Par Anamary del Miguel Saavedra
Je n’arrète pas de voyager ; Madrid, Paris, Bruxelles, Londres, Genève, Berlin, Moscou, Hong-Kong, Tokyo, Sidney, Los-Angelès, New-York…
Well !
Maintenant je suis en repos pour quelques semaines, je vais donc prendre un peu de mon temps pour continuer de vous narrer mes aventures.
Bonne lecture, its’nt!
J’ai entendu la porte s’ouvrir et l’appel de Manuela : “bonjour“…
J’ai pensé : Well, c’est la femme de ménage…
Cela m’était complètement sorti de l’esprit qu’elle venait un jour tôt cette semaine parce qu’elle allait chez elle en province pour rendre visite à ses parents.
Elle a une clef qui lui permet d’entrer comme elle veut.
Normalement, cela n’aurait eu aucune importance, aujourd’hui… et bien , ce n’était pas bon.
Je faisais “le boulot buissonnier” , je planais car je fume rarement et je m’étais excitée en surfant sur des sites pornos.
Et, oups, c’est vrai, j’étais en plein milieu d’une séance de self-bondage.
Mon obsession avec le bondage a commencé quand j’ai atteint la puberté…, mes fantasmes, naturellement, ont pris une nature sexuelle.
Peu de temps après que j’aie commencé à me masturber j’ai commencé à inclure quelques éléments de bondage et de masochisme dans mes sessions.
Quand j’ai eu 15 ans, je me suis aperçue que de nombreuses personnes avaient les mêmes idées.
Par exemple, vous pouviez voir une scène dans une comédie où un acteur ou une actrice est dans un équipement en cuir de bondage, mais vous ne comprenez pas vraiment la plaisanterie jusqu’à ce que vous soyez assez vieux pour comprendre les connotations sexuelles.
Lorsque je l’ai compris cela a été soulagement pour moi pour être honnête, je commençais à devenir de plus en plus raffinée dans la façon de bâtir mes séances de masturbation.
Je commençais à me demander si je n’étais pas “bizarre“…
Mon job de secrétaire de direction dans une multinationale du chocolat m’a aidée à réaliser mes fantasmes les plus fous, de par la grande liberté de temps que j’y avais, de par les nombreux voyages que j’effectuais avec mes directeurs dont un était particulièrement vicieux, mais surtout suite à ma rencontre avec Vanessa Champetier de Rives, une fille très perverse demeurant à Montpellier qui m’a faite exploser sexuellement.
C’est suite à cela que j’ai créé mon site http://groups.msn.com/SecretsDeSecretaires qui, m’a permis de rencontrer des femmes et des hommes hors normes, dont un Maître en perversités déjantées qui m’a “introduite” (en double sens) dans le “Tout-Paris”.
En finale, grâce à lui et ses multiples relations, je suis devenue propriétaire d’une Péniche aménagée amarrée en bords de Seine à Paris.
Grâce à lui, j’ai rencontré une de ses amantes, Jennifer, qui est devenue ma complice en jeux sexuels de plus en plus Hard !
Et c’est peu dire, well, its’nt !
Depuis, toutes les nuits je rêve et fantasme à l’idée d’être liée par Jennifer, et par des adultes inconnus, ainsi que par moi-même en séances d’auto-bondage, dont vous avez pu lire quelques comptes rendus dans la section SecretsInterdits de www.GatsbyOnline.com
Les sessions de self-bondage, hhhhmmmm…, quand je suis sortie de ma première séance réussie, j’ai créé un sac de bondage pour mes sorties : un peu de corde, un bâillon-boule, quelques pinces à linges, des menottes, une paire de godes….
Ce sac de bondage m’a suivi partout où je suis allé ensuite.
Durant 7 ans, j’ai peaufiné l’aménagement d’une partie de la cale de ma péniche, et je crois qu’elle recèle à peu près tout ce qui est imginable en matériel de bondage et de tortures BDSM, car en tortures sexuelles, je m’y connais aussi.
Vivant passionnément pour le bondage, il y a beaucoup d’objets que j’utilise régulièrement dans ma chambre-cabine.
