Les aventures sexuelles d’un singe lubrique…
Chapitre #6
Interview d’Orang-outan, un pseudonyme anonyme…
Quelques jours se sont passés depuis la réalisation des “Messengers” en 5 chapitres “Les aventures sexuelles d’un singe lubrique“…, consacrés à Orang-outan, le singe lubrique du web…
J’ai attaqué le sixième chapitre hier soir, non plus via le web et “Messenger“, mais en direct…, mais à peine arrivé, Orang-outan m’a formellement interdit de publier quoique ce soit en citant son pseudonyme…
J’ai donc résolu de masquer son célèbre pseudonyme afin qu’on ne le reconnaisse plus…
Cet interview a donc été réalisé hier soir à Toulouse, dans un squat que le fumeux pseudonyme anonyme avait réquisitionné pour la circonstance.
C’était sympa d’y faire une partouze en forme de cassoulet sexuel, mais j’ai eu crainte des réactions de la trentaine de marginaux pompés et de marginales gonflées qui se pressaient dans ce squat pourri, avec moi au milieu…
Ces éthyliques étaient en effet plus que frétillant d’aise à l’idée de cette partouze qu’organisait le “pseudonyme anonyme du web“.
Au début, la musique poussée à fond déversait des bruissements bucoliques pendant qu’une fille roucoulait sous un spot rougeoyant, puis, soudain, le fameux pseudonyme anonyme a surgit des ténèbres et s’est fiché un gode dans le fondement, les participantes ont alors commencé à saturer grave, les langues se sont vrillées, les trous se sont humectés, ça a alors giclé de partout, ça s’est enfourré grâve, ça s’emboquait de partout…
Des multipercées se sont déloquées, espérant recevoir des flots de sperme au visage, tandis que des idiots se roulaient à terre, à moitié déculottés…
Dieu que c’était con et beau de laideur !
Quelques heures plus tard, nous n’étions plus que trois survivants, le pseudonyme anonyme, sa soumise et moi, à dérouler nos duvets dans une chambrette exiguë.
Nous avons passé le reste de la nuit à parler de nos passions exotico-sexuelles.
Sa curiosité pour les allogènes n’ayant pas de limites, le pseudonyme anonyme m’a confié son affection pour les opulentes mamas africaines de son quartier.
Le pseudonyme anonyme est seul responsable de la situation dans laquelle il se trouve.
Il n’est pas question pour autant, pour moi, de déserter son camp.
Il me fallait choisir : le Naïf ou les Salauds.
Le pseudonyme anonyme mérite dès-lors de gagner les procès que plusieurs associations féministes lui font, tout simplement parce qu’au delà de sa précarité convulsivo-sexuelle, il est le plus près de la vérité transcendentale en poussant les autres à la masturbation pour les mettre à sa merci et les enculer.
Pour illustrer tout cela, il est important à ce stade que vous imaginiez la scène ; le pseudonyme anonyme, rien que d’évoquer la présidente de l’association féministe contre les femmes sodomisées qui le poursuit en procès, devient comme nuageux, tremblotant, il a le gland violacé d’un charcutier dépressif.
Sur la table se trouvent toutes les formes possibles de saucissons ; saucisson de Strasbourg, saucisson sec, saucisson à l’ail.
Soudain, le pseudonyme anonyme s’empale sur les victuailles pendant que sa soumise qui s’est enfonçée une pipe d’Auvergne dans le c… scrute les moindres détails de l’expérience…
C’est cet atroce que j’ai réussi à fuir à l’aube, me rendant à l’aéroport ou j’ai réussi à prendre un vol vers Bruxelles, ou, à peine arrivé et de retour chez moi, j’ai passé deux heures à retranscrire cet interview à votre attention, chers et chères de www.GatsbyOnline.com, et ce, en totale exclusivité planétaire…
Quelqu’un ; Cher pseudonyme anonyme, vous avez commencé a publier des photos de votre pénis en érection sur divers sites-web dont celui-ci, puis vous avez déposé des messages machistes ou vous proposiez à toutes les femmes inscrites de venir vous “féllationer” en échange d’un “broutage“, promettant de “leur beurrer la cramouille“… Tout cela a attisé certaines rancœurs masculines ainsi que soulevé quelques protestations féministes… J’ai donc voulu en savoir un peu plus sur l’homme derrière son sexe érigé…
Le pseudonyme anonyme ; C’est vrai que toutes ces petites salopes du web qui viennent allumer les vrais mecs comme moi, j’aimerais bien me les faire. Trop sexy à rigoler en papotant entre copines sur les t’hats et panneaux de messages, elles déposent même leurs photos en petits jean’s moulants et même à poils, jambes écartées avec leur regard qui mate les mecs de biais… Je me branle devant mon ordi en regardant leurs petits culs. J’ai toutefois pas les couilles assez pleines et la queue assez raide pour les embarquer de force direction ma cave/donjon à Toulouse. Et que je me les saute et que je me les viole et que je me les torture… Pitinggggg, je spermate rien que d’y penser ! Et le top ça serait que je branche une vieille salope de soixante ans pour filmer pendant que je les nique… Et de temps en temps je m’arrêterai de coïter les p’tits meufs pour vérifier que la chatte de la vieille salope est bien mouillée… Quoi ! Tu mouilles pas vieille salope?! C’est quoi ton problème, ménopausée ? Ça te rend jalouse, connasse, que je nique les jeunes et que toi la vieille tu te retrouves préposée à la caméra et plus à la queue? Ah vieille peau, avoue que ça t’exciterait grave que je t’attache à sa place et que je t’encule! Mais désolé, même moi je n’ai qu’une queue et fait ce je peux ! Mais bon… je fantasme, je fantasme et je me branle… Même la baise normale facile avec une pute gratuite j’y arrive pas ! Alors laisse tomber la baise… Trop compliqué. Les accessoires, les chaînes à acheter à Castorama, Pitingggg ca coute la peau des fesses… Et tout ça la queue raide tout du long, parce que si tu débandes t’es plus motivé. Débandade, doute du violeur…
Quelqu’un ; Je vous imagine qui débande au moment où vos “p’tits meufs” sont nues et enchaînées cuisses écartées !!!
