Fashion victime, métrosexuelle fanatique, la plus déjantée des héroïnes sexuelles néolibérales est la proie de milliardaires cinglés, d’érotomanes cyniques et de snobs excentriques…
Elle est gaulée comme une cafetière mais seule comme un Panda !
Elle attend le prince charmant mais se fait courser par des pervers !
Qui est-elle ?
C’est Anamary, jeune trentenaire parisienne, métrosexuelle fanatique, fashion victime et célibataire.
Les récits d’Anamary, c’est un peu comme “Le journal de Bridget Jones“, avec le sexe déjanté en plus !
Beaucoup plus !
Nous avons interviewé Anamary pour la sortie de ses quatre livres “Anamary et ses Secrets interdits“, Volumes : 1, 2, 3 et 4, une compilation sous forme de saga de ses meilleurs textes.
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Anamary et ses Secrets Interdits… Volume 1
Elle revient d’un séjour sexuel à Ibiza, et nous offre, avec tout l’humour cinglant et frais qu’on lui connait désormais, le récit de ses péripéties délirantes !
Anamary, c’est la fashion victime, la métrosexuelle fanatique, la plus déjantée des héroïnes sexuelles néolibérales !
Elle est agaçante, émouvante, excitante…
Elle veut devenir riche, célèbre, passer chez Ardisson, Durand, Dumas, Poivre d’Arvor et tutti quanti, et jouir avec quelques-uns et unes… !
Anamary, on s’y attache et toutes les femmes aimeraient l’avoir comme amie, sauf qu’elle leur piquerait, sans doute, leurs mecs.
Alors plongez-vous dans ses histoires, un vrai délice, entre ses amants et amantes, le directeur de création sodomite, la media-planner lesbienne, l’anarchiste trop membré, le maniaque de l’électroménager et la directrice de clientèle partouzeuse.
Entre Sex in the city, Ali McBeal et Desesperate Housewife, les angoisses des trentenaires n’ont désormais de secrets interdits pour personne.
Les trentenaires à la ramasse, ont la côte, plus encore quand en plus elles ont une libido exacerbée !
Bridget Jones incarnait on ne peut mieux le malaise autour d’un bilan de vie pas très rayonnant. La réjouissante Anamary elle, gère les situations d’une toute autre manière, et noie toutes ses angoisses dans le sexe, avec une déconcertante facilité !
Elle devient la proie de milliardaires cinglés, d’érotomanes cyniques et de snobs excentriques.
Sa naïveté feinte l’entraîne dans des histoires totalement déjantées qui mêlent : un éditeur/collectioneur d’automobiles hors-normes, milliardaire, cynique et déjanté, Jennifer la lesbienne insatiable buveuse de cyprine… et trois farfelus, sortes de Pieds nickelés provinçiaux richement dotés d’avantages en nature, dont le fumeux Orang-outan !
Et c’est alors reparti pour d’hilarantes péripéties sexuelles !
Ses aventures amoureuses et sexuelles la mènent à vivre des expériences plus rocambolesques les unes que les autres mais elle y croit dur comme fer et ne perd pas courage.
C’est souvent très drôle, parfois touchant même et rondement bien mené.
Une bonne lecture pour les dimanches pluvieux ou les après-midi au soleil.
Entrevue e-réelle …
1. Bonjour Anamary. Je suis ravi de vous e-terviewer ; pour tout un tas de raisons, mais d’abord, parce que vous êtes brune et que vos fesses et vos jambes sont superbes, avec une tête pleine et une bouche à croquer, tout ça s’équilibre, non ?
Well ! well ! well ! Je ne me sens pas si équilibrée que ça, à vrai dire. Oui, bon, les hommes et aussi les femmes disent que je suis à croquer, mais ils me laissent toujours en miettes quand je leur ai donné ce qu’ils voulaient. J’en ai un peu marre qu’ils me prennent pour un petit beurre et pas pour un repas équilibré, si vous voyez ce que je veux dire…
2. « Anamary et ses Secrets interdits », c’est du 100% vécu… ?
Rassurez-vous, c’est du vécu. C’est ma vie, à Paris, aujourd’hui, la vie de milliers de femmes de 30 ans qui essayent de TOUT avoir, l’indépendance, la beauté, l’amour, le respect des hommes. La course à l’échalote, quoi. Sexuellement, puisque visiblement, c’est ça qui vous intéresse, en 15 ans, quand on n’a pas froid aux yeux ni ailleurs, on a eu le temps d’accumuler quelques expériences, vous ne croyez pas ? Les hommes, les femmes, les groupes… Cette époque est merveilleuse : on touche à tout, on montre tout, on dit tout mais le principal reste caché : le mystère amoureux.
