Vidéo : La vieille usine déserte…
Je m’étais rendue dans une ancienne zone industrielle pour visiter une vieille usine déserte que j’avais trouvée un jour lors d’une exploration de pré-self-bondage, j’étais déjà venue là plusieurs fois et c’était le lieu idéal pour mes explorations sexuelles, loin de la vue de la route qui passait derrière un bois, car je ne voulais évidement pas être dérangée pendant que je me serais attachée agréablement et solidement.
J’aime m’attacher nue, surtout à l’extérieur, pour sentir le vent sur mon corps, pour vibrer dans les grands espaces tout autour de moi, pendant que je me suis rendue prisonnière, totalement vulnérable dans mes liens, particulièrement avec quelques accessoires que j’ai rendu presque définitivement fixés dans mes fondements, c’est excitant et amplifié au centuple par le danger qui découle d’une impossibilité de me détacher et aussi d’être découverte par des plus pervers et perverses que moi… mais je crois que c’est finalement ce frisson là qui me rend totalement folle d’excitation.
J’ai commencé cette session vers 18h en cachant ma voiture dans le bois attenant à la vieille usine abandonnée et en revenant pendant 600 mètres le long d’une vieille route boueuse vers la vieille usine déserte avec mon sac d’équipement de bondage trainant sur le sol… et, c’est dans une des salles de l’étage, que je me suis préparée pour une fin de journée de self-bondage.
Après m’être déshabillée, j’ai placé tous mes vêtements dans le sac que j’avais vidé de mon attirail de bondage et de jouissances sur le sol… ensuite, complètement nue, j’ai débuté ma cession en plaçant mon GSM sur un trépied, pour mémoriser toute ma soirée, j’ai ensuite attaché mes chevilles a une barre d’écartement, et j’ai fait de même à hauteur de mes genoux, les entourant avec la corde plusieurs fois, j’ai ensuite fixé un gode/plug fixé solidaire à une barre fixée avec deux anneaux aux deux barres d’écartement, de telle façon que une fois le gode et le plug en place, bien profond, ils ne pouvaient plus “s’échapper” en glissant hors de mes orifices, j’ai tiré sur les liens le plus possible pour rendre tout ça très serré !
Mmmm !
Ca semblait bon, mon vagin dégoulinait de cyprine, mon clitoris gonflait, je devais faire attention de ne pas me laisser aller à déjà jouir…, mon corps tout entier commençait à réagir, une chaude et agréable sensation irriguait mes veines, j’ai alors placé solidement une boule/ bâillon dans ma bouche, c’était un nouveau jouet que j’avais acheté récemment, j’ai fixé les lanières du harnais de tête bien en place, parfaitement serré et verrouillé avec un petit cadenas sur le derrière de ma tête…. et j’ai jeté la clef vers le côté opposé de la salle…, je savais que je ne pourrais pas enlever le bâillon tant que je n’aurais pas retrouvé la clef !
J’ai verrouillé étroitement un anneau de cuir autour de mon poignet gauche et un autre autour de mon poignet droit… tout ce qu’il me restait à faire était de placer un cadenas dans chacun de leurs crochets pour les réunir ensembles… j’ai jeté les clefs vers un autre coin de la salle, puis j’ai fixé un troisième cadenas pour réunir mes poignets avec les anneaux de cuir, ainsi une fois attachée fermement je devrais tenter de ramper avec mes jambes écartées par les barres ad hoc, les mains fixées derrière le dos, avec le Gode/plug enfoncé au plus profond et tenu irrémédiablement en place par la barre fixée aux barres d’écartement… un vrai délice infernal… avec mes seins aux tétons érigés comme mon clitoris à même le sol poussiéreux, dans les gravats, les vieux matériaux et les pièces des machines rouillées éparpillés sur le sol… des heures dans le noir pour retrouver les clefs et tenter de délivrer mon corps…, des sensations délicieuses m’envahissaient à la pensée que quoi qu’il arrive, la jouissance serait intense… m’étendant sur le dos, mes jambes écartées à la verticale, complètement impuissante, je ne pouvais rien faire d’autre que de rester là et jouir de mon bondage durant quelques heures pendant lesquelles je chercherais les clefs de tous les cadenas que j’avais jeté à travers la pièce.
