Les aventures sexuelles d’un singe lubrique…
Chapitre #4
Quelqu’un dit : Zêtes de retour ? Zêtes pas parti au bout du monde ?
Orang-outan dit : Depuis la nuit des temps, l’être humain se pose des questions existentielles sur sa vie. A quoi bon se vouer au labeur dans l’honnêteté alors qu’il serait plus simple de tuer, piller et violer ? Pourquoi il y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Face à toutes ces questions, des êtres humains au cœur généreux et à l’intelligence fine, ont aidés leurs semblables à mieux accepter leur vie de corvées. Pour cela, ils ont inventés les religions. Hélas, les religions n’ont pas su évoluer avec le temps et sont aujourd’hui trop désuètes pour répondre aux besoins de la plupart d’entre nous. C’est d’autant plus dommage ; dans nos sociétés de plus en plus déshumanisées et impersonnelles, des soutiens spirituels feraient le plus grand bien. Ahhh, si j’en avais le charisme, c’est sans hésiter que je créerai une nouvelle religion dont je serai le gourou, unifiant l’humanité entière dans la joie et la sérénité. Hélas, je n’arrive déjà pas à m’occuper de ma vie, alors m’occuper de l’humanité, n’y pensons même pas.
Quelqu’un dit : Au vu de votre vie sexuelle, il vaut effectivement mieux que vous vous en absteniez !
Orang-outan dit : Je voudrais vous demander un instant de recueillement pour une jeune femme qui a été terrorisée par un pervers durant la soirée d’hier soir. J’espère qu’elle se remettra rapidement de sa mauvaise rencontre. Je l’espère d’autant plus que je me sens un peu responsable : le pervers en question, c’était moi. Je vais vous expliquer : J’ai rencontré par le biais de ce blog une charmante personne et qui partage mon humour. On se connaît depuis assez longtemps et hier soir, elle m’a invité chez elle pour me présenter à ses trois meilleurs amis. La soirée se passe bien, les histoires de cul prennent une place prépondérante dans les conversations. Tout le monde s’amuse bien, jusqu’à ce qu’elle révèle mon attirance sexuelle pour les grands-mères. Ayant rencontré cette jeune femme par le biais de ce blog et ses amis partageant le même humour, j’ai voulu les faire rire en racontant une de mes aventures sexuelles. Je me suis lancé avec un ton très sérieux dans le récit détaillé d’une de mes aventures, en y ajoutant quelques détails obscènes. J’ai pensé que ça ferait rire, mais hélas non, bien au contraire. Ils me regardaient les yeux exorbités et la bouche grande ouverte, ne sachant si je disais la vérité ou non. Une des filles présente avait le visage qui se décomposait au fur et à mesure des détails obscènes de mon récit. J’ai trouvé la situation savoureuse et je suis même allé jusqu’à proposer de voir une vidéo sur mon téléphone portable ! J’ai finalement achevé mon histoire en disant « Bon, je m’arête là, je ne te raconte pas ce que je fais avec mon chien » ! Ce n’était pas dans mon intention de faire peur à cette pauvre fille, mais c’était si drôle la manière dont elle me regardait, ce mélange de dégoût et de curiosité d’en savoir plus… J’espère sincèrement qu’elle ne va pas rester traumatisée trop longtemps. A la fin de la soirée, elle n’a pas osé se rendre toute seule à sa voiture garée en bas, elle venait de réaliser que des cinglés traînaient en ville. Je lui ai proposé de la raccompagner, elle a poussé un hurlement de terreur « naaaaaaan ». Je m’en veux un petit peu de lui avoir fait peur, mais j’y ai pris un tel plaisir que finalement je ne regrette pas trop. Je crois vraiment que je suis en train de devenir un pervers
Quelqu’un dit : Je crois que vous en êtes un depuis longtemps !
Orang-outan dit : Hier, en me baladant, je suis passé devant une voie ferrée. Et là, j’y ai vu une véritable scène de western : une fille était étendue et ligotée sur les voies et un train filait à toute allure sur elle. N’écoutant que mon courage, je me précipite pour l’enlever in extremis de la voie. Je réconforte la très charmante demoiselle et lui propose de venir chez moi pour se remettre de ses émotions. Nous passons la soirée ensemble sur mon canapé et nos corps se rapprochèrent petit à petit, jusqu’à s’aimer. La nuit fut torride, on baisa pendant des heures : cuni, missionnaire, levrette… etc, etc, etc… J’ai passé une nuit formidable ! Un seul regret, je ne me suis pas fait sucer. J’aurai bien aimé, mais hélas, sur la voie ferrée je n’avais retrouvé que le corps, mais pas la tête.
Quelqu’un dit : Nécrophagie, maintenant !!! Piting ! Qu’y peut-il avoir d’encore plus abominable ?
Orang-outan dit : La nécrophagie zoophile ? J’y ai pensé !
Quelqu’un dit : Essayez les poissons rouges, vous ferez moins de dégâts à la faune !
Orang-outan dit : Je me le répète depuis des années, il faut que je m’inscrive sur Meetic ou un autre site à la même finalité, Face machin par exemple… Je dis Meetic en tête car c’est le plus connu, c’est même devenu un symbole. Meetic est au site de rencontre ce que MacDo est à la malbouffe. Ce genre de site ne fait qu’exploiter la misère amoureuse pour en faire des profits. Enfin bon, je n’ai pas grand-chose à perdre et tant à gagner. Donc c’est décidé, cette année, je m’inscris. Bon, pas ce soir, je passe ma soirée sur mon blog. Pas demain, j’ai un truc de prévu, mais un jour, c’est promis… Pour être certain de ne pas repousser perpétuellement, je vais fixer une date. Des dates, y’en a des centaines dans le calendrier. La quelle est la meilleure ? La recherche des jolies célibataires est une véritable chasse (à part que l’on capture le gibier vivant), et comme pour toutes les chasses, le gibier est plus facilement capturable à certaines saisons. Le choix dans la date est crucial. Je ne pense pas qu’actuellement, en novembre, ce soit la meilleure des saisons. Pendant l’été, nombre de filles sont allées se faire bronzer les tétines au bord de la mer. Elles ont mâtées pendant des heures les muscles des surfeurs sur lesquels s’illumine un sourire idiot qui selon la gente féminine les rendent charmants. Les souvenirs de ces corps d’athlètes sont encore trop présents dans les esprits féminins. Mes bras semblables à des vieilles frites ramollies font bien pâles figures à côté. Ce n’est pas la bonne période des romantiques et des poètes. En ce moment, c’est la foire aux bestiaux. Pour ma personne, il faut mieux attendre quelques semaines. D’ici un mois, elles feront déjà moins les difficiles. Ensuite, ce sera l’hiver. Les interminables soirées dans l’obscurité plongent les cœurs des célibataires dans de tristes solitudes. C’est le moment d’attaquer ! La célibataire est psychologiquement affaiblie. L’idéal est juste avant les fêtes de Noël, lorsque la société de consommation promotionne les sentiments idylliques de la vie familiale. C’est à cette période que les célibataires se sentent les plus seules. Conclusion : novembre et décembre sont d’excellents mois pour attaquer. Un détail m’embête tout de même, c’est justement Noël. Devoir faire un cadeau à une fille que je ne connais à peine, ça me fait un peu chier, surtout si je ne suis pas amoureux. L’idéal serait de conclure juste avant de Noël et d’offrir mon corps en cadeau. Si par malheur, je rate la période de Noël, j’ai une seconde chance un mois et demi plus tard : la Saint-Valentin. A cette période la célibataire est plus que jamais facilement attrapable. Mais là aussi, cadeau obligatoire.
