Anamary, bondage … 04
Jennifer et moi, formons maintenant un couple fantastique en matière de bondage. Nous préparons ensemble, par é-mail et par téléphone, des scénarios de bondage et d’auto- bondage ou elle arrive un certain temps après que je me suis attachée. Me retrouver face à elle, totalement nue, harnachée, impuissante, me plonge de plus en plus dans l’extase à chaque fois. Jennifer parvient toujours à me surprendre en modifiant radicalement ce que nous avions imaginées, ce que j’avais imaginée en fait, car elle me manipule sexuellement à sa guise. Well, c’est une vraie gâââârce ! Mais il a suffit d’une petite erreur de ma part pour qu’elle me domine totalement. Jennifer, comme à son habitude lorsque je viens chez elle dans le quartier de la Défense à Paris, m’attire dans sa chambre de torture et attache chacun de mes membres à un coin du lit…, c’est ce qu’elle a fait hier soir, mais la lanière qui entravait ma main droite a finit par lâcher, me permettant de me libérer… Hasard rare. Occasion unique, que je ne comptais pas laisser passer. Pour commencer, une inspection de sa chambre s’imposait. Un placard plein de tenues différentes…, très bien.
J’ai passé une robe courte en vinyle noir et ai gardé mes cuissardes. Simple et efficace. La commode maintenant, j’y ai trouvé tout ce qui permettait de passer une soirée attachante. Parfait. Une paire de menottes. Un bâillon boule. Un masque de cuir. Un collier et sa laisse. Quelques lanières de cuir. Chère Jennifer, comme tu es ordonnée… Tiens, il y avait même un petit coffret contenant tout ce qu’il fallait pour titiller ma proie. Un large godemichet en latex mou et un plug. Je les ai pris. Maintenant le piège, je suis descendue discrètement dans le salon, et j’ai allumé la télé (elle penserait sans doute que l’orage l’aurait allumé), puis je me suis cachée derrière l’embrasure de la porte, ainsi elle me tournerait le dos en entrant . Déjà une lumière s’allumait, ses pas dans l’escalier, la porte s’est ouverte, elle était là, inconsciente du danger, sublime et élancée dans un long déshabillé de soie noire… Sa surprise fut telle qu’elle n’opposa aucune résistance quand je saisis ses poignets et l’ai menottée dans le dos, elle me regardait, intriguée et complètement étonnée … Quel délice, ses yeux qui s’élargissaient d’angoisse tandis que je forçais la large boule de latex dans sa bouche…
Elle gémissait, elle tentait de crier, mais rien n’arrêta l’inexorable intrusion… et c’est très serré que je fermais le lien de cuir qui la maintenait. Collier autour du cou, humiliant, non ? Je me délectais de la colère qui passais dans ses yeux… avant de les aveugler d’un strict masque de cuir… Maintenant, direction le temps des plaisirs, c’est fière comme tout et sans ménagement, que je la tirais vers la chambre que j’occupais il y a un instant. Je l’ai jetée sur le lit, elle y trébucha et s’y coucha de tout son long, le visage enfoui dans l’oreiller … La position m’inspirait, et j’ai tôt fait d’attacher chaque cheville à un bord du lit…, en écartant bien ses jambes, voilà, comme ça … Je me retint de prendre une cravache pendue au mur pour mieux lui rougir les fesses .. Mais ce soir, nous allions jouer la partie à ma manière … Pour commencer, je l’ai déshabillée complètement (le déshabillé est un saran qui s’ôte sans difficulté), puis je lui ai passé un corset de cuir trouvé dans son placard que j’ai serré si fort que la respiration lui manquait. Très excitant… Une lanière de cuir joignant ses coudes acheva son bondage la rendant encore plus sensuelle sa position.
