Anamary, bondage … 08
Tout mon plan est sous contrôle. Il m’a fallu un peu plus de deux mois pour obtenir la machine à orgasmes de mes rêves, revérifier les détails, inventer diverses sécurités. Jennifer me dit souvent que j’ai trop de volonté dans mes désirs de jouissaces sexuelles, que je désire aller parfois beaucoup trop loin, que je suis capable du pire. Elle sait ce que je fais actuellement et cette fois elle a peur pour moi car c’est elle qui va me lier et me faire jouir. Mais elle a compris que je ne changerai plus. Grâce à elle, peut être. Malgré elle, plus probablement. Depuis deux mois, depuis qu’elle m’a piégée en me laissant attachée 24 heures sur ma machine à orgasmes, chaque jour, j’ai consacré plusieurs heures à la perfectionner, puis je me suis attelée à la préparation de ce week end. Sans parler d’essais de toutes sortes…. Plaisir, souffrance, tension, patience et impatience….. C’est maintenant.
Outre les sécurités, et le programme qui gère la machine, j’ai recalculé les distances, rechronométré chaque phase, imaginé des adaptations, remodifié les séquences existantes. Le décor et la machinerie sont prêts.
L’organisatrice que j’ai été durant tout ce temps de préparation peut se retirer et faire place à l’actrice-esclave de mes sens que je vais devenir… La manoeuvrière, Jennifer, est déjà en place. Elle m’observe, me scrute en détail… Elle me caresse du regard, et entre en pensée partout dans mes orifices. Je suis l’actrice, l’organisatrice, la cospectatrice et la victime. Les entraves et la liberté… J’ai hâte de commencer, je voudrais déjà être à la phase suivante. Mais le plaisir de ralentir le temps commence à fonctionner. Ceux et celles qui me côtoient chaque jour trouvent que depuis quelques semaines je ne suis plus assez coquette. La plupart de mes collègues passent maintenant beaucoup plus de temps que moi chez le coiffeur et à l’institut de beauté sans parler des magasins. C’est vrai que cette nouvelle expérience de bondage m’a pris la tête à un point tel que j’en jouis sans même me toucher, rien qu’à la pensée de ce que je me prépare. Mais aujourd’hui je prends mon temps, je me pomponne, je me fais belle pour moi même et aussi pour aguicher Jennifer encore plus que nécessaire. Well ! Isn’nt ! Je me lave les cheveux, plonge dans un bain brûlant, puis je m’épile les sourcils, les jambes, les aisselles, le pubis.
J’ai presque envie de me raser la tête. Une sorte de folie d’extase. Le temps n’est pas encore venu. Au sortir de l’eau, légèrement frissonnante, je me roule une serviette en turban sur la tête et je commence à me vernir les ongles des pieds et des mains. D’un rouge sombre comme du sang séché mais scintillant comme le rubis. Je poudre mon visage, de la racine des cheveux jusqu’à la base du cou, de talc parfaitement blanc. Je poursuis vers les seins et la continuité est parfaite, c’est que je vais enfiler une combinaison totale en latex et il faut que ma peau soit poudrée. Pour mon plaisir de parfaire, je me maquille, surtout du fard autour des yeux, pas seulement sur les paupières mais tout autour des orbites, avec un léger dégradé vers les tempes. Je dessine ensuite le pourtour au crayon, d’un noir gras épais et luisant. Puis les cils. Mon rouge à lèvre scintille aussi. Je lui fais suivre ma bouche, et je le cerne d’un mince trait noir. J’en enduis les pointes de mes seins en suivant l’aréole. Le miroir de ma table de maquillage me renvoie l’image que je désirais. Fantôme, goule ou vampire diraient certains. En tout cas bizarre. Je préfère Cat’Woman, la monte en l’air, chatte de son état.
