Les aventures sexuelles d’un singe lubrique…
Chapitre #3
Quelqu’un dit : Bon, maintenant que vous avez bouffi, pouvez-vous continuer à narrer vos extraordinaires et pathétiques aventures sexuelles ?
Orang-outan dit : C’est de plus en plus une certitude : je ne suis pas fait pour baiser. Ce n’est de ma faute, je n’y arrive pas ; je suis limite un handicapé de la bite. Vous me direz « c’est normal », la baise c’est comme tous les sports et la bite c’est comme tous les instruments : il faut en faire régulièrement pour s’améliorer. Si on en fait une fois de temps en temps, il ne faut pas s’étonner du fiasco. Mais commençons par le début. Par respect pour cette fille, je ne divulgue pas son prénom, je vais la renommer en un prénom très ancien que j’aime beaucoup : Radégonde. Pour votre culture, Radégonde fut reine des francs au VI ème siècle et sa fête est le 13 août et le 28 février. J’ai donc rencontré cette certaine Radégonde, peu importe où, peu importe comment, ce n’est pas important. Disons que je l’ai rencontré par hasard un soir d’été, un soir de fête où l’on parle à tout le monde. On avait raconté un peu n’importe quoi et dans l’euphorie festive, nous avions échangé nos adresses mail. Je l’ai contactée sur MSN la semaine suivante. On a parlé de tout, de rien, de soi et enfin d’amour, de solitude, de confiance en soi. Sur ce point là, on était assez proche, nos vies sentimentales étaient au point mort, mais elle me laissa comprendre qu’elle aimait la vie, c’est-à-dire les histoires d’un soir. Et au bout de quelques heures de discussion, elle me proposa de passer un week-end chez elle. Le souci est qu’elle habite à 400 kilomètres de chez moi. Je lui ai laissé sous entendre que 400 kilomètres, ça fait beaucoup juste pour discuter. J’ai obtenu un « plus si affinité » qui me combla ! Et s’il n’y avait pas d’affinité, il y avait le canapé. Lorsque j’avais rencontré Radégonde ce soir d’été, je ne l’avais pas trouvé particulièrement jolie, mais bon, je me suis dit qu’il fallait que j’y aille. Cela ne pouvait que me faire du bien. A défaut d’avoir eut le coup de foudre en la voyant, je contenterai d’un coup de foutre.
Quelqu’un dit : Ahhh, que c’est bien dit ! Quel poète !
Orang-outan dit : Je suis arrivé chez elle l’après-midi, on s’est baladé et on a discuté pas mal de temps, mais étrangement, il n’y a pas eut de drague entre nous. On ne s’est pas chauffé, pas fait d’allusion… Je commençais à douter de ses intentions, jusqu’au moment d’aller se coucher. Elle m’a dit « on prépare le canapé, ou… » suivi d’un silence accompagné sourire coquin. Je lui ai répondu avec ma voix de charmeur « Je dors là où tu le désires, du moment que tu sois à mes cotés ». C’est une belle réplique non ? Mais en fait, je ne lui ai pas répondu ça. Je n’ai pas été romantique du tout, j’ai répondu immédiatement « Le canapé ? Tu te fous de ma gueule ou quoi !? »
Quelqu’un dit : C’est direct ! Là c’est certain qu’elle vous a flanqué à la porte !
Orang-outan dit : Non, du tout, elle a rigolé et elle s’est approchée de moi et nous nous sommes embrassé. Piting, ce que j’étais content ! J’allais passer une nuit d’amour, c’était trop cool ça ! En plus elle m’avait dit qu’elle était du genre câline, exactement ce que j’adore. Ravi et excité, j’ai lancé ma langue à l’assaut de sa dentition. Premier raté, sa bouche n’était qu’entre ouverte. Doucement m’a-t-elle dit. Je compris alors la stratégie ; celle de deux amants qui prennent le temps de savourer leur premier baiser. Je ralenti donc et tentait de suivre la langue qui caressait la mienne. J’ai fait une première constatation : Radégonde maîtrisait parfaitement le maniement de la langue. Un très bon présage pour la suite… Ensuite, elle me proposa de prendre une douche. Cette idée ne m’a pas déplu. J’ai eu l’impression la soirée était organisée et ce n’était pas pour me déplaire. Je me suis laissé faire comme un jeune enfant. Je me suis laissé déshabiller, laver et conduire dans la chambre vers le lit pour les choses sérieuses. La douche fut rapide, la cabine était étroite pour deux et j’ai besoin d’espace pour gesticuler ! De plus, je n’avais pas de temps à perdre… On a pris la direction du lit. Il faisait chaud et on a ouvert la fenêtre. Un doux souffle caressait agréablement nos corps, éclairés par les faibles lumières de la ville endormie. On a commencé tranquillement par des bisous, agrémentés de caresses, tendrement, en prenant notre temps. Je lui ai caressé les seins, une belle paire assez volumineuse. J’ai joué quelques instants avec, avant de descendre vers le sexe. Sur le chemin, j’ai embrassé tendrement le nombril et j’ai constaté la présence d’un piercing juste au dessus du sexe. J’ai déposé un baiser sur ce piercing et j’ai passé à l’essentiel : le sexe féminin. J’ai toujours eu beaucoup de mal avec cette chose. Je ne trouve jamais l’entrée rapidement. Pas seulement pour y mettre mon sexe, mais également, et ça c’est plus grave, pour y glisser un simple doigt ou la langue. A ma décharge, il faut reconnaître que c’est un sacré bordel ce système d’ouverture. C’est un enchevêtrement complexe à plusieurs niveaux, composé d’un premier rideau de lèvres, puis comme si ça ne suffisait pas, d’un second rideau. Le tout avec des plis, des replis, des coins et des recoins. Une fois le conduit trouvé, il n’est pas rigide, il est lui aussi plein de plis. Il faut trouver son chemin agilement sans jamais savoir si on est bien droit dedans. C’est rare que j’ai ce genre de jouet à ma disposition, je ne voudrais pas le casser, ou en perforer la paroi, alors je joue avec prudence. Je glisse mes doigts à tâtons dans le terrier, puis la langue. Il y a à l’intérieur un léger goût de fromage qui n’est pas désagréable. Un goût de Conté plus précisément, mon fromage préféré. Je me suis abreuvé de ce jus de fromage quelques instants.