Tant d’envie me traversaient la tête, enlever son bâillon, puis m’agenouiller devant elle, saisir ses cheveux et lui jouer les amours saphiques ? Tentant, très tentant … Mais il valait mieux qu’elle connaisse ce que j’endure pour elle. J’ai passé des gants de latex, puis j’ai déposé sur mon index une larme de lubrifiant, j’ai caressé ensuite longuement son anus…, elle a frémit…, j’ai caressé le bas de ses reins, embrassé ses fesses, tandis que je continuait ma besogne…, le plug est rentré sans peine, entraînement ou détente…, mystère. Encore un peu de liquide gras et je me suis fait plus indiscrète tandis que j’enduisais ses grandes lèvres…, un doigt, puis un autre se firent alors plus pénétrants…, pour son plus grand plaisir, si j’en crois ce que j’ai ressentie… Puis, centimètre par centimètre, j’ai mis le phallus de latex en position. Entrée, sortie, entrée, sortie…, ma main libre jouait de son clitoris qui devint dur à son contact. Elle gémit, elle frémit…, sa salive assombrit la soie rouge du lit et je m’amusais comme une folle à la faire languir…, longtemps…, délicatement… Puis sa respiration s’est emballée, elle tremblait de tout son corps tandis que je jouais du plug et du god selon des rythmes inavouables… Et elle jouit, elle explosa de désir et de joie…, la sueur perlait sur sa peau tandis qu’elle se détendait. Non sans avoir fixé à demeure les deux petits visiteurs, je l’ai laissée ainsi, sur le ventre, écartelée…, taraudée par les vibrations aléatoires du phallus artificiel qu’elle avait elle même trafiqué…, orgasmes multiples à répétition en perspective… Puis je lui ai commis un affront bien agréable, je me suis couchée dans la chambre voisine et je me suis assoupie, souriante… Et lorsqu’une main plaquée contre ma bouche m’a réveillée, je me suis souvenue que, moi aussi, j’aurais du vérifier ses liens… Huh !
Notre dernière aventure, Jennifer et moi, m’a fait de nouveau frémir. Nous avons découvertes ensemble, une vieille usine abandonnée au milieu de nulle part. Loin de tout, sans aucun accès si ce n’est un chemin qui semble être un cul de sac et sur lequel nul ne s’aventure jamais, loin de la vue de la route nationale qui passe derrière un bois, l’endroit idéal pour pratiquer de l’auto-bondage en pleine nature mais avec cette ambiance glauque d’usine désaffectée qui fait penser à certains donjons qui créent la peur…, un must, car nous ne voulions pas être dérangées. Ce fut délices de découvrir cet endroit et d’imaginer ensemble ce que nous pourrions y faire. Après nous être assurées que personne n’y venait jamais en restant toutes deux plusieurs jours et soirées à flirter. Nous avons décidées de nous y mitonner un scénario grandiose en double self-bondage. . J’ai immédiatement sentie que j’aimerais m’attacher moi-même dans cette vieille usine pour sentir l’air lourd d’angoisses sur mon corps, pour sentir les grands espaces tout autour de moi pendant que j’étais dans mon propre petit espace de liens, cela m’excitait d’avance ainsi que le danger qui en découlerait.
Il y avait, malgré l’aspect désert de ce lieu, une possibilité d’être découverte totalement nue et attachée… Je crois que c’était ce frisson que j’ai appréciée le plus… Jennifer et moi, avons commencé cette session vendredi vers midi après avoir caché ma BMW cabriolet bleue dans les bois et en revenant à pied pendant 600 mètres le long d’une vieille route boueuse, vers la vieille usine déserte. C’était la seule construction à des dizaines de kilomètres à la ronde. Pour débuter, nous avons déchargées le plus petit de nos deux sacs d’équipement de bondage sur le sol poussiéreux de la salle des machines de l’usine et nous avons commencées à nous préparer pour un après-midi de self-bondage. Après nous être totalement déshabillées, nous avons placé tous nos vêtements dans ce sac et je l’ai caché dans un coin d’une des salles derrière une vieille et immense machine totalement noire. J’y ai placée, à coté, les différentes clefs des cadenas et menottes de notre self-bondage commun, ainsi que le deuxième sac, le plus grand, contenant un équipement complet de Pony-girl, comprenant un harnais de tête, un corset en cuir avec des lanières, des cuissardes avec des talons de 14cms…
Il y avait aussi des gants noirs remontant jusqu’aux épaules et une large ceinture permettant d’y fixer une lanière en cuir de 3cms de large destinée à bloquer un plug “queue de cheval” et un gode vibrant fonctionnant jusqu’à trois heures sur batteries . Complètement nue, je suis revenue vers la pile d’instruments étalés sur le sol. Je me suis assurée que les 20 mètres entre cet endroit et celui ou nous allions nous attacher étaient accessibles en rampant par terre. Je me suis couchée le dos au sol sur les dalles de pierre. La poussière s’est envolée lorsque mon corps est entré en contact avec le sol. Je me suis fixée une barre d’écartement entre les chevilles, barre d’un mètre maintenue à celles-ci par des sangles en cuir fermées chacune par un cadenas. Jennifer s’est placée debout derrière moi, me regardant, de sorte qu’en écartant mes bras vers l’arrière, mes mains pouvaient toucher ses chevilles… Elle s’est alors fixée aux chevilles une barre d’écartement semblable à la mienne. Mmmm ! Ca semblait bon, je pouvais sentir mon corps tout entier commencer à réagir, une chaude et agréable sensation irriguait mes veines.