Quelqu’un dit : Si, par malheur, vous avez, là aussi, raté le coche, il vous reste le printemps. Période par excellence des amours, période où les hormones vous poussent à conclure avec la première venue. Excellente période pour vous.
Orang-outan dit : D’ailleurs 100% de mes rapports sexuels ont eut lieu au printemps : quatre ou cinq en 1997, un demi en 2001 et un entier en 2006. Vive le printemps !
Quelqu’un dit : Oui, vive le printemps, ça nous laissera un peu de répits !
Orang-outan dit : Depuis plusieurs années, j’ai quelques cheveux blancs, mais ce matin j’ai fait une découverte affreuse : mon premier poil de couilles blanc. C’est dur de vieillir… Pour ceux qui connaissent mes couilles, je vais vous dire où il était exactement : Vous partez de la base du kiki, vous descendez de deux centimètres et vous aller à droite d’un demi centimètre. Il était là, pile entre les couilles droite et gauche. Je vous précise que mes deux charmant organes reproducteurs sont de la même taille, même pas à la même hauteur. Ma couille de droite est beaucoup plus haute que sa petite sœur de gauche. Du coup, elles ne paraissent pas l’une à coté de l’autre, mais l’une au dessus de l’autre. Finalement, j’ai arraché ce satané poil.
Quelqu’un dit : Ca va repousser…
Orang-outan dit : Je peux publier un horoscope général à tendance sexuelle, ici, profitant de nos discussions ?
Quelqu’un dit : Allez-y… Ca nous changera de vos narrations !
Orang-outan dit : Ce sera bref mais couillu !
VERSEAU (20Janv.-18Fév.) C’est certainement parce que vous êtes un signe d’eau que vous sentez le poisson mort. Vous avez aussi l’habitude de vous gratter le derrière en public et de partir à la recherche de vos crottes de nez où que vous soyez, ce qui est une des raisons pour lesquelles vous avez du mal à garder vos amis. L’autre raison pour laquelle tout le monde vous délaisse, c’est parce que vous êtes un naze total.
POISSONS (19Févr.-20Mars)
Les gens pensent que votre réticence à prendre vos décisions rapidement est un signe d’intense réflexion. En fait, vous êtes un psychopathe paranoïaque qui manque totalement de confiance en soi. La plupart des poissons sont des bisexuels refoulés. Vous finirez probablement votre vie comme clochard professionnel.
BÉLIER (23Mars-19Avril)
Vous êtes du genre élitiste et dominateur. À l’école, vous étiez certainement considéré comme la terreur de la classe. Dans les fêtes, vous pensez être le plus intéressant, mais vous n’êtes qu’un pince-sans-rire dénué d’intérêt. Par ailleurs, vous avez toutes les chances d’être zoophile.
TAUREAU (20Avril-20Mai)
Vous avez un côté obstiné et avez la réputation de travailler dur. Les gens vous admirent pour votre capacité à vous concentrer sur un projet, mais c’est parce qu’en fait, vous être trop bête pour faire quoi que ce soit d’autre. C’est quand vous vous faites avoir que vous vous sentez le plus en sécurité. Les Taureaux font de bons vendeurs de chaussures et d’excellentes dame-pipi.
GÉMEAUX (21Mai-20Juin)
Vous avez un esprit vif et pouvez rapidement vous adapter à toutes les situations. Ça signifie que vous êtes un sale parasite. Les Gémeaux gravitent souvent dans le milieu de la finance et des affaires où ils exploitent au mieux leurs dons pour l’escroquerie et la malhonnêteté. Si vous êtes Gémeaux, les impôts ont certainement un dossier épais comme ça sur vous!
CANCER (21Juin-22Juil.)
Vous êtes mou et vous êtes faible. Vous pensez que les gens vous aiment parce que vous êtes accommodant ou pour vos goûts artistiques, mais tout ce que les gens veulent, c’est vous rouler et prendre tout votre fric. Les Cancers sont des alcooliques chroniques et ne finissent jamais ce qu’ils ont commencé. Ils ne sont bons à rien.
LION (23Juil.-22Août)
Vous aimez à vous considérer comme un meneur, un leader naturel. Mais vous n’êtes arrivés là où vous êtes qu’en marchant sur les autres et en les roulant dans la boue. Vous êtes arrogant et vaniteux, et encore ce ne sont ici que vos qualités. Pour les défauts, je ne préfère pas en parler. La plupart des Lions finissent en prison ou bien ils sont assassinés par des ex-employés.
VIERGE (23Août-22Sept.)
Vous êtes méthodique et pratique… C’est pourquoi le monde entier vous hait. Vous avez la chaleur d’un boa mort et faire de la peine à votre entourage est votre pain quotidien. Les Vierges font d’excellent(e)s gardien(ne)s de prison.
BALANCE (23Sep.-22Oct.)
Vous adorez la vie d’artiste. Si vous êtes une femme, vous devez être une prostituée. Si vous êtes un homme, vous devez être proxénète. Les Balance ont autant de savoir-vivre qu’un gigolo et trimbalent autant de maladies vénériennes. La plupart des Balances finissent leur vie abandonnés de tous, sous les ponts.
SCORPION (23Oct.-21Nov.)
Vous excellez dans les affaires et vous vous délectez de la misère et de l’humiliation que vous pouvez infliger à ceux qui sont autour de vous. Vous n’avez aucune morale, aucun scrupule, mais si vous êtes comme ça, c’est uniquement par respect de vos ancêtres qui étaient tous des brigands ou des criminels. On trouve beaucoup de Scorpions parmi les escrocs et les hétérosexuels à partenaires multiples.
SAGITTAIRE (22Nov.-21Déc.)
Vous êtes un éternel optimiste, ce qui est une bonne chose pour tous ceux que vous croiserez et qui seront ravis de pouvoir vous rouler. Vous êtes le premier maillon de la chaîne alimentaire et semblez avoir été créés sur terre pour que les autres se foutent de vous. La plupart des rats de laboratoire sont des Sagittaires.
CAPRICORNE (22Dec.-19Jan.)
Vous êtes une petite crotte insignifiante qui meurt de peur qu’on la remarque. C’est pourquoi tout le monde vous ignore et vous traite comme si vous aviez le choléra. Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’est jamais rien sorti de valable d’un Capricorne. D’ailleurs, on retrouve beaucoup de Capricornes dans les hôpitaux psychiatriques. C’est un signe.
