Les aventures sexuelles d’un singe lubrique…
Chapitre #2
Quelqu’un dit : OK ! Continuez la narration épique de vos aventures sexuelles…
Orang-outan dit : Ce n’était pas du désespoir, mais pire. Le désespoir, c’est quand on est prêt à conclure avec n’importe quelle fille. Moi ce n’était pas le cas ; j’étais convaincu de rester seul toute ma vie. Une sorte d’handicap. Certaines personnes naissent aveugles, sourdes, ou trisomiques, voire les trois en même temps. Chez moi, c’était plus pervers ; je ne pouvais pas avoir de copine. C’était de naissance. Alors je ne draguais plus. Plus de drague, plus de déception. C’était mieux comme ça. Quand un jour j’ai fait la connaissance d’une fille qui était, comment dire; tout simplement ordinaire. Ce ne fut pas une rencontre comme au cinéma, il n’y a pas eut de coup de foudre. Non, mes sentiments sont venus petit à petit, au fur et à mesure que l’on se connaissait. A la fin, je pensais à elle tout le temps, je trouvai que c’était la plus belle fille du monde, alors que bon, elle était loin d’être sexy…. Elle aussi ne croyait plus à l’amour, mais elle a appris à me connaître et à m’apprécier. C’était le plus beau moment de ma vie. Dommage qu’on n’a pas conclu. Ben oui, je n’ai pas osé. On s’est contenté de se parler en se souriant, comme des enfants de 10 ans.
Quelqu’un dit : Ca ne m’étonne pas de vous !
Orang-outan dit : La première rencontre avec la fille de ma vie…, c’était à la bibliothèque de la fac, elle s’est assise à côté de moi. On se connaissait seulement de vue et on n’a rien eut à se dire. On est resté trois heures l’un à coté de l’autre sans se parler. C’est marrant non ?
Quelqu’un dit : Oui, c’est marrant ! Je me marre, là ! Piting !
Orang-outan dit : Jours après jours, nous avons appris à se connaître. On s’entendait bien, même très bien. On ne se voyait pas souvent, mais à chacune de nos rencontres, on discutait longtemps ensemble, je la faisais rire et nous avions le même caractère. C’était le début d’une belle histoire. Elle était comme moi, timide et elle n’osait pas faire le premier pas. Elle attendait sûrement que je le fasse. Et je n’osais pas le faire ; car dans ma vie d’handicapé de l’amour, le premier pas signifie se prendre un râteau et je préférais en rester là ; avoir une ouverture c’était déjà génial. Alors il ne fallait pas tenter le diable et tout perdre. Tous les jours je pensais à elle. Je me suis imaginé mille fois le jour où nos lèvres se rencontreront, j’avais mille scénarios où elle se rapprocherait de moi, où je lui prendrai la main, où nos regards s’embrasseront. Je prendrai toujours mon temps pour profiter de cet instant magique. Mais tous mes scénarios commençaient toujours de la même manière, on était seul tous les deux, chez moi ou chez elle. Et ça, ce n’est jamais arrivé. Non jamais. Je n’ai jamais osé lui demander de boire un verre ensemble pour mieux se connaître. Je suis convaincu aujourd’hui qu’elle aurait dit oui. Peut-être pas oui tout de suite, mais en lui disant que ce n’était que pour se connaître, qu’on l’on avait rien à perdre, elle aurait accepté. On parlait souvent d’amour, que l’on ne rencontrait pas assez de monde pour rencontrer l’âme sœur. Ce n’aurait peut-être pas été plus loin, mais je pense que si. En fait, on attendait mutuellement que l’autre fasse le premier pas. Ensuite, chacun de nous deux reprocha secrètement à l’autre de ne pas avoir fait le premier pas, et il y eut comme un froid entre nous. Finalement, dans mon cerveau d’handicapé de l’amour, j’ai tenté de me convaincre qu’il n’y aurait rien entre nous. Je me disais que plus j’imaginais une histoire avec elle, plus je me faisais du mal, car mon handicap n’interdisait toute histoire amoureuse. Pourtant, il y aurait pu y avoir quelque chose, car finalement elle fit le premier pas que je n’attendais plus.
Quelqu’un dit : Un premier pas au bord de l’abime !
Orang-outan dit : C’était dans un bar avec des amis. Quand je suis rentré, elle est venue vers moi, elle m’a pris la main et on s’est fait la bise. Elle s’est assise et comme il n’y avait pas de place à côté d’elle, je suis allé plus loin. Souvent dans la soirée nos regards se sont croisés. Une amie m’a fait remarquer que j’avais la cote. Mais dans ma tête c’était trop tard, je m’étais déjà convaincu qu’elle n’était pas faite pour moi, qu’elle méritait mieux. Alors j’ai bu une bière, puis deux et trois, c’est à dire un litre et demi. Elle était à présent seule, elle me regarda et me fit un signe de la main. Je suis allé m’asseoir à côté d’elle. Elle me souriait et elle n’attendait qu’une chose : que je l’embrasse. Je pouvais enfin conclure !!! Comme dans un film sentimental à deux balles où le héros imbécile réussi à ce faire un canon à la toute dernière scène du film alors que tout semblait perdu. Ma vie allait enfin basculer dans le bonheur. On dit que le chemin de la vie est tortueux et qu’il faut savoir prendre les virages. J’en avais loupé un paquet de virages. J’étais en plein désert complètement perdu quand j’ai retrouvé la route par hasard. Une route toute droite avec le bonheur droit devant à quelques mètres. Le ballon était sur la ligne de but, il n’y avait plus qu’à le pousser au fond des filets, j’avais tout mon temps pour le faire. Eh ben non seulement je n’ai pas réussi à marquer ; mais j’ai carrément marqué contre mon camp !!! Enfin ma vie allait basculer dans le bonheur. Elle me faisait les yeux doux et je n’avais plus qu’à lui prendre la main, un regard droit dans les yeux aurait suffit à nous unir.
Quelqu’un dit : Allez-y piting ! Et alors qu’est ce que vous avez fait ?
