De la coupe aux lèvres…
Scénario : Robertson
Commandé : le lundi 28 janvier 2008
Rapport : Anamary
Exécuté : le mercredi 30 janvier 2008
Le scénario de Robertson…
Mademoiselle Anamary,
Subjugué par votre science en matière d’auto-bondage, j’ai imaginé un scénario rien que pour vous qui utilisez une chainette et un cadenas pour immobiliser vos mains (à vous lire).
Voici ce dont vous devriez avoir besoin : des cordes et un manche à balai.
Dans un premier temps vous allez congeler vos clefs de cadenas comme vous le faites habituellement…, ensuite vous attacherez une corde très longue à ce bloc (l’idéal est que l’extrémité de cette corde soit fixée à la clef).
Choisissez une pièce de votre habitation (la plus éloignée de l’endroit où vous allez vous attacher) et déposez le bloc à terre, ensuite déroulez cette corde jusqu’à l’endroit où vous serez attachée.
Le ligotage en lui même :
Dans un premier temps mettez vous à genoux, talons contre les fesses.
Attachez chacune de vos chevilles à vos cuisses (chevilles non liées entre elles), mettez vous sur le dos et écartez vos cuisses de façon à ce qu’elles soient à plat sur le sol (cuisses complétement écartées sexe offert).
Prenez le manche à balai et attachez vos chevilles et vos genoux au manche à balai, ainsi il vous sera impossible de refermer vos cuisses (le manche est perpendiculaire à l’axe de votre corps).
Mettez vous maintenant à plat ventre.
Attachez ce qui immobilisera vos mains au manche à balai (menottes, chaines, ce qui vous sert habituellement) de façon à vous retrouver avec les mains immobilisées dans le dos).
Arrangez-vous pour que vous soyez cambrée dans le dos.
Attachez à votre cou (pas de nœud coulant !!!) l’extrémité libre de la corde à laquelle est attachée votre clef, ainsi pour la récupérer vous devrez patiemment utiliser votre bouche et surtout vos lèvres pour tirer à vous la corde à laquelle la clef est attachée).
Placez des pinces à linge sur vos mamelons.
Le summum, mais peut-être cela ne vous plaira pas, serait d’insérer dans votre vagin deux bougies (non allumées bien sùr).
Menottez vos mains et amusez vous bien !!!!
Si vous voulez une position un peu plus inconfortable, surélevez le manche à balai de quelques centimètres en posant les extrémités sur des supports ou en utilisant un crochet dans le plafond si cela est possible.
Voilà, au plaisir de vous lire ultérieurement.
Robertson
Le rapport d’Anamary…
J’ai dû apporter plusieurs modifications à ce scénario, très cher Robertson, mais j’ai essayé de rester fidèle à son esprit.
Tout d’abord, je me suis rendue compte que la position exigée avec le manche à balai et les jambes écartées à plat était trop difficile pour moi : je ne suis pas aussi souple !
J’ai donc utilisé une autre méthode qui ne devrait néanmoins pas être trop différente.
J’ai commencée par m’attacher les chevilles aux cuisses, séparément, comme indiqué dans votre
scénario ; ensuite, j’ai placé mes pieds “face à face” (plante contre plante) et les ai ligoté dans cette position en enroulant plusieurs tours de cordes autour d’eux, en passant également derrière les talons et autour de ces tours morts pour resserrer la velture.
Ce ligotage me maintenait ainsi les jambes largement écartées et les genoux fléchis.
L’autre modification que j’ai apportée m’est venue à l’esprit pendant que j’attendais la chute du poids dans un autre scénario : “Sudden fall“.
Comme j’avais enfoncé dans mes narines des petites boulettes imprégnées de poivre de Cayenne, je me suis dit que ce serait amusant d’être forcée à en avaler…
C’était le petit plus qui rendait plus attrayant le monotone machouillage de ficelle de votre scénario (sauf votre respect).
J’ai donc disposé deux bols à un mètre de l’endroit où je comptais m’attacher ; au fond de ces bols se trouvait, dans l’un du poivre de Cayenne (en poudre) et dans l’autre du sel.
Après avoir mouillé la ficelle (une ficelle de trois à quatre mètres de longueur), je l’enroulais dans les bols, tantôt à droite et tantôt à gauche, veillant au passage à bien l’enduire du condiment en rapport.
Le bol de poivre de Cayenne ressemblait maintenant fort à un plat de spagetti à
la sauce tomate…
Ceci prêt, je m’assis sur mon lit et attachai les jambes de la façon décrite ci-dessus.