Quelqu’un dit : Zêtes certain de ne pas avoir oublié un signe ?
Orang-outan dit : Un doigt d’honneur serait un bon signe, là, piting !
Quelqu’un dit : Je n’en attendais pas moins de vous !
Orang-outan dit : Pour la première fois de ma vie, je suis parti en week-end seul. C’est la première fois que je pars en vacances ou en week-end seul. Le nombre de mes copains célibataires est en constante diminution et ils partent en amoureux. C’est normal, c’est mon destin. Je ne m’en plains pas, je l’assume. Je le sais depuis longtemps, bientôt, je n’aurai plus personne avec qui partir en vacances. Il me reste deux solutions. Premier choix ; partir avec l’UCPA ou un autre organisme. Je n’ai rien contre, je pense que j’y aurai recours pourquoi pas, dès l’été prochain. Second choix, partir seul. J’ai expérimenté cette possibilité ce week-end. Je n’avais initialement pas prévu de partir lors de ce week-end de cinq jours, mais face aux prévisions météo ensoleillées, je me suis dit qu’il fallait en profiter. Je suis donc parti en Bretagne pendant trois jours ; Mont-Saint-Michel, Saint-Malo, la coté de granit rose, le cap Fréhel… J’aime beaucoup la randonnée et la nature. J’ai passé ces trois jours à me balader le long de la côte. C’est très pratique de partir seul, car on fait exactement ce que l’on aime, et moi, j’aime la nature et les randonnées. J’ai donc passé trois jours à me balader, à m’oxygéner l’esprit, avant les longs mois d’hiver. Finalement, il ne me faut pas grand chose pour que je sois heureux. Juste être dehors, au soleil. J’aime beaucoup les couchers de soleil, surtout l’hiver, ou l’automne. Lorsque le soleil se couche, la température baisse brusquement et un froid vif caresse le visage. Ensuite, la rosée se forme et la brume apparaît, chargée de toute les senteur de feuilles mortes de l’automne. Le calme se fait sur la campagne, un calme reposant, apaisant, dans lequel je me sens bien. Je suis resté longtemps assis, à ne penser à rien, à regarder le reflet de la pleine lune sur la mer et à me sentir bien. Là où c’est ennuyeux de partir seul, c’est le soir. C’est hors de question que je fasse un restaurant seul, alors je suis allé au drive de Quick pour manger dans ma chambre du Formule 1. Pas très joyeux tout ça… L’avantage de faire sept heures de marche dans la journée, c’est que le soir, on ne s’ennuie pas : juste le temps de faire une grille de sodoku pendant la digestion, et hop à 22 heures, dodo. Et le lendemain, c’est reparti pour la marche dès 9h30 du matin. J’ai croisé sur mon chemin une fille apparemment seule. Elle semblait avoir mon age et je ne sais pas pourquoi, elle m’a semblé sympathique. J’ai eut envie de lui parler. Mais pour lui dire quoi ? « Alors toi aussi, ta vie sentimentale est inexistante et tu n’as pas d’ami avec qui partir en week-end ? » Finalement, je ne lui ai pas parlé. Quelqu’un dit : La pauvrette, elle ne saura jamais à qui et à quoi elle a échappé !Orang-outan dit : Je me sens de plus en plus solitaire, et je me pose cette question depuis plusieurs mois, pourquoi je travaille ? Je m’étais fixé cette année comme un tournant de ma vie. Je ne voulais plus rester célibataire, ou en tout cas, ne pas savoir si je suis fait pour vivre seul toute ma vie. Car oui, j’en suis là. Je ne drague pas, donc je suis seul. Je ne suis pas malheureux, mais je ne suis pas sur d’être heureux non plus. Je vis chaque jour comme si c’était le dernier, sans penser au lendemain, sans préparer l’avenir. J’ai vraiment apprécié ce week-end et je sais que je suis quelqu’un qui à besoin de très peu pour vivre heureux. Je suis quelqu’un de simple. Alors cette idée folle germe de plus en plus dans ma tête… Pourquoi je travaille ?
Quelqu’un dit : Ne seriez-vous pas plus épanoui si vous viviez en autonomie dans une cabane perdue dans la campagne ?
Orang-outan dit : Non pas pour me chatouiller les couilles, mais pour écrire mes aventures. Je pense que je ferais mieux de m’inscrire sur Meetic pour dénicher une compagne, plutôt que d’écrire des conneries, mais pour le bien de l’humanité, plutôt que d’utiliser mes talents d’écrivain génial pour faire craquer une seule personne, je préfère rester seul et disperser au monde entier le fruit de mon génie. Oui, je suis votre prophète vénéré, prêchant la bonne parole réconfortante, prêt à sacrifier ma vie pour la votre.
Quelqu’un dit : Sauf que prophète, ça prend du temps…
Orang-outan dit : Le travail, la solitude. Je ne verrais sans doute personne avant le jour de l’an. Si on m’invite quelquepart… J’ai l’impression de me faire enterrer. C’est la déprime. Je n’ai envie de rien. Je rêve de changer de vie. Je rêve de vivre. Je rêve d’aimer. Je ne veux plus vivre seul, sans but.Quelqu’un dit : Suicidez-vous…
Orang-outan dit : Grâce à la publication des 3 premiers chapitres de ma vie sexuelle lubrique sur ce site, j’ai reçu beaucoup d’émails enflammés, une vingtaine de femmes, une dizaine d’hommes, dont un au nom de son chien, un Rottweiller…, et un d’une transsexuelle sado masochiste. je n’avais pas encore essayé de tremper mon biscuit avec une transsexuelle, aussi ais-je directement répondu à son émail…Il provennait d’une certaine “Gene” qui appréciait mon site. Apprécier, le mot est faible. Elle me déclarait son admiration pour mes écrits et son plaisir limite orgasmique à me lire. Voici un extrait de son mail « J’aimerais trouver les mots pour t’apaiser… Mais non, je ne trouve pas. En même temps j’en ai pas très envie parce que je prends un plaisir fou à te lire, limite orgasmique. Tes expériences m’éclatent. N’as-tu pas envie d’une jeune et jolie femme avec une queue ? »
Quelqu’un dit : Après un message aussi clair, certain que c’est pour vous enc….
Orang-outan dit : Un message comme celui-là, ça ne me laisse pas indifférent. J’étais aux anges, fier de moi ! Un plaisir orgasmique… Je m’empresse de rédiger une réponse. J’avais hâte d’en connaître plus sur cette admiratrice. Je ne connaissais que son prénom et son âge : 33 ans. C’est assez peu pour rêver. Acceptera-t-elle de discuter avec moi sur MSN, de me rencontrer ? Jusqu’où irons nous ? Est-elle top-modèle ? Sait-elle faire les tiramisus ? A-t-elle une villa sur la côte d’azur ?
