C’était ailleurs, dans un bar…
Essayer de retranscrire la claque que je me suis pris est impossible sans publier les quelques photos que j’ai eu le réflexe de prendre…
De manière totalement débile, éructant des ordres dictatoriaux aux consommateurs bien heureux d’obéir, une “Maîtresse” sado-maso, pas vraiment au Top de la beauté, prêtresse d’une secte sexuelle pour laquelle elle distribuait des cartes de visite, est venue exhiber une jeune et jolie femme d’une trentaine d’année, sa “soumise-esclave“, contrainte d’accepter une série de jeux sexuels….
Un gros gloubiboulga de tout et n’importe quoi, métal, reggae, jazz klezmer, funk, tout ce qui existe dans la connerie inhumaine, mélangé tour à tour, en même temps.
La musique d’ambiance?
Il est difficile d’écrire ce qui s’est déroulé dans ce bar, tant ce fut excessif.
Drôle pourtant, dansant également, parodique (les masturbations du public face à ce “numéro” sado-masochiste, je ne m’en lasse pas !), la Maîtresse, ses assistantes et leur soumise n’ont eu aucune limite.
Les insertions de divers gadgets électriques furent ultra-maitrisées (quand ça blast, plein voltage, ça rigole pas), les délires jouissifs s’entremêlaient dans une orgie de femmes, de transsexuels et de virilités diverses… “mâles” assumées…
Mais là où ce fut le plus fort, c’est quand la soumise, (l’esclave consentante pour les intimes) s’est engouffrée dans un truc bizarre, flippant et amusant, une sorte d’inquiétante étrangeté joussive au possible, dans une atmosphère d’outre-monde et autres rythmes angoissés, culminant sur un coït électrifiant, en quelque sorte l’aboutissement du but avoué de cette affaire, faire jouir : improvisation débridée d’extases flippantes, d’explosions d’orgasmes avec mimiques assorties…, à la fois sexy et trisomiques…, tout les ingrédients étant réunis pour que les consommateurs-spectateurs se branlent tous et toutes en bavant…, certains allant jusqu’à fister leur voisine !
S’il y avait bien un endroit où il fallait être, c’était là, pour participer à pas moins qu’une des plus hallucinantes orgies auxquelles il m’ait été donné d’assister (gageons qu’on ne fera pas aussi fort avant longtemps).
Mais de là à assumer plusieurs branlées et une extase-extatique (gag !) comme celle-là, j’avoue, je ne m’y attendais pas.
En même temps que voir la soumise dans ses orgasmes participatifs à souhait, piting… et voir simultanément débouler Massouf, le videur, en totale érection, 150 kg de barbaque noire, tatouée à souhait (son diable dans le dos surmonté d’une croix gammée fait toujours son effet), coiffé comme Hitler (pour rester dans le nazi), ça a fait son effet…, surtout lorsqu’il s’est mis à se masturber devant la soumise, lui envoyant une pleine giclée sur les seins, pendant que la foule, tétanisée, se branlait de plus belle, toute concurrence s’évaporant instantanément !!!
Massouf, en la regardant, avait les nerfs tendus jusqu’à la quasi-rupture, il était en sueur, totalement nu (ses cuisses et ses bras ont un volume de 4 fois la moyenne des gens “normaux“), se tripotant la zigounette et se grattant les coucougnettes en cherchant la dernière goutte…, comme il le fait parfois…, car ce n’était plus une histoire de goût, mais une histoire de cul, perverse et autiste (à cause de ses mimiques), parce que la soumise-esclave assurait grâââââve…
Pendant ce temps, il fallait voir aussi la soumise-esclave, possédée, gesticulante avec ses accessoires en action, baisant les yeux du public, d’abord dans un des fauteuils-divan face au bar…, puis, amenée, ligotée les mains dans le dos, pénétrée devant et derrière (c’est cool…) avec divers accessoires-gadgets-pinces sur les lèvres vaginales, gode et plug électrique bien enfoncés, avec les fils pendouillants entre ses jambes reliés à la commande manoeuvrée par sa Maîtresse…, tout cela au milieu du public…, puis s’agenouillant en face du premier rang (dont moi, bien entendu), son visage crispé, torturé en souffrance et jouissance (putain ces hurlements…) !