Je me lève et me place devant le miroir. Satisfaite, je me tourne vers le lit sur lequel j’ai déposé avec méthode chaque accessoire de ma tenue. Il faut commencer par les bottes en latex car je dois me plier pour les enfiler avec la même tension de bas en haut. Les talons mesurent seize centimètres. Ils me donnent une démarche superbe et j’y suis habituée. Lorsqu’elles sont bien serrées, elles m’étreignent les jambes depuis la cheville jusque tout en haut des cuisses. La tension de mes mollets croit tellement que si je les conservais trop longtemps pour marcher, mes jambes se paralyseraient toutes. La cambrure qu’elles m’imposent me projette le pubis en avant, sans indécence véritable, juste avec un petit rien d’insolence qui me fait rire. J’y ajuste ensuite autour des chevilles des anneaux d’acier avec des pointes acérées, anneaux que je relie entre eux avec un tendeur qui va servir d’écarteur. je sens une jouissance lorsque je manœuvre le tendeur et que je sens mes jambes prisonnières. Après les bottes, je me place les délicatesses. Le soleil les a tiédies. Leur acier nickelé scintille. Je les ai achetées il y a trois mois mais j’ai encore du mal à m’introduire celle que j’appelle la pointe.
Elle a un cône au sommet arrondi et dont le diamètre au plus large dépasse sept centimètres. Trois gouttes de gelée facilitent la tâche et, après un travail de deux à trois minutes, mon sphincter se referme sur la base étroite. J’ai modifié la pointe pour qu’elle s’enfonce d’elle même dans mes intestins. C’est que ce “cône” est aussi un extraordinaire stimulateur. L’autre délicatesse est un gode vibrant en forme de barre bosselée dont les renflements sont tous identiques, il mesure environ 30 centimètres… Ce gode ressemble plus à certaines poignées de vélo qu’aux habituels godemichés réalistes avec gland et veines. Ceux ci satisfont sans doute le plaisir des yeux, mais ce n’est pas mon objectif. Puisqu’il s’agit d’un artifice, je me soucie seulement de l’effet obtenu. Cette forme bosselée est celle qui me procure le plus de plaisir. Je me l’enfonce avec volupté et je sens le gode partir tout au fond contre mon utérus alors qu’environ 10 centimètres restent à l’extérieur… Well !! Ca va être délectable. Je sens mon sexe s’emplir de cyprine. Le moindre geste et je jouis, non, c’est trop tôt, je dois terminer mon harnachement.Je place alors l’énôôôôôme ceinture de chasteté en métal, une invention démente, qui fixe bien en place le “cône” et le gode.
Je glisse lentement l’embout du gode vibrant qui restait à l’extérieur de moi, dans une sorte de tube en entonnoir fixé sur le dessous de la ceinture, pièce qui continue en forme d’un tuyau d’acier flexible. Cela me donne la sensation d’avoir un sexe énorme. Je teste ce jouet en faisant quelques pas et je sens le gode bouger en fonction des flexions du tuyau d’acier… Fantastique ! Je referme ensuite la partie avant sur l’arrière de la ceinture par l’entre-cuisses avec deux lanières de cuir que je serre au maximum en faisant attention de ne pas m’écorcher bras et mains sur les pointes métalliques qui dépassent de chaque coté. Je me bondage fermement les seins, je les sens comme exploser en avant. Mes tétons sont érigés en attente d’une caresse ou d’une morsure qui ne vient pas. Lorsque les pointes sont bien dures et tendues, je les enserre dans de petits étaux que je visse soigneusement pour obtenir une pression identique de chaque coté. Ensuite j’enfile le bustier-corset en latex muni de baleines qui me cambre de partout, me donnant une taille de guèpe, il me recouvre toute la hauteur de mon ventre, emprisonne mes seins, et recouvre mes clavicules jusqu’au dessous du menton. La sangle de serrage se trouve derrière mon cou.