Quelqu’un dit : Du Conté ?
Orang-outan dit : Oui, du Conté, pas du Roquefort, non, du Conté !
Quelqu’un dit : Du conté ! Piting, c’est bon, ça !
Orang-outan dit : Je me suis ensuite occupé d’un composant sensible du sexe appelé clitoris. Mais il a fallut d’abord le trouver et le seul truc que je sache ; il se trouve vers le haut. Alors j’ai léchouillé tout un peu au hasard jusqu’à ce que la fille vibre un peu. Hélas, ce soir là, je ne trouvais rien et après quelques minutes de tâtonnement au milieu des lambeaux de chair, j’ai entendu dans un petit rire moqueur « Tu fais quoi là ? Tu ne pourrais pas t’occuper de mon clito ? ». « Mais oui, mais c’est ce que j’essaye de faire ! » ai-je pensé très fort. Alors, j’ai écarté avec les doigts la chose au maximum et j’ai balancé des grands coups de langue au travers de tout ce foutoir. En arrosant tout, je vais bien toucher le point sensible ! Soudain j’ai senti un truc un peu différent, comme un petit bouton. Je me suis dit « c’est peut-être ce que je cherche… » Je l’agite du bout de la langue et j’entend la fille prendre un grande respiration à la Dark Vador.
Quelqu’un dit : Vous avez eu un coup de bol, là !
Orang-outan dit : Elle bascula sa tête en arrière, ses yeux se collèrent sous ses paupières ne laissant que le blanc de l’oeil apparaître. Sa respiration était de plus en plus saccadée et ses cils n’arrêtaient pas de battre. J’ai eut un doute : elle faisait un malaise ou quoi ? A force de me taper des vieilles, je suis devenu méfiant. Finalement j’ai continué mon boulot. Si elle faisait vraiment un malaise, il fallait que je termine ma tâche avant qu’elle ne meure, ou du moins tant que le corps était encore chaud. Mais si elle prenait vraiment du plaisir, je n’avais pas le droit d’arrêter. Dans les deux cas, je devais mieux poursuivre. Alors j’ai poursuivi. J’avais tous les éléments pour assurer comme un Dieu. Ma langue s’occupait du clito. En même temps je soufflais généreusement par le nez pour agiter les poils de la foufoune. La main gauche caressait le ventre et les seins, quelques doigts de la main droite rentraient dans la fente. Le tout synchronisé au même rythme. Radégonde me dit dans un soupir « vas-y, continue », ce qui me rassura : elle prenait du plaisir. J’ai continué pendant de longues secondes, jusqu’à l’épuisement. Ensuite ma langue a quitté le panier d’escalopes pour remonter doucement vers le visage. J’ai embrassé tendrement le piercing situé juste au dessus du sexe. Je ne sais pas pourquoi, j’ai voulu le prendre entre mes dents. Dès fois, je ferai mieux de réfléchir avant d’agir… J’avais à peine le piercing entre mes dents, qu’il s’est arraché ! Il a littéralement explosé et je l’ai senti frapper le fond de ma gorge. Quel con ! J’ai eut un recul et j’ai passé un doigt sur l’emplacement. Plus de bijou, mais un peu de sang. La fille a été surprise de mon recul et s’est redressée. Je lui dis avoir arraché son piercing et elle me répondis « Quel piercing, qu’est ce que tu racontes ? ». J’ai alors une étincelle et je compris : ce n’était pas un piercing mais un gros bouton tout blanc rempli de pus qui venait d’exploser entre mes dents. Il avait giclé dans le fond de ma gorge… Je fis un gros ouf de soulagement !
Quelqu’un dit : Je ne me sens pas bien là !
Orang-outan dit : J’ai recommencé à lui caresser la poitrine et à lui lécher les seins pour me nettoyer la langue. Puis on s’est embrassé et sa tête s’est dirigée vers mon sexe. Je me suis étendu sur le dos, prêt à vivre un instant merveilleux : une pipe ! C’est si bon, si doux. J’ai la confirmation de ce que j’avais pressenti, Radégonde a une langue d’experte ! Elle se débrouille également à la perfection dans le massage des testicules. Ce massage, c’est un truc impossible à reproduire quand on est seul. Les sensations sur le sexe et le gland, on peut les reproduire en se branlant avec une éponge couverte de beurre, mais un massage des testicules, c’est inimitable. C’est si bon tout ça. La fellation, c’est la preuve qu’il y a un Dieu qui existe ! Il n’y a qu’un Dieu capable d’imaginer un tel plaisir. Je ne suis pas certain que la gente féminine mesure à quel point c’est agréable.
Quelqu’un dit : Si les filles avaient une verge, je pense qu’elles nous suceraient plus souvent !
Orang-outan dit : Je me suis laissé bercer par ces si douces sensations. J’ai laissé vagabonder mon esprit en regardant la fille s’activer. Je me suis senti partir au pays du bonheur, au pays des songes, tout en regardant le visage de celle qui faisait mon bonheur. Mes yeux se sont attardés sur une particularité physique de son visage; elle avait un menton très renfoncé, et bien qu’elle ne soit pas « grosse », elle avait ce que l’on appelle un double menton. En fait, ce n’était pas deux mentons qu’elle avait, mais plutôt une dizaine. On pourrait croire qu’un tel jabot gesticule dans tous les sens pendant la réalisation d’une fellation, mais non, au contraire, tous les mentons se déplacent harmonieusement, comme dans un ballet parfaitement synchronisé. J’étais hypnotisé par cette chorégraphie ; à chaque déplacement de la tête vers la droite, le premier menton se déplaçait, puis tous les autres le suivaient, dans l’ordre, les uns après les autres. Un détail attira mon attention, il s’agissait d’un grain de beauté sur le premier menton coiffé de trois poils. Trois poils rasés de prêt, mais pourtant présents. J’ai alors compris l’organisation du troupeau de jabots ! Ces trois poils permettaient de distinguer le menton en chef. C’est lui qui dirigeait tous les autres et qui décrivait les mouvements à suivre. Soudain, la fille lâcha ma bite et mon esprit cessa de vagabonder.