Aujourd’hui j’avais sélectionné les objets que j’avais projeté d’employer sur moi et je les avais posés sur une petite table.
Puis je me suis baignée, j’ai rasé mon sexe, j’ai lubrifié d’avance mes recoins intimes.
J’avais emporté un petit collier en cuir à la salle de bains et je l’ai mis.
Je mouillais déjà d’avance en m’asseyant au milieu de ma chambre sur un tabouret.
J’ai attaché mes chevilles à deux des pieds du tabouret. J’ai commencé à frotter mon sexe fraîchement rasé, j’étais excitée.
Mon autre main est allée à mes mamelons et a commencé à les rouler doucement.
Puis j’ai commencé à les travailler plus durement.
Rapidement je me suis retrouvée à les pincer et à tirer dessus assez durement.
J’ai pris un petit butt-plug sur la table, j’ai mis un peu de lubrifiant et j’ai inséré l’extrémité conique dans mon anus (je suis très anale, on me surnome “Analemary“)….
Mon sphincter s’est refermé sur la partie étroite et le plug a ainsi été fermement maintenu.
J’ai pris un gode parmi la pile d’accessoire sur la table et j’ai posé la ventouse sur le tabouret.
J’étais trempée.
Quand je me suis abaissée sur le gode je pouvais me l’introduire facilement… et, j’ai eu mon premier orgasme.
Après que les spasmes m’aient balayés, j’étais toujours empalée sur ce gode fixé sur le tabouret.
Je suis revenue à la vie après quelques minutes.
J’ai pris une pince de mamelon sur la table, ai ouvert l’agrafe et l’ai tenue sur serrée.
Comme toujours j’ai mis l’un d’entre eux, juste pour voir si je pouvais le supporter.
Après l’avoir refermée sur mon téton, j’ai haleté et ai juré pendant quelques secondes puis je l’ai rapidement enlevé pendant que la douleur annihilait ma volonté.
J’ai répété l’exercice avec l’autre téton, puis j’ai échangé ces pinces contre des pinces à linge plus supportables.
J’ai repris mon souffle et ai commencé à tourner sur le gode pour obtenir de la chaleur sexuelle pour m’aider à supporter la douleur, je me sentais perverse.
J’ai mis le bâillon-boule dans ma bouche et j’ai sanglé la boucle.
J’ai mis les clef de mes menottes sur une longue ficelle que j’ai attachée à mon cou et ai mis une des menottes autour de mon poignet gauche.
L’acte final fut de mettre la main entre mes jambes et de déclencher le moteur du gode.
La chose a commencé à bourdonner et à tourner autour d’une articulation située à mi-hauteur.
La chose fouillait mes entrailles.
J’ai mis mes mains derrière mon dos et fermé l’autre menotte autour de mon poignet.
Avec cet acte final j’ai su que je ne me libérerait pas pendant un moment.
Mon record pour me libérer était d’environ 9 minutes mais quelques fois cela m’avait pris plus d’une heure. La première fois j’avais laissé tomber la clef et j’ai dû passer par toutes sortes de contorsions pour l’atteindre.
C’est ainsi que j’ai appris à attacher la clef autour de mon cou.
Quoi qu’il en soit, c’est ainsi que Manuela m’a trouvée.
Vous voyez….
Si je n’avais pas séché le boulot et si elle n’était pas venue un jour plus tôt cela n’aurait pas été un problème, au lieu de cela elle m’a trouvée bourrée par un gode et un plug et luttant pour me libérer d’un self-bondage !
Well, pervers, its’nt !
Ma belle et bonne Manuela.
Elle a la trentaine.
Incroyablement belle.
J’ai crié dans le bâillon-boule en l’entendant venir.
Je tournais le dos à la porte, mais j’ai entendu son arrêt quand elle a atteint la porte et un petit halètement de surprise.
J’ai cessé d’essayer d’atteindre la clef et j’ai attendu.
J’ai entendu son approche à mon côté.
“Qu’est ce que c’est ?“… a t’elle demandé en touchant légèrement mes cheveux.
