La bouteille de Damoclès…
Scénario : Robertson
Commandé : le jeudi 7 février 2008
Rapport : Anamary
Exécuté : le dimanche 10 février 2008
Le scénario de Robertson…
Bonjour Anamary,
Voici une idée que m’a inspiré votre rapport : “Sudden-fall“.
Mon idée est de vous mettre face à un dilemme, à savoir une “torture” à venir et évitable au prix de certains désagréments.
Le matériel nécessaire est le suivant :
-Une chaise avec barreaux horizontaux entre les pieds (cette chaise devra être chargée d’un bon poids comme des livres pour éviter qu’elle ne bouge).
-Un cadenas avec son jeu de 2 clefs (ou menottes avec ses 2 clefs).
-Trois bouteilles d’eau plastiques pleines.
-Une boite de punaises (pas celles qui sont fines comme des aiguilles, prenez les plus larges).
-Pouvez-vous également sacrifier deux cintres pour en récupérer les crochets ?
Le bondage en lui même : Jambes liées l’une contre l’autre aux chevilles, dessus et dessous des genoux, les gros orteils attachés l’un à l’autre, les bras attachés au tronc (cordes ou ceintures à votre choix), les mains menottées dans le dos.
Dans un premier temps je souhaiterai que vous fixiez sur vos mamelons les anneaux que vous aviez déjà utilisé dans un de vos rapports : (les anneaux de porte clefs).
Vous placerez près de vous le bol dans lequel vous aurez congelé une des 2 clefs qui libéreront vos mains (le bol doit être rempli de glace à ras bord et la clef prise au milieu de la glace, faites la congélation en deux temps).
Dans un de vos rapports, vous aviez attendu la chute d’un poids avec un “ice timer” avec un point d’ancrage.
Je souhaiterai que vous en utilisiez 2 (un par bouteille, la troisième bouteille sera attachée à votre anneau de sein droit, ceci pour vous motiver).
Chacune de ces bouteilles doivent, bien sur, passer par l’anneau de point d’ancrage.
Chacune des bouteilles dotées d’un ice timer doit être reliée à un des anneaux de vos seins (donc l’un deux est relié à 2 bouteilles et l’autre à une seule).
Entre vous et l’endroit où seront suspendues ces bouteilles vous placerez la chaise lestée et autour de cette chaise vous allez disposer vos punaises (distance entre les punaises, 5 cms, têtes en haut), sur un rayon de 1 mètre dont la chaise est le centre, sous cette chaise vous allez placer votre deuxième clef (non congelée) du cadenas liant vos poignets (ou des menottes).
L’idée générale est la suivante : un poids pèse déjà à l’un de vos seins et deux autres vont s’y ajouter quand le cube de glace des “ice timer” sera fondu.
Vous avez deux solutions attendre que la glace du bol fonde, mais cela prendra plus de temps que pour les “ice timer” (si vous choisissez cela vous être courageuse), ou alors vous rampez jusque la chaise pour éviter les deux “ice timer“.
Comment cela ?
A chacune des cordes reliant vos seins aux bouteilles en attente de chute vous aurez attaché un crochet de cintre de façon à pouvoir, avec la bouche, placer le crochet à un barreau de chaise, ainsi quand la glace sera fondue au “ice timer“, le poids s’appliquera sur les crochets et pas vos seins.
Mais pour cela vous devrez ramper sur les punaises (ah oui ! je vous demanderai aussi d’attacher une corde à vos orteils assez longue pour aller jusque la chaise mais suffisamment courte pour vous obliger à être à plat ventre quand vous serez à cette chaise)…
L’autre extrémité sera fixée à un point fixe du coté de votre point de départ.
Concernant les cordes munies de crochets, il faut qu’elles soient d’une bonne longueur pour que, quand vous serez prêt de la chaise, les bouteilles soient toujours suspendues en l’air.
Dans votre reptation n’oubliez pas votre bol au cas où vous ne récupéreriez pas la clef sous la chaise avec les lévres.
Voilà, c’est un peu compliqué à décrire, mais j’espère que cela vous tente.
Vous aurez à choisir entre un poids douloureux sur vos seins où quelques piqures sur votre corps.
Vous aurez pour vous motiver et vous faire réfléchir les bouteilles prêtes à chuter.
Pour passer le temps vous pouvez vous faire un “crotch rope” avec des nœuds si vous y êtes sensible.
Bon amusement !
Robertson
Le rapport d’Anamary…
A l’origine, ce scénario se dénommait “Cruel dilemme” mais en fait, je lui ai apporté quelques modifications qui m’ont incitée à changer son titre.
L’idée du dilemme était très bonne, mais pour qu’un dilemme soit vraiment réel, il faut vraiment que les deux alternatives aient le même poids.
Or, dans ce cas, j’avais le choix entre attendre passivement la chute des poids ou lutter contre mes liens pour aller à la recherche de la clef…
Le choix était vite fait : je n’aime pas attendre dans la souffrance ; ce que j’aime, c’est sentir les cordes restreindre le travail de mes muscles, m’empêcher d’atteindre la clef de la liberté ; et quand je lutte ainsi contre mes entraves, je ne sens plus la douleur, ou plutôt, je la sens comme une stimulation agréable et même jouissive…
Ce qui me plaisait dans ce scénario, c’était donc l’idée de devoir ramper et retrouver le plus vite possible la clef, avant qu’un poids ne vienne cruellement étirer mes mamelons.