Quelqu’un dit : Quoi que vous allez encore faire, là ?
Orang-outan dit : Après ce moment de délectation, ce fut l’heure de la pénétration. Je me suis laissé habiller d’un préservatif et Radégonde monta sur moi. Elle est vraiment bien cette fille, elle s’occupe de tout. Il suffit de se laisser faire, c’est exactement le genre de fille qu’il faut pour l’inexpérimenté que je suis. Elle commença à faire quelque va-et-vient tandis que mes mains caressèrent son corps pour accentuer son plaisir. Huuuummm…c’est bon ça. Ensuite, elle se pencha vers moi pour m’embrasser et elle s’allongea à mes cotés. Je me suis apprêté à prendre la position dite du missionnaire, mais hélas, pour une raison dont j’ignore, mon sexe a perdu de sa raideur. J’ai tenté de me re-excité en embrassant la fille à pleine bouche, mais ce fut de pire en pire : la panne ! Ça c’est pas de bol. Je suis reparti à la rencontre du minou armé des mes doigts et de ma langue pour m’exciter, et surtout pour masquer l’incident. Mais toujours rien. Mon sexe s’était tout simplement endormi. Il fallait que j’annonce cette terrible nouvelle à Radegonde. Je l’ai regardé droit dans les yeux avec un air de chien battu et je lui ai dis « pschhhhhhhiiiiit » en me redressant pour lui montrer mon sexe en forme de limace…
Quelqu’un dit : Ca arrive parfois !
Orang-outan dit : En attendant, je devais faire avec. Mais comment faire ? J’étais à court d’idée et proche du désespoir. Je dis « Bon, ben ce n’est pas grave, on va dormir, ça fait du bien de dormir aussi. On réessayera demain matin… ». C’était sans compter la générosité et les talents de dresseur de fauves de Radégonde. A nouveau une pipe ! Quel régal ! Et l’érection reparti aussitôt ! Mais la joie fut de courte durée, quelques instants plus tard, j’ai senti la sauce monter : après la panne, ce fut l’éjaculation précoce. Un vrai festival ! J’ai bien essayé de me retenir, de serrer les couilles pour que rien ne sorte, mais rien à faire : tel le lait sur le feu, la montée du sperme était inéluctable. J’ai alors fais un grand geste de panique pour faire comprendre à Radégonde qu’elle devait s’écarter si elle ne voulait pas se faire détartrer les amygdales. Et à ma grande surprise, elle me jeta un regard de braise et accéléra le rythme de son travail. Quelle fille merveilleuse ! Il ne fallut que quelques secondes avant qu’elle ne perçoive son salaire. C’est fort sympathique de déverser sa semence dans une bouche.
Quelqu’un dit : Finalement, cette panne elle a bien fait d’avoir eu lieu !
Orang-outan dit : C’est super agréable, une éjaculation, c’est l’apothéose du plaisir, le bouquet final. C’est encore meilleur qu’une pipe, mais ça ne dure hélas que deux ou trois secondes. C’est une sensation exquise de sentir son sperme monter de ses testicules, s’engouffrer dans le sexe et y être projeté à l’extérieur. Je ne comprends pas pourquoi c’est si bon. Car après tout, ce n’est qu’un liquide qui passe dans la canalisation située au centre du sexe. Pourtant, on n’éprouve aucun plaisir quand on pisse. La différence est que lorsque l’on pisse, on ne bande pas. Alors j’ai essayé un jour de pisser en bandant. Ce fut une grande déception, je n’ai éprouvé aucun plaisir. J’ai seulement réussi à repeindre les murs …J’étais si heureux que j’ai voulu offrir un long baiser sur la bouche à Radégonde pour la remercier. Quand ma bouche s’est approchée de la sienne, dégoulinante de sperme dans lequel grouillait ce qui aurait pu devenir ma descendance, j’ai bien sur eut un mouvement de recul. Tous les mecs le comprendront, dès que l’on éjacule, on perd toute envie de sexe, alors je lui ai juste fait un bisou sur le front. Pourtant, je serais bien aller voir au fond de sa bouche pour vérifier si elle n’avait pas gardé ma liqueur. En effet, j’ai lu un article sur le web relatant l’histoire d’une femme aux USA qui, après avoir sucé un homme, a gardé la semence dans sa bouche, puis l’a recrachée discrètement dans un récipient et s’est faite une insémination artificielle. Elle a donc eut un enfant et comble de l’immoralité, elle a demandé une pension alimentaire au père ! Bien sur, le père fut quelque peu surpris car il n’avait jamais couché avec la mère. Mais les analyses ADN étaient formelles. Il s’en est suivi un procès pour déterminer si le sperme lors d’une fellation est un don, c’est-à-dire si la femme peut en faire ce qu’elle veut. Mon point de vue est clair ; mon sperme est un détritus issu du rapport sexuel : il faut le jeter ! C’est donc avec une certaine angoisse que je vis Radégonde partir dans la salle de bain pour se rincer la bouche.
Quelqu’un dit : Et…, c’est angoissant votre histoire, là, d’un coup !