Orang-outan dit : Qu’est ce que j’ai fais ? Vous vous dites comment on peut faire pour dire non ? La réponse est simple et surprenante : je suis trop romantique. Je me suis dit qu’après m’être enfilé un litre et demi de bière, je devais avoir une haleine épouvantable. Je me suis dit que je ne pouvais pas faire ça à l’amour de ma vie. Cette fille, ce précieux diamant, ce paradis que je croyais imaginaire, celle que je n’attendais plus ; j’étais prêt à tout pour elle. Je ne voulais que son bonheur, je ne lui aurai jamais rien fait de désagréable. Et rouler une pelle à un mec qui a une haleine qui empeste la bière, je me suis dit que ce ne devait pas être agréable. Surtout qu’elle ne buvait pas d’alcool. Je ne lui ai rien dis, je me suis seulement un peu écarté d’elle pour la regarder dans les yeux et lui dire « Oui, mais pas maintenant, demain ce sera mieux pour tout le monde ». Je n’ai pas eut le temps de parler; quand je me suis reculé, elle a cru que je ne voulais pas d’elle. Elle s’est redressée. Je me suis encore plus écarté et pris un air distant, je croyais qu’en fait elle voulait seulement se redresser. Mais non, elle s’est levée et elle est partie. J’ai repris une bière et je suis rentré chez moi. C’est comme ça que c’est déroulé le moment de ma vie ou j’ai le choix entre le paradis et le purgatoire. Je suis vraiment con, non ?
Quelqu’un dit : Oui, vous êtes vraiment con, là ! C’est-y pas possible d’être con à ce point !
Orang-outan dit : Bien sur, rien ne dit que la relation avec la fille aurait été durable. On se serait peut-être séparé quelques jours plus tard. Après ça on s’est revu une seule fois et elle m’a annoncé qu’elle avait décidé de déménager. Je ne l’ai jamais revue et je n’ai jamais rencontré une fille avec qui je me sente aussi bien. Quel con.
Quelqu’un dit : Oui… On peut pas faire pire en matière de connerie !
Orang-outan dit : Le lendemain, j’ai rencontré un autre amour de ma vie, mais moins fort !
Quelqu’un dit : Vous savez qu’une bonne masturbation aurait pu tout arranger ?
Orang-outan dit : J’ai eu peur des conséquences !
Quelqu’un dit : Lesquelles !?!?!
Orang-outan dit : Ca rend sourd et j’ai envie de tout entendre !
Quelqu’un dit : Vous feriez mieux d’être sourd à ce qu’on pense de vous et de vous masturber plus souvent… Ce serait faire oeuvre utile, surtout pour les autres !
Orang-outan dit : A peine arrivés dans sa chambre, nous nous sommes embrassés longuement, tendrement, puis avec passion. Nous nous sommes mutuellement déshabillés. Elle pris mon sexe entre ses mains et le caressa. J’ai vu sa bouche s’en rapprocher. Mon cœur battait comme il n’avait jamais battu.
Quand elle passa sa langue sur sa bouche, j’étais en transe, au maximum de l’excitation. Le moment que j’attendais tant attendu allait enfin arriver, j’allais enfin avoir ma première pipe. Sa langue sortit de sa bouche et lécha le bout de mon bout. J’ai eut l’impression d’un électrochoc. J’avais l’impression de pisser sur une ligne à haute tension. C’était une sensation si forte, si agréable, si indescriptible que j’ai faillis faire un arrêt cardiaque. Jamais mon sexe n’avait été aussi dur. Au deuxième coup de langue je sentis un frémissement testiculaire signalant une prochaine irruption, ça faisait des années que mes couilles attendaient de pouvoir livrer leur production. Les réserves étaient pleines. Il y avait de tout, du tout neuf qui sortait de chaîne de fabrication comme du plus ancien bien mûr et au goût sûrement bien affirmé. Elle allait se régaler la petite. Mais il était trop tôt, ce n’était que le deuxième coup de langue. Alors sentant que le point de rupture était tout proche, je lui enleva l’eskimo de la bouche et commença à lui embrasser la poitrine, avant de lui caresser les cuisses. Je lui embrassa le ventre, puis mes mains et ma bouche sont descendues pour atteindre le sexe. J’y ai passé délicatement ma langue. Là aussi c’était pour moi une nouvelle expérience. Je sentis un goût bizarre. Je me suis dis qu’elle ne s’était sans doute pas lavée. Moi non plus d’ailleurs. Mais comme c’était la première fois que je passais mes papilles gustatives sur un tel morceau de viande, j’ignorais le goût que ça devait avoir. Je me suis dis que ça devait être normal et j’ai plongé ma langue entière dans l’orifice. Le goût était devenu vraiment insupportable. Je commençais vraiment à regretter de m’être aventuré dans cet obscur passage quand soudain un détail de la conversation du bar me revient à l’esprit : les ragougnasses !!! Elle avait ses ragougnasses et moi je lui bouffais ses ovules toutes pourries et puantes ! Le goût infâme de cette chose dans ma bouche et le fait de savoir ce que c’était provoqua une réaction immédiate : beurkkk ! J’ai eut un gros renvoi. J’ai essayé de contrôler ce que je pouvais. J’ai rentré ma langue et fermé la bouche. Mais la quantité était trop importante pour tout garder, j’ai dut en laisser un peu déborder sur le ventre de la nana. J’ai essayé de rattraper ma bévue comme je pouvais. J’ai tout ravalé et j’ai jeté un gros coup de langue pour reprendre ce qui m’appartenait. J’ai renvoyé tout ça à l’estomac.
Quelqu’un dit : Bèèèrrrk, c’est absolument dégeu ! La pôvrette, quel choc !
