Dossier, masturbation masculine…
Un peu d’éthymologie pour commencer. Le mot masturbation vient des mots latins manus et turbare, ce qui signifie : Mettre en mouvement avec la main… et non pas du latin sturbare qui voudrait dire souiller avec la main… comme le prétendent quelques cornichons qui feraient mieux de revoir leur latin ! Cela écrit même si ces derniers avaient raison cela ne changerait rien au problème et ne nous empêcherait nullement de nous donner du plaisir… avec la main !
La masturbation peut être solitaire, collective ou réciproque, le coté psycho-sociologique amenant à grosso modo quatre attitudes envers la masturbation :
1-Le refus doctrinal (souvent religieux) : Passons, mais toutefois à l’intention de ceux qui s’imaginent que certains combats sont maintenant gagnés, lisez l’encadré de fin d’article, voilà qui a de quoi réveiller notre anticléricalisme latent !
2-Le refus ” culturel ” : Conséquence du matraquage séculaire du premier, on va trouver des tas de bonnes raisons pour ne pas le faire, et au-delà de l’humoristique : “ça rend sourd” on va avoir: “Ça rend impuissant”, “ça rend homosexuel”, “ça détruit la moelle épinière”, “ça rend fou”…
3-Le refus “structuro-familial” : beaucoup plus pervers et beaucoup plus répandu qu’on pourrait le penser amène à des jugements éjaculatoires du style : il est admissible, voire normal, qu’un jeune se masturbe, mais une fois en couple, cela n’a plus de raison d’être !
Il faudrait expliquer la philosophie de ce genre d’attitude, car il est tout à fait toléré de se faire un petit plaisir tout seul, soit en s’achetant quelque chose de bon à manger, soit en s’achetant des fringues ou des objets inutiles, pourquoi l’auto-plaisir deviendrait-il d’un coup non admissible en devenant sexuel ? Quant au mépris qu’ont certaines personnes pour les masturbations adultes (n’oublions pas que le terme de branleur reste une insulte) il est lui-même méprisable, très beauf, voire macho-man !
4-L’acceptation sans limite, la masturbation étant une activité sexuelle parmi d’autres, ce peut être, afin de : -Se libérer de son excitation : -Se donner un long moment de plaisir.
Dans le premier cas, on recherchera la façon de se faire jouir le plus rapidement possible, c’est de la branlette à l’ancienne, on se branle parce qu’on n’en peut plus et qu’on pas d’autre façon de jouir à disposition, on est un peu honteux de faire ça et on se dépêche.
Dans le second cas, le comportement est tout à fait différent, on cherche à prolonger son propre plaisir le plus longtemps possible.
La notion de masturbation est complètement déconnectée de la notion d’éjaculation, cette dernière en sera dans la plupart des cas la conclusion logique mais ce n’est même pas obligatoire quoiqu’il peut aussi y avoir d’autres raisons de se masturber, par exemple la volonté de ne pas jouir trop vite lors d’un rendez-vous coquin…
Les méthodes :
La masturbation peut commencer alors que la verge est déjà en érection, mais également sur un organe au repos, on fait ce qu’on veut !
-Le poignet, c’est tellement classique que cela a engendré l’expression “la veuve poignet”, elle convient plus particulièrement aux verges longues. Cette méthode est réputée rapide, mais c’est bien là son seul avantage. C’est de la masturbation à l’ancienne, rustre et dépourvue de toute sensualité, ne serait-ce que pour trois raisons :
1) On choisit la simplicité, mais on risque de négliger les autres parties érogènes du pénis.
2) L’intérieur du poignet n’est pas une zone très sensible.
3) Le poignet empêche toute visibilité “esthétique” du sexe, or la propre vue de son pénis en excitation est un facteur érogène
Notez que c’est dans le cadre d’une masturbation solitaire, sinon le petit poignet d’une femme vous masturbant peut être très efficace…
-La poignée : (après le poignet, la poignée), c’est une variante de la première mais moins simpliste, imaginez que votre pénis est une poignée de porte, mais attention une poignée de porte que l’on a graissée et que vous n’arrivez pas à saisir. Imaginez un petit peu le genre de geste que cela peut provoquer. C’est pas mal, mais cela doit juste être considéré comme une variante.