“Hmmm ?“… elle a insisté.
“Qu’est ce que c’est, mademoiselle Anamary ?“… a t’elle demandé encore.
“Êtes vous bien ?“…
Naturellement je pouvais seulement gémir avec le bâillon pendant qu’elle relevait mes cheveux.
Elle a semblé noter le reste de mes objets sexuels sur la table puis a regardé autour d’elle.
Elle a enlevé un spot d’un crochet au plafond.
Elle a fait une boucle sur une longueur de corde et l’a fixée au crochet puis a attaché l’autre extrémité à mes menottes.
Elle a tiré sur la corde, forçant mes bras vers le haut, ma tête et mon torse à se baisser ce qui a placé mon clitoris en contact direct avec le gode vibrant dans mon sexe.
Je pense que j’étais bien au delà du désespoir à l’idée d’avoir été ainsi découverte car je me suis enflammée comme une allumette.
J’ai joui comme jamais.
Je suis devenue une sorte d’idiote bavante et gémissante concentrée sur les sensations émanant de mon clitoris.
Je sentais que Manuela se tenait juste là et m’observait avoir des spasmes autour de l’outil vibrant dans mon vagin.
Mes bras commençaient à devenir endoloris.
La manière dont j’étais attachée me forçait à regarder vers le bas.
J’ai presque oubliée que Manuela était là jusqu’à ce qu’elle se penche et ôte les pinces à linges que j’avais sur les seins.
J’ai gémi dans le bâillon-boule.
Elle joua avec mes mamelons pendant plusieurs minutes.
Elle replaçait les pinces et tirait dessus jusqu’à ce qu’elle se décrochent douloureusement.
Puis elle les replaçait de nouveau.
J’ai deviné qu’elle avait repèré mes pinces “insupportables” tandis qu’elle jouait avec moi.
Elle en a pris une et a enlevé les pinces à linge de mes mamelons.
Quand je l’ai vue s’approcher avec les pinces “spéciales“, j’ai commencé à couiner dans le bâillon et à lutter vraiment.
“Tshhh, tshh, tshh” m’a t’elle apaisée pendant qu’elle frottait mes cheveux.
Elle a mis ces saloperies de pinces sur mes tétons érigés et m’a observé gémissant de douleur.
Puis elle est partie.
Je l’ai entendue se déplacer dans les pièces alentour.
J’ai entendu l’aspirateur se mettre en marche et s’arrêter plusieurs fois.
Je l’ai entendue faire son travail tandis que j’enchainais orgasme après orgasme.
J’ai entendu son retour.
“Ohhh. Tshhhh. Tshhh. Tshh“…
J’étais embarrassée.
J’avais fait pipi sur moi-même.
J’ai perdu le contrôle pendant l’un de mes orgasmes.
Ce n’était pas la première fois pour être honnête.
Elle a nettoyé le désordre puis m’a essuyée.
Tandis qu’elle m’essuyait elle a noté que le dildo avait un bouton de réglage.
Je n’ai jamais employé le réglage le plus élevé car j’avais du mal à le supporter très longtemps.
Elle a déplacé le commutateur.
Elle doit avoir aimé ce qu’elle a vu dans ma réaction parce qu’elle l’a laissé ainsi et a fini nettoyer la cuisine. Je ne peux pas croire que mes gémissements et mes couinements ne l’ont pas distraite.
Je devenais une masse de gelée sexuelle sans volonté pendant qu’elle continuait à nettoyer.
Puis elle est revenue et a libéré la corde autour des menottes.
J’ai grimacé quand j’ai pu baisser mes bras et m’asseoir pour la première fois depuis des heures.
Elle s’est déplacée devant moi et a pincé ma joue.
“J’ai fini, Mademoiselle Anamary, je pars maintenant“…
J’ai entendu la porte se refermer derrière elle quand elle est partie.
Après quelques minutes j’ai commencé à travailler à me libérer.
La clef des menottes se balançai devant moi.