Orang-outan dit : Finalement, je suis allé voir ce qu’elle faisait dans cette fameuse salle de bain avec pour prétexte de prendre une douche rapide pour enlever la sueur puante. Elle se brossait les dents. J’ai pris ma douche rassuré et je suis reparti me coucher dans les bras de ma belle d’un soir. Je me suis endormi rapidement, il faut préciser que j’avais assez mal dormi les deux nuits précédentes, faute à l’impatience de ma future nuit. Une fille qui me dit ‘oui’, croyez-moi, ça ne me retourne les hormones dans tous les sens et impossible de fermer l’œil ! Donc quand ce fut le grand soir, je fus écrasé par les heures de sommeil en retard et je dormis comme un bébé, mais en plus propre… Je fus réveillé vers neuf heures du mat par le contact d’un corps se collant au mien. C’est si bon de se réveiller ainsi. Je crois que ces instants me manquent encore plus que les rapports eux-mêmes. On s’est enlacés tendrement et fait quelques bisous. Mon animal sauvage était au garde à vous. Je le montra à Radégonde, espérant qu’elle lui offre ses caresses. Mais elle ne le regarda qu’à peine et dit « bon aller, je vais prendre mon petit déjeuner ». Ma déception fut de courte durée, car elle faisait allusion au petit déjeuner dressé devant elle… La petite pipe du matin, rien de tel pour épanouir un homme.
Quelqu’un dit : C’est vraiment une chouette fille, cette Radégonde. Hummmm !
Orang-outan dit : Pendant cette pipe matinale, mes couilles se tenaient correctement. Elles étaient certainement encore endormies et ne semblaient pas vouloir cracher leur venin. Je fit un petit cuni à la fille, même constant que la veille : c’est toujours le bordel tous ces morceaux de tranches de jambons. Radégonde tendis la main vers la boite de préservatifs et elle s’empressa de m’enfiler la chasuble du plaisir. Il fallait faire vite pour ne pas que la bête se rendorme. Radégonde s’allongea et je pris la position du missionnaire. Je mis ma torpille dans son tube et en avant, en arrière. C’est bon, ça fait du bien. J’ai si peu l’habitude de ces sensations si exquises que je puis m’empêcher de les commenter en direct. En plein travail, je me mis à râler « mais pourquoi je suis célibataire bordel de merde ! Pourquoi je ne peux pas faire ça tous les jours hein ? Tu peux me le dire pourquoi ? Non, t’en sais rien, tu t’en fous, c’est ça ? » Radégonde rigola tout en prenant du plaisir, bref ce fut ce que l’on peut modestement appeler un instant de bonheur partagé.
Quelqu’un dit : Et comme à chaque fois que tout se passe bien, c’est là que ça commence à merder, non ?
Orang-outan dit : Nous nous éclations, ma partenaire et moi, roulant sur l’autoroute du bonheur reliant le monde des mortels à celui des jouissances infinies quand soudain un incident technique tenta de stopper notre progression. Mes couilles s’étaient réveillées et elles n’aiment pas ça, ça les rend de mauvaise humeur. D’une seconde à l’autre, je les ai senti prêtes à exploser. Il me restait approximativement une quinzaine de secondes avant l’éjaculation. Que faire : une pause en prétextant de vouloir changer de position, ou alors mettre les gaz et tenter d’atteindre ensemble le ciel ? Avec du recul, je me dis que j’aurai du essayer de maîtriser mes organes au lieu de m’adapter à leur décision. Mais je n’ai pas voulu interrompre un seul instant mon ascension vers le sommet et je poursuivi mon effort. En plus j’avais faim, donc ce n’était pas plus mal que ça ne dure pas longtemps. Je fis alors le sprint final jusqu’au déversement de ma liqueur. J’ai toutefois essayé une nouvelle stratégie pour tenter de stopper l’avancée à l’aspect inéluctable : me changer les idées. Il ne fallait pas que je pense que j’étais en train de baiser, si mon cerveau ne pense pas qu’il baise, il ne va pas donner l’ordre d’envoyer les torpilles. Théoriquement, mon hypothèse me semblait plausible. Mais dans la pratique, il n’y eu pas l’effet escompté. Pour penser à autre chose, je me mis à raconter n’importe quoi, tout ce qui me passait pas la tête : « Ah, je plane, c’est bon, c’est bon, c’est bon ! Mais non, je ne plane pas, je vole ! Oui, je vole de plus en plus haut, de plus en plus vite. On traverse le ciel, on approche des nuages, on fonce dans les nuages. Ah ah, c’est génial ! Oh, qu’est ce que c’est là bas, ce village au milieu des nuages ? Mais, mais, mais, je le reconnais ce type qui sort de sa maison ! C’est Casimir ! Salut Casimir, comment ça va ? Je suis content de te revoir. Qu’est ce que tu fais Casimir à présent ? »
Quelqu’un dit : Un moment de folie ? Disons que le naturel revenait au galop !
Orang-outan dit : J’avais beau raconter autant de conneries que je pouvais, je sentais une pression de plus en plus forte aux portes des couilles. Alors dans des derniers coups de reins, je libérais le troupeau de spermatozoïdes en continuant mon délire : « tiens Casimir, prend ça dans la gueule Casimir ! C’est du bon sperme ça ! Vas-y bouffe mon sperme ! Je suis sur que t’aime ça, gros dégueulasse ! » A la dernière goutte crachée, j’ai posé le regard sur Ragédonde : elle semblait sous le choc. C’est bien légitime, mettez-vous à sa place ! On pouvait lire dans ses yeux des sentiments allant de l’étonnement à l’effroi.
Quelqu’un dit : Elle vous a vraiment pris pour un psychopathe…
Orang-outan dit : Après cet ultime rapport au cours duquel je n’ai, encore une fois, pas contrôlé grand-chose, on s’est habillé rapidement et nous avons pris un petit déjeuner qui nous fit aussi office de déjeuner. Les gens qui se la pètent et qui aiment utiliser des mots branchés pour faire croire qu’ils font des choses originales, appellent ça un brunch, issu de la contraction de breakfast et lunch. Il s’est alors passé une scène qui est resté dans ma mémoire et qui le restera un bon bout de temps. Radégonde était à table et je me suis approché d’elle, l’esprit encore à moitié endormi et l’autre moitié aux anges. Et là, elle m’a regardé et m’a dit : « Bon ben, pour la nuit, ça fait 50 euros »… Je suis resté scotché au plancher. Quoi ? C’était donc…. une prostituée ? Je n’ai rien contre les professionnelles, non, c’est la situation qui me dérangeait. J’avais cru une nuit durant que j’étais capable de plaire physiquement, c’est-à-dire qu’une fille accepte de passer la nuit avec moi. Vous imaginez ce que ça représente quand on est totalement perdu, sans aucune certitude ? Là, franchement, je tombais de haut, de très haut. Je retournais donc dans le doute. Serais-je capable de plaire à une fille, ne serait-ce qu’une nuit ? Apparemment non. Je venais de prendre une sacrée claque dans la gueule. Radégonde se repris « Qu’est ce que je raconte, c’est 500 euros ».