Puis j’ai attaché chacun de mes poignets à chacune de ses chevilles avec des menottes. Jennifer s’est alors accroupie, a rampé sur mon corps et s’est attachée pareillement les poignets à mes chevilles avec d’autres menottes. Nous avions chacune nos bouches, nos langues, à l’exact endroit névralgique de chacune… Se retrouver ainsi totalement nues, attachées l’une à l’autre en croix nous a poussées l’une l’autre dans des délices insoupçonnés. Après moultes jouissances, nous étions en transpiration malgré la fraîcheur de l’air. La température basse nous faisait maintenant peur. Il nous fallait ramper en quête des clefs avant la tombée de la nuit… imaginez la scène… Pas moyen de ramper sur le flanc à cause des barres d’écartement, et pas moyen de nous retourner… Après une heure d’efforts, exténuées, nous avons réellement pris peur, nous ne parvenions pas à bouger… Ce jeu m’excitait, je n’avais pas voulu faire d’essais préalables, la jouissance ultime, le grand orgasme devait venir, selon moi, de la peur réelle de ne pouvoir nous détacher. Et c’était le cas… Jennifer, elle toujours si superbe, et dont je ne voyais que le petit sexe rose emplit de cyprine, était en nage, elle tremblait même, de froid et de crainte…
“Ana, espèce de dingue” me cria t’elle, “avec tes lubies sexuelles nous sommes coincées, on ne bouge pas d’un centimètre et je commence à avoir vachement peur”… “C’est le jeu ma chérie, il faut faire marcher ses neurones… Attends, j’ai une idée… Je plie mes bras et tu suis le mouvement avec tes jambes et en même temps tu plies tes jambes et je suis le mouvement avec mes bras”...lui ais-je répondue… Et nous avons avançée de 10 cms… Victoire ! Alors, lentement, nous avons refait ce mouvement une centaine de fois, et à chaque fois, ma bouche léchait son sexe et à chaque fois sa bouche léchait mon sexe. Dans les deux derniers mètres, nous étions en nage malgré le froid, je ne pouvais m’empêcher toutefois de lui titiller le clito avec ma langue tandis qu’elle se débattait sans pouvoir m’en empécher. Délicieux… Arrivées derrière la machine noire, nous avons enfin vu les deux sacs et les clefs salvatrices. Les prendre ne fut pas trop complexe sauf qu’il y avait 4 clefs de cadenas et 4 clefs de menottes à se partager et il fallait trouver quelles étaient les bonnes… Il était 16h30, nous avions jouies comme deux folles, nous nous sentions plus ou moins protégées dans la petite salle derrière la machine…
“Et maintenant, je vais être ta Pony girl !” dis-je à Jennifer… “Je vais m’harnacher ici et le jeu consistera à visiter l’usine puis à aller jusqu’à la BMW en plein milieu des champs, en parallèle du chemin boueux jusqu’au début de la forêt ou se trouve la BMW”... Je me suis plaçée solidement le bâillon-boule dans ma bouche, il faisait partie intégrante d’un nouveau harnais de tête que j’avais achetée récemment. Le propriétaire du magasin m’avait fait une démonstration en me le passant, et cela m’avait envoyé des fourmillements sur la peau lorsqu’il m’avait touchée. Quand il eut fixé les lanières, je fondis lorsqu’il le sécurisa sur ma tête, “S’il vous plaît faites de moi votre esclave”… pensais-je alors que mon corps devenait chaud, me tenant debout là dans le magasin avec le bâillon-boule dans la bouche. Faisant pénétrer la grosse boule dans ma bouche, j’ai commencé à fixer les lanières en place derrière ma tête avec les lanières de harnais courant tout autour de celle-ci et sous mon menton, cela était parfaitement serré et verrouillé en place avec un petit cadenas sur l’arrière. J’ai ensuite enfilée mes longues cuissardes avec les talons de 14 cms…
Je savais que j’allais souffrir, donc jouir, de devoir marcher et courir ainsi dans des chemins creux, dans les champs et sur le sol irrégulier de l’usine, les seins pendouillants en tous sens, les mains gantées de haut et attachées dans le dos… Well !!! J’ai alors enroulé le corset en cuir autour de moi et Jennifer l’a laçé au plus fort ce qui a fait gonfler mes seins qui dépassaient. Elle m’a ensuite fixée un collier en acier inoxydable auquel était fixé une longue laisse. Puis elle m’a préparée l’anus avec une huile douce et m’a placée un plug avec une queue de cheval. Sentir ces poils rugueux sur l’arrière de mes cuisses et mon anus enserrant ce plug en son milieu plus étroit pour l’empêcher de ressortir ou de continuer plus profond, m’a survoltée. Je me suis ensuite lentement enfoncée un gode vibrant dans le vagin puis j’ai bloqué plug et gode avec la lanière de ceinture que Jennifer a fixée à l’arrière de celle-ci avec un cadenas. J’ai alors verrouillée étroitement un anneau en acier autour de mon poignet gauche et un autre autour de mon poignet droit, anneaux reliés entre-eux par une petite barre d’acier de 10cms.