J’ai dû la balancer derrière moi d’un coup de rein, puis il m’a fallu l’attraper avec mes mains qui devenaient engourdies à cause de la diminution de la circulation sanguine.
Cela m’a pris quarante minutes.
Ca ne m’a pas aidé qu’un gros dildo batte mes entrailles au maximum et que mes mamelons soient torturés par une paire de super-pinces.
Mes yeux se sont remplis de larmes quand j’ai enlevé ces pinces…, ce que c’est douloureux lorsque la circulation revient !
Puis j’ai arrêté le monstre vibrant entre mes jambes, je me suis appuyée en arrière sur mes bras et j’ai soufflée de soulagement.
J’avais toujours le bâillon-boule et j’étais toujours remplie d’un butt-plug et d’un gode mais au moins ça ne vibrait plus !
Après quelques secondes de repos, j’ai retiré le bâillon-boule et soufflée de nouveau.
Après sont venus les liens autour de mes chevilles.
Je me suis soulevée et désempalée du gros gode.
Puis le plug est sorti de mon anus.
Je suis allée sur mon lit et suis tombée dans un sommeil profond.
Je me suis reveillée toute endolorie.
Mais, j’ai souri quand je me suis rappelée pourquoi j’étais si endolorie.
J’ai regardé mon réveil.
Il indiquait 7:00.
Cela m’a pris près de trente minutes pour réaliser que c’était 7 heures du matin et pas de l’après midi. J’avais dormi tout l’après-midi et toute la nuit.
J’ai essayé d’appeler Manuela pour expliquer…, ou quelque chose.
J’étais embarrassée.
J’ai essayée plusieurs fois sans succès avant de réaliser qu’elle était probablement déjà en chemin vers la province.
La semaine suivante s’est passée dans un brouillard masturbatoire.
J’ai été totalement perdue.
Quand je ne pouvais pas me baiser moi-même, je passais mon temps à serrer et desserrer les cuisses, à me frotter par dessus ma robe.
J’ai même porté un butt-plug pour travailler un jour.
J’étais perdue.
Le vendredi ou je pensais que Manuella était revenue, je lui ai laissé au moins douze messages.
Je sais que cela faisait “femme despérée” mais je n’en avais cure.
J’en ai encore laissé six ou sept autres le samedi matin.
Puis, le samedi midi, j’ai entendu une voiture se garer.
J’ai regardé par la fenêtre et j’ai vu Manuella en descendre.
J’ai ouvert la porte et je suis restée muette.
Elle portait une paire de jeans serrés, un t-shirt en soie noire et une paire de chaussures à talons hauts. C’était minimaliste mais élégant.
Elle était incroyablement belle.
“Bonjour, Mademoiselle Anamary… Y a il urgence ? J’ai eu vos messages…, enfin plusieurs d’entre eux“… m’a t’elle dit en souriant d’un air affecté.
Je…
J’ai… juste voulu expliquer, mmmummm…, au sujet de la dernièrefois…, ai-je bégayée…
“OH ! Que voulez vous expliquer ?“… demanda Manuela.
Mmmuuummm…, ai-je répondu en léchant mes lèvres.
“Vous vouliez m’expliquer pourquoi vous vous attachez et vous vous maltraitez Mademoiselle Anamary ?“…
Manuella n’employait pas la tonalité respectueuse qu’elle employait habituellement.
En fait cela paraissait irrespectueux.
Suffisant même.
“… ou y avait-il une autre raison pour que vous m’ayez appelé vingt fois au cours des deux derniers jours ?“…
Je…
Je…, j’étais devenue muette.
Elle a collé son visage au mien : “Pourquoi est-ce que vous portez toujours vos vêtements…, mademoiselle Anamary-salope ?“…
Elle l’a dit à peine plus fort qu’un chuchotement mais avec une telle force que j’étais effrayée car j’ai commencé à déboutonner mon chemisier.
“Comme c’est intéressant“…
Son regard trahissait un éclair d’emballement, mais elle resta cool.
“Asseyez-vous, Mademoiselle Anamary, je vais faire de vous mon esclave pour toujours“….