Quelqu’un dit : 500 euros ! Ca fait un sacré paquet, là !
Orang-outan dit : Peu importe le prix, ce n’est pas ça qui compte. C’est de mettre fait abuser, d’avoir cru être normal. Je n’en voulais même pas à la fille, elle avait trouvé un pigeon, c’était bien pour elle. Je m’en voulais à moi, à ma crédulité. J’étais une grosse merde et je ne m’en étais même pas aperçu. Elle continua « Et puis même 5.000 euros va ! ». Je la regardais triste et inquiet. Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait réellement. Elle ajouta « Voire même 50.000… Bon faut que je dise combien pour que tu comprennes que c’est une blague ? »… Et oui, c’était une blague et défaitiste comme je suis, j’ai pris la boutade au premier degré. A ce moment là, je me suis trouvé avec l’air bien con ! Car Radégonde à bien vu que j’ai cru que c’était une pute, ça ne lui a pas fait plaisir du tout… Quelle idée de faire une blague comme ça, franchement ! Il s’en est suivi un silence où nous étions tous les deux gênés. Je l’ai interrompu à l’aide d’une blague à deux balles, j’ai dit : « ça fait quand même du bien de rencontrer la future mère de ses enfants ». Ce fut à son tour de prendre une tête apeurée. On s’est fait un sourire, puis un bisou, le malaise était passé.
Quelqu’un dit : Vous avez vraiment de l’humour con à revendre, là… Il y en avait au moins pour 50.000 euros de conneries ! Vous étiez quittes ! piting de piting !
Orang-outan dit : Je suis reparti chez moi peu de temps après. On a gardé le contact par émails. Je lui ai demandé d’être mon coach sexuel, mais elle habite à 400 kilomètres, c’est un peu loin. Y a 10 millions de personnes en région Toulousaine et environs, soit environ 4 millions de femmes de plus de 15 ans, je ne vois pas pourquoi je me ferai chier à faire 800 bornes aller-retour pour tirer quelques coups. Mais bon, ça m’a ouvert l’appétit. Je me suis aperçu de tout le bonheur que je ne profite pas en restant seul. C’est surtout la vie en couple qui me manque le plus, c’est d’avoir des projets, avoir une femelle à mes cotés. Allez, j’arrête d’y penser, je vais déprimer.
Quelqu’un dit : Vous devriez éviter la déprime, ça ne va faire qu’aggraver votre spleen…
Orang-outan dit : C’en est trop. Je ne peux plus vivre seul. Il me faut une solution radicale. Je vais me jeter à la mer comme une vieille bouteille vide, totalement vide, sans la moindre goutte d’un quelconque liquide qui pourrait apporter un peu de réconfort à une âme assoiffée. Et pourtant cette bouteille n’a pas toujours été asséchée. Jadis, il y avait à l’intérieur de ce corps un peu de cette eau de jouvence, source de bonheur à l’esprit et au corps, que l’on appelle amour. Mais cette eau s’est évaporée. L’amour est une source qui s’assèche vite si personne ne vient y boire. Au bout de quelques années, la source a disparu, il ne reste que des pierres ; un cœur de pierre sans sentiments. Je vais donc me jeter à la mer, mon cœur de pierre m’aidant à couler au fond. Un poisson viendra me voir et pour une fois dans ma vie, un être vivant trouvera mon corps attirant. Il viendra goûter à ma chair, mon corps sera parcouru par sa petite bouche. Quand me je jetterai à la mer, je le ferai nu, afin de me faire bouffer la bite par les poissons. Je n’ai plus peur de passer à l’acte à présent. La mort ne fait plus peur au pervers que je suis. Savoir que je vais me faire brouter le gland une fois passé dans l’autre monde m’excite. Je m’imagine nu, le sexe flottant au gré des courants. J’imagine un poisson s’approchant, timidement au début, puis avec enthousiasme. Il me caressera doucement pour connaître la nature de ce corps qu’il a devant les yeux. Puis il me mordra plus franchement. Il me tirera violemment pour pouvoir détacher un morceau. En combien de morceaux me mangera-t-il la bite ? Un seul ? Deux ? Trois ou plus ?
Quelqu’un dit : Tout dépendra de la température de l’eau…
Orang-outan dit : Ensuite le poisson s’attaquera à mes couilles. Les poils lui feront certainement penser à des petites algues et mes morpions à des crevettes. Il les croquera, le sperme s’écoulera, enfin quelqu’un d’autre que moi goûtera à ce sperme. Car oui, j’y ai déjà goûté par curiosité. Je trouve d’ailleurs que ça a un goût dégueulasse, mais beaucoup moins que la pisse. Enfin il m’arrachera totalement mes couilles. Ses satanés organes qui m’ont pourri la vie à produire des hormones excitantes. C’est à cause de mes gonades si je souffre à chaque fois que je croise une jolie fille, elles produisent une hormone pour dire « Va la féconder, de gré ou de force, j’ai tout un stock de sperme à liquider ». Penser que mes couilles se feront arracher après (ou pendant) ma mort me motive à me jeter à la mer. Je mourrai, certes, mais les responsables de ma souffrance aussi. Ma mort devient une vengeance. On se fera bouffer ensemble. Je serai libéré de cette vie sans saveur, elles seront condamnées à la peine capitale pour m’avoir trop fait souffrir. D’autres poissons viendront sûrement participer au festin. Ce sera alors une grosse partouse. Je me ferai pénétrer de partout. Des poissons passeront dans les trous de ma chair arrachée pour venir me vider les entrailles. Ce sera alors au tour de mon cœur de se faire grignoter. Il n’avait battu pour personne, il fera le festin de tout un banc. Mon cœur sera pris, mes couilles seront vides, mon sexe sera dans un corps chaud et humide, je ne penserai à rien, c’est ce dont je rêvais non ? C’est même plus fort que cela, car je ne connaîtrai plus jamais la solitude, ni la frustration. C’est encore mieux que dans mes rêves les plus fous, quand je rêvais encore, avant que le désespoir ne m’envahisse ; avant, quand je préférai vivre malheureux mais vivre quand-même, avant que je prenne ma vie en main, et ma mort aussi.