Le pseudonyme anonyme ; Là c’est clair, elles pourraient être grave déçues. Tout cette galère pour se les faire et maintenant je débande ! Je vais grave péter les plombs sadiques quand je vais repenser aux deux heures de queue à Castorama pour les chaînes. Mais moi bof… Je fantasme, je tchatche, j’écris des conneries, mais en vrai, question cul j’assure quand même cinq minutes de queue assez raide pour pénétrer. Si c’est plus que 5 minutes, même si j’appuie ma queue contre le vagin le plus ouvert et mouillé de la terre, ma queue se tord molle comme contre une porte en fer. Alors QQ, tu m’imagines violer à travers le jean’s serré une chatte sèche contractée?!? Pitingggg… C’est pour ça que je drague les vioques. J’ai deux problèmes qui m’empêchent parfois de bander sec. Non c’est pas la morale et la punition, parce qu’un mec qui bande, il connaît plus ni morale ni punition. Il connaît plus que trou à boucher, et tout le reste il zappe. Les deux trucs qui m’empêchent de violer c’est : Un, j’arrive pas à bander face à la chatte offerte. Tant qu’elle dit non, ça va… Mais dès qu’elle écarte « oui vaaaas yyyyy », je débande direct. Oui oui, je sais c’est bizarre, faudrait que j’aille au psy… Mais comme je jouis dix fois plus en me branlant devant elle, y’a pas urgence du point de vue de ma queue. Et deuxième problème qui m’empêche de devenir violeur professionnel c’est qu’après l’orgasme, je culpabilise et déprime grave… Ouais, pitingggg, parce que des fois je suis tellement bourré que je baise dans les chattes sans savoir que je suis dedans! Je crois même que je suis en train de me branler entre le drap et son anus, et ça, ça me fait bander grave… Alors qu’en fait ces malignes elles ont foutu ma queue dans leur chatte… Donc des fois, par erreur, je tire dans le trou.
Quelqu’un ; Mais alors après, putain la déprime, le dégoût qui monte d’un coup !
Le pseudonyme anonyme ; Ouais QQ…, je lui vomis sur leur gueules et elles pleurent: “- Mais qu’es ce que t’as ? Je te dégoûte, c’est ça ?! – Nannn, c’est pas toi, c’est ta chatte qui me dégoûte“… C’est pas le truc à dire. Elles se cassent direct. Elles ont pas fini de remonter leurs culottes qu’elles sont déjà dans la rue à me traiter de singe. Et moi je finis de dégueuler dans mon sperme. Alors, tu vois le plan ! Un, j’arrive pas à sauter une meuf enchaînée. Et si je finis par la sauter avec un litre de Gin dans la gueule, après la giclette, je tombe en larmes à ses pieds et je me roule dans le péché. Ça la foutre mal sur la vidéo-cam que je voulais revendre aux zaut’s cons du web pour rembourser mes courses à Castorama. Une fois mes couilles vidées c’est débandade, c’est la débandade. Je redescends de mon délire. Je vois la merde. Je flippe, je vomis.
Quelqu’un ; Évidemment, tant que vous êtes porté par le désir avec votre queue raide qui anéantit toute peur et tout doute, c’est le triomphe. Mais là… Putain, la honte !
Le pseudonyme anonyme ; Ce qu’il faudrait aux mecs, c’est que leur queue elle soit toujours raide. Là on serait heureux. Mais c’est mal fait. On est programmés pour bander, c’est notre seule raison d’exister, mais 99% du temps on bande pas et on est bouffés par la faiblesse, l’inutilité, et l’angoisse de plus jamais rebander. La réalité c’est d’acheter des chaînes à Castorama, faire la queue à la caisse, la queue sans arrêt molle. Les mecs se compliquent grave le cul en imaginant des viols compliqués pour faire durer la bandaison et retarder le plus possible le coït débandade dépression grave. Emportés par leur bite, les mecs deviennent mabouls avec leurs désirs qui les rendent chasseurs de chattes. Moi, pitinggg, je franchis tous les tabous comme je franchis les feux rouges, à fond la caisse en klaxonnant sans jamais freiner. Et tant pis pour les connes qui traversent dans les clous. Elles sont sur le chemin du chauffard en rut. Pas de chance ! J’appuie et j’écrase car j’ai la queue raide. Attention les fi-filles ! Méfiez vous du Prince Charmant. Ma queue raide est une dague dans mon pourpoint. Ouais QQ, j’tai à la bonne. En rut, c’est clair, le mâle est un tueur psychopathe. Ce qu’il veut c’est tirer son coup. Tirer un trou c’est tout. N’importe quoi, n’importe qui, n’importe comment. Et les p’tits meufs ne doivent jamais oublier ça quand elles jouent à cache-cache foufoune avec le chasseur. Car chasseur c’est dragueur mais c’est aussi baiseur. Dans le petit disque dur du mec, le fichier « draguer » et le fichier « baiser » sont dans le même dossier. Alors il a vite fait de bugger le chimpanzé… Oupsssss merde, je risque pas d’être reconnu là, pitinggg ?
Quelqu’un ; Non, non… personne vous reconnaitra…
Le pseudonyme anonyme ; OK, pitinggg j’ai eu peur, parce que les p’tits meufs d’ExclusivementFminin m’ont à la bonne, ainsi que la vieille peau qui me drague comme une sirène… Ouais, pitinggg, une sirène des pompiers ! Un trou merde et que ça saute! Mon royaume pourri pour un trou ! Pour le mec en rut, tous les moyens sont bons, quel que soit le prix. Il est prêt à tout donner, tout casser, pour tirer son coup. Car derrière le désir dévastateur du violeur-tueur il y a la tyrannie de l’espèce, l’instinct de reproduction : Tu es un mâle, fécondes l’oeuf. C’est ton devoir, ta raison d’être, ton bonheur. Fais le à n’importe quel prix. Défies la loi, défies la mort, défies la fille qui dit non. Baises la en force, quitte à mourir. Ce qui compte c’est féconder l’oeuf puis mourir en paix. Le chimpanzé, mû par l’instinct, crocs sortis, et vit raide, avance vers la femelle. Il la saisit au cou avec les dents et l’encule sans ménagement. C’est la vie. Je l’ai vu mille fois dans des films pornos. Et aussi j’ai vu les lions violer les lionnes au soleil couchant dans « Nos Amies les Bêtes ». Éducation télévision… Pitingggg faut que je spermate là… Zêtes sûr qu’on ne reconnaîtra pas ?