-Le bout de doigts : C’est la bonne méthode, on emploie la plupart du temps trois doigts (mais certains le font avec quatre), le pouce d’un côté, les autres doigts de l’autre. Ne posez pas vos doigts trop bas sur la hampe, la bonne méthode est de les disposer de telle façon que chaque mouvement va venir frôler la couronne du gland qui est un endroit très sensible
-Le capuchon : La technique du capuchon se rencontre surtout en début de masturbation lorsque le sexe n’est pas encore en érection. A conseiller pour les zizis ayant une longueur au repos plutôt courte, mais peut aussi convenir aux autres… On prend trois doigts plus le pouce que l’on va disposer en corolle sur la base de la verge, le mouvement va consister par glissement à remonter jusqu’à ce que le prépuce recouvre le gland et ainsi plusieurs fois de suite…
Actions alternatives :
On peut aussi pendant la masturbation chercher des actions alternatives afin de ne pas faire tout le temps de la même chose, certaines ne sont tout simplement pas masturbatoires mais tellement agréables !
-Se caresser tout simplement le pénis sans rien s’agiter du tout, ce n’est pas si mal qua ça surtout lorsqu’on est bien bandé, sinon trois mouvements sont assez amusants :
La cigarette : on va prendre entre l’index et le majeur le pénis de la façon dont les français tiennent leur cigarette, ça repose la main et ça fait très joli !
Le zéro : il faut réunir le pouce et l’index de façon à dessiner un zéro. Bien sur votre zéro vous ne le faites pas dans le vide, vous aller faire ça près de la couronne du gland, qui va ainsi se trouver excitée sur tout son contour !
La savonnette : Les deux mains à plats de chaque côté de la verge et on astique un peu à la façon dont certaines personnes se lavent la paume des mains avec une savonnette. Assez étonnant mais il ne faut pas en abuser.
-Le plat des doigts : cette méthode beaucoup plus sensuelle qu’elle ne le parait consiste à se frotter la verge avec l’intérieur des doigts tendus sans aucun serrage ! Le mouvement s’effectue sur la partie intérieure du pénis, ce qui à l’avantage d’augmenter la pression. Elle convient très bien en début de masturbation, mais peut être utilisé à n’importe quel moment (y compris lors de la période pré-éjaculatoire)
-L’excitation du gland : essayez ceci : mouillez-vous l’index avec votre salive : dirigez-le plusieurs fois de suite du milieu du gland jusqu’en dessous du prépuce en n’omettant pas d’appuyer sur la couronne. On peut aussi en profiter pour effleurer le frein, (zone extra sensible)! Début difficile : parfois la bandaison n’est pas facile, pendant que l’une des mains masturbe, utilisez deux doigts de votre autre main pour comprimer la base de la verge, vous verrez, ça ira mieux ! On peut aussi y serrer un petit lacet, on vent aussi des machins en cuir en sex-shop, mais bon…
-La liqueur séminale : C’est un des points forts de la masturbation, votre gland va s’enduire de quelques gouttes de liqueur, je vous conseille vivement de jouer avec, imbibez-vous-en le gland, mais aussi le bout du doigt et portez-le à votre bouche, c’est délicieux !
-Le changement de main : Pour quoi faire ? Ben déjà ça repose et ça évite les crampes, mais c’est aussi psychologique ! En utilisant de temps à autre votre main inhabituelle vous aurez comme l’impression que c’est quelqu’un d’autre qui vous masturbe !
-Le maintien de l’érection : Pour maintenir une érection sans se masturber (il n’est pas interdit de s’arrêter un moment !) un bon truc consiste à appuyer avec le pouce assez fortement dans l’angle constitué entre le pubis et la racine de la verge
-A sec ou à l’eau : C’est comme le whisky ? Et bien non justement, la masturbation se fait d’ordinaire à sec, mais peut devenir irritante ! Il faut donc soit mouiller (liquide non gras) soit lubrifier (liquide gras) Certains éprouvent le besoin d’humidifier constamment leur sexe pendant la masturbation. La salive est ce que nous avons de plus immédiat à disposition, l’inconvénient c’est que ça sèche très vite ! Et qu’il faut constamment en remettre ! Deux solutions : la première c’est de faire cela dans un endroit entièrement humide (douche, bain, nous en reparlerons quand nous aborderons les lieux de masturbation…). La seconde c’est de lubrifier avec un corps gras, par exemple de l’huile de massage, on n’y pense pas toujours, mais c’est une expérience extrêmement agréable et la sensation des mains sur cette verge devenue glissante est tout simplement voluptueuse !