Mais restons sérieux quelques instants, comment peut-on rester à boire, au bar, quand les assistantes s’y mettent aussi et exhibent leurs seins pendouillant ?
Pour moi, point de branlette immédiate (encore que), juste du feeling qui sue et de l’éjaculatif qui coule dans mon slip déjà mouillé.
Inconcevable, intense, trop intense pour réussir à mettre des mots dessus : “The rest is silence“, voilà, piting..; la soumise-esclave finit par avoir une seconde voire une troisième (quand on aime on ne compte pas) suite d’orgasmes qui, parait-il, s’entendaient depuis la rue.
Quelques minutes plus tard donc, en suite, trois Japonais prenaient la soumise d’assaut (et moi qui rêvait d’une fellation, pas de chance) avant que ce groupe ne balance la sauce, semblant sombrer ensuite dans un trip chelou, autohypnotique et étrange.
Je voyais des gouttes de sueur couler le long de son cou, et descendre, descendre…, sentant le sexe à mort, entre sautillements dus à ces éternelles boules de geisha et un savant jonglage entre ses seins dont les tétons pointaient de manière plus que provoquante…, impressionnant…
Sabine, la barmaid, d’un charisme ahurissant, habillée très fashion, jean’s moulant type militaire (slurp) et un haut genre morceaux de tissus blancs cousus n’importe comment…, la classe…, est alors venue vocifèrer à toute vitesse, de sa petite voix fluette hystérique, avec une énergie proprement hallucinante…
L’ambiance dans le bar était survoltée.
Et tandis qu’une n-ième jouissance commencait à avoir raison de mes frêles jambes (je n’ai pas l’habitude de me branler si souvent, moi)…, est déboulé un mec à poil totalement barré, violent, très power violence à la Sylverster Staline, délirant, génial, l’incarnation humaine du concept d’énergie salvatrice…, tout cela sous les acclamations de la foule en délire (j’avoue que je ne me suis pas foulé pour cette phrase).
On en voulait encore !! ! Ca dérouillait…, normal ! La soumise-esclave fut positionnée devant lui, accroupie, la maîtresse avec sa main entre ses fesses, ajustant les plugs-godes, des aller-ça-va et allez-revient, des cris !!
Ca blastait, ça blastait, piting… ! Ca blast encore, là, va falloir m’attendre 5 minutes car je sens que ça vient…. Bon…
Puis la soumise a ouvert grande sa bouche et s’est mise à fellationner le Sylverster Staline…, le bar fut pris d’assaut, juste le temps pour moi de pécher le T-shirt de toute bôôôté de ma voisine… et de lui palper (peloter) les seins…
Piting, je re-bande, là…, rien que d’y repenser ! De l’énergie sexuelle à l’état pur.
Et quand ça a spermaté l’enfer, ce fut l’ovation !!!
Sylvester Staline, finit par balancer sa jouissance, un jet puissant et racé, d’abord sur le visage de la soumise, mais, surprise… un second jet à la gueule de tout le monde, qui en a été comme anesthésié, faut dire que la fellation finissait par être particulièrement répétitive et qu’on attendait tous et toutes avec impatience… Olé !
Visiblement, Sylvester Staline avait ses fan’ses et elles l’ont fait savoir (ma voisine parmi tant d’autres… héhéhé !).
La maîtresse n’a pas laissé récupérer sa soumise-esclave et a enchaîné (c’est le cas de le dire)… direct avec un des sommets de la masturbation électrique en public, avec montée en puissance, changements de rythmes frénétiques, et tout le tintouin…, ahurissant de classe…, balançant de la cyprine dans tout les sens, martyrisant la soumise sans fausse note. Très fort.