Quelqu’un ; Non, non…. Personne ne fera le lien entre le chimpanzé du web et vous… Donc, selon vous, le mâle prend la femelle de force. C’est la loi de la jungle dans la jungle et aussi dans les villes, parce que la loi de la jungle, elle est pas dans la jungle mais dans les couilles ? C’est ça ?
Le pseudonyme anonyme ; Ouais QQ, mes couilles sont pleines, ma queue est raide… et je hurle à la pleine lune et sors chasser la femelle à minuit avec ma p’tit chienne. Le matin je rentre couvert de sperme et je dors toute la journée. Faut que ça gicle, faut que ça troue. Un coup c’est tout. Et si le trou résiste, je le défonce. A quoi bon résister au chimpanzé en rut, jolie guenon ? Ou tu te laisses sauter et je te jette. Ou tu te laisses pas sauter et je te saute de force… Et alors tant pis pour toi, tant pis pour la casse. Franchement c’est pas moi qui te force. Je fais genre c’est moi qui te force pour faire genre je suis le mâle macho, le vrai mec, le baiseur psychopathe. Mais en vrai je contrôle rien du tout. Je suis le mâle en rut, le baiseur mou, esclave du désir. C’est pas moi qui force, c’est moi qui suis forcé, je perds la tête. Je ne suis plus qu’un cauchemar de queue raide court. Je comprends pas tout pitinggg. Je me vois courir la nuit sous les ponts de Toulouse. Je vois ma queue raide courir devant moi. C’est pas moi, c’est ma queue qui court. Et moi je suis parce que je suis attaché à ma queue. C’est ma queue qui court derrière les p’tits meufs. Des fois ça merde et je baise pas, je me branle. C’est vrai, la plupart du temps mon désir se dissout dans une flaque de sperme. Tous les mecs quand ils bandent sont des chasseurs de moules psychopathes. Oui, les filles, même vos copains les gentils, les mous petits machins. Vous lui refusez votre cul sous prétexte des règles et ils pètent grave les plombs et c’est parti pour les engueulades! Faites gaffe les filles, même moi qui peut à peine bander et préfères me branler, défoncé seul avec une fille totalement confiante dans une cave ou sur une plage déserte, seul avec une fille dans un lieu désert, loin de la loi et de la punition, plus d’une fois j’ai senti sans raison monter en moi, comme un jeu dangereux. Pourquoi ?… Comme ça, je sais pas… Dans le petit disque dur des mecs, le fichier « dragueur-dingo » et le fichier « baiseur-fou » sont dans le même dossier, tu sais… Des fois ça bugge pour rien… Tu cherches des explications comme tu cherches des explication quand ton PC plante. Mais franchement ton PC plante, tu vois bien, c’est n’importe quoi n’importe comment ! Le mec en rut c’est pareil, super instable, super contradictoire, super dangereux. Instable comme la queue bande et débande.
Quelqu’un ; Je bande et je suis heureux. Je débande et je veux mourir, c’est ça ?
Le pseudonyme anonyme ; Ouais QQ, bien vu, c’est ça mec…, non seulement les mecs sont prêts à n’importe quoi pour baiser. Mais en plus, ils sont prêts à le faire n’importe comment. Pour le bandeur fou, y’a plus de morale et de punition. Je peux faire n’importe quoi, te baiser le cul à sec ou t’aimer, improviser les plus beaux poèmes d’amour tout en bouffant ta merde, t’offrir la place à un concert rock en piquant l’argent d’une vieille meuf alors que je hais les concerts rock. Tu vois, vraiment n’importe quoi ! Le mec qui bande c’est toujours un psychopathe. Un psychopathe dur ou un psychopathe mou. D’ailleurs vous le savez bien vous les salopes hypocrites qui jouez avec les mecs en rut comme avec le feu. Fort habilement le plus souvent, mais des fois ça merde. La jeune femelle comprend vite que le mâle qui bande ne se contrôle plus, et que manipuler son désir peut rapporter gros. Jeune femme à 18 ans sait déjà que Tonton bisous grosse bosse dans la culotte lui donnera des pépéttes. Alors elle surveille l’apparition de la grosse bosse et remarque vite que jupette cuicuisses boubouge = grosse bosse = beaucoup pépéttes. Alors elle cuicuisse boubouge pour pépéttes. Et toute sa vie la salope cuicuisse boubouge pour pépéttes. Elle se met sa chatte en valeur et part à la pêche aux grosses bosses. C’est facile, c’est amusant et ça peut rapporter gros. Suffit de regarder les annonces dans les sites web, sauf chez vous QQ qui avez un modérateur, mais ailleurs, c’est putasseries et compagnie… Bon je sais les filles, c’est bon pour l’ego et le budget d’avoir des mecs qui bandent autour. Mais des fois y’en a un qui a trop envie de sauter. Il donne toutes ses pépettes et la p’tit meuf lui donne pas son cul. Elle croyait s’en sortir avec bizou-bizou, mais, manque de pot, il pète total les plombs et nique en force. Ouais, tous les mecs sont pas moitié hétéro moitié pédé. Y’en a qui sont 100% chimpanzés. Ils mordent au cou et ils baisent.