Avec l’huile la technique peut changer puisqu’il n’est plus forcément nécessaire de faire bouger la peau de la verge ! Citons une confession lue sur le net : “Je me masse la Verge avec des caresses amples et douces sur toute sa longueur, de lents va-et-vient de mon Gland à la racine, en tournant ma main légèrement à chaque mouvement descendant et montant le long de ma Verge. A chaque mouvement descendant, j’insiste sur les points les plus sensibles de ma Verge ; points rendus encore plus sensibles par l’huile”.
L’insolite ou le bizarre :
On peut aussi faire dans l’insolite ou dans le bizarre : j’ai ainsi lu une histoire on un type se branlait dans le cambouis, et un autre qui faisant ça la verge emmaillotée dans une tranche de jambon… Chacun ses délires… Le seul risque c’est une irritation de la peau de la verge, une masturbation doit se faire les mains propres, mais l’irritation peut être tout simplement mécanique, à vous d’éviter que les points de pressions soient toujours les mêmes. Si vous sentez venir l’irritation, faites-vous jouir tout de suite, puis enduisez-vous la verge d’un baume apaisant, vous serez peut-être privé de masturbation pendant deux ou trois jours, ce n’est pas si grave !
Accompagnements corporels :
Ça paraît évident, mais une bonne masturbation est une masturbation pratiquée entièrement nu ! Et pour deux raisons, la première est d’ordre pratique, parce que tout simplement parce que cela permettra d’avoir un accès facile à toutes les régions de notre corps, l’autre est psychologique, la nudité ajoutant au côté coquin (je n’ose pas dire pervers) de la chose. Alors on se tripote quoi ?
-Les testicules ! C’est ce qui vient en premier à l’esprit, c’est souvent une zone érogène très sensible. Une simple caresse peut suffire mais il existe des techniques particulières comme celle décrite par cet internaute “Pour que le plaisir soit plus puissant, je tirais et maintenais mes testicules vers le bas afin de bien tendre la peau du sexe tandis que je frôlais toujours le gland”
-Les Fesses, les globes fessiers, la raie des fesses, le périnée (région entre l’anus et les testicules) et l’intérieur des cuisses.
-L’anus : Les avis divergent sur ce point, oh pas sur l’érogèneïté de l’endroit ! Mais sur justement son fonctionnement très particulier en tant que zone érogène. L’entrée de l’anus est en elle-même une zone érogène et se la caresser pendant la masturbation va participer à l’excitation, jusque là tout le monde est d’accord. Là où ça se complique c’est si vous souhaitez introduire un doigt (ou un objet) dans l’anus ! A ce moment là vous allez exciter votre prostate, celle-ci a un comportement très particulier, et si la sensation est agréable pour certains elle peut pour certains sujets entrer en contradiction avec la masturbation elle-même ! C’est ce qui explique que dans certains film vous voyez des mecs visiblement excités comme des fous d’avoir quelque chose dans l’anus, mais qui ne bandent pas ! Pour d’autres hommes par contre la stimulation de l’anus sera un facteur ajouté.
-Les seins : Ont gagné le concours permanent de la zone érogène masculine la moins connue ! Et pourtant quel plaisir de se pincer les tétons, de se les tortiller pendant la masturbation. Certains hommes sont d’ailleurs capables de se provoquer une érection rien qu’en se pinçant le bout des seins. Pour ceux qui ne connaissent pas la pratique et qui veulent l’expérimenter, ça paraît, dit-on très agaçant au début, et puis on s’y fait et on ne peut plus s’en passer. A noter que l’aréole est également (mais à un degré moindre) une zone érogène.
-Le corps : Ou plutôt la peau, la peau réagit fortement aux caresses notamment lorsqu’on est en état d’excitation sexuelle, caressez-vous un peu partout avec le bout des doigts, la poitrine, le ventre, l’intérieur des cuisses, et puis, les fesses bien entendu !
-Les doigts ! Comment ça les doigts ? Mettez-vous l’index dans la bouche, et sucez-le avec les lèvres et la langue (très ambigu, très pervers…)
Stimulants :
Le stimulant peut être entièrement fantasmatique ou peut s’accompagner d’un support : Ce support peut être un texte, une image, une vidéo et bien sûr Internet !