C’est donc dans cette optique que j’ai préparé cette séance.
Je décidai que mon point de départ serait ma chambre à coucher et l’arrivée serait le milieu de mon vestibule.
La bouteille était suspendue au tuyau de chauffage, au-dessus de la porte et le sol du couloir était garni de punaises au milieu desquelles était déposée la clef ; j’avais utilisé ces punaises plates à trois petites pointes ; elles se renversent moins facilement et elles s’enfoncent moins profondément dans la peau.
La bouteille était pleine d’un litre d’eau, soit un kilogramme, plus que je n’avais jamais osé suspendre à mes seins.
Je testais les différentes parties du ligotage que je comptais me faire et préparais soigneusement le matériel dont j’aurais besoin.
Il fallait que tout se passe sans anicroche car dans ce cas-ci, le temps allait travailler contre moi.
D’habitude, quand je me ligote, je ne suis pas trop pressée, car je sais que le temps qui passe me rapproche de la liberté.
Ici, c’était différent : à partir du moment où j’aurais suspendu la bouteille aux cubes de glace, le temps me serait compté…
Je n’aurais donc pas le temps de réfléchir à ce moment-là.
Tout était donc prêt…
Je sortis les glaçons du congélateur, en plaçait deux cubes dans mon bas et y suspendis la bouteille.
Je crus un moment que le bas allait se déchirer sous le poids mais il tint bon.
Je retournai donc m’asseoir sur le sol dans ma chambre à coucher, à côté de mon lit.
Maintenant, il fallait faire vite !
J’avais préparé tout ce qui pouvait l’être avant l’accrochage de la bouteille : j’étais déjà entièrement nue, les bracelets de cuirs étaient cadenassés autour de mes poignets et une corde était attachée au cadre de mon lit.
Je commençai par me ligoter les chevilles solidement au moyen d’une velture.
Ensuite, ce fut le tour de mes orteils ; pour eux, j’avais prévu quelque chose de spécial : afin de gêner ma future progression, je les ligotai l’un contre l’autre et tendit la cordelette vers l’arrière, par dessous la plante de mes pieds afin de me forcer en quelque sorte à tendre les pieds en pointe, comme une danseuse de ballet ; cette cordelette fut passée autour de la velture entre mes chevilles puis vint compléter le ligotage en ceignant de plusieurs tours mes coups-de-pied.
C’était maintenant le tour de mes genoux.
Pour se faire, je pris une corde 5 mètres de long que j’enroulai d’abord en-dessous de mes genoux, puis en dessus, pour finalement terminer par deux veltures.
Enfin, j’attachai la velture de mes chevilles à la corde attaché au cadre de mon lit au moyen d’un noeud de chaise.
Maintenant venait le plus dur : il me fallait placer les anneaux de porte-clefs sur mes mamelons…
Ces anneaux étaient reliés par une ficelle élastique, elle-même reliée à la longue ficelle passant par dessus le tuyau dans le couloir et attachée autour du goulot de la bouteille…
Mes doigts tremblaient un peu, tandis que je m’appliquais à glisser mes pauvres petites perles de chair entre les cruelles mâchoires d’acier ; un tour de clef et Ouch !
Le mamelon était irrémédiablement mordu.
Ultime cruauté, je crochai à quatre des mes orteils (deux de chaque côté) une pincette reliée par une ficelle au cadre de mon lit.
Je plaçai alors mon bâillon-boule bleu dans ma bouche et serrai fortement la lanière derrière ma nuque.
Je plaçai mon bandeau sur les yeux et l’arrimai solidement en enroulant plusieurs tours de cordes autour de ma tête.
Dernière opération : le ligotage des bras.
Pour se faire, j’utilisai deux ceintures de cuir ceignant mes bras contre mon torse, une juste en dessous de mes seins et l’autre au niveau de ma taille.
Je réglai leur diamètre de façon à pouvoir tout juste passer mes bras en-dessous, ce que je fis au prix de multiples contorsions.
Ceci fait, je me couchai sur le sol et, après une ultime réflexion, je cadenassai mes bracelets l’un contre l’autre, dans mon dos.
Et maintenant, il me fallait me hâter.
Je n’avais aucune idée de combien de temps il me restait avant la chute de la bouteille, mais je n’avais aucunement l’intention de suspendre un kilogramme à mes pauvres mamelons déjà bien douloureux.
Je découvris très vite à mes dépens qu’il m’était impossible de ramper sur le ventre : les anneaux fixés à mes seins se rappelaient par trop douloureusement à mon souvenir dans cette position.
J’étais donc contrainte de ramper sur le flanc.
Au début, ce fut facile, car j’avais encore amplement la place de bouger mon corps à ma guise.
Un épisode pénible fut celui de l’arrachage des pincettes crochées à mes orteils.