Quelqu’un dit : Je sens une nature très optimiste au fond de vous-même, c’est réjouissant !
Orang-outan dit : Il me reste à vous narrer ma dernière aventure…
Quelqu’un dit : Vous y tenez vraiment ? C’est qu’il se fait tard et je m’en voudrais d’abuser !
Orang-outan dit : Tout a commencé par une proposition d’une de mes admiratrices sur GatsbyOnline. Elle a pour pseudonyme Georgette et travaille dans une maison de retraite. Connaissant mon attirance sexuelle pour les peaux ridées et souhaitant faire plaisir à ses pensionnaires, elle m’a proposé gracieusement d’endosser le rôle d’entremetteuse : organiser ma venue afin de permettre aux résidentes et moi de copuler. Georgette avait déjà parlé de moi aux mémés et plusieurs d’entre elles désiraient me rencontrer. Pour prouver leur motivation, elles n’ont pas hésité à m’envoyer leur photo, plus ou moins osées selon leur pudeur. J’aurai largement préféré avoir affaire à un groupe de jeunes filles de 20 ans, mais bon, il faut se contenter de ce que l’on trouve. Cependant, ça ne me gêne pas plus que ça ; j’aime bien coucher avec les personnes âgées. Je ne prends pas toujours mon pied physiquement, mais le rapport humain est extraordinaire. A chaque fois, je ressens une sensation de bien-être qui dure bien plus longtemps qu’avec une femme de moins de 70 ans !J’avais donc devant les yeux les photos de mes quatre prétendantes. La quelle choisir dans ce catalogue ? Mon choix s’est porté sur la seule qui avait osé poser nue, c’était manifestement la plus motivée. J’ai transmis mon choix à Georgette, mais elle me donna une information que j’ignorais : l’une des quatre mémés arrivait au bout du rouleau… si j’attendais quelques semaines, je n’aurais que son cadavre à me mettre sous la dent. Déjà qu’une mémé c’est tout sec quand c’est vivant, alors mort, je n’imagine même pas. Mon choix s’est donc porté sur la plus mal en point des quatre : Claudine. C’était le choix de la raison. Pas celui du plaisir, car Claudine était aussi la plus moche des quatre. Et de loin. La précarité de sa santé se lisait sur son visage. Sur la route de la maison de repos, j’étais anxieux : c’était la première fois que j’allais coucher avec une mémé en aussi mauvais état. L’arthrose avait bloqué presque totalement la pauvre Claudine. Mais je suis du genre à respecter mon engagement et je ne pouvais ignorer la dernière volonté d’une mourante.
Quelqu’un dit : J’aurais sincèrement préféré qu’on s’arrète à votre suicide marin !
Orang-outan dit : Me voila donc devant la maison de repos à attendre Georgette, mon entremetteuse. Ce soir là, elle travaille et comme prévu, elle vient me chercher à 21h00 précise pour me faire rentrer discrètement par une sortie de secours. Elle me guide jusqu’à la chambre sans que personne nous voie. Je rentre et je découvre Claudine, assise sur son lit, un immense sourire aux lèvres. Elle me regarde avec des yeux de braises indescriptibles. Ce ne sont pas des braises, mais un incendie de flammes défiant la vieillesse et la mort. Georgette repart et nous laisse tous les deux. J’aurai préféré qu’elle reste avec moi le temps de l’ébat, histoire d’avoir un peu d’aide en cas de problème. Mais elle a refusé, sans raison apparente. Elle m’a simplement dit : « Je ne veux pas voir ça ». J’aurai bien aimé aussi qu’elle prenne des photos, ou une vidéo. Tant pis. Je me retrouve donc en tête à tête avec Claudine. Elle est encore plus moche que sur la photo. Mais bon, elle a au moins le mérite d’être encore en vie à 92 ans. Je ne sais pas dans quel état je serais à son âge. Je m’approche d’elle, lui fait une bise et nous commençons à discuter pour se mettre en confiance. Nos regards ne se quittent pas, témoignage mutuel d’une envie irrésistible de commettre l’acte. Je pose ma main sur la sienne. Elle me répond par un sourire. Je réponds à son sourire par un baiser. Nos langues se touchent. Je sens Claudine frissonner. Ce sont bien des frissons de plaisir et non la maladie de Parkinson. Frissons communicatifs, instant de tendresse à l’état pur, de romantisme abstrait où un corps immonde donne envie de chair. Lorsque je rouvre les yeux, ce n’est plus un corps ridé à la peau tannée, aux pustules poilues généreuses, qui est devant moi, c’est un regard d’envie, c’est un menton qui tremble de bonheur, c’est un appel à la vie dans un monde où le laid n’existerait pas, c’est l’oubli des contraires matérielles et des préjugés… A présent, je me sens bien, j’ai perdu toute mon appréhension. Les choses sérieuses peuvent commencer : tout en s’embrassant, je commence à déshabiller Claudine. Je lui dégrafe son soutient gorge : et là ; première surprise : il lui manque un sein. Elle n’a que le sein gauche. Ça tombe bien, je suis droitier. Je lui titille son mamelon et je commence à me déshabiller.