Et puisque nous en somme à ce genre de choses et que l’occasion nous en est donnée, nous affirmons haut et fort notre droit le plus strict de nous branler devant Internet ! Ah Mais ! Il ne s’agit évidemment pas d’une fin en soi, mais d’un droit fondamental ! Ah mais !
Un autre stimulant moins évident est le miroir, notre propre corps nous est renvoyé comme érotique, notamment dans les moments d’excitation, n’hésitez donc pas à vous masturber devant l’armoire de votre salle de bain !
Positions :
On peut se masturber dans pratiquement toutes les positions : Debout (pour ceux qui aiment les effets de miroir) ! Assis (pour Internet) ! Couché (parce que ça détend) ! A genoux (pour ceux qui ont des fantasmes de domination) ! Le lit cumule beaucoup d’avantage, on peut en effet changer de position de façon très rapide et très confortable, on ne se cogne ni les genoux ni les coudes, et puis au moment de l’éjaculation quel bonheur d’être couché !
Ce qui nous amène à la question suivante : Où ?
Nous ne reparlerons pas de la chambre à coucher c’est fait, mais parlons de la salle de bain :
Il faudrait presque un chapitre entier pour parler de cet endroit particulier. Outre le fait qu’il y a des miroirs partout et qu’on va pouvoir se regarder faire, nous allons avoir de l’eau à volonté : Nous allons donc pouvoir tester comme il est agréable de se masturber mouillé sans l’inconvénient de se demander si on ne va pas foutre des taches de gras partout. Et oui, il y a la douchette ! Ah la douchette !
Régler la température de l’eau, il faut qu’elle soit chaude, mais pas brûlante, dirigez ensuite de jet vers votre sexe, varier l’angle d’impact, varier l’intensité. Investissez dans une douchette moderne avec plusieurs positions (massage, douche…) Et puis c’est super car après l’éjaculation, on reste propre ! Le seul inconvénient c’est que la nature mouillée de l’endroit se prête mal aux stimulants visuels.. On ne peut pas tout avoir !
Si l’on veut que la masturbation reste solitaire, il n’y a guère que la nature (super une virée en vélo avec un petit bouquin porno et un panier sandwich) ou alors les cabines de toilettes (pas très romantiques, mais il y a des amateurs) il nous faut aussi parler des cabines vidéos (ou peep) de sex-shop ! Attention à celles-ci, si dans certains endroits on fait en sorte que le client soit dans un environnent propre, d’autres n’ont pas ces scrupules et certains endroits sont carrément répugnants.
Accessoires :
Attention, deux observations :
1 – aucun accessoire n’est indispensable
2 – mais si on veut en employer, sortez-les d’avance, il n’y a rien de plus pénible que d’être en pleine action, obligé de se lever pour aller chercher quelque chose !
Ces accessoires peuvent être : la bouteille d’huile parfumée, le lacet pour serrer la verge, des pinces pour stimuler les seins ou les testicules et/ou un martinet (si vous êtes un peu SM), un gode, des boules de geisha ou tout autre objet destiné à l’introduction anale (si c’est votre truc) la petite culotte que vous allez respirer (si vous êtes fétichistes), le petit bouquin porno que vous avez acheté et qui vous fait flasher, et puis bien sûr le paquet de kleenex (se rendre compte qu’on l’a oublié alors qu’on s’est éjaculé sur le ventre.. Le détail qui tue !
Comment gérer l’éjaculation ?
On ne le répétera jamais assez, l’éjaculation n’est pas une fin en soi, (car si c’était le cas, autant le faire à la hussarde). N’empêche que l’on peut faire durer la masturbation très longtemps, il y a un moment où l’excitation étant à son paroxysme l’envie de jouir finit par nous dominer. A ce moment là, on accélère, la meilleure méthode étant celle du bout des doigts.
Certains se livrent au jeu de l’éjaculation retardée, cela consiste à stopper tout contact digital dès qu’on sent le plaisir monter ! Ce n’est pas mal et on peut faire ça deux ou trois fois, mais je déconseille une longue pratique de ce genre de choses, vous risquez après d’avoir très mal aux testicules !