Je venais juste de prendre possession de mon self-bondage, mon sexe devenait bouillant et je mouillais abondement, lorsqu’un bruit imprévu me glaça alors que je tentais, en vain, un mouvement sur le sol.
J’avais entendu une vieille porte en fer grincer sur ses charnières rouillées : j’étais soudain pétrifiée : quelqu’un était en train de pénétrer dans l’usine désaffectée… qui que ce soit, j’ai aperçu une sorte de fantôme déambulant dans la pièce, allant rapidement vers les endroits où les clefs avaient atterri, prenant chacune d’elles puis revenant vers mon corps nu.
Je m’étais trop fermement attachée, bâillonnée, j’étais incapable de me libérer sans les clefs, et on me plaça alors un sac de jute sur la tête… une voix féminine me dit que nous étions à des kilomètres de nulle part, que personne ne pourrait entendre les hurlements que je ferais, ni les bruits des instruments de torture qu’elle avait caché dans une autre pièce, car elle était aussi dingue que moi de bondage mais surtout de BDSM…, elle a ajouté que nous ne serions pas dérangées et que je ne devais pas tenter de m’échapper parce que je ne pourrais que me perdre dans les sous-sols de l’usine, comportant des puits sans issues… sans que personne ne me retrouve vivante… j’eus curieusement un orgasme violent, j’étais comme hallucinée, elle a pincé mes tétons et ma jouissance a encore augmenté, je tremblais de partout, j’étais en nage, les orgasmes s’enchainaient, mon corps tentait de s’arc-bouter retenu par les liens… je suis entrée dans le sub-space… était-ce un fantasme devenant réalité ou un cauchemar ?
Elle me laissa allongée et attachée là et me raconta que je serai maintenant son esclave, utilisée pour son bon plaisir… ensuite elle a amené quelques longues chaines a passé une barre rouillée entre mes bras attachés à l’arrière, et de mon dos, a fixé la chaine a chaque extrémité, puis les a réunies à un crochet…, j’ai compris que j’allai être hissée avec le vieux treuil fixé aux antiques armatures de fer du toit.
Puis, je suis comme montée au ciel… je m’élevais… toujours avec mes jambes écartées jusqu’à ce que mon sexe soit sans doute à hauteur de son visage, car j’ai soudain senti sa langue s’amuser à un cunnilingus… totalement exposée à son regard et incapable de me libérer, j’étais là, pendouillante, alors elle a commencé à faire courir ses mains sur toutes mes formes disponibles, j’étais incapable de bouger… et ses mains continuaient à explorer toutes les parties de mon corps nu, ouverte à ses attouchements, elle avait accès à mon être tout entier.
Elle s’est éloignée, j’ai entendu qu’elle manœuvrait le treuil, je redescendais… jusqu’à ce que mes pieds effleurent le sol… ensuite sa bouche a commencé à encercler mes tétons elle les suçait, les faisant venir en érection, son souffle et la pression de ses lèvres sur mes tétons déclencha une autre excitation sexuelle, je ne pouvais pas résister à quelqu’un me suçant les seins, et qui me caressait simultanément le clitoris… l’intensité des impressions obligeait mon corps à réagir et commençait à me trahir alors que mon sexe devenait encore plus moite, sa langue donnait des pichenettes sur mes tétons et autour des parties les plus sensibles de mes seins.