Les ficelles étant de longueurs différentes, elles lâchèrent les unes après les autres, envoyant de violents messages de douleurs à mon cerveau.
J’arrivai bientôt au niveau du seuil de ma chambre et là, première surprise, dans ma hâte, j’avais oublié d’enlever la tabouret sur lequel j’étais grimpée pour attacher la bouteille au bas…
Un obstacle imprévu à ma progression qu’il me fallu pousser de mon mieux avec ma tête.
Et c’est alors que j’entendis un déclic en dessus de moi, suivi du terrifiant bruit de la bouteille qui tombait, freinée dans sa chute par le coulissement de la ficelle autour du tuyau.
Tout mon corps se crispa dans l’attente de la douleur; j’avais vraiment escompté atteindre la clef avant la chute fatidique et j’y étais donc allée sans trop de scrupules en remplissant la bouteille.
Je sentis la ficelle se tendre et il y eut un gros bruit dans mon dos !
Miracle !
J’avais, je ne sais comment, mal calculé la longueur de la ficelle et la bouteille s’était écrasée sur le sol (sans s’ouvrir, heureusement).
Mes mamelons étaient saufs !
Soulagée, je pouvais continuer ma route.
Celle-ci devint toutefois très vite plus difficile : d’une part, j’arrivai bientôt au bout de la corde, ce qui restreignait les mouvements de mes jambes; d’autre part, je commençais à entrer dans la zone couverte de punaises et je pouvais déjà sentir quelques piqûres sous mon bras gauche.
Enfin, j’avais crié victoire trop tôt au sujet de la bouteille : d’une part, la ficelle avait fâcheusement tendance à se prendre dans les ceintures, ce qui la raccourcissait d’autant et tirait sur mes mamelons ; d’autre part, en tombant, la bouteille s’était cabossée et je ne parvenais pas à la faire tenir debout, ce qui m’aurait accordé un peu plus de longueur…
Car j’allais bientôt devoir m’éloigner suffisamment de la porte pour que la ficelle commence à être trop courte et m’oblige à soulever le terrible poids par mes mamelons déjà cruellement écrasés.
Je trouvai que la position la plus facile était de progresser sur le dos : cela m’accordait un peu de répit avec la bouteille, empêchait que la ficelle ne s’emmêle et présentait mon dos à la piqûre des punaises.
Une difficulté supplémentaire apparut alors à mon esprit : il allait être diablement difficile de retrouver la clef au milieu de toutes ces punaises métalliques dont les crissements saturaient mes oreilles.
Mes jambes étaient presque tendues maintenant et c’est alors que se produisit la magie des cordes : cet étirement de mes muscles, le frottement de mes jambes l’une contre l’autre, toute cela faisait monter en moi un excitation impatiente.
Je me vis là, étendue nue dans mon vestibule, toute ceinte de cordes et de cuir, les mamelons douloureusement pincés, gisant au milieu d’un champ de punaise…
Quelle vision !
En forçant sur mes abdominaux, je parvins à me redresser et à passer la tête sous la ficelle élastique reliant mes seins.
Je me recouchai sur le flanc et, complètement en proie à mon excitation, je me laissai basculer sur le ventre.
Les ficelles se tendirent, mordant dans mes mamelons, des dizaines de pointes de se plantèrent dans la peau de mon ventre et de mes seins.
Oh que c’était bon !
Je tirai sur mes jambes, tendis tous mes muscles contre mes entraves…
Mon excitation grimpa d’avantage.
Et je me remis à ramper pour étirer au maximum mon corps retenu en arrière à la fois par les chevilles et par les mamelons.
Dans ma reptation, je pouvais entendre les punaises qui se détachaient de ma peau pour tomber avant de se replanter ailleurs.
C’était trop de stimulations !
Je sentis les frémissement annonciateurs de la tempête, je tirai frénétiquement et comme une folle sur tous mes liens, le corps tendu comme une corde de violon… et là !
Sur le sol froid et trempé de sueur, je jouis comme un volcan, me roulant sauvagement dans les punaises, sans plus me soucier de mes seins ni de la clef.
Combien de temps cela dura-t-il ?
Impossible de le dire, mais quand l’excitation retomba un peu, j’avais encore progressé en avant.
Je devais maintenant être à portée de la clef.
Je me remis sur le flanc et me mis à tâtonner avec mes mains.
Au bout de quelques instants et reptations latérales, je trouvai la clef et me hâtai de me libérer les poignets…, il me fallu encore me débarrasser des ceintures et du bandeau, puis me détacher les jambes avant de pouvoir me relever et retourner dans ma chambre à coucher où m’attendait la clef qui me permettrait de retirer enfin les anneaux crochés à mes seins.
Ceci fait, je me laissai tomber sur mon lit et, agaçant de la main gauche mes mamelons endoloris, je me caressai langoureusement le clitoris de la droite jusqu’à m’accorder le deuxième orgasme de la soirée !
En rangeant mon matériel plus tard, je trouvai des punaises plantées dans mes ceintures, ainsi que dans la boule de mon bâillon et en prenant ensuite ma douche, trois punaises tombèrent encore de ma chevelure…
Kissssssssssss
Anamary