Quelqu’un dit : Je suppose que c’est bientôt fini, je m’en réjouis d’avance…
Orang-outan dit : Je me mets torse nu et enlève mon pantalon. Claudine ne quitte pas des yeux pas mon boxer déformé par mon érection. Je m’approche. De sa main, elle tente d’enlever l’ultime morceau de tissu masquant ma nudité. J’aide sa main maladroite à dévoiler l’organe du plaisir et fait glisser ses petits doigts le long de mon vil. Les tremblements de son menton redoublent d’intensité. Si bien que sa voix roque en devient toute tremblante. Sa voix ne ressemble plus à celle d’un être humain, mais au cri d’un agneau à la recherche du pis de sa mère. Justement, c’est l’heure de la tétée ! J’approche mon sexe du visage de Claudine. Elle ne le quitte pas des yeux, si bien qu’elle se met à loucher lorsque je me rapproche d’elle ! Elle est vraiment touchante cette mémé. Je l’adore, j’adore ses yeux, son menton qui tremble, sa bouche autour de la quelle je promène mon sexe avant de le faire glisser sur sa langue. Les sensations sont exceptionnelles : les tremblements multiplient le plaisir. J’ai l’impression de me faire masturber par une trayeuse automatique à pleine puissance. C’est si bon que je sens le sperme monter dans les secondes qui suivent. Je me concentre sur son affreuse pustule sur le nez pour maîtriser mon orgasme.
Quelqu’un dit : Finalement ; heureusement que cette pustule est là !
Orang-outan dit : Le plaisir dure depuis quelques minutes. Claudine adore ça. Elle m’aurait gloutonné le poireau jusqu’à l’étouffement. Finalement, je lui enlève la divine sucrerie et l’embrasse tendrement. Je m’aperçois que sa langue a un sale goût de pisse : c’est vrai, j’avais oublié de me laver. C’est vraiment dégueulasse une vieille : ça suce n’importe quoi. A présent, c’est à mon tour de goûter à la saveur de son intimité. Quelle sauce accompagne ses escalopes ? Roquefort ou barbecue ? Je ne suis pas très pressé de le découvrir. Je parcours son corps en le parsemant de petits baisers, en débutant par son cou pour atteindre son sexe. J’en fais le tour de ma langue et la glisse doucement dans l’intimité de la vieille dame. Drôle de saveur, faite du désinfectant mis par l’aide soignante et une odeur indescriptible caractéristique des vieux fourreaux dont seuls ceux qui ont découvert la tombe de Toutankhamon peuvent imaginer. Pas très réjouissant tout ça. J’enlève ma langue et y met un doigt. Claudine ne sentira sûrement pas la différence entre mon doigt et ma langue : son minou tout desséché doit être insensible. Etape suivante : la pénétration. J’englue le minou de vaseline et met mon préservatif. En réalité, je mets deux préservatifs, pour avoir plus de protection. Il n’est pas impossible que des bactéries séjournent depuis des années au fond de la cavité. Elles ont eut tout temps de muter. Je ne cours pas de risque, deux protections valent mieux qu’une. A présent, je suis prêt pour la pénétration. Je commence doucement. Les sensations sont bonnes, je rentre dedans facilement. Je prends du plaisir, Claudine aussi. Elle pousse des petits cris de sa voix d’agneau « Ou-i-i-i, enco-o-o-o-ore ».Après plusieurs minutes, je lui demande sa position préférée : la levrette. Ses désirs sont pour moi un ordre. Mais pour l’exécuter, elle doit changer de position. Pas facile pour quelqu’un figé par l’arthrose. Je l’aide à se retourner : je l’a soulève, la retourne, lui plie les bras et les jambes tel que je le ferai avec un playmobil géant. C’est marrant, cela me rappelle la période où je me masturbais sur un mannequin volé dans un magasin de vêtements. J’avais percé un orifice au niveau du sexe et je m’exerçais au kamasutra dessus. J’ai dû me débarrasser de ce mannequin car je n’avais nulle part où le ranger. A la place, j’ai pris un chien.
Quelqu’un dit : C’est mieux un chien, c’est plus discret.
Orang-outan dit : J’en reviens à Claudine. A l’aide de l’oreiller, je règle la hauteur du bassin de mon jouet avant de commencer la levrette. A présent, elle bêlait presque en continu ; elle hurlait même. Elle était proche de l’hystérie. Jamais je n’avais fais un tel effet à une femme, tout âge confondu. Je lui ai ré-ouvert un appétit insatiable. Avec sa petite voix de chèvre, elle me demande de changer de trou. Une sodomie Madame ? Pas de problème. Je ne suis pas un grand fan de la sodomie. J’ai l’habitude d’appliquer ce principe : ne fais jamais aux autres ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse. Mais puisqu’on me le demande, je n’y vois pas d’inconvénients. De plus, l’anus a un gros avantage : il est moins sec que le vagin, car il est utilisé tous les jours pour chier. Je m’enfonce dans l’orifice. A mon grand étonnement, j’y rentre assez facilement. Cool. Elle devait être une sacrée coquine cette Claudine. Alors j’y vais plus franchement, une fois, deux fois, mais à la troisième, c’est le drame : rupture de l’anus. J’entends un claquement et je m’enfonce jusqu’à la base de mon sexe. Je recule et j’essaye de me dégager, mais l’anus reste bloqué à mon sexe et la peau se déchire tout autour.
Quelqu’un dit : Vous ne préférez vraiment pas revenir dans quelques mois pour terminer cette histoire ?