3. Est-ce votre petit minou, petit minois, sur les diverses couvertures ?
Je suis bien mieux que ça, mais maintenant que je suis célèbre, je vais demander à mon éditeur de me verser des royalties sur toutes MES photos qu’il publie, tant que mes droits d’auteur ne seront pas tombés sur mon compte en banque et que je n’aurai pas vendu les droits d’adaptation au cinéma je ne diffuserai pas de nouvelles photos.
4. Votre vie a-t-elle changé depuis que vos histoires sont publiées ?
Honnêtement, non. A part mes ex’ qui me rappellent pour remettre ça avec la nouvelle Simone de Beauvoir qu’ils disent que je suis dans le but de me sauter, personne ne me court après. Je fais la queue au cinéma et au supermarché. A mon boulot, personne n’a encore découvert que c’était moi qui l’avait écrit, et donc les mecs de la multinationale du chocolat continuent à me courir après comme si de rien n’était tandis que je continue à m’amuser dans les toilettes avec d’autres secrétaires… Nos derniers jeux avec des boules de geisha portées toute la journée sont excitants…. Mon père n’a pas encore ouvert mon livre, il a toute sa collection d’ « Actuel » à relire, comme tous les ans. Maman est trop occupée par sa quatorzième tentative de suicide et ma conne de sœur est bien trop jalouse pour me dire qu’elle a seulement lu quelques pages. Ceci dit ça risque de changer…. Vous savez, je travaille dans la promotion d’un produit international, celui d’une multinationale du chocolat suisse et je sais ce que vaut la notoriété : du vent. Ceci dit, si je deviens riche et célèbre, ça me fera plaisir tout de même, huh !
5. Quelle est la pire chose qu’on puisse vous dire ou vous faire ?
M’appeler par un autre prénom, après l’amour.
6. Avez-vous perdus des ami(e)s depuis la parution de vos histoires… ?
J’en avais trois, elles sont toujours là. Mais c’est curieux, maintenant que vous me le dites, elles ne m’ont pas appelé depuis, sauf Jennifer avec qui je noue des liens très serrés.
7. Si vous deviez choisir… Soir ou matin ? Plutôt seule ou mal accompagnée un samedi soir ? Robert De Niro ou George Clooney ? Droite ou gauche ?
Vous savez ce que c’est, je prends ce qu’il y a !
8. Que pensez-vous des mégalos, des narcissiques, et des fans de la levrette ?
Tout le monde a sa chance avec moi : il faut risquer pour jouir. Mais concernant mon éditeur, si c’est lui que vous visez, il est terriblement snob, mais pas du tout mégalo, non, au contraire il est très “nature”, avions, yachts et voitures extraordinaires sont sa vie… et pour les positions il a beaucoup d’imagination, alors levrette ou pas levrette, pffffff ! ça, c’est plutôt un bon point.
9. Où en êtes vous aujourd’hui ? Professionnellement ? Physiquement ? Sexuellement ? Je sais que vous partez d’ici peu en vacances à St Barthélémy ? Quels sont vos projets ? Quand vous verra-t-on en TV ?
Incessamment, sous peu, j‘imagine. Pour l’instant, je me prépare à partir en vacances. Un créateur de mode très très connu m’attend à St-Barthélémy dans son immense maison sous les collines pour me présenter à des milliardaires qui s’ennuient. J’ai dit oui, mais mon objectif, c’est de rejoindre mon amant. J’ai fait suffisamment de trucs compliqués pour lui au lit (et sur des tables, des frigos, dans des voitures, des stations service, des pools houses, etc…) pour qu’il fasse un petit effort.
10. Ce matin face à votre miroir… quelles notes ?
Je me quote 20 /20. Le succès me va si bien !
11. Par quoi désirez-vous terminer cette e-terview ?
Par une e-poignée de main. Je me méfie, je suis une grande affective, et si je commence à embrasser les journalistes, il y en a bien une ou un qui va me refiler son herpès !
13. Vous me donneriez une photo inédite, afin d’illustrer cet entretien, et ravir nos lecteurs ?
Vous voulez dire, nue, à genoux, offerte ? J’en avais une, mais mon chien l’a mangée.
Désolée, croyez le bien ! Huh !
Merci beaucoup Anamary.