A l’avant dernier trou je ne peux plus faire le moindre mouvement de la tête. Je n’utilise qu’exceptionnellement le dernier pour l’exercice et jamais lorsque j’ai les mains immobilisées à cause des risques de suffocation. Aujourd’hui, je laisse les deux derniers trous et glisse l’ardillon dans le troisième. Je suis ainsi contrainte de conserver une posture rigoureuse mais, s’il le fallait, je serais capable de tourner la tête… Vient enfin l’instant du masque-casque qui me couvre entièrement la tête. Je me suis entraînée à le lacer par l’arrière le plus étroitement possible et, bien sur je ferme en finale les crochets qui le relie au bustier- corset. Je retiens ma respiration quelques instant pour le plaisir de suffoquer. Je fixe ensuite le bâillon ouvert, un tuyau de caoutchouc de 10 cms qui passe dans ma bouche, m’empêche de fermer ma mâchoire. Il se subdivise sur l’avant en deux tuyaux plus petit qui sont reliés à une minuscule bouteille contenant un gaz destiné à décupler mes fonctions sexuelles. Deux tiges nickelées, dont l’écartement se règle à l’aide de vis papillon, me font un mors étrange qui me pince la langue et la tirera avec une rigueur prédéterminée… Je fixe alors les barres destinées à me bloquer les bras.
D’abord une ceinture d’acier à fermeture/serrage à cliquets sur laquelle deux tendeurs sont fixés. Ils sont destinés à se cliquer sur les anneaux des bras. Il me restera ensuite à fixer le tout après que j’aurais enfilé les longs gants de latex qui se fixeront sur les cotés de la ceinture. C’est un dispositif original bien qu’assez simple. Je ne pense pas le faire breveter car je doute qu’il y ait aujourd’hui un véritable marché pour un tel appareil. Quatre paires de crochets tendent les bras. Quand la tension atteint le maximum supportable avec les deux crochets supérieurs, la paire de crochets inférieurs maintient automatiquement la tension obtenue et serre davantage si je le désire. Quand je reviens vers le grand miroir, je peux sentir l’odeur sourde de mon excitation. Raide, serrée, contrainte, emplie de mes délicatesses, je déambule dans la chambre pendant quelques minutes avant de commencer à m’agacer d’attendre LE grand orgasme. Il ne me reste plus qu’à me rendre dans mon laboratoire sexuel. A petits pas prudents qui me comblent d’appréhension, telle la prêtresse bizarre d’une religion dont je suis également la modeste dévote et la dea ex-machina.
Dans le couloir je suis submergée par le parfum de mon énervement et j’ai l’impression que mon ventre va se liquéfier. Une musique électronique, répétitive, très lente, couvre le bourdonnement de l’ordinateur. Le programme est déjà chargé. Il suffit maintenant à Jennifer de raccorder les fils électriques qui pendouillent autour de ma combinaison et d’entrer les heures auxquelles elle désire que ma fête commence et se termine. Il lui faut un quart d’heure pour finir de tout mettre en place et ne pas être surprise par quelques détails imprévus… Au centre de la pièce, je trottine jusqu’à un support triangulaire. Jennifer ajuste les sangles sur les crochets de ma combinaison. Mes pieds atteignent juste le sol, j’ai du mal d’assurer mon équilibre. Jennifer branche chacun des fils qui sortent de mes parures et les branche aux prises de ma machinerie électronique dans l’ordre que je lui ai indiquée lors des essais. Différentes couleurs les classent par catégories et, de plus, chacune porte un numéro pour qu’il n’y ait aucun risque d’erreur. Des cordes, des poulies pendent d’une grande armature métallique qui est fixée au plafond en bois.