Orang-outan dit : Gros moment de panique de ma part : comment m’en sortir ? Je signale à Claudine le problème technique, sans tout lui révéler pour ne pas la paniquer. Elle ne sent apparemment pas la douleur : l’aide soignante lui avait prescrit un antidouleur en raison de l’arthrose. Elle me répond « Yahouuu tu m’as défoncé le cul !!! Continue, ça glissera mieux ». Mais hors de question de continuer ! Que faire ? Si seulement l’aide soignante était restée la. Je pourrais éventuellement sortir dans le couloir avec la vieille fixée à ma bite … mais bon j’avais promis d’être discret. Je dois me débrouiller seul. Je plaque ma main sur le séant de la vieille dame, lui bloque le trou de balles avec mes doigts et recule. J’arrive à me dégager. Ouf. A présent, que faire de la vieille au cul éventré ? Par bonheur, ça ne saigne pas beaucoup. Du moins à l’extérieur, je pense qu’à l’intérieur, il doit y avoir une belle hémorragie. Il faut une intervention urgente d’un médecin, c’est évident. Mais je n’assume pas mes ébats, je n’ai pas envie de hurler « Au secours, j’ai défoncé le cul d’une vieille ». Il me faut inventer un scénario pour expliquer ce qu’il s’était passé. J’ai alors une idée lumineuse en voyant la canne de Claudine posée au bord de son lit : je vais maquiller l’accident en une chute dans les escaliers. J’explique mon plan à Claudine, elle est d’accord pour me couvrir et jouer le jeu.
Quelqu’un dit : La société protectrice des animaux va nous faire un procès ! En sus, vous avez battu tous les records de ce qui est interdit ! Maintenant, vous narrez un assassinat sexuel, sur une personne agée, en plus, qui plus est sodomite…, vous allez en prendre pour vingt ans, au moins !
Orang-outan dit : Quand on aime, on a toujours vingt ans, piting !
Quelqu’un dit : C’est peut-être aussi la perpétuité, ou pire, la restauration de la guillautine rien que pour vous !
Orang-outan dit : Laissez-moi terminer, piting ! je suis sur le point de jouir, on ne peut pas empécher un homme de jouir !
Quelqu’un dit : Allez-y, spermatez, au point ou nous en sommes, tout est f….
Orang-outan dit : Je me rhabille rapidement, jette un coup d’œil dans le couloir : personne. Parfait. Je prend la vieille dans mes bras, lui met sa robe de chambre et l’emporte, elle et sa canne. Direction les escaliers. Pour être le plus réaliste possible, j’ai eu envie de balancer la malheureuse du haut de l’escalier. Mais je suis trop gentil pour faire ça, alors je la dépose doucement en haut des marches, lui fait un bisou en guise d’au revoir et lui enfonce la canne dans le cul. Je repars ensuite au galop dans la chambre pour ramasser mes affaires et m’enfuir lâchement par la sortie de secours.
Quelqu’un dit : Piting !
Orang-outan dit : C’est à ce moment là que j’ai entendu le vacarme que la vieille faisait en dégringolant les escaliers !
Quelqu’un dit : Piting !
Orang-outan dit : Sa cane lui a tout perforé… Une vraie brochette !
Quelqu’un dit : Piting !
Orang-outan dit : J’ai honte de moi, je ne sais plus quoi faire… Vous n’avez pas une idée ?
Quelqu’un dit : Piting ! C’est la fin, là !
Orang-outan dit : Juste une petite idée, SVP !
Quelqu’un dit : Non, votre affaire est allée trop loin !
Orang-outan dit : Ces derniers jours, j’ai eut une alimentation quelque peu trop fruitée, faite en autres de melons et de pêches pas assez mûres… Résultat des courses : une sympathique petite chiasse qui m’a fait maigrir de quelques de kilos. Ca ne fait pas forcément mal avant de partir à la plage. Je devrais peut-être en profiter pour découvrir la sodomie, ça glisse tout seul…. En tout cas, vu que je pas m’éloigner de plus de 3 mètres des chiottes ô combien odorantes, j’en profite pour écrire ces quelques lignes.
Quelqu’un dit : Quoi encore ?
Orang-outan dit : Je me prépare à partir définitivement…
Quelqu’un dit : Où ça précisément ?
Orang-outan dit : Je ne sais pas encore. Je regarderai la météo et je partirai là ou il fera beau : la Croatie, l’Espagne, le Portugal, l’Italie… Ce qui est certain, c’est que je ne vais pas donner signe de vie pendant longtemps.
Quelqu’un dit : Ah, c’est beau l’été, toutes ces jolies jeunes filles si courtement vêtues. Un régal pour les yeux. Vive le réchauffement de la planète !
Orang-outan dit : Toutes ces créatures affriolantes, c’est un plaisir pour les yeux, mais une frustration pour la bite. Car de ce coté là, je suis toujours célibataire. Pour moi, c’est repos et zéro prises de tête. Donc pas de drague. On verra ça plus tard. En attendant je ne peux que contempler ces jeunes filles d’une vingtaine d’année au charme si délicieux. Je ne matte pas, je contemple, c’est différent. La différence vient que je regarde sans arrière pensée, d’ailleurs je ne pense à rien je suis totalement hors circuit. Mais qu’est ce que je foutais à 20 ans ? Pourquoi je ne draguais pas plus que ça ? J’ai l’impression d’avoir perdu mon temps ces dix dernières années tout comme je le perds encore aujourd’hui… C’est comme si j’avais loupé le train, je me sens comme un con, seul sur le quai. Mais dans quelques temps, je prends l’hétéro par les cornes et je change de vie ! Je suis motivé ! Voila l’abécédé de mes objectifs :
A : Automobile : Passer mon permis et acheter une voiture, si quelqu’un à une occasion, je suis preneur.
B : Boulot : changer de travail. Je suis déjà sur une bonne piste.
C : Copine : rencontrer l’Amour. C’est une question d’envie. Si quelqu’un à une occasion, je suis preneur !
D : Déménager : mon appart tombe en ruine à cause de l’humidité. En plus, ça pue l’humidité et j’ai plein de petites bébêtes qui grouillent sous les lavabos…
Mes priorités : A, C, D et B. Problème : D dépend de B.
Et mon site dans tout ça ? Le dernier article date d’il y a longtemps. On ne peut dire que je sois productif ! J’ai quelques ébauches d’articles à terminer avant de les publier. Soyez patient ! Un sujet abordé : la complexe architecture du sexe féminin et la difficulté de réaliser un cunnilingus de bonne qualité dans un tel enchevêtrement d’escalopes et de plis…
Quelqu’un dit : A pluche !
Orang-outan dit : A bientôt…