Orang-outan dit : Je pensais alors contrôler la situation. Je me suis même dis que cette petite défaillance hépatite avait un avantage ; elle avait enlevé le sale goût de ragougnasse de ma bouche. A la place j’avais un mélange d’alcool et de suc gastrique. Ce n’était pas top non plus, mais c’était mieux. En tout cas, c’était un goût que je connaissais. Je pensais donc que le malaise était passé, que je pouvais reprendre mon activité quand mon salopard d’estomac m’en empêcha. Le premier renvoi n’était que la première goutte de pluie de l’orage. Sans que je le sentis arriver, il arriva : le méga-beurk ; celui contre qui on ne peux rien faire, celui qui te renvoie tout ce que tu as bouffé depuis deux mois, celui qui te fait croire que ton trou du cul va te passer par la bouche. Dans ce cas, tu ne contrôles plus rien. Tu réalises que ton corps est plus puissant que ton âme et que tu ne peux rien faire. Alors tu laisses ton corps agir en espérant que sa colère se calme rapidement. Certains disent que le corps humain est la machine la plus perfectionnée dans l’univers. Quand je vois ce que cette machine est capable de produire, je dis que certains racontent de sacrées conneries. En tout cas c’est une machine puissante, il y en avait partout, sur les draps, le mur, par terre et surtout sur la malheureuse fille qui s’essuyait le visage. Elle n’a pas compris tout de suite ce qui venait de lui arriver. Elle s’est juste passé la main sur le visage, elle a ensuite regardé sa main en prenant une grande respiration et puis elle a eut une réaction normale ; voir quelqu’un vomir donne envie de vomir, alors quand on te dégueule en pleine face une gerbe d’ovule et de bière, tu fais ce que j’appelle un méga-beurk d’anthologie ; un vomi incontrôlable, subit, violent et monstrueusement puissant. La pauvre fille n’a même pas eut le temps de se tourner, elle est restée allongée sur le dos pour dégueuler. Une vraie baleine, un jet digne des plus belles fontaines, bien droit projeté vers le ciel et retombant en formant un dôme.
Quelqu’un dit : Dommage que vous n’avez pas filmé cette scène, vous auriez eu le prix Goncourt !!!
Orang-outan dit : On était tous les deux pleins de gerbes. Le lit en était couvert. La table de chevet et le mur avaient pris des éclaboussures. Elle s’est levée précipitamment pour aller dans la salle de bain. Grave erreur, la gerbe s’écoulant sur son corps tomba sur la moquette. On pouvait la suivre à la trace, mais j’aurai du m’abstenir de lui faire la réflexion. Le vomissement à une chose de regrettable quand on est ivre, il remet les esprits en place. C’est comme si tu sortais de ta peau et que tu te regardais en face. Sur le coup, ce n’était pas joli à voir. J’ai essayé de me redonner un peu de dignité en m’essuyant avec la face propre de l’oreiller quand la fille sortit de la salle de bain. J’ai vu dans ses yeux qu’elle avait radicalement changée d’avis sur notre future nuit. J’ai essayé de sauver ce qu’il pouvait l’être et j’ai tenté de faire de l’humour. Pas facile dans cette situation. Je lui ai dit « Quoiqu’il arrive entre nous, je n’oublierai jamais cette première nuit passée ensemble ». La réponse était facile, « Il n’arrivera plus rien entre nous. Fout moi le camp ». Je ne lui ai pas demandé si je pouvais prendre une douche, dans certaines situations, il faut savoir s’enfuir la tête basse. Je lui aurai bien proposé de nettoyer, mais après un bref coup d’œil sur les dégâts, je me suis dit qu’il fallait vraiment mieux partir. Je me suis habillé, les vêtements absorbant le vomi et je suis parti. J’ai pris les transports en commun, les gens me regardaient bizarrement dans un rayon de 10 mètres autour de moi….
Quelqu’un dit : Toucher le fond, c’est grave, mais redéfinir la profondeur, c’est admirable !
Orang-outan dit : Oui, après cela j’ai changé, j’ai vécu d’autres pulsions sexuelles…
Quelqu’un dit : Ahhhh ! De quel genre ?
Orang-outan dit : Mon fantasme, après ces expériences ratées, fut de me farcir une vieille. C’est ce que l’on appelle la gérontophilie. Certes c’est immoral, mais c’est assurément plus honorable que la perversité. Je sais de quoi je parle; je suis aussi un ancien pervers. Mais il y a bien longtemps, vingt-cinq ans exactement. A l’époque je vouais un culte immodéré pour le viol ménager, je passais des heures entières à observer les ménagères faire leurs courses dans les grandes surfaces. Et puis petit à petit, le bien a triomphé en moi et a terrassé à jamais mes attirances ignobles dont je n’avais pas conscience à l’époque. Mais aujourd’hui, après de multiples déceptions et autres désillusions, après avoir traversé de longues soirées de solitude, un nouveau penchant s’est vicieusement immiscé en moi. Aujourd’hui, ce qui m’attire, ce sont les mémés. Pas les vieilles riches, contrairement à ce que l’on pourrait penser, je ne suis pas à la recherche du gros héritage. Il est exact qu’une nonagénaire millionnaire et mal en point, c’est le placement idéal ; mais ce n’est pas d’investissement dont je veux vous parler, mais bien de passion. Ce n’est donc pas la vielle qui tente ridiculement de paraître jeune qui m’attire, mais bien la vieille à la peau fripée, aux poils au menton et à la verrue sur le nez. Celles qui essayent vainement de ressembler à une fille de 20 ans en se peignant le visage avec des kilos de maquillage me font même pitié. Je les image le soir se nettoyant le visage avec du détergeant. Si elles pensent que l’on ne va pas voir qu’elles sont vieilles, elles nous prennent vraiment pour des cons ! Les vieilles qui me plaisent sont les femmes bien dans leur tête qui ne cherchent qu’à profiter des quelques années qui leur restent. Et peu importe leur physique, même si j’ai un penchant pour les vieilles qui ont les cheveux longs. Ca les rend un peu moins vieilles. En plus c’est pratique pour s’essuyer la bite après une pipe.
Quelqu’un dit : C’est de pire en pire…
Orang-outan dit : Ces vieilles m’attirent parce qu’elles ont compris la futilité de la vie ; elles profitent de chaque instant en oubliant tout ce qui est artificiel ; elles font fi des apparences et des défauts de chacun. En même temps elles savent mieux que quiconque ce qu’est l’Amour, l’amitié et le respect des autres. C’est ce type de personnalité que j’apprécie le plus. Je ne crois pas que ces qualités soient réservées aux personnes âgées, mais c’est cependant avec elles que je préfère m’ébattre. Sans doute parce qu’avec mémé, je sais bien qu’il n’y aura que du plaisir charnel et de l’amitié, et jamais d’amour. Je peux alors me libérer totalement, alors qu’avec une fille de mon âge, il y a toujours la crainte de ne pas être bon et de gâcher une belle histoire. Je préfère donc farcir une mémé.