L’électricité qui envahissait mon corps me procurait d’extraordinaires ondes de ondes de choc à travers tout mon corps, elle commença alors à pénétrer mon vagin avec ses doigts malgré le gode/plug et me dit que sa main et le gode pouvaient cohabiter…, la boule/baillon m’a empéché d’hurler tandis que toute sa main droite passait en force…, c’était hallucinant, j’avais des spasmes, je suffoquais… et l’impensable arriva lorsqu’elle pénétra son autre main…, elle écartait mon vagin et jouait avec le gode en le tapotant contre les parois… j’entendis sa respiration devenir plus forte lorsqu’elle devint plus excitée en obligeant mon corps à réagir encore plus aux touches de sa langue et de ses doigts.
Ma respiration devint plus rapide alors qu’elle continuait à explorer mon corps attaché, ensuite sa bouche commença à bouger vers mon estomac et travailla dans ce chemin vers mon clitoris, elle sembla hésiter et je sentis son souffle chaud contre mon sexe, elle abaissa sa tête et….
J’ai hurlé malgré la boule/bâillon, elle l’avait mordu…, puis elle commença à rebalader sa langue sur et sous mes lèvres externes, léchant mon clito qui avait doublé de volume, comme une érection… cela me procura encore plus de chocs électriques, les ondes de plaisir déferlaient à travers mon corps… j’étais perdue, j’allais mourir de trop de jouissance, de spasmes… mon esprit ne sachant pas s’il fallait rejeter ces avances (ce qui était impossible) ou continuer (ce qui devenait de la torture)… je ne pouvais croire ce qui m’arrivait, ici j’étais captive d’une inconnue, kidnappée, quel destin m’attendait donc ?
Mon corps réagissait comme si cela était normal, mon corps s’amusait à chaque instant… mais au plus extatique elle me laissa là attachée, pendouillante… plus tard, elle revint caresser mon corps attaché et m’utilisa de nouveau, mais cette fois elle prit son plaisir après m’avoir ôté le sac en jute, elle s’était mise nue avec de grandes cuissardes…, elle se masturbait en me regardant, exigeant que je la regarde… elle prenait son plaisir sans plus remplir le mien, après quoi, elle me descendit “à terre” détacha les chaines et la barre entre mes bras et mon dos me mis une chaine d’entrave fixée à la barre verticale fixée aux barres d’écartement… au dessus des genoux pour s’amuser à tirer, ce qui me faisait sentir le Gode/plug toujours fermement enfoncé au plus profond…, je pouvais faire des petits pas mais je ne pouvais ni marcher normalement ni courir !
Ensuite me tira en riant dans un couloir et enleva ma boule/bâillon et me fit boire de l’eau, me disant qu’elle me laisserait sans, si je promettais de ne pas hurler, quoiqu’il n’y avait personne alentours…
Etant donné que ma bouche commençait à être très douloureuse, j’ai promis et pensé que si je pouvais parler avec elle j’aurais une meilleure chance d’être libérée sans mal si elle apprenait à me connaître, mais elle ne parla plus après cela, restant seulement assise là, contemplant mon corps et occasionnellement étendant ses mains pour me toucher, me faisant sursauter lors de ce contact inattendu.
Il commença à faire froid, tout était complètement noir mais j’avais commencé à entendre les animaux de la nuit lançant leurs appels… peu de temps plus tard elle me dit qu’il était l’heure… et me culbuta sur le dos…, momifiée, je commençai à me sentir en totale insécurité, je suis toutefois tombée très vite dans un sommeil profond avant qu’elle ait pu faire quoi que ce soit d’autres de moi, je restais là sans pouvoir bouger tout au long de la nuit, même quand je me suis réveillée pendant la nuit, car je ne voulais pas qu’un mouvement de ma part le réveille, ne sachant pas ce qu’elle aurait bien pu encore me faire.
Le lendemain matin elle ouvrit ses yeux et me regarda allongée là toujours ligotée, elle se leva et détacha le cadenas qui reliait mes poignets puis les attacha au crochet du treuil et me souleva…, mes pieds quittèrent le sol alors qu’elle continuait à me treuiller puis me laissa pendue par les poignets qui commencèrent à souffrir de la douleur causée par anneaux de cuir s’incrustant dans ma peau à cause de la suspension, j’ai compris que je devais éviter autant que possible de bouger pour diminuer le stress sur mes poignets, mais mon corps était toujours en balance.