Quelqu’un ; Vous n’y allez pas par quattre chemins dans vos explications…
Le pseudonyme anonyme ; Non QQ, je me défonce… Ouais, pitinggg c’est bonnnnnn ! D’ailleurs prenons un exemple con de mec con, le Dutroux… Si on fait bien les comptes, il a tout perdu pour les femelles. Il bandait à mort et a fait vraiment n’importe quoi. Il a creusé la cave de son pavillon six mois en sortant 150m3 de terre dans 30.000 sacs Carrefour, un par un ! Résultat, scoliose grave, à moitié paralysé du dos. Même pour violer, fallait que ça soit la fille qui bouge son cul ! Il a acheté une camionnette avec un chèque en bois pour transporter la princesse qu’il voulait violer. Résultat, interdit de chéquier dix ans ! Il va carrément se servir en fifilles devant lee piscines municipales, tu parles d’un con. Forcément il est direct grillé par la traverseuse de gosses dans les clous. Heureusement, elle l’a pas dénoncé contre des pépettes. M’enfin bon, trop grave les risques qu’il a pris pour trois gougouttes dans troutrou ! Complètement esclave de sa queue, victime de son désir, le Dutroux ! Il a cru à fond aux pubs à la télé que comme quoi le cul c’est la base de tout. Va savoir si les pubs qui mettent les femmes à poils sont pas aussi coupables…
Quelqu’un ; L’oeuf commande et la queue bande en quelque sorte…
Le pseudonyme anonyme ; A partir du moment où tu bandes, tu as perdu face à la femme, à partir du moment où tu tires dans le trou, tu rends hommage au Trou. C’est pas un massacre révolte de gosse qui casse son jouet après l’orgasme qui va inverser la hiérarchie. Elle fut la Reine et tu lui rendis hommage avec ta queue. T’as beau te débattre, tu t’es soumis, comme n’importe quel chimpanzé de base, au rituel de la vie.
Quelqu’un ; Reconnaissez que vous n’êtes qu’un gros con de singe en train de bouger connement son gros cul va-et-vient. Hop hop hop hop hop…
Le pseudonyme anonyme ; Pitinggg QQ… Chatte, chatte, chatte ! Ageu, ageu ! Ouais, je bave… Mais à peine la queue dedans, je sais bien que ça vaut pas le prix des chaînes à Castorama. Bon d’accord, après chatte, tu peux te faire bouche anus… Et après, bof… 37 degrés dans tous les trous. Tu pouvais te foutre la bite dans le cul, ça aurait fait la même sensation de chaussette sale. Bon… J’ai eu la bouche, la chatte et l’anus comme dans les films de cul. Je suis même pas content ? Et maintenant je fais quoi ? Un peu d’imagination pour retarder le moment inéluctable de la débandade et du retour de l’angoisse. Cinq minutes de queue raide en plus grâce au sadisme. Mais plus on retarde, plus le retour de l’angoisse sera violent.
Quelqu’un ; Après l’orgasme, bonjour la moquette ! sperme partout !
Le pseudonyme anonyme ; Sperme, cyprine, caca et pipi partout, de la cave au grenier. Pitingggg. Ma vie n’est plus qu’un gros caca. En baisant les p’tits meufs je me fais grave baiser. Depuis l’école primaire, c’est la torture. Est-ce que j’ai une grosse queue ? Qui c’est qu’a la plus grosse queue? Dans les pubs de Télécaca, tu vois la machine à aspirer la queue pour la rendre la plus grosse de la classe en deux semaines. Tu t’es acheté l’aspirateur à rendre ta queue la plus grosse de la classe en piquant le fric à Maman. Premier crime pour le culte du cul. 100 euros l’aspirateur à quéquette et tu chopes grave un oedème, et tu peux plus bander pendant trois mois ! 10 euros le magazine porno… J’ai piqué le fric à Mémé. Tu jutes sur les pages, et après tu veux le relire et les pages sont collées, et les photos se déchirent et tu vois plus que la connasse qui tire la langue. Sa chatte collée est déchirée et tu peux plus te branler… Pitinggggg… Après dix ans de branlette et angoisse « Je suis le seul puceau au monde », tu finis, complètement bourré, par foutre un doigt dans la chatte d’une p’tit meuf. Mais là, c’est plus cher : 100 euros la pipe, 200 euros un complet ! Ah, elle a bien fait boubouge cuicuisses bonbons, la salope ! T’as payé le concert, le resto, l’essence pour 14 allers-retours entre chez toi et chez elle dans l’espoir de la sauter mais en vain. Elle t’as fait bizou-bizou et rentrée chez papa-maman. T’es rentré seul comme un con… Plus d’essence merde ! Ta caisse est tombée en panne. T’as marché à trois heures du mat le long de l’autoroute et t’avais grave la haine. Tellement la haine qu’en rentrant t’as même pas réussi à te branler. Je suis grave mâle chimpanzé 100% depuis, et c’est sur, les femelles m’ont fait galérer. La femelle qui est un trou a besoin qu’on la remplisse. Elle a un trou dans le ventre mais aussi un trou dans la tête. Elle a pas de direction, pas de projet. Ouais, parce qu’un trou forcément ça peut qu’attendre. T’as déjà vu un trou dans le sable foncer dans une direction comme un ouf ?! Non. Eh bien un trou dans de la viande c’est pareil. Elle attend dans sa viande que quelqu’un lui remplisse le cul et la tête.
Quelqu’un ; Bon… donc selon vous, la queue, elle, forcément a une direction ?
Le pseudonyme anonyme ; Viiiiiiiiiiiiiiiiiii QQ. Faut bien que tu bandes dans un sens. Tu bandes vers le haut, y’a pas à chier. Tu bandes pas en rond comme un con de trou. Et quand t’éjacules, ça gicle vers quelque part. Un mec, il suffit qu’il bande et il a une direction. Il bande et il est automatiquement prosterné vers la Mecque du cul. Vers la chatte, il bande. Il bande et automatiquement il a un projet. Son projet, c’est remplir un trou. Ça tombe bien! Justement, la femelle a un trou à remplir ! Tout le trip de la femelle, c’est de remplir le vide de sa vie avec de la queue de mec dans le cul et du désir de mec dans la tête. Tout ce qui pourra meubler son cul et les chiottes de sa tête, elle adore. Elle adore tes déclarations d’amour, tes supplications, les mille coups de fil et lettres d’amour. Et même tes masturbations désespérées pour son trou imaginé, elle adore… Plus tu galères pour elle, moins elle se sent trou vide. Mais attention. Derrière son cinéma « Viens mon chéri meubler mon cul », la femelle a un grand projet. Toi t’es comme un fou, tu bandes tu violes, tu tues. Tu fonces dans toutes les directions. Tous les trous, toutes les bouches, tous les anus, toutes les chattes, tu veux te les faire en force.
Quelqu’un ; Vous devenez un philosophe du cul…Le mâle en rut ne calculerait rien, mais la femelle calculerait pour deux.