Quelqu’un dit : Au moins, saviez-vous qu’elle avait une queue et une paire de roubignoles !
Orang-outan dit : Gene n’a pu s’empêcher de parler de notre rencontre à ses amies, ainsi que de ce fabuleux site. L’une de ses amies s’est même empressée d’aller le voir pour y faire sa propre opinion.
Quelqu’un dit : Ce qu’elle y découvrit en lisant votre histoire, c’est un personnage du nom d’Orang-outan, couchant avec des femmes débiles ou des handicapées voire des culs-de-jatte…, des grands-mères et des chiens, réalisant des cunis à une fille qui a ses règles avant de lui gerber dessus…etc, etc… génial !
Orang-outan dit : Face à ce descriptif, cette personne pris peur, effectivement ! Rien de plus normal. Je comprends que cela fasse peur. Lorsqu’on lit mes textes, on peut surtout m’imaginer comme un malade mental chez qui on trouve un chien maltraité dans une cage et un cercueil fraîchement déterré dans lequel gît le corps décomposé d’une petite vieille ayant manifestement servi de vide couilles depuis plusieurs semaines… Cette personne a donc pris peur et selon elle, c’était une pure folie de me rencontrer, surtout chez moi ! Malheureusement pour moi, cette fameuse amie semblait avoir beaucoup d’influence sur Gene. Effectivement, au début d’après-midi, j’ai reçu un coup de téléphone de Gene m’annonçant son désistement. Elle préférait que l’on prenne plus de temps pour se connaître. Elle n’avait pas tort, je la comprenais. J’ai alors dicuté avec elle, plus d’une heure sur MSN… et lorsque j’ai jugé avoir suffisamment discuté pour la convaincre que je n’étais pas un dangereux pervers, je lui ai proposé de se voir le soir même, chose qu’elle accepta en me disant qu’elle voulait me voir chez elle… et qu’elle avait un sexe comme un obusier…, chose que je comprenais parce que moi aussi ! Il me semblait que l’envie d’aller plus loin augmentait petit à petit comme mon érection. Tout excité, je me suis empressé de me préparer. Je me suis longuement brossé les dents, j’ai bouffé un demi tube de dentifrice pour masquer l’haleine, j’ai pissé un bon coup, me suis lavé la bite, me suis parfumé et enfin, je suis parti à l’aventure. Mené par mon instinct d’animal en quête d’une femelle-mâle, je suis arrivé rapidement sur les lieux. L’heure de voir à quoi Gene ressemblait était arrivée. J’ai sonné, la porte s’est ouverte et Gene m’est apparue dans un halo de lumière !
Quelqu’un dit : Arrive un passage technique de narration peu évident…
Orang-outan dit : J’aimerai vous décrire précisément le physique de cette Gene, mais c’est une fidèle de ce site… Elle va lire ces lignes, alors vous comprenez…. J’apprécie Gene et je n’ai pas envie de faire des propos désagréables sur elle. Je me contenterai donc de dire que je me suis senti comme un musulman qui verrait apparaître Jésus Christ… Ce n’est pas la femelle-mâle dont je rêvais. Cependant, je n’ai pas eu non plus l’envie de m’enfuir en courant. Je lui ai fait la bise, mais pas de décharge électrique.
Quelqu’un dit : C’était certainement un signe.
Orang-outan dit : On a passé la soirée à papoter, de tout et de rien. On était assis l’un à coté de l’autre. Pendant toute la discussion, je me suis posé la question : j’attaque ou pas ? J’étais certain qu’elle ne dirait pas non, enfin, j’espérais. Je n’étais pas très motivé, car Gene n’avait pas vraiment le physique d’une jeune femme de rêve. Mais bon j’avais besoin de m’améliorer dans ce sport qu’est la baise. Donc s’il y avait moyen, je devais y aller. C’était pour mon bien. Mais avant d’attaquer, je voulais être certain de ne pas prendre de râteau.
Quelqu’un dit : Tout ce que vous risquiez c’est de vous faire enc…
Orang-outan dit : On a commencé nos ébats de manière classique pour de longs baisers. Echange de bave dans des tournoiements de langues. Gee me susurra d’une voix grave dans le creux de l’oreille que j’embrassais bien. Je brisais immédiatement cet instant romantique pour lui dire « Ne t’enflamme pas, c’est le seul truc que je sais faire » Je tenais à la faire redescendre sur terre, fallait pas qu’elle s’imagine être dans les bras d’un étalon.
Quelqu’un dit : D’ailleurs, un étalon, je ne suis pas certain que ça embrasse bien.
Orang-outan dit : Tout en continuant d’échanger nos microbes, j’ai commencé à lui enlever son chemisier. J’ai passé ensuite au soutien-gorge que j’ai dégraffé d’un geste habile en à peine deux minutes. Et là badaboum, une énorme paire de seins jaillit, tombant presque sur le sol à en dégringoler dans les escaliers. J’exagère un peu, mais je ne suis pas si loin que ça de la vérité. Gene possédait une gigantesque paire de seins. Contrairement à beaucoup de mecs, les poitrines ne m’ont jamais fait fantasmer. Je trouve cela beau, mais ça ne m’agite pas le braquemart. Je ne savais pas trop quoi faire de cet immense volume de chair. Alors j’ai joué un petit peu avec. J’en ai attrapé un, ai cherché l’extrémité et léchouillé le mamelon. Avec la main gauche, j’ai attrapé le second et l’ai massé tant bien que mal. Gene, restait dubitative. Alors je me suis concentré tout en essayant de faire de mon mieux. Toujours aussi peu de réaction chez elle. Je me dis que ses mamelons étant si loin de son cerveau, ce n’était pas étonnant qu’elle ne ressente rien. Finalement j’ai abandonné : j’ai laissé tomber les seins sur la moquette pour passer à des choses plus intéressantes.
Quelqu’un dit : Un duel de braquemarts du même style que dans “la guerre des étoiles” ?
Orang-outan dit : Je me suis allongé à coté de Gene et ses mains déboutonnèrent mon pantalon. Contrairement à son soutien-gorge, rien n’a jaillit jusqu’au sol ou au plafond. Une main plongea dans l’ouverture à la recherche de la bête. Mes organes velus furent rapidement dénichés et caressés. Hummm c’était bon ! Je fis de même avec le pantalon de Gene et lança ma main vers son intimité. Un énorme “machin” a jaillit presque jusqu’au plafond ! Je me suis alors évertué de l’agiter pour lui faire du bien. La main de Gene m’y aida… Gene, apparemment désireuse de se faire ramoner le conduit, me demanda si j’avais des préservatifs. Mon sexe lui répondit « oui » en hochant de haut en bas. Ma main sortit de ma sacoche une boite de préservatifs. Cette boite, je l’avais achetée quelques jours auparavant. Je n’avais pas fait attention en l’achetant, mais j’aurai mieux fait de le faire, car un détail auquel je n’avais pas fait gaffe va saccager la soirée.