J’y ajoutai une corde passant autour de la velture des mes pieds et reliée au côté de mon lit ; cette corde servirait à m’empêcher de m’approcher des bols pour récupérer la clef avant l’heure.
Je m’étendis alors à plat-ventre en travers de mon lit, la poitrine dépassant juste du matelas et mon menton appuyant sur le sol à une cinquantaine de centimètres des bols.
J’avais au préalable attaché un bandeau sur mes yeux.
Il ne me restait plus qu’à cadenasser mes poignets dans mon dos, cadenas dont la clef était attachée au bout de quatre mètres de ficelle enduite de poivre et de sel !
La position n’était guère confortable mais je ne pouvais faire grand-chose pour l’améliorer sinon tirer sur la ficelle du plus vite que je pouvais.
J’eus bientôt la joue gauche toute gonflée de ficelle et je pouvais sentir le poivre me piquer la langue… mais ce n’était que peu de chose encore.
Au bout d’un moment, j’éprouvai le besoin de reposer ma nuque fatiguée par la position tordue en arrière qu’elle devait prendre.
Je posai donc ma tête sur le côté, ce faisant, la boule de ficelle placée dans ma joue fut écrasée contre mes dents et la salive dont elle était imbibée fut chassée dans ma bouche ; automatiquement j’avalais…, et sentis aussitôt une vague de feu me descendre dans la gorge !
Frénétiquement je me remis à avaler la ficelle pour hâter le moment de ma délivrance.
Avec mes yeux bandés, il m’était impossible d’estimer la tâche restant à accomplir, mais déjà ma bouche en feu me faisait souffrir le martyre.
Bientôt, je sentis la ficelle changer de direction : après le poivre, j’allais maintenant subir les outrages du sel !
Etrangement toutefois, je ne sentis que faiblement le sel ; sans doute ma langue et mon palais étaient-ils complètement saturés par le poivre ?
En préparant les bols, j’avais imaginé que le sel serait plus pénible que le poivre et j’avais donc surtout utilisé ce dernier ; un cinquième seulement de la ficelle trempait dans le sel, de sorte que rapidement j’en revint à mon premier tourment.
La torture devenait plus pénible à mesure que la pelote se faisait plus grande dans ma joue.
A chaque fois que je me reposais sur le côté, un flot de salive irritante inondait ma bouche et j’étais forcée soit de la laisser couler sur mon menton, soit de l’avaler.
En plus, la ficelle partiellement sèche qui entrait dans ma bouche projetait de petites particules de poivres qui irritait ma gorge quels que soient mes efforts pour ne pas avaler instinctivement ma salive.
Tirer sur la ficelle se faisait en outre de plus en plus difficile car ma langue et mes lèvres n’avaient plus beaucoup d’espace pour travailler.
Pour m’encourager, je me caressais et me triturais les seins avec les doigts (car je pouvais me tordre suffisamment les bras pour ce faire).
Il me vint alors à l’idée que je pouvais très bien cracher la pelote de ficelle et recommencer à tirer avec la bouche vide !
Non seulement cela me débarrasserait la bouche d’une bonne quantité de poivre, mais en plus je pourrais à nouveau travailler plus vite.
Il fallait néanmoins veiller à ce que je puisse retrouver le fil aisément et ne pas m’embrouiller dans le nœud gordien que j’allais rejeter.
Pour ce faire, il me faudrait rejeter la pelote suffisamment sur le côté et en arrière pour être sure de n’avoir sous mes lèvres que la ficelle libre.
Aussitôt pensé, aussitôt fait !
Je me débarrassai avec plaisir de l’encombrant paquet et repris sans trop d’encombre ma pénible aspiration.
Mes lèvres commençaient aussi à me faire souffrir car l’éjection de la pelote les avait copieusement enduites de sauce au poivre…
Je me caressai les mamelons de plus belle… et c’est alors que je trouvais la faille !
Comme la pelote se trouvait un peu en retrait par rapport à ma bouche, il m’était possible de la saisir avec les doigts…
J’hésitai un moment…, mais ma bouche en feu me convainquit très vite que je devais saisir cette chance de m’en sortir au plus vite.
Effectivement, mes doigts se montrèrent bien plus rapides à la tâche et la clef se trouva entre mes mains en un rien de temps.
La seule difficulté qui restait était de la faire entrer dans la serrure avec des doigts humides et enduits de poivre…
Well !
Je vous avoue avoir joui lorsque ce fut terminé.
Kissssssssssss
Anamary