Le pseudonyme anonyme ; Ouais QQ, tu deviens bonnnnnn. Viiiiiiiiiiiiiiii. La femelle te laisse lui arracher le slip brutalement, te laisse gicler dans sa bouche et dans son cul, te laisse croire que tu domines. Mais tu n’es, Pénetrator, que l’outil de son grand dessein. Et son grand dessein, c’est qu’à la fin tu lui jutes sur l’oeuf. Elle se laisse malmener par toi et joue la victime du viol juste pour te faire croire que la baiser est la victoire du mâle, alors que c’est en secret le triomphe de la femelle fécondée par son esclave la bite bourdonnante. La femelle est un trou avec un oeuf dedans. Elle n’est qu’un récipient. Le centre, le seul truc qui compte, c’est l’oeuf. La mission sur terre de la femelle boite d’oeufs, c’est de se faire juter sur l’oeuf pour assurer la survie de l’espèce. Son but, devoir et bonheur, c’est de piéger une queue de connard pour gicler sur l’oeuf. Elle l’attire avec slip sexy comme l’étiquette Bio sur les boites d’oeufs. Et parfum cache odeur de caca-fromage.
Quelqu’un ; En résumé, selon vous : Beaucoup copulent. Pas mal se branlent. Certains baisent… Et tous se feraient baiser ?
Le pseudonyme anonyme ; Un peu de patience et la femelle finit toujours pas dire oui. Nature désir la force à se faire féconder l’oeuf. Les p’tits meufs, elles disent pas non parce qu’elles aiment pas ta queue. Au contraire. Elles disent non pour valoriser leur chatte à l’oeil de ta queue, l’oeil de la queue est au bout du gland. Elles disent non pour créer une pénurie de chattes et faire monter la bourse du cul. Plus la chatte est rare, plus elle vaut cher. Plus les mecs bandent et veulent baiser, et plus ils sont prêts à payer n’importe quoi pour la bourrer. Alors trois milliards de coquetiers spéculent sur trois milliards de mouillettes. Ouais je veux dire… en disant non, trois milliards de salopes font monter la pression dans six milliards de couilles. Et plus y’a de pression, plus ça va gicler profond sur l’oeuf. Les couilles sont super pleines, le gland goutte, la queue dure fait mal. Les mecs foutent la pression aux salopes pour les baiser. Mais elles disent non merde ! La pression monte monte monte dans la queue et la tête des mecs. Faut que ça gicle merde !
Quelqu’un ; Oui, Souchon chante cela… Rétines et pupilles…
Le pseudonyme anonyme ; Les filles disent toujours non pour que la pression monte encore. Elles prennent des risques. La tête d’un mec en rut risque de péter grave serial-killer. La queue des mecs risque de péter connement éjaculation précoce. Mais c’est le jeu immémorial. Dangereux et pervers. Les canes fuient devant les canards, les poules devant les coqs, etc… En fuyant, la femelle excite l’instinct chasseur du mec pour faire monter l’adrénaline et donc la force du jet dans son cul. Mais plus le chasseur est excité, plus il devient agressif et dangereux. L’impossibilité de baiser le trou qui s’agite devant sa queue le rend fou furieux. Des fois y’en a un qui pète les plombs. Pour assurer une meilleure fécondation de l’oeuf, la femelle joue avec sa peau. Pour assurer la survie de l’espèce, elle risque sa survie. Paradoxe de la vie. Pitinggggg !
Quelqu’un ; Bon, je re-résume votre philosophie de chimpanzé primate… Selon vous, finalement, le refus de baiser des femelles n’étant qu’un jeu érotique destiné à faire monter la pression dans les couilles, quand les mecs sont à point, elles cèdent évidemment. Et les mecs disons normaux ont droit à un petit coup dans le cul des pondeuses. C’est imagé tout cela…
Le pseudonyme anonyme ; Ca part en couille QQ, vous comprenez pas ça, pitinggggg : « Pfff je suis crevé ! Elle arrête pas de courir en zigzag la poule. Trop compliquée pour la baiser. Je lâche l’affaire ». Pas assez de désir, pas assez de pression dans ma tête et ma queue. Et en plus, si elle dit oui, ça craint. J’ai peur du trou noir gluant, piège à bite. J’ai peur de l’oeuf qui m’attend. Alors je fuis loin du trou me branler dans mon trou. Vous connaissez la chanson… ” Elle dit non, elle dit non… La pression, la pression… Et d’un coup, poum ” ! Je pète le bitomêtre et je nique. Dans la société grande surface chrétienne, si elle dit non ? C’est pas grave, mec… Joue-la psycho-vicelard, pas psycho-lourd dingue. Fais semblant de comprendre : « C’est pas grave ma chérie, je comprends : tes règles, tes parents, ta mycose, faut que tu révise l’anglais »… Bisou-bisou et va te branler. Moi, je joue en finesse. J’en a rien à foutre de ces connes et de leurs problèmes. Moi aussi j’ai envie de leur arracher leur slip direct, de les sauter. Mais tu vois QQ, je la joue psychopathe vicelard.. J’ai envie de les baiser ces p’tits meufs qui jouent avec ma queue raide, mais je fais genre bisou-bisou, je fais le brave pépé déjanté. De toute façon c’est sûr, elles vont céder le jour de la pleine lune de leurs œufs. Je les viole mentalement. Je leur parle d’amour et elles se laisse sauter. Viol mental de l’amour…. Elles sont heureuses sous mes coïts. Elles se croient aimées et elles jouissent. Elles me donnent leurs culs mais j’ai violé leurs têtes. Je les saute et je les jette. Et elles restent avec mon sperme dans le ventre, les maladies et le bébé. Moi esclave de ma queue ok, mais elles, esclaves de leurs oeufs.
Quelqu’un ; Donc, selon vous, mâles et femelles, violeurs et violées, baiseurs et amoureuses, on est tous soumis à la loi de l’oeuf ?