Jennifer attache mes chevilles à de larges sangles de cuir, puis fixe la pince de ma langue à des mousquetons spéciaux, reliés à une corde, et mes bras à des bracelets également encordés. Un premier bip de l’ordinateur signale le début du programme. Durant deux minutes toutes les entraves se tendent assez vite, mais seulement pour assurer la tension. Elles ne font que soulever mes membres sans les étirer et, si je résiste, le mouvement s’interrompt. cela me permet de mieux m’accoutumer à ma position. Ensuite le programme prend tout en charge. Mes jambes se soulèvent, s’écartent vers l’avant, mes bras se tendent derrière mon dos, ma langue tirée vers le plafond me contraint à cabrer la tête en arrière. Je ne suis pas encore suspendue. Le poids de mon corps s’exerce sur la poutre et me tient fermement prisonnière de mes liens et de ma combinaison. Je suis tendue, crispée, mais ma posture n’est pas douloureuse. Du moins au début. Soudain, je m’élève, je suis suspendue, je ne sens plus mon corps, c’est comme si je volais. Jennifer en profite pour appuyer ses mains sur quelques zones sensibles ce qui me fait pousser un cri étouffé de frayeur…
Elle triture le tuyau qui sort du bas de ma ceinture d’acier, le tourne de gauche et de droite… Je sens en mon ventre le gode qui suit le mouvement, en sus des vibrations électriques. Je ne sais rien faire, je suis fermement attachée, écartelée, je suis à la fois mon propre jouet et celui de Jennifer. Je transpire, une angoisse m’étreint… Jennifer d’éclanche alors l’ouverture du gaz et je me sens partir vers le sub-space… Les premiers effets ressemblent à des démangeaisons, surtout ceux des seins. Il m’a fallu des mois pour trouver les réglages les plus excitants. Je ne sens certains courants sexuels que par leurs résultats, comme ceux qui me contractent les muscles à l’intérieur des cuisses. Celui de la langue me procure un léger chatouillis et me fait saliver d’abondance. Dans l’anus et le vagin, par contre c’est indescriptible. Les décharges proprement dites arrivent d’abord selon le même tempo en des endroits donnés. Leur intensité augmente très progressivement. Commence ensuite un train de décharges au rythme lent et régulier mais dont la situation est aléatoire. Je peux prévoir l’arrivée de la décharge suivante, mais j’ignore si elle va m’atteindre un orteil, la langue, l’anus, la pointe d’un sein…
Ou l’intérieur d’une cuisse ou tel doigt, le clitoris… Et bien sur, elles sont de plus en plus violentes. J’évite de boire avant de telles séances, et la pièce de bondage que j’ai installée dans l’ancienne chambre d’hôtes de ma péniche est aéré pour atténuer ma transpiration. Malgré cela, je ne tarde pas à être moite de la tête au pied et à exhaler des effluves de chatte en chaleur ce qui excite Jennifer que je vois se masturber de me voir atteinte de soubresauts. Mon corps se cambre, revient en tension avant, puis de tend en tension arrière…A chaque fois j’ai l’impression de me décomposer. Je jouis parfois très vite dans ces moments, tellement que si j’ai une continuité d’orgasmes je pourrais tomber évanouie alors que la machinerie continue… C’est cela que je n’ai pas encore explorée. J’ai limité la durée du programme à une demi heure. Les orgasmes se succèdent à une telle rapidité que je suppose que je pourrais mourir de plaisir si Jennifer m’abandonnait trop longtemps à cette machinerie. Une demi-heure plus tard, alors que je suis prise de spasmes orgasmiques, mon corps étant secoué de hoquets musculaires correspondant chaque fois à un mini orgasme, Jennifer me fait un grand sourire et modifie le calculateur…
“Une demi-heure de plus ma chérie” ! Non !!!! Je suis moite, des flash incessants éclatent dans ma tête, je sens mon bas-ventre qui se contracte puis se détend sans cesse, ce qui entraine un effet fontaine de ma cyprine qui inonde tout l’intérieur du bas de ma combinaison. Je ne sais combien de temps j’arrive à être consciente, mais en une fois, mon corps se cambre en arrière et je perd connaissance en poussant un hurlement… Jennifer et moi, formons maintenant un couple fantastique en matière de bondage. Nous préparons ensemble, par é-mail et par téléphone, des scénarios de bondage et d’auto- bondage ou elle arrive un certain temps après que je me suis attachée. Me retrouver face à elle, totalement nue, harnachée, impuissante, me plonge de plus en plus dans l’extase à chaque fois. Jennifer parvient toujours à me surprendre en modifiant radicalement ce que nous avions imaginées, ce que j’avais imaginée en fait, car elle me manipule sexuellement à sa guise. Well, c’est une vraie gâââârce ! Mais il a suffit d’une petite erreur de ma part pour qu’elle me domine totalement. Jennifer, comme à son habitude attache chacun de mes membres…,