Elle tapotait la chaise.
Je m’assis.
Bientôt le monde de dehors n’exista plus.
“Tenez vous droite“…, me dit-elle
Elle alla fouiller dans mon dos.
J’attendais, coeur battant, ma respiration était nerveuse et étrange, creuse, comme une attaque d’asthme. L’air conditionné fonctionnait, mais je sentais néanmoins une froide transpiration.
Je sortis de ma rêverie quand la chaise pivota…, elle était de retour et me tourna face au miroir.
Elle mit un doigt sous mon menton et, le levant, me força à soulever ma tête et à me redresser dans ma chaise.
L’épine dorsale droite, tête haute.
Le doigt glissa le long de ma mâchoire, puis lentement sur ma joue.
Juste ce contact…, un doigt le long de mon visage…, c’était très sensuel.
Puis elle passa derrière ma tête et palpa ma chevelure :”Joli“… je saisissais déjà l’accoudoir.
Pas rapidement, mais si doucement et de façon si fluide que cela semblait sortir d’un rêve, elle glissa une attache en velcro autour de mon poignet et l’attacha serrée.
Une autre attache au coude.
J’essayais de bouger le bras, sans effet.
Mon bras gauche était joliment attaché.
Elle répandit ma chevelure autour de mon visage.
Elle attacha rapidement mon bras droit de la même façon.
Elle hésitait à me regarder directement, fit tourner un peu la chaise, m’étudia dans le miroir.
Je regardais également.
Une jolie fille impuissante.
Cela aurait pu être une autre, était ce réellement moi cette étrangère ?
Je pouvais me tortiller et ruer des jambes mais qu’allait-il m’arriver ?
Elle partit quelques instants.
Mon jambes ouvertes suggestivement, j’étais lubrique.
Quand elle revint, elle s’agenouilla devant moi.
Mon sexe était exposé à sa vue.
Alors elle s’assit sur le plancher, saisit ma cheville gauche, l’attacha quelque part au fond de la chaise.
Répéta avec ma cheville droite.
Elles étaient sur le côté et appuyées d’une certaine manière, forçant mes jambes à largement s’ouvrir.
Je pouvais encore fermer mes genoux, avec effort.
“Maintenant, où en étions nous ? Ah oui. Voici les règles. Vous vous adresserez à moi en me disant Maîtresse. Si n’importe quoi devient trop extrême pour vous, le mot de sécurité est le code de votre carte bancaire. OK ?”
J’inclinais la tête…, non… pas mon code… vous allez me piquer mon argent…
“Bien sur, Mademoiselle Anamary, depuis le temps que vous me sous-payez pour faire la boniche, récurer vos affaires pour pas grand chose, ne croyez-pas que vous allez vous en sortir comme ça…”
Oui, Maîtresse… ais-je susurrée, résignée…
La garce !
Elle se pencha vers moi.
Je pouvais sentir la chaleur de son haleine.
L’air conditionné bourdonnait.
Mes tétons étaient dressés comme des gommes de crayon.
Elle fit courir son doigt le long de mes seins, mes mamelons…,baissa sa main et la plaça entre mes jambes.
“Vous avez une jolie chatte“…, elle souriait.
Elle fouilla sur l’étagère derrière le miroir.
Je ne pouvais pas voir ce qu’elle faisait.
Elle tourbillonna.
Dans ses mains il y avait des pinces en métal pour tenir la chevelure.
Sans préambule elle en claqua une sur mon mamelon gauche.
Ahhhhhhhhh !
J’haletais.
Cela mordait.
Une autre, cramponnée à mon mamelon droit.
S’il vous plaît ! Non…
Je respirais.
Une autre attache velcro fut mise autour de mon genou.
Attachée à elle il y avait une corde élastique.
Elle passa derrière mon dos, autour de la chaise, une attache identique autour de l’autre genou.
Mes genoux étaient maintenant tirés sur le côté, ouvrant largement mes jambes.
J’étais épinglée serrée, exposée et impuissante.
Une autre pince sur mon clitoris…
Aiiiiiiiiiiiiiiiiie !