Quelqu’un dit : Et la zoophilie sera le prochain épisode je suppose, après une pulsion pour les cadavres ?
Orang-outan dit : Même si le corps des personnes âgées est repoussant, il y a une partie qui me charme particulièrement, c’est leur regard. Chez les personnes de tous âges le regard est très expressif. Et rien n’est plus excitant qu’un regard de désir, surtout sur un fond de plis, il ressort de plus. Je peux vous dire qu’une petite vieille qui n’a pas vu depuis des dizaines et des dizaines d’années un phalus vigoureusement tendu, le regarde comme si c’était la plus belle chose au monde. Surtout qu’elle sait que c’est peut-être la dernière fois qu’elle en voit un. Et ça m’excite énormément de me déshabiller devant de tels regards. Ce n’est pas très moral de leur montrer mon sexe, mais après tout, ce n’est qu’un morceau de peau. Tout en me déshabillant, je retire les vêtements de la mémé. Je le fais à ce moment là, pendant qu’elle est obnubilée par mon strip-tease. Car les mémés ont un corps immonde. C’est un fait, je ne le nie pas et elles non plus. C’est pour elles très gênant de se mettre nues devant un homme. Alors je les déshabille doucement. Souvent je commence à enlever ma ceinture et je m’approche d’elles pour qu’elles enlèvent mon pantalon. Je profite de leur occupation pour leur dégrafer leur chemisier et leur glisser délicatement une première caresse furtive. Il faut les déshabiller tout en maintenant l’érotisme, doucement, sans qu’elles s’en aperçoivent. Lorsque je leur ai enlevé le haut, je les embrasse tendrement, ride après ride. Ma langue dépoussière tendrement les replis de leur peau. Ma partie préférée des corps des mémés, c’est le milieu du dos, là où l’arthrose les empêchent de se laver correctement depuis des années. La crasse à cet endroit a un goût merveilleux.
Quelqu’un dit : Vous êtes immonde, comment ai-je pu me laisser manœuvrer par vous pour publier ces horreurs ! même massacre à la tronçonneuse est moins pire que votre histoire. Quoique, finalement, il y aurait sans doute moyen de revendre votre histoire à un réalisateur de films pornos hard et horribles !
Orang-outan dit : Mes caresses ont un double effet, en plus de leur bienfait intrinsèque, elles font resurgir de la mémoire chez les mémés, tous les plus beaux moments de leur vie sexuelle. Elles sont aux angex, les mémés mémé de se faire dépoussiérer rides et souvenirs; et moi je suis heureux d’apporter du bonheur. Après ces longs préliminaires, quand elles ont fini de se souvenir de leurs meilleurs orgasmes, il leur vient souvent l’idée de faire l’acte une nouvelle fois ; peut-être la dernière. Nos préliminaires s’intensifient ; alors que jusque là, elles se laissaient faire, elles décident de prendre les devants et j’ai le droit à une divine gâterie. La fellation est très agréable quand elle est réalisée par une mémé qui n’a plus de dents. Et pour qu’elle soit encore meilleure, je ferme les yeux, pour imaginer un visage de rêve à la place de celui de la momie. Un détail important, l’émotion et l’âge avancé sont parfois la cause de certains oublis de la part des mémés. Il est préférable de contrôler qu’elles ont bien enlevé leur dentier ; sinon elles risqueraient l’étouffement en l’avalant. Il faut aussi vérifier qu’il ne reste pas un vieux stérilet oublié qui pourrait blesser le sexe ou la langue. La pénétration est d’ailleurs le moment le plus délicat. Là, faut vraiment y aller doucement ; le passage est si sec malgré les fuites urinaires que s’érafler la bite y est facile. Mais la règle de sécurité numéro un, c’est de ne pas faire jouir les mémés trop fort; une émotion trop violente risquerait de les tuer. Ce serait une belle mort, certes, mais je me vois mal l’expliquer à leurs enfants qui ont eux-mêmes l’âge de mes parents… De même, je ne vais jamais au bout quand je juge que la personne est trop fragile, j’ai trop peur de lui casser le bassin. Je préfère fréquemment me finir à la main. Cependant, l’acte avec les mémés présente des avantages que n’offrent pas les jeunes filles. Une mémé ne peut pas tomber enceinte. Une mémé n’a jamais ses règles. Une mémé n’a pas le Sida, car elle n’a pas couché depuis 30 ans. Une mémé ne se plaint pas si ma performance est médiocre, et côté performance, il est impossible d’éjaculer précocement quand on se tape un sac d’os et de rides. Finalement j’arrive même à prendre du plaisir physique, mais c’est bien mentalement, pour les mémés et moi que l’on prend le plus de plaisir.
Quelqu’un dit : Je vous quitte quelques minutes, je vais vomir !
Orang-outan dit : Souvent, après le rapport, les mémés restent allongées, immobiles, avec un sourire immense accroché à leur visage. Parfois pendant plusieurs jours, elles restent comme illuminées. Je repars toujours avec la fierté d’avoir accompli une bonne action. Je ne perçois pas cela comme des rapports sexuels, mais comme un extra, une sorte d’aide à domicile aux personnes âgées. L’assistance classique leur apporte déjà beaucoup, certes, mais elle leur permet simplement de vivre dignement. Arrivées à un certain âge, les vieilles ont peur de devenir grabataire. Elles vivent dans la crainte et perdent peu à peu confiance en elles. Un bon débourrage, ça leur permet de reprendre du poil de la bête, et puis ça me vide les couilles.
Quelqu’un dit : Continuez, je retourne vomir !
Orang-outan dit : Puis-je profiter de votre absence pour passer un message à destination des mâles vigoureux qui lisent gatsbyOnline ? je pense principalement à notre ami commun, Philou, qui a la chance de vivre avec une jeune chinoise…
Quelqu’un dit : Faites donc, au point ou on en est, je ne risque plus grand chose de pire !