Le pseudonyme anonyme ; Ouais QQ… Sauf qu’esclave de l’oeuf ça dure neuf mois au moins, alors qu’esclave de la queue ça dure le temps de tirer mon coup. Et elles peuvent chialer tant que qu’elles veulent : « Salaud, tu m’as dis que tu m’aimais ». Les mecs ont menti pour les sauter mais ils risquent rien. Le viol mental, c’est légal. Je risque pas vingt ans de taule sous médocs anti-branlette. Je passe pas en force moi, je passe en souplesse. Bisou-bisou…
Quelqu’un ; En somme, vous seriez, tout comme tous les mecs du monde, un psychopathe normal.
Le pseudonyme anonyme ; Pas normal humain mais normal singe. La femelle, le mec la mord au cou et il l’encule. Après il part parce qu’il sait que faire vraiment le singe est un crime. Le mec part, car il panique de se faire prendre et il panique du péché inculqué par toutes ces saloperies de religions…
Quelqu’un ; Fallait naître chimpanzé au Kenya ! Vous auriez été la star du Parc. Vous auriez mordu les guenons au cou et vous les auriez enculé devant une cam…. Et les touristes vous auraient filé plein de cacahuètes. Mais ici les membres turgescents et membresses en quète de chaleur qui vous regardent mordre et enculer sur le web, ils ne sont pas reconnaissants. Ils bandent en vous regardant baiser à l’ancienne. Parce qu’ici j’en veux pas de chimpanzé qui baise mes femmes ok !?!
Le pseudonyme anonyme ; Coollllll QQ ! C’est la jungle partout ! Dans la jungle, enculer une vioque, c’est pas grave. Elle a mal au cul deux minutes. La vielle guenon jalouse râle cinq minutes. Trois bananes et ça se tasse. Mais devant l’Eglise, entre la Synagogue et la Mosquée, fais pas ça malheureux! Parce que je suis très catholique en secret. Et je supporte pas le spectacle d’une queue de connard coincée dans les poils du cul d’une p’tit meuf comme dans des barbelés. Pitingggg ça fait du bien. Je spermate là. Vous êtes sur que ça se verra pas dans le texte là ? Pitingggg on va me reconnaitre… Jurez-moi que même sous la torture vous ne direz pas que vous me connasse… Pitinggggg…. Muriel, Cougar, c’est pas moi, je te jure….
Quelqu’un ; Vous êtes trop soumis à votre théorie de l’oeuf. A ce sujet vous savez ce qu’en a dit Lacan ?
Le pseudonyme anonyme ; Non, pitié, pas Lacan !
Quelqu’un ; Vous avez été excommunié, l’union des femmes libérées vous fait un procès, l’union des Gay a menacé de vous….., et votre Muriel/Cougar vous a abandonnée à un sort assez incertain… Parlez nous de vos premiers émois sexuels…
Le pseudonyme anonyme ; Pitingggg, zêtes con ou quoi là, c’est sur qu’on va me reconnasse là, pitingggg. Bon, quoi, vous voulez savoir mon premier spermatage, pitinggg. C’est les filles de mon lycée qui me faisaient bander, je pensais sans arrèt a ces filles. Mais comme j’avais pas de filles, je faisais la fille. J’ai piqué une culotte à ma tante (sexy avec de la dentelle) et un soutien-gorge à ma grand-mère ; dedans j’ai mis des chaussettes. Je me suis habillé comme ma tante à poil et je me suis regardé dans la glace de la salle de bains : c’était risqué car si ma mère rentrait, j’aurais eu l’air con en slip soutien-gorge, déguisé en ma tante a poil devant ma mère en tailleur et sac de chez Carrefour. Mais bon, quand on bande on prend des risques.
Quelqu’un ; c’est sidérant votre folie sexuelle…
Le pseudonyme anoyme ; Je me regardais en fille dans la glace et la fille dans la glace me faisait bander. Mais y avait un problème, ma queue bandée hors du slip de ma tante ça faisait pas fille, alors je débandais en pensant à ma grand-mère et je me scotchais la queue au cul. La bite coincée pliée, je pouvais bander tranquille : la fille dans le miroir avait la bite pliée et elle faisait la fille. Je bandais plié et j’avais mal à la queue.Ce qui me faisait bander c’étaient les strip-teases. Alors je me faisais des strip-teases de bite, et je la déshabillais (sur un disque de Sheila). Mais, pour habiller ma bite, il me fallait des habits de bite, des habits sexy pour bite, pas des slips, car les slips c’est des habits de bite plus le cul plus le bide, pas assez de specialistes d’habits de bite.
Quelqu’un ; Des habits de bite !!!!! C’est hallucinant. Bon, continuez je note…
Le pseudonyme anonyme ; Comme ma bite qui bande c’est un cylindre, il me fallait des habits cylindriques en forme de bite. Je piquais des torchons, encore des slips sexy (ma tante elle devait pas savoir ou passaient ses culottes, elle devait croire que c’est mon oncle qui se branlait dessus!) et des sacs plastiques et du fil et des aiguilles. Je me fabriquais des tubes d’habits de bite en torchon, en bout de slip, en plastique blanc et translucide. Ensuite j’enfilais tous les tubes sur ma bite, comme ça j’avais pleins d’habits à enlever de ma bite pour faire des super strip-teases de bite. J’enfilais d’abord le tube de plastique translucide, ensuite le tube de plastique blanc, ensuite le tube de bout de slip sexy, ensuite le tube de torchon. Comme ça je me faisais des super strip-teases ultra sex en enlevant les tubes du plus opaque au translucide jusqu’au gland. Ma bite bandée habillée dans ses habits de bite, je savais pas quoi en faire : je n’avais pas encore inventé la masturbation. Et cette bite indébandable, je savais pas quoi faire pour la faire débander… Pitingggg… J’essayais tout ; je pissais debout habillé dans la douche et la pisse giclait n’importe comment à travers les tubes de plastique et de dentelle. Y en avait partout, c’était bon et chaud mais je bandais toujours. Alors je me brulais la bite; la bite bandée serrée dans les tubes mouillés de pisse puait la pisse. Je la posais sur la lampe de chevet allumée et j’attendais : d’abord faible chaleur progressant à travers les tubes de slip et de plastique, puis vapeur de pisse bouillante, odeur d’urine concentrée chaude chimique, puis soudain Pitingggggggg le feu ! Le tube de torchon s’était enflammé et le tube de slip grésillait et le tube de plastique fondait et mon gland brulait. Je courais vers les chiottes avec ma bite en feu. Au feu les pompiers ! Enfin je débandais.