Je hurlais.
Les larmes débordèrent de mes yeux.
Je mordais ma lèvre.
S’il vous plaît, Maîtresse….
Le mamelon droit et le clito.
“Vous pouvez en avoir deux d’enlevés. Choisissez !”
Vous pouvez laisser le mamelon gauche.
Elle respecta mon choix.
Lorsqu’elle les enleva, la douleur augmenta brusquement puis se tarit.
Elle s’agenouilla de nouveau entre mes jambes.
Sa langue courait tout le long de mes petites lèvres, mon clitoris et plus loin en moi, lentement.
Lentement, puis un petit peu plus vite, lentement de nouveau.
Je fus surprise…
En un temps étonnamment court je jouissais, vagues de plaisir après vagues de plaisir.
Je me sentais comme une étoile qui vient juste d’exploser.
J’haletais.
Elle se leva, alla au miroir et pris une bouteille de la table.
Dans l’illumination des ampoules légères cela paraissait vert.
Elle mis sa main en coupe et versa un peu de liquide près de mon visage.
De l’alcool antiseptique.
Il piquait mes narines et je pouvais déjà imaginer ce que cela donnerait sur et dans mon sexe.
Non, s’il vous plaît !
Je pleurais.
Elle se mit entre mes jambes, et frotta sa main contre mon pubis.
Une piqure, suivie par une vague chaude.
Je criais :”Chienne !“…
Un silence remplit la pièce.
“Comment est-ce que vous m’avez appelée ?”
Elle versa une autre poignée du feu liquide vert.
Enduisit mes mamelons avec, puis mon clitoris.
Je sentis le frais où elle avait touché.
Pincement.
Pincement.
Pincement.
J’ouvris ma bouche, mais criai silencieusement.
Lentement la vague de douleur retomba.
Mon sexe picotait encore.
Mes seins et mon clitoris sentaient la morsure du métal.
La chaise bascula soudainement, me mettant presque à l’horizontale, mes jambes en l’air, mon sexe baillant aux étoiles.
Elle chevaucha la chaise par derrière.
Les genoux de part et d’autre de ma tête, elle se baissa, jusqu’à s’asseoir sur mon visage.
Les fesses au-dessus mon front.
Sa chatte mouillée descendant lentement vers ma bouche.
“Mangez-moi, mademoiselle Anamary, mon esclave !”… commanda elle.
Et je le fis.
Mon univers était rempli avec son sexe.
Il remplissait mon visage, ma bouche, mes narines, et même les sons de ma bouche remplissaient mes oreilles.
manuella tirait sur mes seins, durement.
Une des pinces tomba.
Mais cela n’amenait pas beaucoup de soulagement.
Ma langue peinait… et cela prenait un temps affreusement long.
Elle appreciait mon oeuvre à l’évidence, à voir la façon dont elle basculait sur mon visage.
Mais elle mettait du temps à jouir.
Je dus travailler longtemps et durement pour la faire jouir.
A ce moment, sa cyprine devint plus abondante.
Ma bouche était remplie avec son goût…acide.
Elle pressait mes seins dans ses spasmes.
Elle descendit.
Elle berça ma tête, m’embrassa sur les lèvres, la langue traînant à travers mon visage, léchant sa cyprine répandue sur moi.
“C’était merveilleux, mais…vous m’avez appelé chienne“…
J’ouvrais ma bouche…et ne dit rien, attendant.
“Nous nous reverrons demain matin“…
Elle marcha vers la porte, ses talons claquants.
Elle revint vers moi, habillée.
Non maîtresse…, ne me laissez pas ici toute la nuit !
Il y eu un petit gémissement electrique quand elle pris un petit appareil, un petit vibrateur, qu’elle glissa dans mon vagin mouillé.
Je grognais.
“Oh, ne vous inquiètez pas, ces batteries arrêteront de fonctionner dans deux ou trois heures“…
Elle me regarda dans les yeux, faisant semblant de s’inquiéter.