Tout ce qu’il me restait à faire maintenant était de mettre le gode vibrant en marche et de placer un cadenas dans leurs crochets pour réunir et verrouiller ensemble les anneaux de poignets. Des sensations délicieuses m’ont alors envahie. Les vibrations du gode et la sensation de toutes les lanières qui étaient fixées avec des cadenas, m’ôtant toute possibilité de me détacher, m’ont fait immédiatement jouir… J’ai alors placé mes mains derrière mon dos et j’ai fermé les cadenas des deux anneaux. Maintenant complètement impuissante, je ne pouvais rien faire d’autre que de rester là, attachée, et me réjouir de mon harnachement de Pony-girl. C’est alors qu’un coup de fouet claqua contre mes fesses… Jennifer, qu’elle gâââârce !!! Elle s’était rhabillée d’une petite jupette en cuir noir et de chaussures lacées à talons hauts et m’astiquait avec un petit fouet… “Hue cocotte” me dit-elle en souriant avec perversité….”Tu vas trotter autour de la machine en levant les genoux, je veux voir tes seins bouger et te voir jouir des sensations du gode et du plug qui vont s’entrechoquer en vibrant dans tes fondements”...
Et je me suis exécutée, “trottant” en levant mes genoux le plus haut possible. Mes mains attachées dans mon dos rendaient ma démarche très jouissive, à chaque pas, à chaque petit saut, mes seins bougeaient en tous sens… et mon bas-ventre vibrait… “Stop” me dit Jennifer… Elle vint alors vers moi, me soupesa un sein, léchant simultanément le téton, puis y fixa une pince… Elle fit de même à mon autre sein puis relia les pinces avec une petite chaînette… “Hue cocotte, encore un tour de manège”... me cria t’elle… Mon sexe devenait très chaud et la cyprine recommençait à couler le long de mes jambes, nous étions à des kilomètres de nulle part… Théoriquement personne ne pouvait me voir et entendre, sauf si…. J’ai rejoui immédiatement dans cette angoisse, de la cyprine coulait abondamment sur mes cuisses. J’eu un hoquet de jouissance, un puissant orgasme me fit presque chanceler Jennifer s’en aperçu et son sourire pervers me fit peur… Mon esprit s’est glacé lorsque j’ai sentie que Jennifer me culbutait sur le sol en arrière… Était-ce un fantasme devenant réalité ou un cauchemar ?
Elle m’a laissée allongée et attachée là, me disant que je serais maintenant son esclave, utilisée pour son seul bon plaisir parce qu’elle avait voulu mon corps la première fois qu’elle avait posé ses yeux sur moi. Puis elle a glissée des cordes à nœud coulant autour de chacune de mes chevilles au dessus du cuir de mes cuissardes et les a tiré très serrées, les autres bouts étant attachés à des crochets qui sortaient de terre autour de la vieille machine noire. Puis elle me fit asseoir et m’enleva les anneaux de mes poignets, me renversa brutalement vers l’arrière sur le sol et maintint mes bras au-dessus de ma tête où elle avait placée deux cordes à nœud coulant supplémentaires pour bloquer mes bras contre deux autres crochets au-delà de ma tête. J’étais maintenant attachée en croix sur le sol poussiéreux et elle a commencé à tendre les cordes étirant mon corps toujours harnaché, portant toujours le bâillon et le harnais de tête qui étaient verrouillés. Le plug et le gode vibrant étaient maintenus définitivement en place par la lanière de ceinture étroitement serrée. Totalement exposée à son regard et incapable de me libérer, j’étais allongée là alors qu’elle commençait à faire courir ses mains sur mes formes disponibles.