En finale, on a vévu comme une agonie-jouissive, lente et douloureuse, toute puissante, pachydermique à souhait, extrêmement chargée en émotion.
L’ambiance oscillait entre l’ultrabrutal et le recueillement durant les moments les plus poignants.
Je n’avais jamais vu une telle suite d’orgasmes auparavant, je m’en rappellerais !
J’étais sur les rotules…, pourtant ma voisine continuait à me pomper…, je savais que ça allait venir et j’avais peur d’en foutre (ahahahah !) partout…, j’ai donc eu un peu de mal à rentrer dedans… et de postposer une éjaculation puissante…, mais au bout de 10 minutes de hophophop (je suis résistant à l’effort), j’ai décidé de lâcher tout d’un seul coup, et là j’ai craqué…
J’étais aux anges, malgré que je m’étais fait exploser les burnes dans ce foutu bar !
Ma voisine sautait de joie dans tout les sens, me faisant admirer ses gros Roberts, tout était toujours en place, rien à dire.
Le bougre s’est retrouvé avec le sexe remonté comme un coucou suisse, et ça me manquait pas d’allure, il s’est alors refait botter le cul, mais là un peu plus durement. Un gros con bourré a alors fait son apparition, il s’est fait de suite botter le cul par une des assistantes de la Maîtresse visiblement très en forme ce soir. Une rousse est arrivée en renfort…, vous devinez la suite… !
C’était la folie, tout le monde baisait tout le monde…
Personnellement, j’étais au bord de la syncope, en sueur, lorsqu’une petite brunette est arrivée, moulée dans un jean’s très fashion, et s’en est prise (de nouveau) à mon sexe qui s’est redéployé, prèt à tout… devant cette beauté ahurissante.
Pendant ce temps, la Maîtresse entrainait une de ses assistantes sur le bar (la soumise-esclave était hors-circuit, trop électrifiée…, affalée toujours ligottée comme un saucisson à même le sol et manipulée par quelques hommes et femmes…), et commençait à lui “installer” un tuyau en plastique et autres trucs marrants et bizarroïdes. C’est vraiment pour moi, une tâche ardue que décrire ces manipulations sexuelles fantasmatiques (je pèse mes mots) sur cette jeune femme tatouée sur tous le corps !
C’était d’une technique incroyable, les manipulations diverses mettaient l’assistante devenue seconde soumise-esclave, dans une transe sexuelle frisant l’hystérie, la poussant à éructer des sons suraigus, stridents et criards malgré (ou à cause de) son harnais-boule qui lui maintenait la bouche grande ouverte, la faisant baver (en double sens)… sans interruption !
J’ai rarement vécu d’expérience de sexe BDSM en public aussi intense que ce soir là…
Et pas que ça…, en bouquet final ce fut aussi : et vas-y que j’te cogne comme une malade, et vas-y que j’te pars en sucette, et vas-y que j’te nique avec une bouteille de bière glacée…, tout ça dans un maelström technique électrifiant et hystérique, fun, énergique, à couper le souffle.
Il lui manquait clairement une case après tout ces traitements, mais elle se faisait carrément plaisir…, pourtant, les derniers “attouchements” de la Maîtresse ont fait vomir le public tellement c’était écoeurant : un double full-fisting (vagin ET anus)… jusqu’à mi-bras….
Piting…, plus j’écris ce texte en souvenir de cette soirée, plus je m’enfonce à essayer de décrire l’indescriptible, alors je vais m’arrêter là en vous conseillant de regarder les photos en détail et de ne pas saloper l’écran avec les conséquences de votre masturbation !
On ne savait plus si l’assistante-soumise se tordait de douleur ou de jouissance…, surtout que ce “grand” final fut bestial…: la Maîtresse retirant d’un coup, net, rapide et sans bavure, ses deux bras et mains…, ce qui eut comme effet, outre un hurlement suraïgu de l’assistante-soumise…,, une projection sur la foule tétanisée de quelques…. souvenirs !