“Oh, ne vous inquietez pas, vous serez parfaitement en sécurité ici…, enfin il y a six mois vous avez eu une effraction ici, mais quelles sont les chances que cela arrive de nouveau cette nuit ? Je parie que s’ils vous trouvaient ici ils oublieraient vos biens“…
Elle souriait cruellement.
“Mais Je suis sûre que cela n’arrivera pas. Je serai là à la première heure demain matin. Du moins, je le pense, j’ai peut être ma matinée demain. Je devrais vérifier le calendrier quand je rentrerai à la maison. Autrement, et bien, je devine que c’est Jennifer qui vous trouvera. Comme elle sera surprise ! Faites de beaux rêves, Mademoiselle Anamary !”
Clack clack clack…, le bruit de ses talons.
Le claquement de l’interrupteur.
Je me retrouvais dans l’obscurité.
La porte ouverte, fermée, un clank, elle tournait la clé dans la serrure.
L’obscurité.
Graduellement je devenais consciente du claquement de l’horloge électrique sur le mur et de la failble lueur de la bande de néon autour d’elle.
Je suis là, couchée, attachée fermement sur la chaise inclinée.
Nue, frémissante sous l’air conditionné frais.
Une pince en métal attachée sur un mamelon et une autre sur mon clitoris.
Un god bourdonnant dans mon sexe e t mon visage humide du plaisir de manuella… cela allait être une longue nuit :
Manuella revint le lendemain vers 18 heures : “Alors Mademoiselle Anamary, je vous détache, je vous donne une heure pour prendre un bain, vous faire belle, puis nous sortons, vous m’invitez au restaurant, dépéchez-vous“…
Nos jeux sexuels en bondage de la veille, m’en avaient enseigné beaucoup sur son intérêt et sa fascination pour moi, le bondage… et tout ce que cela réprésentait pour elle !
Si bien que j’avais là un certain nombre de jouets avec lesquels je comptais bien animer notre soirée et le diner.
A part le petit sac que je portais, j’avais amené quatre vibrateurs de la forme d’un oeuf, chacun télécommandés.
Avant de partir, Manuella, beaucoup moins “Maîtresse” mais plus “complice“, avait accepté une réciprocité, deux dans mon vagin dont elle disposait de la télécommande… et deux insérés dans son vagin, dont j’avais la télécommande…
Du fait de l’étroitesse de sa jupe, cela lui faisait un… derrière.. incroyablement rebondi.
Une fois les vibrateurs posés, nous avons placé les télécommandes dans nos poches respectives, elle a revêtu sa veste pour dissimuler le tout, moi aussi et nous sommes sorties pour aller diner.
Le serveur nous a indiqué une table et Manuella s’y est dirigée, d’une démarche que j’ai trouvé étrangement instable, d’autant qu’elle portait des talons, l’ensemble la faisant se déplacer en écartant un peu les jambes, ce qui faisait bouger ses fesses de telle façon que j’ai été quelque peu distraite, je dois dire, pour pouvoir ensuite choisir le menu… une fois que nous fumes assises dans le box, je glissai discrètement la main dans ma poche et avant qu’elle ait pu réaliser ce qui se passait, Manuella, éprouva la sensation que produisaient ces petits oeufs, petits mais étonnamment efficaces…, dans un lieu public et bondé…
Elle fut si surprise qu’elle poussa un cri, ce qui ne manqua pas de faire se retourner sur nous plusieurs visages étonnés.
La salle était déjà pleine de monde, la suite du diner fut vécue dans un état de perpétuelle incertitude, d’excitation autant que d’embarras.
La nourriture était délicieuse, mais je doute fort que manuella s’en souvienne…
Elle réalisa assez vite que chaque apparition du garçon, ou de n’importe quel serveur, déclencherait au plus profond d’elle la vibration des petits jouets, ce qui eut pour effet de la mettre dans un état de distraction de plus en plus grande.
Elle n’oubliait pas pour autant de me faire “subir” les mêmes délices…, ce qui nous mettait dans un état invraisemblable !
Et quand nous décidâmes de partir, notre capacité à marcher le plus simplement du monde, chose qui avait été déjà bien difficile lors de notre arrivée, s’avéra quasi impossible !