Quand les premiers jets jaillissent, ne stoppez surtout pas votre éjaculation, il faut continuer pendant plusieurs secondes, votre plaisir n’en sera que meilleur. D’autre part si vous êtes un adepte des pinces et quel que soit l’endroit du corps, enlevez-les avant l’éjaculation !
Éjaculer dans un kleenex ou dans un mouchoir est assez trivial ! D’autre vont se l’étaler sur le corps jusque ce qu’il s’évapore, d’autre vont le recueillir et l’avaler (pas évident parce qu’à ce moment là l’excitation est complètement retombée et on a plus envie de faire grand chose…)
Nous n’envisagerons qu’à titre anecdotique la souplesse de certains qui arrivent à se lécher le sexe (certains contorsionnistes y parviennent, paraît-il fort bien, mais est-ce encore de la masturbation ?).
Masturbation collective :
A ne pas confondre avec la masturbation réciproque, mais la masturbation collective peut devenir réciproque…
En théorie elle peut être hétéro ou homo, chacun se branle sans toucher à l’autre mais les coups d’œils réciproques sont les bienvenus. En pratique elle est surtout masculine dans certains cinémas, salles vidéo, sauna, etc.…
Par contre elle peut être hétéro dans certaines autres relations liées aux technologies modernes (téléphone, webcam…)
La cyber branlette, contrairement à quelques idées reçues, on peut via WebCam, trouver un partenaire du sexe de son choix. C’est assez amusant !
En fait, il suffit de chercher et la patience est toujours récompensée. Par contre pas la peine d’avoir recours à des sites d’entraîneuses qui vont vous faire payer une prestation médiocre.
La masturbation réciproque
L’un masturbe l’autre : ce peut être une suite logique mais non obligatoire de ce qui précède ! Nous n’épiloguerons pas, tous les conseils techniques décrits plus haut vont évidemment s’appliquer ici.
A noter que l’inter masturbation est une façon très judicieuse de gérer les pannes dans un couple ! Mais voilà, certains en cas d’échec préfèrent se retourner de l’autre côté du lit et de mettre à ronfler, plutôt que d’envisager une saine et amusante branlette à deux ! Comme vous le voyez tous les problèmes ne sont pas réglés encore aujourd’hui !
Pour certains anglo saxons, lorsque c’est réciproque ce ne serait plus de la masturbation, alors ils ont inventé un nouveau mot, le “petting”. Vraiment n’importe quoi !!!
Jeux érotiques :
Il faut en fait considérer que la masturbation fait partie des jeux érotiques et qu’elle doit pouvoir s’intégrer sans problèmes à vos pratiques érotiques à deux
Nous ne nous attarderons pas trop, peut-être ferons-nous un jour un dossier complet sur la masturbation réciproque, sachez donc que les techniques manuelles sont quasiment les mêmes que pour la solitaire, et que s’y assimilent :
-La branlette espagnole (la cravate de notaire) masturbation du pénis entre les seins.
-La branlette grecque (masturbation du pénis entre les globes fessiers) mais sans pénétration.
-La branlette italienne (masturbation entre les cuisses du partenaire, le plus près possible de la fourche, on fait ça face à face ou l’un derrière l’autre)
-La branlette thaïlandaise (pratiqué avec les pieds, extrêmement prisée des fétichistes de cette partie du corps)
-La double fourche (ou casse noisette) qui n’est qu’une façon parmi d’autre permettant à deux femmes de se frotter mutuellement leur sexe l’un contre l’autre.
Par contre ne s’y assimile pas ce que techniquement on appelle pompeusement les pratiques bucco-génitales, en fait le bon vieux “69”…, les fellations et autres cunnilingus (la “pipe” et le” broute-minou” pour ceux que les termes techniques agacent). Car on rentre là dans les rapports sexuels proprement (oui, oui !) dits et on déborde du sujet.
Conclusions :
La masturbation est une pratique sexuelle courante. La lier de façon systématique à un dérèglement ou à une frustration n’a aucune base valable.
La masturbation permet de mieux connaître notre corps, y compris d’en découvrir des zones insoupçonnés. A ce titre la masturbation peut être considérée comme un “investissement plaisir” pour la suite de la vie.
La masturbation est une thérapie anti stress tout à fait efficace (et en plus c’est bon pour la circulation du sang et pour le teint de la peau) !
Les personnes qui se masturbent ont une vie sexuelle plus remplie, plus active, et pendant plus longtemps (rapport Kinsey )