Quelqu’un dit : Quoi donc ?
Orang-outan dit : Sur la boite il était annoté « Maxi-size ». Gene explosa de rire en voyant ça : « Maxi-size avec ce que tu as ? »
Quelqu’un dit : Fâcheux !
Orang-outan dit : Cet humour, je l’adore et j’étais mort de rire. Mais le sexe des hommes est un être vivant à part entière et totalement indépendant au mec sur lequel il est suspendu. Et une telle réflexion n’a pas fait plaisir à mon sexe. Déjà qu’il n’était pas très motivé… Bref, ce fut la débandade. Vous allez vous dire : « il ne se casse pas trop le cul, il refait le coup de la débandade ! » Ce n’est pas ma faute si ça m’arrive souvent ! A force, je commence à mieux gérer ce genre de situation. J’ai alors sorti une réplique apprise par cœur : « La raison de cette défaillance est simple mon amour : je suis tellement troublé par la splendeur de ton corps, l’éclat de ton beauté et l’élégance de ton charme que j’en perd tous mes moyens ». Mais pour que cette phrase magique fasse effet, il fallait y mettre le ton. Et le ton, il n’était pas dans ma voix, mais plutôt allongé a coté de moi.
Quelqu’un dit : Soyez bref et précis !
Orang-outan dit : J’étais époustouflé de voir ce sexe dur, bandant sans caresses de ma part, attendant avec impatience de m’enculer. Je l’ai fait bien bander en la branlant de mes deux mains car sa bite était pour moi très longue et quand j’ai approché mon sexe du sien j’avais la bite deux fois plus petite : c’était impressionnant surtout que je savais que j’allais la prendre dans le cul dans pas longtemps. Dans la bouche sa bite avait bon gout et n’était pas trop épaisse, je dirais qu’elle était élégante, le gland bien proportionné et dégagé. J’ai sucé son membre mais même en gorge profonde j’en ai avalé que la moitié. Elle s’épilait les testicules et avait des couilles douces et bonnes à gober. Quand je lui ai glissé mon index dans le cul, c’est rentré tout seul et j’ai alors su que ma petite bite ne lui ferait pas mal quand j’allais l’enculer. J’ai eu droit à une agréable feuille de rose et quand elle a sorti son tube de lubrifiant et une capote, j’ai compris que c’était le moment de vérité. Elle s’impatientait de m’enculer bien profondément et de me faire voir comment elle satisferait un partenaire novice demandeur d’une bonne sodomie. Elle sentait que j’avais peur et ça avait l’air de l’exciter énormément. Elle voulait me voir quand elle me baise et je me suis allongé sur le dos et j’ai remonté mes jambes sur ses épaules. Gene m’a écarté les fesses et m’a fourré deux doigts direct dans le cul et comme elle s’était vidée la moitié du tube de vaseline sur les doigts, c’est rentré tout seul. Elle a passé sa capote et maintenu sa bite en main pour me caresser le trou du cul avec son gland puis elle a poussé de plus en plus fort pour passer le gland et soudain j’ai senti sa bite entière dans mon cul, respiration bloquée, j’étais en état d’asphyxie. Elle ne bougeait plus, sentant bien que j’avais du mal à accepter son engin de 21 cm qui me transpercait les boyaux et me dilatait le cul. Sa grosse bite était en place, prêt au ramonage promis et tant attendu. Elle ressortit doucement et j’ai alors senti mon fondement se libérer de ce corps étranger que je n’avais pas encore entièrement accepté. Elle a vidé son tube de vaseline, et m’a ré-enculé tout aussi profondément et a commencé un lent va et viens. J’avais le cul en feu mais je sentais que mon anus se détendait et une grande chaleur m’a alors envahi doucement. Un début de plaisir. Elle m’a pincé les tétons et m’a caressé la queue, me pétrissant simultanément les testicules. J’ai rebandé aussi sec. « Je vais bien te défoncer mon chéri, m’a-t-elle dit, tu vas t’en souvenir toute ta vie de t’être fait enculer par Gene ». Maintenant j’avais le cul bien ouvert et elle m’a fait comprendre le terme « défoncer » quand elle a commencé de me prendre le cul beaucoup plus violemment pour son plaisir à elle. Ça rentrait tout seul, ça glissait bien et son engin ressortait presque totalement de mon cul avant de me reprendre d’un grand coup de rein. J’étais aux anges et j’avoue que j’y ai pris un plaisir certain quand elle m’a traité d’enculé, de sale chienne et autres saloperies qui rendent les rapports plus épicés. Elle m’a fait voir mon anus dilaté dans le miroir collé au mur le long du lit. J’ai vu mon trou du cul ouvert d’au moins 2 cm , rouge sur le pourtour, les poils du cul collés par la sueur. Elle a passé trois doigts pour me faire voir que l’ouverture était conséquente et a écarté encore plus mes fesses quand j’ai resseré mon petit trou, gêné de tant d’impudeur. Deux, trois claques sur les fesses et elle m’a ré-rentré sa bite d’un coup et a repris son enculage.
Quelqu’un dit : Elle est très performante, là, votre Gene !
Orang-outan dit : Oui, vraiment très performante, piting, car elle bandait toujours aussi dur et semblait prendre beaucoup de plaisir. Quand elle m’a annoncé « je vais t’achever » j’ai joui dans ses mains qui continuaient à me masturber. J’ai eu l’impression de me vider et j’ai pollué les draps de ma semence bien épaisse. J’ai senti sa bite qui devenait encore plus dure et son gland se gonfler quand elle m’a spermaté dans le cul. Le temps de reprendre mon souffle, j’ai senti une envie pressante et suis allé aux toilettes chier toute ma merde qu’elle m’avait débloquée en rentrant si loin dans mes boyaux. Prenez un mètre à ruban et déroulez 21 cm : c’est ce que j’ai pris dans le cul pendant un quart d’heure et vous comprenez pourquoi je suis un peu secoué.
Quelqu’un dit : Je compatis à votre douleur…
Orang-outan dit : J’ai eu droit un second round mais le temps de recharger on a discuté devant un rhum orange car la belle était cubaine et revenait de vacances. Son accent était épouvantable mais avec son humour et sa joie de vivre je la trouvait craquante. Pipe au rhum avec glaçon, j’ai retrouvé vigueur en caressant sa bite qui, toute flasque, pendait comme une saucisse entre ses jambes. C’était plutôt saucisse de Morteau que de Strasbourg question calibre et je m’amusais avec son engin jusqu’à un début d’érection qui me permis de la branler et de la sucer. Gene m’a aussi fait retrouver ma vigueur en me suçant et elle m’a gobé, avalant ma petite bite qui, capotée, s’est retrouvée dans son cul, pénétration sans lubrifiant nécessaire. J’ai eu du mal à tenir une érection forte pour un enculage et elle m’a terminé en me suçant tellement divinement bien qu’elle n’a pas mis 2 minutes à m’achever en me laissant éjaculer dans sa bouche. Je n’en ai pas sorti beaucoup et elle m’a recraché mes spermes sur le ventre. De retour des toilettes elle m’a fait comprendre que la séance était finie en se rhabillant. J’ai gardé un bon souvenir de Gene, très féminine, peu poilue, le visage fin. Je ne la conseille pas pour un dépucelage mais pour commencer un bon bourrage. La bite d’une transsexuelle est plus agréable que le gode. La dureté d’un gode est gênante et une bite s’adapte mieux… et est plus souple. Dans le cul qui est assez sensible, on ressent bien la différence. Et puis, bien sur, le fantasme de la femme à bite est irremplaçable et en vieillissant j’apprécie de plus en plus les rapports anaux sans pour ça tomber dans l’homosexualité.