Orang-outan dit : Philou, toi qui lis ces lignes, pourrais-tu avoir un petit moment de recueillement en hommage à ma frustration, la prochaine fois où tu te feras sucer la bite ? Lorsque tu auras livré ta liqueur dans un des orifices de ta dame, lorsque tu l’allongeras en respirant profondément, lorsque ton esprit redescendra sur terre après avoir touché le firmament du nirvana, lorsque tu te diras « Que c’est bon la vie », auras-tu une petite pensée pour moi, moi qui n’ai pas le bonheur d’avoir une langue féminine pour lécher mon organe génital ? Il y a bien mon chien, mais c’est pas top. Sa manière trop maladroite de lécher me procure peu de sensations. Je ne lui en veux pas à cette pauvre bête, elle fait ce qu’elle peut. Elle ignore le plaisir que l’être humain masculin reçoit lors d’une fellation, c’est pour cela qu’elle ne s’applique pas. Peut-être que je devrai le sucer pour qu’il réalise tout le bien que ça fait ? Bof, je ne suis pas motivé… De toute façon, la forme même de sa gueule de yorkshire l’empêche de réaliser des prestations correctes. Mais cela me permet quand même de goûter de temps en temps à ce bonheur. Même si c’est mal fait, c’est fait du bien. Enfin pendant l’action, c’est agréable, je m’y crois vraiment et pris dans la passion il m’arrive parfois de rouler un patin à mon chien. Il n’aime pas trop d’ailleurs. Mais trois secondes après l’éjaculation, la tristesse et la frustration s’emparent à nouveau de ma pauvre âme en détresse. Jusqu’au lendemain ou je goûterai à nouveau à ce bonheur éphémère.
Quelqu’un dit : Je n’ai plus rien à dégueler et j’en ai pourtant encore envie ! Vous êtes le pire abominable imaginable !
Orang-outan dit : Se farcir son chien peut paraître écœurant aux yeux des défenseurs des animaux. Pourtant je ne lui fais aucun mal. Je n’ai jamais essayé de le pénétrer, et je ne l’ai jamais forcé et encore moins maltraité. Je l’adore mon chien. Je l’ai appelé Gromit. Oyable et Gromit, c’est rigolo non ? C’est immoral de se servir de son chien pour ses jeux sexuels, certes, mais uniquement dans notre moralité. Le chien, lui, il s’en fout, ça ne le traumatise pas. Je l’ai seulement dressé comme certains maîtres apprennent à leur chien à donner la papatte. Pour lui apprendre la fellation, je me suis tout simplement recouvert la bite de miel et je lui ai tendue. C’est bien le miel, parce que c’est collant, il faut le lécher longtemps et fort pour tout prendre. J’utilise un bon miel bien gluant acheté pendant les vacances au producteur. Le plus difficile n’a pas été à apprendre à Gromit de me sucer, mais à l’empêcher de me mordiller… Ensuite, lorsque j’ai pris mon plaisir, je lui donne sa nourriture quotidienne. Dans sa tête c’est simple, après m’avoir sucer, il bouffe. Alors, il me suce vigoureusement pour manger plus rapidement. J’ai essayé de lui apprendre à bouffer mon sperme. Hélas, ce n’est apparemment pas de son goût. Il a pourtant l’habitude de bouffer mes restes après mes repas. Alors après chaque éjaculation, je bouffais mon propre sperme et j’en lui tendais un peu, pour qu’il y prenne goût. Mais rien à faire, il n’aime pas ça. C’est dommage, c’est bourré de protéines ; c’est le complément idéal des croquettes. Mais ce n’est pas grave, le plus important est de sentir sa petite langue fouettée voluptueusement la peau de mon gland.
Quelqu’un dit : Je me doutais que vous alliez dériver vers la zoophilie !
Orang-outan dit : Ne suis-je “Orang-outan, le singe lubrique du web” ?
Quelqu’un dit : Si, si… Vous l’êtes !
Orang-outan dit : Cependant, j’aurai une bonne raison de lui en vouloir, à mon chien. C’est de sa faute si j’ai eut la honte de ma vie. Une honte telle que j’espère vous n’en connaîtrez jamais. Ma vie a même basculée ce jour là. C’était le samedi 7 janvier 2006. J’avais invité tous mes amis (soit 5 personnes) pour manger chez moi, le désert évidemment étant une galette des rois. Il était 22h30, soit près de deux heures après l’heure habituelle du repas de Gromit. Mon fidèle compagnon commençait à avoir grandement faim. Je me suis alors innocemment assis sur le canapé, quand mon brave Gromit me réclama sa pitance avec la manière que je lui avais éduquée… Je venais a peine de m’assoire quand il a bondit sur moi et s’est précipité sur ma brayette. Il s’est mis à la gratter et à la lécher, en poussant des petits jappements. Je suis devenu immédiatement rouge écarlate et j’ai bafouillé un truc du genre « pas maintenant ». Ma réaction a été comme un aveu. Tout le monde a compris les relations que j’entretenais avec cette tendre boule de poils. Deux minutes plus tard, mes invités étaient partis, sans m’adresser la moindre parole, mais avec un regard de dégoût qui en disait long. Depuis ce jour, je n’ai plus d’amis. Je vous avouerai que j’ai bien eut les boules. Je me suis senti bien con, bien minable, sans aucun honneur. J’étais prêt à prendre le premier avion à destination de l’antarctique… Mais après réflexion, je me dis que ce ne sont pas de vrais amis, sinon ils m’auraient compris. Car je l’ai déjà dit, je ne vois rien de mal dans cette pratique. Le chien est un animal de meute et il doit accomplir des actions de soumission pour témoigner de l’obéissance à son maître. Tous les dresseurs vont le diront. Les gens qui jugent que sur l’apparence des situations sans comprendre ni mes motivations, ni ma détresse ne méritent pas d’être mes amis. Gromit, lui, il me comprend. Il est toujours à mes cotés.
Quelqu’un dit : Pauvre bête, certain qu’on va avoir des ennuis, Brigitte Bardot ne va pas laisser passer l’occasion pour vous flanquer une tatouille de première !
