En suite de “Putes de luxe à Monaco : Mode d’emploi…” et de “Putes de luxe à Saint-Tropez : Mode d’emploi…”, voici le troisième volet des aventures en Europe… La Lamborghini Countach étant la reine de putes automobiles, c’est un exemplaire qui illustre l’article ! Pour “mater” des “nananas-à-poils” allez sur la section “SecretsInterdits”... Voilà… Voilou… A Londres, la prostitution n’a pas pignon sur rue et n’est pas légale en toute circonstance. Il n’empêche qu’il est possible de trouver facilement des prostituées, aussi bien dans la rue que sur internet ou dans les salons de massages. Si vous vous rendez en weekend à Londres, voici tout ce qu’il faut savoir pour y trouver des putes.
Vous devez le savoir avant de prendre vos décisions, la prostitution est très durement réprimée en Grande Bretagne. Une loi de 2008 permet de poursuivre pour viol les clients de prostituées travaillant pour des réseaux. Le racolage est également illégal mais l’achat et la vente de prestations sexuelles reste légal. Pour rester dans le cadre de la loi vous devez vous assurer que la prostituée avec qui vous désirez un rapport sexuel est totalement indépendante. On est d’accord, c’est totalement invérifiable… Ok ! Une travailleuse BDSM du sexe qui œuvre dans un des immeubles situés dans l’un des quartiers les plus riches de Londres, appartenant à un multimilliardaire Ukrainien qui a débuté en jouant du piano avec son pénis érigé, immeubles qu’il s’est payé de ses prestations clownesques en TV, ainsi que de sa géniale invention nommée “Dons pour l’Ukraine” (par milliards, remerciés par rétro-commissions de 50% aux plus grandes sommités politiques du monde anti-Russie), a révélé qu’elle doit coucher avec 30 hommes par mois rien que pour payer le loyer et ses frais de base, ce qui l’a amené à situer sa prestation minima à 1.500£ l’heure !
Une enquête choquante menée par le Sunday Times reprise ailleurs dans le cadre des “Banana-Panama-Papers” a révélé que plus de 100 prostituées travaillent dans ce même groupe d’ immeuble à Chelsea, propriétés conjointes de Volodymyr Zeelinsky Président d’Ukraine et du magnat immobilier Christopher Moran, indiquant que le “Chelsea Cloisters” pourrait être le “plus grand bordel” de Grande-Bretagne. Une simple recherche en ligne dans Google concernant “Chelsea Cloisters and escorts-girls” permet de trouver plusieurs sites Web offrant des services/sévices sexuels de femmes, d’hommes et de transsexuels aux hommes et aux femmes à l’intérieur de l’édifice.
Elana, de Kiev, en Ukraine, y vit depuis trois ans et ses photos à moitié nues apparaissent sur de nombreux sites Web qui font la promotion des femmes et des transgenres dans ce bâtiment. Elle offre une “Girlfriend Experience” – qui inclut le sexe BDSM Hard – et fait payer 2.000 £ de l’heure à ses clients. La “retape” s’effectue sur les sites d’annonces sexuelles, qui envoient régulièrement des gens sur place pour collecter l’argent. Son loyer coûte plus de 10. 000 £ par mois pour un studio exigu et elle reçoit jusqu’à quatre ou cinq “clients” par jour, a-t-elle déclaré au Sunday Times. Mais les “Grandes Maîtresses Transgenre” qui désirent un “Donjon full équipé” adéquat beaucoup plus vaste, ont un loyer de 30.000£ ! Après avoir travaillé comme escorte à Paris, Elena est maintenant en compétition avec beaucoup d’autres femmes Ukrainiennes de l’immeuble qui offrent le même service (les mêmes sévices), y compris son amie dans l’appartement voisin.
Un site Web spécialisé en BDSM, qui prétend que le premier ministre est un client assidu et protecteur, indique sur sa page d’accueil : “Pour les Punters qui en savent le plus, le Chelsea Cloisters de Londres SW3 a toujours été un lieu réputé pour accueillir des escortes londoniennes sexy à Londres. Et la tradition continue aujourd’hui”… Selon le Sunday Times section “Rich List”, si Vlodymyr Zeelinsky défraie toujours les chroniqueurs comme le nouveau multimilliardaire du sexe et de la corruption politique qui fréquente les Présidents, Christopher Moran, 70 ans, a une fortune personnelle bien moindre, mais toutefois de de 500 millions de livres sterling, mais lui a de meilleures relations car il fréquente des membres (érectiles) de la famille Royale dont le Prince Harry. Il gagne 8 millions de livres sterling par an grâce aux appartements de Chelsea Cloisters et a fait don de plus de 290.000 livres sterling à son meilleur client et protecteur : Boris Johnson, à la fois personnellement et sur ses comptes professionnels.