Quelqu’un dit : Fascinnant !
Orang-outan dit : Depuis mon aventure avec cette transsexuelle j’étais obsédé par mon envie de tenter un nouvel essai pour me faire dépuceler.
Quelqu’un dit : Ça y est ! Ca recommence… Zêtes vraiment un baiseur fou !
Orang-outan dit : J’étais donc passé à la casserole comme on dit vulgairement. Mon petit trou avait vu le loup et s’en remettait doucement…., la position assise était encore inconfortable au moment où, pour des raisons qui ne vous regardent pas, j’ai eu l’occasion de “monter” à Paris…, ce qui devait me changer des moeurs de Toulouse ! C’est hier soir que j’ai été trainé au bois de Boulogne à Paris. On m’a déposé à la porte d’Auteuil et je suis parti à pieds en reconnaissance pour me trouver une transsexuelle belle et pas trop membrée même sous-membrée si possible. J’ai vu de tout. Des travestis, des gays, des hommes pas homos mais qui ne diraient pas non et bien sur des transsexuelles totalement nues sous leurs manteaux. J’ai regardé toutes ces bites exposées et j’ai fait mon marché. Celui qui cherche du bien, du très Bien Membré n’a que l’embarras du choix. Je ne pensais pas que des transsexuelles puissent avoir d’aussi grosses bites, certaines ont des sexes si volumineux que je ne pense pas qu’elles puissent enculer quelqu’un.
Quelqu’un dit : Vous pensez à quelqu’un en général ou à Quelqu’un en particulier ?
Orang-outan dit : Moi je pense pas à vous, là, piting, quoique, parfois… je…
Quelqu’un dit : Quoi ? Précisez SVP !
Orang-outan dit : Je cherchais toujours ma transsexuelle à petit sexe quand j’ai trouvé une petite asiatique qui arrivait à parler correctement le français. Je lui ai demandé de sortir de son sous bois pour apprécier l’engin et elle m’a montré son sexe qui au repos était tout à fait raisonnable. Pour 100 € elle a accepté et j’ai commencé à la caresser. Son sexe était plus grand que prévu. Fin et assez long comme un grand cigare. Je l’ai sucé et aimant beaucoup sentir cette queue fine dans ma bouche. Le gland était bien décalotté et je me suis régalé même quand elle m’a forcé à en avaler un maximum. Ça tapait on fond de ma gorge et j’ai salivé abondamment, la pipe était baveuse et ce deeptroad était à charge de revanche. Je lui ai en retour enfourné 3 doigts dans son petit cul, mais la belle ne bronchait pas et paraissait apprécier, c’était maintenant elle qui me sucait. C’était une experte et je lui ai tamponné le fond de gorge pour me venger. Elle toussait, bavait, avait les yeux qui pleuraient sous mes coups de buttoir mais je n’ai pas renâclé pas à la tache. Je lui ai proposé 50 € de plus pour un deuxième round et comme elle a accepté je lui ai déchargé tout mon sperme sur le visage. Elle a râlé un peu car elle en avait plein les cils. Elle m’a ensuite caressé les cuisses, le sexe et même l’anus pour me préparer à l’assaut final. On a rigolé ensemble quand on a vu mon sexe se redresser et reprendre vigueur. Mais je n’étais pas pressé. J’avais l’impression d’être avec une femme si ce n’est son sexe que je branlais doucement, admiratif de cette bite de toute beauté et bien dure. Sa queue me faisait penser à une petite baguette, elle bandait à l’horizontale. Je lui ai alors demandé d’y aller doucement car c’était mon second dépucelage trassexuel. Elle m’a répondu de ne pas m’inquiéter, qu’elle allait me préparer en douceur en sortant un tube de crème spéciale sodomie ! Je me suis placé en position de levrette et délicatement elle m’a écarté mes fesses pour commencer un anulingus, sa langue jouant sur mon anus jusqu’à tenter une pénétration. Elle me cajolais de mots doux en enduisant ses doigts de lubrifiant, puis elle a commencé une pénétration anale avec l’index pour me détendre l’anus, pour préparer le chemin. Au 3ème doigt introduit elle a enfilé une capote et s’est présentée à la porte entre ouverte. Je sentais son gland entrer doucement, mais une contraction anale l’a fait ressortir aussi vite. Elle m’a demandé de me détendre et représentant sa bite pour une deuxième tentative, je me détendis, alors que brutalement en poussant un coup fort elle m’enculait d’un coup. J’en avais la respiration coupée…
Quelqu’un dit : Moi aussi j’en ai la respiration coupée, mais c’est de lire vos conneries, piting !
Orang-outan dit : J’en avais aussi les larmes aux yeux, mais elle resta en moi sans bouger puis j’ai senti son sexe qui commençait un léger va et vient. J’ai complètement débandé sur le coup. Mais lentement j’ai commencé à ressentir une chaleur en moi et la pression sur la prostate m’a fait vite avoir une trique d’enfer. Ses va-et-vient étaient extrêmement plaisants et elle tournait sa queue dans tout les sens pour parfaire un ramonage total. J’ai gémis sous ses coups de bite. Quand elle ressortait complètement sa queue pour me reprendre d’un coup, c’était un peu douloureux mais j’attendais avec impatience une nouvelle sortie pour suffoquer quand je sentais sa bite me ré-enculer. « T’as le fion bien ouvert me dit-elle, je vais t’achever ». Et là a commencé une défonce de mon petit trou à grands coups de bite, j’avais l’impression qu’elle me remontait dans les boyaux. Elle se retira enfin après 5 minutes me laissant le trou du cul comme avec un vide, elle me retourna ensuite, enleva nos capotes et en 69 on commenca une fellation mutuelle. Elle sucait divinement bien, je ressentais de son coté que sa bite allait bientôt cracher son sperme mais je laissa faire. Voyant que j’acceptais sa semence elle me laissa également éjaculer dans sa bouche. Par petits spasmes elle déchargea son sperme chaud et, d’un jet un peu plus fort qu’un autre, elle me fit avaler de travers et je déglutis tout son foutre. Pas mauvais, un peu épais mais un bon gout de camenbert moisi, mais agréable. Pas mauvais cette sensation finale et quand je me vidais enfin les couilles dans sa bouche j’ai vu qu’elle laissait couler le sperme sur le bord de ses lèvres en se contentant d’avaler les dernières gouttes. Elle m’a alors demandé de lui nettoyer le sexe à grand coups de langue car un enculé nettoie toujours son enculeur, c’est parait-il la tradition ! Elle m’a dit de ne pas m’inquiéter, que ça irait de mieux en mieux si je pratiquais plus régulièrement la sodomie.