Quelqu’un ; C’est dingue là…. C’est presque l’aliénation mentalo-sexuelle…
Le pseudonyme anonyme ; Un jour que j’étais, un soir après l’école, attaché nu sur la moquette dans ma chambre fermée a clé avec mes tubes habits de bite sur la bite et les jambes écartelées entre les pieds du lit et le radiateur, fixées par de méchantes ficelles. Ce jour donc là je me faisais mon strip-tease de bite, du tube de torchon au tube de plastique translucide et enfin ah! oh! le gland ! Alors que doucement progressivement style strip-tease j’otais le dernier tube et apparaissait le tube dur de ma bite, sur le gland pour faire durer (le strip) le tube de plastique fit aller et venir (quel érotisme!) le gland coucou me voila non, tralala je reste caché : Soudain le va-et-vient du tissu inopinément sur ma bite déclencha la contraction jusqu’ici inconnue et une goutte de mysterieux liquide nouveau perla à travers le tube de slip, expérience intéressante. Je venais d’inventer la masturbation.
Quelqu’un ; Glup….
Le pseudonyme anonyme ; Bon ça maintenant, la suite de ma jeunesse passée, c’est beaucoup plus tard, mais toujours puceau. Ça faisait des mois que je touchais la chatte de ma cousine en l’embrassant dans son slip trempé. Jusqu’à présent elle avait toujours dit ; “Non maman veut pas, je prend pas la pilule“. Mais ce soir là, pitinggggg de pitingggggg, c’était le grand soir, elle m’a dit ; “Mon amour j’ai décidée de faire l’amour pleine d’amour, confiante, les bras autour de ton cou et la chatte éternellement trempée rien que pour toi mon roudoudou d’amour, mon orang-outan adoré” … Pitingggg va falloir que j’assure là, c’est sur qu’on va me reconnasse là, vous devriez effacer, pitingggg, je prend des risques là à vous raconter ça, non ?
Quelqu’un ; Non, non… personne va vous reconnaître, soyez sans crainte…
Le pseudonyme anonyme ; Bon ! C’est la panique mais je peux vous faire confiance, là, pitingggg ! Je continue… Rien que de penser qu’il fallait que je saute ma cousine, j’ai débandé, alors que ça faisait six mois que je bandais automatique pour elle à me faire mal aux abdos et aux couilles trop pleines. J’ai foncé aux chiottes vérifier le bon fonctionnement de ma queue en appelant à la rescousse quelques bons vieux fantasmes de pisse et strip-tease de bite qui assuraient toujours : je bandais penché mais je bandais. Je me suis rué hors des chiottes, je lui ai arraché son slip direct sur la moquette; mais pitinggggggg, l’émotion, j’ai spermaté dans mon slip. J’étais témoin de mon impuissance et suis retourné a la branlette ou j’assurais a fond. Comme les femelles vivantes étaient pour moi des tas lourds pleins de dangers avec des yeux d’espions guettant les faiblesses de ma bite, je décidais de fabriquer mes propres femelles solides et fiables a la merci de mes désirs : des salopes sur mesure.
Quelqu’un ; Quoi !!!! Vous avez fabriqué des poupées gonflables ?
Le pseudonyme anonyme ; Non, j’ai pas fabriqué des poupées gonflables. Moi, Monsieur je suis un grand artiste, je peint. M’inspirant des pin-ups pour déodorants de magazine de pub, je dessinais des salopes à gros seins, grosses cuisses, gros culs et grosses chattes velues spéciales taillées pour ma bite et je jugeais de la valeur de mes créatures à la raideur de ma queue : je gommais, je modifiais jusqu’à ce que les seins, les culs, les fentes, soient parfaits et que ma queue raidisse. Quand ma queue était raide rouge, c’était la preuve que j’avais dessiné un chef d’ oeuvre. Pour bander et me branler, j’avais inventé l’Art. Le problème, nous les mecs, c’est qu’on doit assurer : faut bander pour baiser, alors que les pt’its meufs, il suffit qu’elles se mouillent la chatte en douce (doigt+salive) et qu’elles fassent ouin-ouin, et ça passe… Ah ça doit être le pied d’être une p’tit meuf relax sur le dos à se faire sauter sans souci!
Quelqu’un ; Sans souci ?!?! Vous rêvez ! Et le sperme dans la chatte, les MST, les IVG, les mecs qui prennent le plaisir et laissent les femmes inondées dans le sperme, la merde, le remords et la mort…
Le pseudonyme anonyme ; Pitingggg, vous me mettez le cafard là, faut que j’aille spermater. Je reviens plus tard. OK ?
Quelqu’un ; OK…
Le pseudonyme anonyme ; Pitingggg, les enculades à la saucisse de Strasbourg et au saucisson sec me font du bien… , mais les sodomies au saucisson à l’ail je les réserve pour cette pitinggg de présidente.
Quelqu’un ; Le saucisson à l’ail est-il une arme par destination ?
Le pseudonyme anonyme ; On ne me croira peut-être pas, mais cette technique de jouissance, est aussi un modèle inaltérable de performance artistique…
Quelqu’un ; Discutons de vos nouvelles conneries sur le web…
Le pseudonyme anonyme ; Ma quête sexuelle sur le web part en vrille sous l’influence d’un vaudou haïtien que je connasse de près de chez moi à Toulouse. Il m’a fait péter un plomb avec des moments de transe très intenses.
Quelqu’un ; Comment réagissent vos adeptes sur le web ?
Le pseudonyme anonyme ; Il y a parfois des mouvements de panique impossibles à maîtriser sur le web. Des hordes de gros balèzes se précipitent vers Toulouse en se marchant les uns sur les autres, ça me fait spermater. Le problème que j’ai parfois, c’est de pas pouvoir me branler à l’aise, parce qu’il y a une bande de cons qui n’a qu’une envie, c’est d’exploser ma poupée gonflable. Pitinggg, c’est que ça coûte cher une poupée gonflable ! Si je devrait jouer avec une poupée explosée toute molle, j’aurais l’impression de baiser une grand-mère toute flétrie.
Quelqu’un ; Votre quète sexuelle sur le web, c’est aussi une véritable cérémonie de transe vaudou ?