J’étais incapable de bouger lorsque ses mains continuaient à explorer toutes les parties de mon corps, j’étais ouverte à ses attouchements. Elle avait accès à mon être tout entier. Sa langue a commencé alors à lécher mes tétons toujours verrouillés par les pinces et alors qu’elle était en train de les sucer les faisant venir en érection, son souffle et la pression de ses lèvres sur eux déclencha en moi une nouvelle excitation sexuelle. Je ne pouvais pas résister… L’intensité de mon bondage et cette sensation d’impuissance, obligeaient mon corps à réagir et il commençait à me trahir alors que mon sexe devenait moite, émettant de délicieuses ondes de choc à travers tout mon corps. Ma respiration est devenue plus rapide alors qu’elle continuait à explorer mon corps attaché. Les ondes de plaisir commençaient à déferler. “Pas simple de vraiment te faire jouir avec mes doigts et ma langue… avec ta ceinture et tes accessoires, mais tu aimes les complications, hein ma choutte ? Mais tu vas rester ainsi, tu te feras jouir seule en bougeant, et crois-moi, je vais te faire bouger”… J’étais perdue dans ce moment, mon esprit ne sachant pas s’il fallait me débattre par jeu ou continuer avec les sensations merveilleuses que sa langue me procurait,…
Elle m’amenait au bord de l’orgasme. Je ne pouvais croire ce qui m’arrivait, ici je gisais ligotée, maintenue captive par Jennifer qui avait une fois de plus changée le scénario que nous avions imaginées, j’étais comme kidnappée par elle. Quel destin inconnu m’attendait, et mon corps réagissait comme si cela n’était pas arrivé. Comme si cela était normal, mon corps s’amusait à chaque minute des touches de sa langue. Puis elle m’a laissée, se contentant de voir le résultat sur moi du gode vibrant faisant son travail !!! J’étais moite, de temps à autre un flash d’orgasme me faisait me cambrer, érigeant mes seins, surtout les tétons en pointe tandis que mes jambes tremblaient… Plus tard, bien plus tard, lorsque les piles du gode vibrant étaient presque usées, elle est revenue sur mon corps attaché et m’a utilisée de nouveau mais cette fois elle a soulevé seulement sa jupette en cuir, elle est montée sur mon corps, elle a progressée vers mon visage et elle a pris son plaisir sans remplir le mien en frottant son clitoris contre la boule de mon harnais… La gâââârce !!! Après quoi, elle a détachée mes jambes et a mis une chaînette d’entrave autour de chacune de mes chevilles au dessus des cuissardes, me permettant de faire des petits pas.
Ensuite elle a détaché mes bras mais les a rattachés derrière moi en verrouillant chacun de mes poignets dans les anneaux . Puis elle m’a aidée à me relever. Il commençait à faire froid et la nuit tombait, j’avais commencée à entendre les animaux de la nuit lançant leurs appels dans le bois. Jennifer m’a alors rattachée de la même façon, verrouillant mes membres avec les mêmes cadenas, j’étais sa Pony-girl… “Hue cocotte, direction le bois et la BMW, dépèche- toi, la nuit tombe et il va faire froid “... Je me suis mise à trotter, Jennifer me suivait en tenant fermement la longue laisse. Je montais mes genoux bien haut, mes seins bougeaient en tous sens. A chaque ballotement je sentais la morsure des pinces s’incruster plus profondément dans mes tétons. Le bâillon-boule et le harnais en place me faisaient abondamment saliver, je sentais que ça coulait le long de mon menton… Je sentais aussi que je mouillais abondamment, le gode faisait son effet, le plug aussi, et lui c’était l’extase. Je sentais au fond de moi le bout du gode et le bout du plug qui se touchaient entre mes peaux, tous les 2 pas, le bout du gode heurtait mon utérus, et à chaque fois c’était un flash d’orgasme, une chaleur m’envahissait, je sentais la cyprine couler…