Quelqu’un dit : Vous comptez suivre son conseil ?
Orang-outan dit : Oui, mais auparavant je voudrais recommencer une autre pratique qui m’avait bien plu…
Quelqu’un dit : Quoi donc ?
Orang-outan dit : Du BDSM…
Quelqu’un dit : Piting !
Orang-outan dit : Quoi “Piting” ?
Quelqu’un dit : Rien, continuez, je sens que ça va être le clou du spectacle !
Orang-outan dit : Vous vous souvenez de Youp-Clito, ma copine d’il y a quelques années ?
Quelqu’un dit : Un vague souvenir…, pourquoi ?
Orang-outan dit : Dès notre première rencontre elle m’a dominé, m’a donné des ordres et dirigé mes actes selon ses désirs : fait ci, fait pas ça, fait ça comme ça. J’aimais lui faire plaisir et n’étant pas un homme dominateur je me complaisais dans se rôle de soumis. Ça a empiré quand j’ai eu moins envie de faire l’amour avec cette femme castratrice. Elle m’insultait, me traitant de moins que rien quand je n’arrivais pas à bander. J’ai reçu des baffes plus fréquemment, elle m’a toujours frappé quand elle était énervée, jusqu’au jour où elle m’a offert un martinet en me demandant de me déshabiller immédiatement « Tu vas voir, je vais te faire bander espèce de couille molle ». Ce genre de rapport était devenu courant et elle ne s’adressait à moi qu’avec des phrases injurieuses ou humiliantes. Une fois nu je me suis allongé sur le ventre sur le tapis du salon et elle a commencé à me fouetter, au début avec retenue, puis pour m’affliger des vrais coups de martinet qui font mal. J’ai dû lui lécher les pieds et lui demander « Encore le fouet, s’il te plait » car elle me dictait les paroles que je devais répéter à la lettre sinon elle me balançait des coups de pieds dans les côtes ce qui est très douloureux. Quand je me suis retourné sur le dos je bandais bien ferme et satisfaite après un « Tu vois connard que j’arrive à te faire bander quand je veux. Allez ! baise moi maintenant » elle c’est empalée sur mon sexe et c’est fait jouir comme si j’étais son godemiché puis s’est sortie ma bite de sa chatte et comme je n’avais pas joui, elle m’a obligé de me masturber devant elle qui sirotait un whisky. Quand j’ai joui elle a récupéré mon sperme dans son verre vide et m’a obligé à le boire « Ca va te recharger les couilles pour la prochaine fois ». C’est la première humiliation sévère que j’ai subi et ce n’était qu’un début car elle avait compris que je devais aimer et surtout que sa jouissance avait été décuplée et que dorénavant elle ne pourrait plus se passer de me torturer pour avoir son orgasme ravageur.
Quelqu’un dit : Vous avez transformé la petite Youp-clito que je croyais lesbienne, en un monstre…, elle, une femme dominatrice ! Piting, j’y crois pas !
Orang-outan dit : Si, si… C’est suite à notre voyage à Monaco ou on était venu vous voir, au retour elle est devenue une mégère hargneuse qui me préparait un scénario nouveau pour les soirs où il lui fallait de la bite. Elle mijotait ça toute la journée. Ça commençait toujours pareil dès la fin du repas par une baffe magistrale en aller retour, le retour de main particulièrement cuisant accompagné d’un « Viens dans la chambre connard et à quatre pattes ». Elle profitait de ma position pour me botter le cul ou m’écraser le gueule avec ses bottes cuissardes, nouvelle tenue, Madame trouvant que ça convenait mieux à son rôle de maitresse. Elle baissait mon pantalon et enfilait un gode ceinture pour m’enculer violemment. Elle choisissait des godes de plus en plus gros et devant mes protestations ne voulait rien savoir et me disait que le trou de mon cul se dilatait et qu’elle ne voulait pas que je prenne du plaisir. C’est vrai que la douleur et le fait de sentir ce morceaux de plastique dans mon cul me faisait bander et souvent gardant un petit gode dans l’anus je la pénétrais et la faisais bien jouir. Pendant un an j’ai souffert pour jouir mais il lui fallait du plus extrême. C’est ainsi qu’un soir, au moment de nous coucher je passais dans la salle de bain où elle m’attendait un paquet de couches culottes pour adulte dans les mains. Elle n’a pas voulu que je pisse avant de me coucher et m’a fait passer une couche pour incontinence urinaire. Elle avait tout prévu et avant d’éteindre j’ai dû sucer une tutte de bébé en m’endormant. A 3h du matin je me suis levé discrètement mais elle se doutait de quelque chose et elle m’a surpris essayant d’enlever cette putain de couche. Immédiatement j’ai eu droit au martinet et sous la douleur des coups de fouets j’ai pissé dans ma couche. Cette sensation de chaud était très agréable et quand j’ai fini je me sentais bien. Elle m’a ôté ma couche pleine de pisse et ma sucé longuement. Une bite bien dure l’a satisfaite en levrette sur le rebord de la baignoire. A nouveau au lit elle m’a dit « A la prochaine couche je veux du caca, mon bébé, tu vas chier dedans même si tu mets deux jours à te décoincer, je la veux pleine de merde et je sais que tu sauras me faire plaisir ».
Quelqu’un dit : C’est dégueu, à nouveau, là !
Orang-outan dit : Un soir, après un repas caractéristique aux bougies, j’ai découvert la corde posée sur le lit que je venais d’atteindre à quatre pattes comme d’habitude. Bondage. « Tu vas aimer sale con, car je vais serrer à te crever ». Des épaules elle a passé la corde entre les cuisses au ras des testicules pour me saucissonner le corps les mains attachées derrière le dos. Je n’avais que la bite et les couilles qui ressortaient rouges sous le serrage des liens. Mes seins ressortaient aussi comme des seins de femme et si je bougeais trop, tous les liens se resserraient et m’écrasaient, m’empêchant de respirer. J’ai eu droit aux pinces à seins sur mes tétons, à des poids accrochés aux testicules et des élastiques qui me ligaturaient la base de la verge. Malgré la douleur je bandais et Youp-clito me sucait jusqu’à la jouissance. Des petits jets de sperme lui arrosaient la figure… et laissant couler le sperme sur son visage elle se branlait en se fistant d’une main le con. Un autre soir je l’ai retrouvée en compagnie d’un homme jeune et elle m’a présenté comme « Sa lopette qu’a du mal à la faire jouir qui va leur faire un striptease et leur servir le repas à poil ». Rouge de honte je me suisse exécuté et lors du repas je les ai servi nu. Ce ne fut que pincement des fesses, étirement des couilles ou de la bite jusqu’à un doigt dans mon cul par le jeune homme qui me promettait un enculage de première pour tout à l’heure. J’ai regagné la chambre comme d’habitude et j’ai attendu à genoux qu’ils boivent leur café. En entrant dans la chambre elle m’a tabassé à coup de pieds et m’a fouetté sévèrement comme pour prouver à son jeune amant que c’était vraiment elle qui commandait. Nus ils font l’amour devant moi et je pouvait voir le sexe volumineux de l’homme qui, bien dur, réussi à donner des orgasmes à répétition à Youp-clito qui gueulait comme une truie qu’on égorge. Leurs ébats terminés ils sont repartis au salon déguster mon Cognac de vingt d’âge que je gardais pour les grandes occasions.