Divers journalistes du Sunday Times se sont sexuellement impliqués et ont fait 40 réservations avec des prostituées qui ont utilisé 23 appartements dans les 670 appartements de l’immeuble dont 15 loués à Zeelinsky et Moran. Dans une déclaration faite par ses avocats, Christopher Moran a déclaré que sa direction avait adopté une approche de “tolérance zéro” à l’égard de la prostitution dans le bâtiment ! Un rapport parlementaire sur le commerce du sexe de l’année dernière ont identifiés l’Ukraine, la Roumanie et la Pologne comme les pires pays pour les victimes d’exploitations sexuells qui se rendent au Royaume-Uni.
Où trouver des putes dans les rues de Londres ?
Le Quartier des putes de RedBridge à l’est de Londres, est devenu un aimant pour les jeunes femmes vulnérables victimes de trafic illégal de la part d’escrocs organisés, en grande partie Ukrainiens et d’autres pays d’Europe orientale, qui sont ensuite obligées de vendre leur corps dans la rue et dans des bordels ‘pop-up’. Des Van’s avec des matelas à l’arrière ont même été utilisés comme bordels mobiles, selon la police. Le problème est devenu si grave, avec des hommes qui affluent dans une rue, où le sexe est ouvertement vendu, que les chefs de police et les chefs municipaux essaient de devenir les premiers au pays à imposer des amendes de 100 livres sur-le-champ pour les “crawlers” de trottoir, pour limiter la demande. Des policiers ont déclaré lors d’une réunion d’examen de la criminalité à l’hôtel de ville de Redbridge qu’ils fermaient en moyenne un bordel par semaine, rapporte www.Ilfordrecorder.co.uk. Cependant, des locaux alternatifs apparaissent sns cesse à proximité, a déclaré la police. Il s’est également avéré que près de la moitié des clients sont des hommes qui affluent à Redbridge en provenance d’autres régions en raison de sa réputation désormais tristement célèbre. Ilford Lane, Ilford, est devenu l’épicentre de la prostitution de rue, et le nombre de filles qui travaillent sur la route a explosé après que les Roumaines ET les Ukrainiennes aient été autorisées à travailler sans restriction au Royaume-Uni à partir de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Cependant, à la suite d’un blitz policier dans la région, lorsque plus de 40 personnes ont été arrêtées et mises en garde-à-vue, plusieurs jeunes femmes ont alors été transférées dans des maisons closes de fortune qui ont vu le jour partout dans l’arrondissement, souvent près des stations de métro, ce qui a étendu le problème.
Un porte-parole de la “Metropolitan Police” m’a dit : “Nous assistons à un mouvement d’implantation dans les locaux et cela continuera à être un problème pour nous qui avons besoin de l’aide du public, car dans la rue, c’est beaucoup plus visible. Le conseil municipal de Redbridge a été forcé de mettre sur pied un comité d’examen spécialisé en matière de prostitution pour s’occuper de la question, après que les résidents se sont plaints et qu’une pétition en ligne a été lancée”. Le conseiller Neil Patrick Zammett qui en est le président m’a déclaré : “Vous ne pouvez pas me dire que plus d’une centaine de jeunes femmes Ukrainiennes se rencontrent toutes à Kiev et décident de réserver des billets pour Ilford. Toutefois maintenant que Boris Johnson a été démissionné et que ses relations plus qu’amicales avec Volodymyr Zeelinsky ne sont plus couvertes par les voies diplomatiques, cela devrait diminuer !”…
Le Quartier des putes de Soho à l’ouest du centre de Londres, se situe dans une zone communément appelée The West End. Ses limites non officielles sont Oxford Street au nord, Regent Street à l’est, Charing Cross Road à l’ouest et Chinatown au sud. Plusieurs monuments célèbres de Londres tels que Piccadilly Circus se trouvent tout près. Pendant des années, Soho a été synonyme de quartier rouge. Aujourd’hui, le quartier ne couvre plus qu’une toute petite zone autour de Brewer Street, Walker’s Court, Tisbury Court, Green’s Court, Peter Street et Rupert Street. Le reste de Soho est aujourd’hui un mélange à la mode de restaurants, théâtres, hôtels, bars, clubs, cafés et lieux musicaux haut de gamme. Au milieu du 19ème siècle, il y avait de petits théâtres, des salles de musique et des filles qui travaillaient partout. Il est finalement devenu à la mode au début du 20e siècle et a été populaire pour les artistes et les écrivains qui utilisent les pubs et les restaurants bon marché.