Après environ une trentaine de minutes elle s’affaira sur le Gode/Plug, me l’ôta, me lubrifiât abondement mes orifices et s’en alla prendre dans son sac un Gode/plug électrique et me l’enfonça au plus profond en le coinçant avec une lanière…, puis elle le mit en marche…
D’un coup, je ne sentais plus que mes poignets étaient sensibles et endoloris de supporter mon poids, attachée étroitement dans cette position, je ne pouvais pas bouger et le Gode/Plug vibrait comme un marteau-piqueur dans mon intimité par derrière et devant, me coupant la respiration, les sensations surréalistes, me mitent en état extatique, je frisais l’apoplexie, toujours sous son regard… et la garce se mis à nouveau à se masturber en me regardant jouir, utilisant mes précédents accessoires… alors qu’entre deux spasmes je me demandais ce qui arriverait ensuite, ce qu’elle pourrait bien me faire et si je pouvais être relâchée un jour ?
Je m’étais assoupie ficelée là comme un saucisson, ligotée étroitement, toujours avec le Gode/plug électrique en action… lorsqu’elle me libéra, mais en fait de libération elle me fit avaler les clés libératrices… puis caressa doucement mon corps avec des orties… je pensais qu’elle était en train de montrer quelques signes de compassion envers moi, là où auparavant elle avait juste utilisé mon corps, maintenant elle recommençait à me torturer …
Me rattachant de la même façon que lorsqu’elle m’avait trouvée,, verrouillant mes membres avec les mêmes cadenas, j’étais de nouveau fermement ligotée avec la boule/ bâillon et le bandeau en place, dans la même pièce ou je m’étais self-bondagée et me laissa et, en prenant mes vêtements, elle me dit qu’elle allait récupérer ma voiture avant de partir vers d’autres ailleurs…
Je restai donc là tortillant mon corps étroitement ligoté sur le sol poussiéreux… et soudain… je pris conscience que le plug qui était solidement enfoncé au plus profond de mon anus était fermement fixé avec la barre, à nouveau solidement fixée aux deux barres d’écartement… et elle m’avait forcé à avaler les clés libératrices… qui, à cause du Plug, ne pourraient jamais sortir… cela me prit un long moment pour attendre, mais si les selles sortaient et suintaient partout sur mes jambes, les clefs ne venaient pas plus que de l’eau à boire et quoique ce soit à manger… le Bâillon-boule restant en place… les clefs n’étaient pas là… j’allais mourir d’avoir trop joui…
Après 34 heures et 12 minutes, de reptations dans la poussière, un gang de motards dont les membres (érectiles) cherchaient un coin tranquille alors que poursuivi pour trafic de drogue, ils m’on découverte, m’ont partiellement retiré mon bondage et m’ont violé à tour de rôle en râlant que mon anus et mon vagin étaient toujours obturés… j’ai donc été violée de multiples fellations obligées…, pendant l’orgie j’ai par hasard retrouvé les clefs dans les excréments… et lorsqu’ils dormaient, j’ai commencé à retirer mon bondage : en premier mes poignets, puis le bâillon suivi du bandeau.
Je suis restée là sans bouger le temps que mon corps ressuscite et que mes yeux s’accommodent à la faible lumière du soir, c’était la première fois que je pouvais espérer, détachant mes chevilles j’étais maintenant libre de mes liens et précautionneusement me suis mise debout pour chercher à me vêtir… me précipitant dehors dans l’atmosphère fraîche d’une Nième nuit…, en plein milieu de leur campement !
C’est d’un bordel d’Istamboul que j’ai pu patiemment écrire mon vécu après avoir été vendue par les motards à des gangsters Turcs, je confie mes notes à un client espérant qu’il remettra mon appel au secours à l’éditeur du web-site SecretsInterdits que je lisais souvent… avant…
Huh !
Anamary
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