Gloire aux Ukrainiennes !
Une nouvelle nécessiteuse semaine vient de s’écouler et tel un grand reporter de l’impur, je m’en viens vous présenter une nouvelle héroïne, dont le nom s’effacera de vos tragiques pensées, aussi vite qu’un vieux froc qu’on déboutonne. Une nouvelle fois il m’est permis de déverser un flot d’immondices dans les pages dégoulinantes de sperme de SecretsInterdits qui fait la part belle aux suaves beautés vénéneuses vantant les mérites de l’amour textuel.
Les évènements d’Ukraine, de surcroit, me poussent (m’obligent selon une directive de la Communauté Européenne relative à soutenir les aspirations profondes de la population martyrisée par une Nième invasion Russo-Mongole) à vous présenter quelques exemples du martyre subi par diverses femmes Ukrainiennes livrées à la lubricité bestiale des hordes poutiniennes !
Reine des aires de repos des autoroutes de ce beau et grand pays démocratisé par un sanglant coup d’Etat, Natacha Kanilocasky est restée l’icone des Routiers Ukrainiens. Néanmoins, comme il en faut pour toutes les verges et que l’omnipotence Zeelinskyienne ne saurait tolérer de manquement à ses directives putassières, SecretsInterdits est contraint sous peine de sanctions, de vous présenter la sémillante Guenièvre Ukrainienne.
Elle semble exhumée d’un roman d’amour Slave. Très certainement issue d’un cursus en sciences des bites humaines de l’université sexuelle de Kiev, elle a sillonné les routes d’Europe en tant que reine des aires de repos ou plus simplement comme vide-couilles pour routiers des pays de l’Est. D’ailleurs, c’est sans doute au sortir d’une douce torpeur au parfum de prépuce de routier qu’elle sera repérée par un représentant du nouveau pouvoir, ce dernier lui permettant enfin de faire saliver les croquants vicelards, par le biais d’intenses fornications.
Vous trouvez ses seins trop petits et son bassin trop ferme ? Sa moue boudeuse n’éveille pas en vous des fantasmes de glory-hole ? Imaginez-la donc plutôt en égérie de Kinky et Smirnoff, servant de sac à ramponeaux dans une belle cabane forestière sur les rives du Danube, squirtant des antidépresseurs sur la truffe d’un chien de chasse, le chibre d’un néo-nazi du groupe Azoff au fond de la gorge et un bras de boxeur Kiévite dans l’intestin.
L’une des grandes forces de l’Ukraine, que d’aucuns ne soupçonnent que très implicitement, aura été de modifier si profondément l’approche de la nichonnade, que celle-ci est devenue désormais une valeur Ukrainienne quasi-intrinsèque, voire une qualité de vie. Le président Ukrainien pianiste du pénis à ses heures, pense d’ailleurs aimer les nichons plus que sa propre existence. Certes, il aura fallu des interventions quasi divines pour spermettre la mise en bouche de son amour incommensurable pour les totottes.
Oubliez tout de suite le buisson ardent, l’apparition incongrue de Vladimir Poutinsky, Tsar génialissime devant le président Ukrainien barbu en toge chargé de conduire tous ses crochus vers le monde merveilleux du commerce européen. A part si bien entendu vous faites référence aux heures glorieuses du X slave où les vulves fermes étaient abondamment chargées de poils. Non, l’Ukraine actuelle est bien différente : elle a cette capacité presque constante à oblitérer toute forme de bon sens à l’aide de trucages photos et vidéos, gifs, vidéos (et même powerpoint), de femmes vous claquant leurs loches à la gueule comme si votre vie en dépendait.
La finesse de leur épiderme, leur bienveillance monochromique font son œuvre. Ne pensez plus au grammage excessif des margotons Weight Watchers des Françaises transsexuelles. Que nenni il faut laisser la place au fuselage parfait d’une suave beauté dont la peau mordorée vous prouve que la parthénogenèse thélytoque est clairement l’avenir de l’humanité. Agée de 22ans, cette coquette, viendra ébranler vos certitudes quant à vos obsessions.
Sans doute que la dextérité de vos mains de spécialistes franchouillards de la torgnole sur rombières charpentées devra faire face à la finesse d’un épiderme d’une sergente de la garde (très) rapprochée Présidentielle. Néanmoins, le temps faisant bien son œuvre, vous pourrez toujours attendre que vergetures et implants lestés remplacent boule tendue et nichons allégés et que le coussin en patchwork, précieusement conservé en vue d’un tabassage bien propre, ne serve plus qu’à éviter callosités au genoux de la dame, quand le 150e quidam vidangera un chancre mou sur son minois.