Dans les années 50, les filles qui travaillaient remplissaient les rues de Soho et racolaient les clients au coin des rues. En 1959, la Street Offences Act a été adoptée et il est maintenant illégal de flâner ou de solliciter à des fins de prostitution. Bien que l’acte lui-même reste légal à ce jour, au Royaume-Uni, il a été poussé dans la clandestinité puisque les filles ne pouvaient plus offrir ouvertement leurs services à des clients potentiels. Pour contourner ce problème, des ascensions ont été réalisées, dont certaines existent encore aujourd’hui. Les filles ont aussi commencé à travailler dans des clubs et des salons de massage qui ne sont souvent que des couvertures pour ce qui se passe vraiment. La nature cachée des filles qui se prostituent et le divertissement hardcore (également très restreint par la loi britannique) à Soho ont permis à des propriétaires sans scrupules d’arnaquer facilement les gens et de créer des “clipjoints” dans les années ’60. Des promesses de filles ou d’audacieuses distractions attirent les hommes à l’intérieur. En réalité, les endroits sont tous des escroqueries et n’offrent que peu ou pas de divertissement du tout.
Au milieu des années ’70, les magasins pour adultes sont passés à environ 60. Les lois britanniques strictes sur le matériel pour adultes signifiaient que certains articles n’étaient disponibles que sous le comptoir ou dans des arrière-salles secrètes. Dans les années ’80, cependant, une répression inévitable s’est produite et beaucoup de ces endroits ont été fermés. Ces dernières années, le matériel gratuit pour adultes sur Internet a eu un effet considérable sur les ventes de magazines et de DVD. Au lieu de cela, de nombreux magasins se tournent vers les accessoires et la lingerie et des boutiques plus respectables comme Ann Summers ouvrent leurs portes. On peut trouver des prostituées dans les quartiers de Chinatown, de King Kross ou de Shacklewell Lane. Elles ne sont pas forcément faciles à trouver à cause de la loi pénalisant le racolage de rue mais en cherchant bien vous pourrez les apercevoir.
La reine des putes automobiles est la Lamborghini Countach et c’est avec elle que j’ai pu me masturber les neurones en me promenant dans les quartiers chauds de Londres ! Propulsée par un moteur V-12 de 4,8 litres alimenté par six carburateurs Weber (sous réserve d’une remise en service en 2022, avec des factures d’atelier supérieures à 26 000 £), le compteur kilométrique de cette belle pute n’indiquait que 5.495 km au moment du catalogage de la vente RM-Sotheby’s qui aura lieu en Californie, à Monterey au Centre des Conférences du 18 au 20 aout 2022.
Avec son style futuriste et sa forme en coin universellement reconnaissable, les lignes scandaleuses de la Lamborghini Countach démentent sa position en tant que concept innovant qui remonte à 1970. La conception de cette “chose-roulable” catégorie “voiture de sports dangereuse” ont commencé vers la moitié du cycle de vie de son prédécesseur, la Miura, alors que Ferruccio Lamborghini avait tout donné pour dépasser la marque rivale portant un badge copié sur le cheval cabré de la ville voisine de Modène. Ferrari avait fait de grands progrès avec sa nouvelle 365 GTB / 4 “Daytona” qui ont été réduits à rien lorsque la Miura est arrivée. La marque de Sant’Agata avait besoin d’une version encore plus moderne de sa plate-forme phare, et c’est ainsi que la Countach est née équipée du même V-12 central de la Miura, mais disposé de manière classique… Débutant sous le nom de code LP112, le projet a été mené par Paolo Stanzani, travaillant aux côtés de Massimo Parenti et du pilote d’essai Bob Wallace, tandis que le cahier des charges avait été remis à Marcello Gandini de Bertone. Un prototype a été présenté au Salon international de l’automobile de Genève en 1971, avant que les ingénieurs ne reviennent longuement à la planche à dessin. Les premières voitures “clients” n’ont toutefois pas été produites avant trois ans, les livraisons ayant finalement commencé en 1974.
