinet d’architectes Robert Poisson & Paul Sinoir, une villa-atelier d’artiste, de style architecture mauresque / Art déco d’une étonnante modernité pour l’époque, il y aménage son habitation principale au 1erétage, ainsi qu’un atelier d’artiste au rez-de-chaussée.
C’est pour peindre ses immenses décors. Amoureux de botanique, il crée son jardin botanique inspiré des jardins islamiques avec la luxuriance d’un jardin tropical autour de sa villa, structuré autour d’un long bassin central, avec plusieurs ambiances variées, où nichent des centaines d’oiseaux.
Ce jardin est une œuvre d’art vivante en mouvement, composé de plantes exotiques et d’espèces rares qu’il rapporte de ses voyages dans le monde entier : cactus, yuccas, nénuphars, lotus, nymphéas, jasmins, bougainvillées, palmiers, cocotiers, bananiers, bambous, caroubiers, agaves, cyprès …
Il est orné de fontaines, bassins, jets d’eau, jarres en céramique, allées, pergolas … En 1937, l’artiste crée le bleu Majorelle, un bleu outremer / cobalt à la fois intense et clair dont il peint les murs de sa villa, puis tout le jardin pour en faire un tableau vivant qu’il ouvre au public en 1947.
En 1955, il est amputé d’un pied à la suite d’un accident de voiture. Il divorce en 1956 puis se remarie en 1961. Le 14 octobre 1962, il meurt à Paris, ville où il a été rapatrié à la suite d’une fracture du fémur. Le jardin est alors laissé à l’abandon durant plusieurs années….
Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le Jardin Majorelle en 1966, au cours de leur premier séjour à Marrakech. Ils achètent le jardin Majorelle en 1980 (leur troisième acquisition dans la ville de Marrakech). Les nouveaux propriétaires décident d’habiter la villa de l’artiste, rebaptisée Villa Oasis.
Ils entreprennent d’importants travaux de restauration du jardin pour faire du jardin Majorelle le plus beau jardin, celui que Jacques Majorelle avait pensé. L’atelier du peintre est transformé en un musée berbère ouvert au public, avec une exposition d’œuvres de la collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé.
À la suite de la disparition d’Yves Saint Laurent le 1er juin 2008 à Paris, ses cendres sont dispersées dans la roseraie de la villa Oasis, où un mémorial est créé, composé d’une colonne romaine de Tanger, posée sur un socle où une plaque porte son nom.
Le 27 novembre 2010, la princesse Lalla Salma, épouse du roi du Maroc Mohammed VI, inaugure l’exposition Yves Saint Laurent et le Maroc, en même temps que la création de la rue Yves Saint Laurent à l’entrée du jardin. Le 3 décembre 2011, le musée berbère est inauguré au rez-de-chaussée de la villa.
C’est en présence du ministre français de la culture Frédéric Mitterrand, et la maison d’Yves Saint Laurent est labellisée Maisons des Illustres. À ce jour, le jardin, entretenu par une vingtaine de jardiniers, est un des hauts lieux du tourisme au Maroc.
Bref, voilà, Valérie, Blacky et moi avons eu l’idée de nous recréer un jardin Majorelle à Saint-Tropez avec un Hot-Rod en son juste milieu… C’est cool et secret, c’est un p’tit coin d’Paradis…