C’est ce qu’elle a fait hier soir, mais la lanière qui entravait ma main droite a finit par lâcher, me permettant de me libérer… Hasard rare. J’ai passé une robe courte en vinyle noir et ai gardé mes cuissardes. Simple et efficace. Une paire de menottes. Un bâillon boule. Un masque de cuir. Un collier et une laisse. Tout ce qu’il faut pour « titiller » ma proie. Un large godemichet en latex mou et un plug. Maintenant le piège… Elle n’opposa aucune résistance quand je saisis ses poignets et l’ai menottée dans le dos, elle me regardait, intriguée et complètement étonnée … Quel délice, ses yeux qui s’élargissaient d’angoisse tandis que je forçais la large boule de latex dans sa bouche… Elle gémissait, elle tentait de crier, mais rien n’arrêta l’inexorable intrusion… et c’est très serré que je fermais le lien de cuir qui la maintenait. Collier autour du cou, humiliant, non ? Je me délectais de la colère qui passait dans ses yeux… avant de les aveugler d’un strict masque de cuir… Maintenant, direction le temps des plaisirs, c’est fière comme tout et sans ménagement, que je la tirais vers la machine à orgasmes. La position m’inspirait, et j’ai tôt fait d’attacher chaque cheville en écartant bien ses jambes, nous allions jouer la partie à ma manière …
Pour commencer, je l’ai déshabillée complètement et lui ai passé un corset de cuir trouvé dans son placard que j’ai serré si fort que la respiration lui manquait. Très excitant… Une lanière de cuir joignant ses coudes acheva son bondage la rendant encore plus sensuelle sa position. Tant d’envie me traversaient la tête, enlever son bâillon, puis m’agenouiller devant elle, saisir ses cheveux et lui jouer les amours saphiques ? Tentant, très tentant … Mais il valait mieux qu’elle connaisse ce que j’endure pour elle. J’ai passé des gants de latex, puis j’ai déposé sur mon index une larme de lubrifiant, j’ai caressé ensuite longuement son anus, elle a frémit, j’ai caressé le bas de ses reins, embrassé ses fesses, tandis que je continuait ma besogne…, le plug est rentré sans peine, entraînement ou détente, mystère. Encore un peu de liquide gras et je me suis fait plus indiscrète tandis que j’enduisais ses grandes lèvres, un doigt, puis un autre se firent alors plus pénétrants…, pour son plus grand plaisir, si j’en crois ce que j’ai ressentie… Puis, centimètre par centimètre, j’ai mis le phallus de latex en position. Entrée, sortie, entrée, sortie, ma main libre jouait de son clitoris qui devint dur à son contact.
Elle gémit, elle frémit, sa salive assombrit la soie rouge du lit et je m’amusais comme une folle à la faire languir, longtemps, délicatement… Puis sa respiration s’est emballée, elle tremblait de tout son corps tandis que je jouais du plug et du god selon des rythmes inavouables… Et elle jouit, elle explosa de désir et de joie, la sueur perlait sur sa peau tandis qu’elle se détendait. Non sans avoir fixé à demeure les deux petits visiteurs, je l’ai laissée ainsi, sur le ventre, écartelée, taraudée par les vibrations aléatoires du phallus artificiel qu’elle avait elle même trafiqué… Orgasmes multiples à répétition en perspective… Puis je lui ai commis un affront bien agréable, je me suis couchée dans la chambre voisine et je me suis assoupie, souriante… Et lorsqu’une main plaquée contre ma bouche m’a réveillée, je me suis souvenue que, j’aurais du vérifier ses liens… Huh ! L’angoisse me cloue un instant, puis je crie et hurle des « Non ! Non ! Je t’en supplie ne fait pas ça, pitié »…, mais elle reste de marbre. C’est un opéra du diable d’un autre monde qui va recommencer! Le noir m’enveloppe dans mon désespoir. Je pressens que ça va être la nuit la plus difficile de ma vie, alternée de sommeil, de douleurs et de crises désespoir, de larmes.
VIMEO EN ATTENTE______________________
La Saga ANAMARY et ses Secrets Interdits, en 4 volumes, se lit ici : Livres & Romans – Gatsby Online Cliquez pour y être téléporté…
2 commentaires
Bonjour
Superbe récit. Ou et comment pourrait-on avoir cette machinerie ainsi que des photos d’utilisation.
Merci
Ca fait partie des Secrets Interdits d’Anamary ! Elle vous répondra dès que possible…
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