Quelqu’un dit : C’est pire que tout, ça, boire un Cognac de 20 d’âge que tout homme se garde pour les grandes occasions !!!
Orang-outan dit : Ils sont revenus 1 h après un peu éméchés et c’est cette salope de Youp-clito lui a rappelé la sodomie promise. Pour bien me préparer l’anus elle a sorti de son placard un spéculum de gynécologue, m’a ouvert le cul avec son instrument de torture et m’a laissé comme ça le temps de réveiller son compagnon par une pipe baveuse. En voyant son sexe en érection j’ai frémis de peur. J’avais raison d’avoir peur car l’introduction de son pénis fut beaucoup plus dur que prévu. Fatigue, humiliation et trop forte douleur m’ont fait dégueuler le peu que j’avais avalé et je suis tombé dans les pommes le nez dans mon dégueulis. A mon réveil j’étais toujours allongé par terre aux pieds du lit où ils copulaient comme des bêtes, Youp-clito sortant tout son répertoire graveleux qui l’emmènant habituellement à l’orgasme. C’était décidé…, j’ai pris ma douche, fait ma valise devant eux, toujours en train de baiser et je suis parti à l’hôtel. C’est la dernière fois que je l’ai vue et j’ai conclu un an de calvaire par téléphone refusant à ses supplications de revenir. Depuis deux ans je vis avec une autre femme, gentille avec qui je m’entends bien quoiqu’ hier en allant faire les courses j’ai oublié ses protèges slips et devant sa contrariété j’ai souris ce qui m’a valu une baffe et un « Connard tu penses jamais à rien ». J’ai été surpris. Surpris surtout par une violente et immédiate érection. Suis-je vraiment guéri ?
Quelqu’un dit : Je crois que vous êtes inguérissable !
Orang-outan dit : C’est bien ce que je pensais !
Quelqu’un dit : Malgré notre civilisation moderne, nos ordinateurs, nos satellites, nos innovations technologiques, et sans vouloir relancer le débat de l’inné et de l’acquis, nous autres humains restons des primates… et il existe une partie de notre cerveau qui se souvient d’un temps reculé où la civilisation, les lois, les concepts philosophiques n’existaient pas. C’est le cerveau primitif ou reptilien, siège de nos réactions instinctives et animales. Oh, nous avons en partie appris à le domestiquer. Notre néo-cortex, cette autre partie du cerveau siège de l’abstraction et de la pensée rationnelle, nous a permis d’établir ces garde-fous que sont l’éthique, la morale, la déontologie, les concepts de Bien et de Mal…tout ce qui empêche nos réactions instinctives de commettre l’irréparable.
Orang-outan dit : Codes, lois morale, autant de garde-fous, donc. Mais bien avant que ces concepts ne soient formulés, ce singe nu qu’est l’être humain existait néanmoins en tant qu’animal grégaire, social, vivant en groupes dont la survie face à un milieu souvent hostile et peuplé d’espèces prédatrices était régie par une hiérarchie primitive.
Quelqu’un dit : C’était souvent le règne de la survie du plus apte. Dans cet univers sans pitié, le fort dominait le faible, et les sociétés humaines primitives étaient hautement hiérarchisées, et basées sur des rapports de pouvoir. À la tête du groupe, le mâle et/ou la femelle alpha, l’individu dominant, le chef de tribu. Celui ou celle qui a écrasé la tronche de tous ses rivaux à grands coups de silex. Mais on trouvait sans doute aussi, bien que ce soit moins connu, des formes primitives mais déjà élaborées de sociétés égalitaires et participatives, où les conflits, la concurrence et l’agressivité sont gérées et éliminées non pas via la lutte et la survie du plus fort et du plus apte, mais bien via des comportements pacifiques
Orang-outan dit : Observons donc des groupes de primates, et la manière dont ils expriment leurs rapports et relations sociales…, un groupe de singes bonobos par exemple. Tout d’un coup, un conflit survient. Séquences d’agression, crocs dénudés, cris et pagaïlle. Dans une telle situation, le groupe va résoudre le conflit soit en choisissant un bouc émissaire parmi les membres de la troupe (voui, on ne dit pas une tribu de singes, mais bien une troupe), soit plus fréquemment en pratiquant l’acte sexuel, de façon réelle ou simulée.
Quelqu’un dit : Ce serait sympa non, si Homo sapiens pratiquait de même. Imaginez les titres à la une. Au lieu des carnages habituels on aurait droit à ceci : « Situation tendue au Trucmuchistan. Un avant-poste a été pris d’assaut par un commando de nymphomanes kamikazes. le général Grogourdin a été contraint de durcir ses positions pour faire face à l’assaut. »
Orang-outan dit : Allons plus loin. Voici une troupe de chimpanzés ou de gorilles. Monsieur Orang-outan vient de filer une bonne trempe à ses rivaux et accède dès lors au statut de mâle alpha, de chef de clan.
Quelqu’un dit : Tout au moins si aucun autre membre du groupe ne le défie et, chose primordiale, si ses congénères font publiquement acte d’allégeance et de soumission à son égard.
Orang-outan dit : Cà se passe comment ?
Quelqu’un dit : Devinez. Eh oui…dans bon nombre de cas les autres individus, mâles comme femelles d’ailleurs, auront recours à un échange sexuel réel ou simulé avec le mâle alpha afin de manifester leur acceptation du statut dominant du chef de la troupe. Tout ce que vous devez retenir c’est qu’ici aussi, l’acte sexuel, simulé ou réel, n’est que la façon symbolique par laquelle les rapports hiérarchiques s’expriment dans un groupe de primates donné.
Orang-outan dit : Nous aussi, sommes des primates sociaux… et notre cerveau primitif se souvient très bien de l’époque reculée où les rapports entre individus étaient gérés de la même façon que chez les grands primates. Oh oui, notre cerveau reptilien s’en souvient par-fai-te-ment… et moi particulièrement…, piting ! Bon, ça me donne des idées, là ! je dois vous quitter, une envie subite de sodomiser un être inhumain…
Quelqu’un dit : OK, sortez couvert !
Orang-outan dit : A pluche…
Quelqu’un dit : Bye bye…