Les premiers exemplaires de la Countach LP 400 comportaient le moteur V-12 de 3,9 litres monté transversalement au centre et évalué à 375 chevaux. Quatre ans plus tard, la LP400 S délivrait une puissance réduite du même moteur, bien que revêtue d’une carrosserie plus agressive avec des arches évasées abritant les pneus arrière les plus larges jamais montés sur une voiture de route. En 1982, Lamborghini a présenté la LP5000 S équipée du même V-12 gonflé à 4,8 litres, toujours monté longitudinalement alimenté par six carburateurs Weber. Seulement 321 seront construites (dont l’exemplaire de cet article) en ce compris les affreuses éditions “Kustom” ultérieures 5000 QV et 25th Anniversary, lancées à la suite du rachat de la société par Patrick Mimran…
Sortant d’un stockage à sec (sic !) cette année après un séjour prolongé façon “Port-Franc et Off-Shore” avec un gardien basé au Royaume-Uni pour apporter la légalité du hors-taxes, cette Countach LP5000 S “Simplifiée”, c’est à dire sans les affreux appendices de la version Kustom), arbore une histoire d’exercice très économe avec seulement 5.495 km au compteur au moment du catalogage RM-Sotheby’s. Son état général, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, reflète son faible kilométrage. Le numéro de châssis #ELA12729# indique que cette Lamborghini aurait été achevée par l’usine Lamborghini en juillet 1984, finie à Bianco sur un intérieur en cuir Bianco assorti… La géniale affaire !
La Countach a été livrée à son premier propriétaire via Codeco S.A., un concessionnaire basé à Lausanne, en Suisse. Nous sommes informés que la Lamborghini a été conservée par son propriétaire suisse d’origine jusqu’en 2002 avant d’être vendue à un troisième et plus récent propriétaire en 2006. La voiture a été amenée au Royaume-Uni en février 2009, après quoi on nous dit que la voiture a été conservée dans une collection pendant environ une décennie et rarement conduite. Tout au long de 2022, la voiture a fait l’objet de travaux de remise en service par le spécialiste des voitures de performance, DK Engineering, basé près de Londres, en Angleterre. Les factures de l’atelier dépassaient 26.000 £ et comprenaient la rénovation des six carburateurs Weber ; le remplacement du maître-cylindre de frein ; l’enlèvement et reconstruction des arbres de transmission et pont arrière ; l’ajustement de la chaîne de distribution ; l’installation des tuyaux de liquide de refroidissement corrects ; et une remise à neuf des jantes, plus divers travaux supplémentaires effectués pour assurer le bon fonctionnement du V-12 Raging Bull. Ces factures ont pu être consultées dans les dossiers, à la suite d’une déclaration du propriétaire précédent pour vérifier que cette Lamborghini faisait partie de leur collection et que, malgré une utilisation aussi économe, ils ont amélioré les freins à une configuration AP Racing souhaitable ! Les techniciens de l’atelier m’ont également commenté que de nombreux composants sur la face inférieure de la voiture semblaient être d’origine, ne l’étaient pas, mais que c’était tout comme fait….
Toujours considéré comme une icône “collectionnable” avant repoussé les limites de la performance et du style (quelles sont-elles réellement si ce ne sont des légendes destinées à “faire acheter” plutôt qu’à “tenter de vendre”…, autant aujourd’hui qu’à l’époque, ledesign en coin (coin-coin gag !) de Lamborghini est un design sensé couper le souffle des ados boutonneux. S’il ne manquera toujours pas de toujours faire tourner les têtes (sic !), le simple fait de tenter de s’y asseoir puis surtout d’en sortir sans se rouler par terre après avoir frisé la crise cardiaque dans la circulation “moderne” accroupi au volant… est une sorte d’arnaque du design . Avec la LP5000 S, après tout, les riches idiots ayant la soif de paraitre n’ont pas besoin de l’acheter pour l’enfermer dans un garage, ils peuvent continuer à rêver de l’image archétypale de la bête en affichette punaisée sur le verso de la porte des toilettes pour chier à l’aise, sans devoir claquer un million pour la posséder garée dans un box-container de Port-Franc off-Shore…