A chaque fois je continuais en salivant de plus belle, et un peu plus loin, deux pas de plus, je sentais à nouveau les chocs entre le plug et le gode… Et encore, et encore, entre le gode et mon utérus, ce qui me faisait encore un flash d’orgasme, encore, encore, encore… Arrivée à l’entrée du bois, j’avais parcourue 600 mètres, soit près de mille pas donc 500 chocs d’orgasmes… J’étais comme dans l’espace, je ne trottais plus, je volais, je n’étais plus moi même, mon bas-ventre se contractait et se recontractait sans cesse me procurant des orgasmes à répétition… Et soudain, un choc plus fort, une contraction, et simultanément une des pinces à sauté de mon téton gauche… Waouwwwww… J’ai eu un flash encore plus fort, j’ai senti mon sexe en feu, comme exploser, tout est devenu noir, puis blanc, puis rouge puis blanc et noir…et rien et tout, et rien en noir… . Jennifer m’a dit le lendemain, samedi, qu’elle avait eu beaucoup de mal à me trainer jusqu’à la voiture, et, qu’heureusement, je n’étais tombée évanouïe qu’à 5 mètres à peine de la BMW… Elle m’a dit qu’elle avait toutefois attendue que je revienne dans un état second ou je me suis relevée, pour me porter et me poser toute harnachée et moite sur le siège passager…
Elle m’a dit qu’elle avait attendue parce que j’étais tombée dans un champ d’orties et que j’en avais tout le corps rouge de démangeaisons, surtout les seins, le sexe et l’entre fesse parce qu’elle y avait incrustée quelques feuilles d’orties…. Elle m’a dit qu’elle était ensuite revenue à la péniche. Elle a osé conduire ma BMW, toutes deux quasi nues, toujours avec nos habits de cuir. Jennifer m’a dit que j’ai titubée jusque dans la chambre d’hôtes (que j’avais transformée en salle de bondage). Elle m’a dit que j’étais tellement excitante qu’elle avait décidée de me laisser harnachée en Pony-girl bondagée et de m’allonger sur le sol. Elle m’a dit qu’elle est restée là, devant moi, à se masturber de me voir me tortiller jusqu’au soir, et elle m’a dit qu’elle s’est beaucoup réjouie de me voir dans ce confinement clos, ligotée et impuissante. Elle a pensé que je devrais inclure une troisième “amie” dans mes prochaines sessions de bondage. Elle m’a dit, vers 20 heures, qu’elle devait partir, que les clefs étaient derrière la porte qu’elle ne la fermait pas à clef et qu’avant que je ne réussisse à me libérer, elle serait déjà très loin, en attente d’un autre appel au secours de ma part….
Je suis restée là allongée dans mes liens, dans ma tenue de Pony-girl, jusqu’à ce qu’elle parte, puis j’ai commencé à re-tortiller mon corps étroitement ligoté, sur le sol, pour ramper vers la porte derrière laquelle Jennifer m’avait dit qu’elle déposait les clefs libératrices. Cela me prit un long moment pour atteindre cette foutue porte, et encore plus pour arriver à l’ouvrir… Les clefs n’étaient pas là. Jennifer avait déposée une feuille sur le sol, un billet-doux, ou était écrit ; “Désolée ma choutte, j’ai scotchée tes précieuses clefs sous ta boîte aux lettres devant ta péniche… Tu vas devoir encore attendre le milieu de la nuit pour ramper au dehors afin de te délivrer, n’aie crainte, j’ai laissée la planche de coupée en place… Essaye de ne pas tomber à l’eau en la traversant…. Bisous ma chérie… Jennifer “... J’ai du attendre minuit. Après encore environ une trentaine de minutes de reptation dans le noir, sentant sans cesse le plug et le gode se toucher entre mes peaux et en jouissant d’orgasmes insoutenables, j’ai trouvée des clefs et j’ai commencé à essayer de retirer mon bondage… J’avais toujours mes cuissardes et mon corset solidement lacé derrière mon dos, ainsi que la ceinture cadenassée à l’arrière !
Elle maintenait le plug et le gode en place… Le harnais baillon-boule aussi ! Et Jennifer ne m’avait pas laissée les bonnes clefs, juste un autre mot ; “Je viendrais avec les vraies clefs demain, dimanche, vers 22 heures, jouis bien cette fin de nuit et tout le dimanche ma chérie…” Je me suis alors dit que je n’avais pas finie de jouir… Je suis ensuite restée là pendant une heure, dehors, allongée sur le dos, avec mes cuissardes, le corset, et le plug et le gode dans mes fondements, maintenus en place par cette foutue lanière cadenassée à la ceinture ! Et cela sans bouger ! J’avais crainte que l’entrechoquement du plug et du gode dans mes entrailles m’amène à de nouveaux orgasmes si violents que je tomberais encore évanouie avant de rentrer à l’abri dans ma péniche… Je restai là sans bouger, même quand je me réveillai pendant la nuit, car je ne voulais pas qu’un mouvement de ma part réveille mes sens….