Alors que nous rentrions dans ma péniche, Manuella était complètement retournée, mais se souvenait de notre discussion, notamment sa fascination pour les jeux de bondage, soutenant qu’elle n’avait jamais été liée d’une manière telle qu’elle n’avait pas pu se détacher. Par pur jeu, comme une espièglerie, nous avions argumenté et discuté durant un bon quart d’heure, finissant par nous accorder sur le fait qu’elle serait attachée selon la formule du “tout ou rien“.
J’ai donc pris une longue corde… sur ma demande, manuella se tenait maintenant au milieu de la chambre, totalement nue.
Elle avait un corps fantastique, des seins fort beaux et des fesses comme j’en avais rarement vues.
Rapidement, j’ai attaché ses poignets derrière elle et avec la corde, que j’ai passée sous ses bras, j’ai lié ses seins puis ai repassé la corde vers ses bras, ainsi de suite.
Elle avait maintenant les poignets liés dans le dos, ramenés entre ses deux épaules.
Doucement, mais fermement, je l’ai guidée vers le lit et l’y ait couchée, puis j’ai lié ses chevilles, que j’ai repliées vers ses jambes, les attachant aussi, ainsi que ses genoux et ses cuisses.
Et comme elle avait bien entendu gardé les deux petits jouets en elle, je les ai mis alors sur la pleine puissance… en souvenir d’hier ou elle avait mis mon gode à pleine puissance !
Manuella a fait un bond énorme, ses yeux arrondis de surprise, pendant que les petits envahisseurs la travaillaient au plus intime.
Pour terminer mon œuvre, j’ai lié ses doigts de pieds ensemble, afin qu’elle ne puisse même pas déplacer ses pieds.
J’ai posé alors un bandeau de tissu sur ses yeux.
Elle était maintenant complètement impuissante.
Et une fois tout cela terminé, je lui ai dit alors le pari que je lui soumettais.
“Manuella, puisque tu as tellement confiance et que tu penses qu’il n’y a aucun bondage dont tu ne puisses te libérer, je vais faire un test, je vais te mettre devant la porte de la chambre, tu auras exactement 55 minutes pour te libérer…, si tu n’y parviens pas, alors je te mettrai sur le pont de la péniche, telle que tu es”.
Avant qu’elle réalise ce que je venais de dire et les conséquences que cela impliquait, cela lui prit quelques secondes.
Manuella se mit alors à hurler à plein poumons.
Je m’y étais attendu et pendant que je lui avais annoncé mon pari, j’avais préparé un harnais-boule.
J’attendis juste qu’elle ouvre la bouche pour recommencer à crier et lui fourrais entre les lèvres.
Puis je fixai les lanières au plus serré.
Manuella se mit à lutter en tous sens d’une façon absolument extravagante. Je la vis se débattre, lutter, se tordre, avec vigueur.
Et je dois dire que regarder ce si joli corps ruer des jambes et se démener de la sorte, là, à mes pieds, était un excitant et magnifique spectacle.
Non par bonté particulière, mais plutôt parce que j’appréciais vraiment de la voir lutter avec tant de coeur, je lui laissais 20 minutes supplémentaires.
Et durant tout ce temps, elle fit quelques pauses, sûrement en raison de la crainte, de l’excitation et aussi… de ces deux instruments en elle qui faisaient un travail magique, l’amenant peu à peu vers l’orgasme.
Alors qu’elle était là, épuisée, je m’avançais vers elle, et vérifiais attentivement ses liens.
Pas une brin de corde n’avait bougé de sa position initiale.
Enlevant son bandeau et son baillon, je me baissais et lui murmurai lentement à l’oreille : Tu as perdu.
Je l’ai alors amenée nue et harnachée sur le pont et je l’ai attachée à l’avant, contre le mat du drapeau…
“A demain, Manuella, je vous délivrerai vers 8 heures, juste à temps pour que vous terminiez le ménage…, il y a un sacré bordel en bas”…
Kissssssssssssssssssss
Anamary