Orang-outan dit : Quand j’étais plus jeune, une de mes jeunes copines rêvait de lui ressembler !
Quelqu’un dit : Quel rapport ?
Orang-outan dit : Ben, maintenant, mon ex-copine lui ressemble ! Elle a du attendre ses 70 ans pour y arriver !
Quelqu’un dit : Quelle tristesse ! Et après, qu’allez-vous encore me narrer comme horreurs ?
Orang-outan dit : J’ai rencontré l’alcool au début de mes études, quand j’ai quitté la profonde campagne désertique où je ne sortais jamais, pour débarquer dans un monde de liberté. Mon corps d’adolescent attardé de 18 ans ne demandait qu’à découvrir de nouvelles formes de plaisir et de nouvelles substances. Elles sont si belles les jeunes étudiantes. En arrivant en ville, j’ai eut l’impression d’être un enfant débarquant dans une maison en chocolat où tout était comestible. Alors je me jetais sur chaque fille pour la draguer. Jeune fou furieux que j’étais. Heureusement, j’ai bien changé depuis. A cette époque, avec toute ma timidité, je ne savais que leur dire et lorsque l’inspiration venait, je bafouillais. J’essayais de me rattraper avec de l’humour. Vous connaissez mon sens de l’humour, il n’est pas très délicat, alors le désastre était inévitable ! Mais je m’en foutais, il y avait tant de filles à draguer. C’était même mieux de draguer rapidement, mon sort était immédiatement connu et je pouvais passer à une autre fille. Finalement après des dizaines, que dis-je, des centaines de râteaux, ma confiance a commencée à s’ébranler et j’ai entrepris de changer ma technique. Il fallait moins de rentre dedans. Mon physique de frite du Mac Do ramollie ne me permettait pas l’attaque directe, il fallait absolument charmer, c’est-à-dire raconter des bobards crédibles pour émouvoir la potentielle victime et profiter d’un moment d’intention pour lui rouler une pelle baveuse. Mais comment faire pour draguer quand on reste figé comme un merlan devant une fille ? Je n’y peux rien, quand une fille est en face de moi, j’y ai une libération d’hormones à la con et je bloque totalement. Je sais, c’est ridicule, mais je n’y peux rien. Comme il y en a qui boite, d’autre qui bégaye, moi je me cimente devant une fille. Car c’est peut-être la fille de ma vie ; si j’assure, ma vie peut basculer de la misère dans le bonheur. Alors me voila avec les mains moities, tremblantes, un sourire méga crispé et absolument rien à dire… Pour lutter contre ça, j’ai décidé de me doper, comme les sportifs. Si on n’a pas assez de talent, si on veux gagner, on n’a pas le choix, on doit prendre des produits pouvant être dangereux pour la santé. Un soir, avant de sortir en boite avec des amis, j’ai picolé le maximum que mon estomac pouvait supporter. J’avais les dents du fond qui baignaient. Ce soir là est jusqu’à aujourd’hui, le plus beau moment de ma vie.
Quelqu’un dit : Vous avez tous les vices !
Orang-outan dit : L’alcool rend certains violents, d’autres dépressifs et suicidaire. Moi, j’ai une chance inouïe, l’alcool me rend heureux. Oui, lorsque j’ai bu, mon cœur n’est plus triste, une joie de vivre m’envahit, un sourire radieux rayonne sur mon visage. Je suis tout simplement heureux ! Alors je danse, je ris, j’hurle « Vive l’alcool ! ». Je me moque de tout, plus rien ne peut m’arriver. Les filles ne me font plus peur, car je n’ai plus besoin d’elles pour être heureux, et je ne me gêne pas pour leur dire ! Je cherchais en vain le bonheur au près des demoiselles alors qu’il était dans mon frigo, attendant notre rencontre patiemment dans sa bouteille. “Vodka, Vodka, Vodka. J’étais totalement perdu quand je t’ai rencontré. Tu as su trouver les bons maux pour me faire oublier ma misère et tu as insufflé en moi cette joie de vivre qui me manquait. Jamais tu ne m’as déçu et chacune de nos rencontres est un vrai moment de bonheur. Je te connaissais depuis longtemps, mais je n’avais jamais pris le temps de t’apprécier. Je n’aurai jamais pensé que tu sois l’amour de ma vie. Pourtant c’est bien toi“…
Quelqu’un dit : C’est vrai que les lendemains matins sont toujours difficiles, le corps est endolori par la nuit de folie, le regard se perd dans le vide, la gueule est pâteuse, la tête tourne…
Orang-outan dit : C’est triste de se retrouver dans un tel état, mais si c’était si simple d’être heureux, ça se saurait. La vie n’est pas si rose, sauf peut-être pour les alcooliques. Il faut savoir accepter les moments les plus difficiles. Je me sens si seul ces fameux petits matins, quand je sors de mon coma, seul dans mon lit. Car l’alcool ne m’a jamais déçu, et a toujours été là quand j’ai eut besoin de lui.
Quelqu’un dit : C’est la définition même de l’amour parfait !
Orang-outan dit : J’ai même eut l’idée de créer une association dans les premières années de notre vie commune. Je l’aurait nommée « Epanouissement Alcoolique au Mépris Total de la Santé » Contrairement aux alcooliques anonymes qui regroupent que des gens malades et dépressifs, le but était de valoriser les bienfaits de l’alcool. Et oui, comme toute personne découvrant que la vérité est ailleurs, j’ai eut envie de faire découvrir au monde que d’autres voient du bonheur. Mais finalement je n’ai jamais créée cette association.
Quelqu’un dit : Oui, sans nul doute que lorsque l’on rencontre son Amour après des années d’errance, on lui consacre toute sa vie et on ne prend pas le temps d’aider les autres à trouver les chemins du bonheur !
Orang-outan dit : A chaque soirée que l’on a passé ensemble, certaines mauvaises langues disent que je « picole ». C’est faux, je fais tout simplement l’Amour, le vrai, quand les corps se confondent pour toucher l’ivresse, quand le bonheur est tel que l’on oublie tout, quand on est transporté dans une autre dimension où tout est bonheur. Je commence toujours mes rapports avec de longs préliminaires, fait d’apéritifs, de bières et de cocktails, doucement, tendrement pour prendre soin de savourer chacune de ces douceurs. Chaque verre est une caresse qui fait avancer d’un pas mon corps et mon âme vers le bonheur. Doucement l’ivresse m’envahit. C’est une si douce sensation de se sentir transporter vers les cieux de la jouissance. Ensuite, sans m’en apercevoir, l’ivresse prend possession de tout mon corps. Je ne calcule plus, je me lâche, je plane dans un ciel bleu, c’est l’orgasme. Pas un tout petit orgasme de quelques secondes, non, un orgasme de plusieurs heures à danser et à rire. C’est si bon, si indescriptible. Depuis que je vis ce genre de moments, je sais pourquoi je vis. Pris dans mes tourbillons d’ivresse, j’ai envie de repousser les limites extrêmes du plaisir. Je fais durer l’orgasme le plus longtemps possible, jusqu’aux limites de mon corps, pour avoir toujours plus de sensations.
Quelqu’un dit : Hélas, l’orgasme éternel n’est pas de ce monde, et lorsque l’on réalise que sa fin est proche, il est déjà trop tard, non ?
Orang-outan dit : C’est bien vrai, la jouissance touche alors à son paroxysme et c’est l’éjaculation. Le corps reprend son droit; il dit « stop » et l’esprit redescend sur terre. Je me retrouve un peu drogué par les émotions, les idées encore dans les nuages, et je regarde le liquide fraîchement rejeté sans trop savoir quoi en faire. L’éjaculation sexuelle ne génère que quelques gouttes, mais avec l’éjaculation alcoolique, c’est carrément une flaque qu’il y a devant moi. C’est bien la preuve que l’orgasme alcoolique est bien plus fort que l’orgasme sexuel. Alors je nettoie sans aucun dégoût car c’est le fruit de mon amour que je ramasse, ce ne peut donc pas être sale. Un jour peut-être j’aurai un enfant, un métis entre un humain et l’alcool qui gira sur le sol, baignant dans son placenta de gerbe. Je ne suis pas très bon en médecine, mais je ne pense pas que ce soit possible… Ce n’est que le rêve d’un fou dont l’esprit vagabonde au gré de sa folie, en attendant que son corps récupère de son effort. C’est ainsi que je reste allongé dans mon lit, complément exténué par la nuit de folie. Je suis si follement amoureux. C’est hallucinant comment l’amour vous entraîne si loin de la réalité et des biens matériels. Après avoir fait l’amour toute la nuit, je n’éprouve pas le besoin de manger le lendemain. Ni même boire, en tout cas rien d’autre que des boisons non alcoolisée. Je suis fidèle moi ! J’ai eut tant de mal à trouver mon amour que je ferai tout pour ne pas le décevoir. Et jamais je ne le tromperai, jamais !
Quelqu’un dit : Vous avez déjà pensé consulter…? Je connais un très bon psychiatre qui pourrait vous permettre de connaitre les joies d’un séjour dans un établissement de tous repos, vous y seriez très bien, si, si…
Orang-outan dit : Les humains préfèrent généralement commencer une histoire d’amour avec une personne au corps parfait. C’est naturel. Les mecs draguent en priorité les plus jolies filles et les filles me draguent en dernier. Mais ce n’est pas la beauté du physique qui est le plus important. Non, c’est la personnalité. J’en suis certain. Peu importe que la fille soit normale ou très jolie. Non, ce qui compte le plus, c’est qu’elle suce bien. Une fille au corps de rêve n’apporte rien de plus si elle est froide comme un glaçon. Il faut encore mieux un gros boudin boutonneux aspirateur de bites et videur de couilles.
Quelqu’un dit : Oui, on voit que vous êtes connaisseur !
Orang-outan dit : Aller, j’arête d’être vulgaire et je vais parler d’une rencontre qui m’a permis d’avoir cette certitude : peu importe le physique de l’autre car le jour où on devient amoureux, le visage de l’élue de son cœur est toujours le plus beau du monde. J’ai déjà fais la connaissance de filles au sourire dévastateur. Le genre de fille dont on tombe amoureux dès le premier regard sans même la connaître. Le cœur est amoureux, oui, mais l’esprit que fait-il ? Je n’ai jamais conclu avec ce genre de filles, mais j’ai l’impression que cet amour est plus une prison qu’un bonheur. On est prisonnier de l’effet ressenti devant le charme de la fille et dans ce cas l’amour n’est que le bonheur d’assouvir le désir. Comment savoir si on aime la personnalité de sa copine quand on était déjà amoureux avant de la connaître ? J’ai en revanche rencontré une fille au corps peu séducteur, mais avec une mentalité proche de la mienne. Petit à petit nous nous sommes plu et son corps, son sourire, son regard m’ont paru de plus en plus attirant chaque jour, jusqu’à considérer cette fille comme étant la plus belle du monde. C’est ça la magie de l’amour. Dans ce cas, l’attirance physique n’est pas du à la beauté de la fille, mais aux sentiments qui se sont révélés.
Quelqu’un dit : Dans ce cas, on est sûr d’être vraiment amoureux !
Orang-outan dit : J’ai eu la chance de croiser le chemin d’une fille exceptionnelle. Le genre de fille unique au monde, aussi bien physiquement que mentalement. Surtout physiquement depuis son accident. En effet, je suis tombé amoureux d’une fille qui avait chuté dans un barbecue. Je l’ai rencontré au boulot, elle a été embauchée pour son handicap, c’est obligatoire de prendre des handicapés dans les sociétés d’une certaine taille. Deux ans avant notre rencontre, au cours d’une soirée trop alcoolisée, elle s’est vautrée la tête en avant complément ivre dans les cendres encore fumantes du barbecue. C’est à cet endroit précis qu’elle a fait son coma éthylique. Elle est resté allongée comme ça pendant deux heures, le visage cuisant à feu doux…. Elle a depuis les marques du charbon incrustées sur la moitié gauche de son visage. Sa peau ressemble à une escalope trop cuite où nage un œil à moitié crevé, tel un œuf sur une pizza grillée. De plus, quand elle transpire, on sent comme une odeur de merguez. Pas facile d’imaginer l’avenir sereinement avec une gueule pareille. Juste après sa cuisson, elle a fait une grave dépression qui s’est achevée par une tentative de suicide. Elle s’est allongée sur une voie ferrée et elle a attendu le train. Heureusement pour elle, son œil grillé lui empêchait de voir le relief : elle ne s’est pas allongée sur la voie empreintée par le train, mais sur la voie d’à coté. Elle a seulement eut les deux jambes d’arrachées. La vie est parfois cruelle. C’est ainsi que j’ai vu débarquer au boulot cette escalope grillée sur chaise roulante, embauchée car elle comptait double dans le personnel handicapé.
Quelqu’un dit : Je me doutais que ça allait de nouveau dégénérer… c’est chaque fois pire… Personne n’arrivera à lire cette histoire jusqu’au bout… On va avoir des ennuis, je le sens, maintenant une handicapée, piting !
Orang-outan dit : Les relations étaient étranges au début. Tout le monde se forçait d’échanger quelques mots avec elle, mais c’était plus par pitié qu’une réelle motivation de connaître la personne. Mais cette fille nous a rapidement mis à l’aise, grâce à son sens de l’humour et de l’autodérision. Mentalement, je pense qu’elle est un peu comme moi ; elle ne sait pas pourquoi elle vit. Alors elle ne pense pas à l’avenir et profite au maximum des instants présents. Ce qui m’a vraiment fait craquer, c’est sa joie de vivre malgré tous ses handicaps. Elle minimise tous les problèmes de la vie pour ne prendre que les bons moments. Après ce qu’elle avait vécu, plus rien de ne peut lui faire du mal. Cette fille m’a beaucoup apporté, c’est tout simplement un distributeur de bonheur. Elle est devenu mon carburant quotidien et elle m’a tout simplement montré la beauté de l’existence. Dès que je n’avais pas le moral, je discutais un peu avec elle et elle arrivait toujours à me faire retrouver le sourire. Une amitié est née entre nous et c’est devenu rapidement de l’amour.
Quelqu’un dit : Un amour réciproque ?
Orang-outan dit : Oui, j’ai eu envie d’elle. Malgré sa laideur à faire vomir, lorsque je vois dans son œil coulant de pus, au milieu de son visage tuméfié, je ressens alors une sensation d’extase indescriptible : on comprend que l’amour le plus fort n’est pas celui des corps et des apparences mais bien celui des âmes ; et être éperdument amoureux d’un monstre apporte un sentiment supplémentaire à un amour d’une personne normale. J’ai su que notre amour ne repose sur rien de matériel, rien ne pourra nous atteindre. Et lorsque l’on s’embrasse à pleine bouche, je vous jure que je n’échangerai pas ma copine contre tout l’or du monde. C’est vrai qu’au début je la trouvais monstrueuse, mais petit à petit, j’ai commencé à lui trouver du charme. Lorsque je fus vraiment épris d’elle, je la trouvais magnifique. C’était la plus belle escalope du monde. Ses boursouflures étaient les plus belles cloques du monde. J’étais si amoureux d’elle. Je venais de comprendre ce que c’était que l’Amour, le vrai. Ce ne sont que des sentiments, pas de préjugés. J’étais fier de l’embrasser passionnément dans la rue devant les passants aux regards remplis de dégoût. Pauvres gens, ils me prenaient pour un désespéré, alors qu’ils sont très loin d’être aussi heureux que moi. Au lit aussi c’était avec plaisir que je la sortais de son fauteuil roulant pour la placer sur moi. Les filles cul de jatte sont bien plus faciles à pénétrer. En plus, elles sont plus légères à secouer sur soi. Sa position préférée était le 69, ou plutôt le o9…
Quelqu’un dit : Piting… Une cul-de-jatte défigurée qui…. Vous vous rendez compte de ce que vous faites, c’est immonde !
Orang-outan dit : Mais cette idylle n’a pas duré longtemps. Lorsqu’on aime quelqu’un, on n’a pas envie qu’il vive avec un monstre toute sa vie. C’est pour ça qu’elle a préféré tout arrêter. Je n’ai pas réussi à la convaincre de rester avec moi. En même temps je pense qu’elle avait raison. Si je me mets à sa place, je comprends. Alors elle est partie, elle a démissionné, déménagé et je ne la verrai plus jamais. Il ne me reste de cette histoire que des souvenirs et une certitude…
Quelqu’un dit : Quelle certitude ?
Orang-outan dit : Peu importe le physique, le visage de l’Amour est toujours attirant.
Quelqu’un dit : Elle est immorale, votre histoire ! Mais en fait c’est de la foutaise !
Orang-outan dit : Vous avez raison, si j’étais amoureux de ce laideron, ce n’était pas pour la beauté de son âme, c’est parce que c’était la seule meuf à bien vouloir me vider les couilles.
Quelqu’un dit : Vous êtes odieux !
Orang-outan dit : C’est beau l’amour, non ? C’est la plus belle chose au monde, et sans doute la plus puissante. Mais comment fonctionne l’amour ? Vaste question. Cette histoire peut apporter un élément d’explication : il est possible d’être amoureux de n’importe quel monstre, si c’est la seule personne a accepter de te sucer la bite. Dis comme ça, c’est un peu cru, mais c’est pourtant vrai. Nous sommes soumis à des exigences physiques vitales. Boire, manger, chier, et se vider les couilles (ou se ramoner le vagin). Les trois premiers, on peut s’en occuper tout seul. Le dernier aussi, mais c’est au moins 1000 fois quand on ne le fait pas seul. C’est tellement plus agréable que l’on devient souvent amoureux de la personne qui réalise la vidange. Je suis sur que vous connaissez des couples qui ne sont pas fait l’un pour l’autre, mais qui restent cependant ensemble : c’est le cul qui les lie.
Quelqu’un dit : Vivement que les manipulations génétiques puissent vous améliorer !
Orang-outan dit : Bon, je vais bouffi, puis je reviendou continuer à vous narrer mes aventures sexuelles, ok ?
Quelqu’un dit : OK ! A plus !