Le pseudonyme anonyme ; Je n’arrive pas au niveau des vaudous Haïtiens qui peuvent rester en érection un mois, mais je garde espoir d’y arriver. Je m’inspire du vaudou, j’essaye de se mettre dans des états seconds, mais je suis vraiment loin d’eux parce que je n’ai pas une culture, un background. C’est un état modifié de conscience que je cherche à retrouver à chaque fois, ça me permet de faire des choses que physiquement, je ne pourrais jamais faire sinon. Je ne sais pas ce qu’il faudrait faire comme déjante pour m’exprimer autant physiquement. Des fois, je me fais chier sur le web, d’autres fois, c’est bien, mais je sors souvent de mes gonds et je me réveille le lendemain matin sans être tout à fait redescendu.
Quelqu’un ; Pourquoi la religion vous obsède-t-elle autant ?
Le pseudonyme anonyme ; Ah bon ? Ça ne m’obsède pas plus que ça. Tiens, je suis scatoïste depuis quinze jours, pitingggggg. J’ai carrément installé un autel à coté de mon ordi et j’y fais des offrandes et des messes noires. C’est hyper fort, c’est n’importe quoi. Il n’y a pas deux personnes qui adorent la même chose, il n’y a pas de centralisation. C’est ce que nos ancêtres faisaient dans leurs villages, c’est pour ça que les croyances sont éparpillées, chaque village avait les siennes. Le scatoïsme, c’est un truc païen des Japonais, ce n’est pas bouddhiste. Au niveau des croyances, il n’y a pas de textes fondateurs. Tu fais toc-toc, tu tapes deux fois des mains. Ensuite, tu ramasses un papier pour voir ce qui va t’arriver, si ça ne te plaît pas, tu en ramasses un autre. Tu vois, ça a un côté tac-o-tac. On ne m’avait jamais demandé si je croyais en quelque chose. Je sais même pas pourquoi j’ai disé ça.
Quelqu’un ; Existe-t-il un réseau anonyme dont vous seriez le pseudonyme ?
Le pseudonyme anonyme ; Tout le monde est en réseau, on a tous tendance à faire ça. Mais dans mon cas, c’est pas un système politique, ni un réseau de business, mon réseau se limite à mes passions, le sexe et la connerie et c’est vachement puissant. Maintenant, avec les é-mails qu’on m’envoie, c’est encore plus puissant. J’ai cinq mille adresses de p’tits meufs dans le monde entier, des fi-filles qui ne peuvent malheureusement rien me faire. Elles sont frustrées de ça, elles ont réussi à s’organiser en utilisant Internet et maintenant, ça fait un méga-réseau, c’est fou.
Quelqu’un ; Arrivez-vous à atteindre la jouissance ultime grâce à ça ?
Le pseudonyme anonyme ; C’est bizarre. Normalement, je devrais, mais ça n’arrive jamais. . C’est absolument immonde. Il y a des jours où je suis bourré et j’écris n’importe quoi. Là, c’est improvisé. Le côté bizarre, c’est que la moitié des ptit’s meufs, je les trouve en cours de route, personne ne croyant à rien, ça devient vraiment dingue, c’est très peu improvisé mes conneries. C’est complètement interdit.
Quelqu’un ; Avez-vous un espoir ?
Le pseudonyme anonyme ; Oui, parce qu’il y a plein de gens qui sont en train de lire mes conneries sur leur ordinateur. Je suis un des premiers a revendiquer le droit d’être con. Mais c’est quand même dix-huit mois de travail, tout le monde ne peut pas passer autant de temps. Mais il y a plein d’autres cons qui vont arriver et ça va foutre la merde, parce que les autres cons sont incapables de faire mes conneries. Et donc, les cons vont faire des conneries à la con.
Quelqu’un ; Avez-vous réussi à avoir un paiement sécurisé pour vos prestations sur le web ?
Le pseudonyme anonyme ; Toujours pas. Les responsables du web refusent de me l’accorder à cause d’excès de conneries. Ils me disent qu’ils refusent pour des raisons éthiques. Parce que les responsables irresponsables du web sont éthiques maintenant ?. Tout con que je suis, je deviendrais éthique si les responsables du web pensaient que j’étais un gros businessman. Il y a quatre ou cinq branleurs en chef qui tiennent le web. C’est flippant parce qu’à long terme, tu peux penser que bientôt, Internet sera le seul moyen de survivre. Si les responsables du web estiment que ce que tu fais n’est pas “éthique”, elles ne t’accorderont pas ce droit.
Quelqu’un ; Où en êtes-vous avec les procès que vous intentent continuellement les ligues féministes ?
Le pseudonyme anonyme ; Ce n’est pas compliqué, c’est tout le temps. Depuis le début, c’est toujours le même procès. Certaines associations féministes me reprochent toujours la même chose, mais elles trouvent de nouvelles raisons. A part pendant les vacances, là, ça s’arrête. Ce sont des conasses qui luttent contre les mâles, mais pas en période de vacances. A la rentrée, c’est toujours le même mec, en moto, hilare, une sorte de coursier d’huissier : “Ouais, M’sieur l’anonyme, j’viens distribuer les convocations, on se connaît, j’crois !” Mes voisins, ils doivent croire qu’il y a un putain de criminel dans l’immeuble. En sept ans, je ne sais pas combien de dizaines de convocations j’ai reçu. Sinon, c’est ma copine, qui paie mes procès : elle a vendu son appartement pour ça, ça lui a fait de la casse, parce que moi, j’ai rien payé. De toute façon, c’est elle qui paie tout. Les associations féministes, ça ne leur coûte rien, les procès, elles sont subventionnées pour les faire. Elles attendent jusqu’à ce que je sois clochardisé total, que tous mes biens soient saisis et que je me fasse virer de mon appart’. Quand tu as cinq associations en face, même si tu dois leur filer ne serait-ce que dix mille à chacune, tu as en plus les frais de justice, ça monte, ça monte et ça fait vite cent mille. Et je devrais payer tout de suite, pas de crédit. Pitingggg, les salopes !
Quelqu’un ; C’est seul contre toutes ?
Le pseudonyme anonyme ; Je vais les niquer. La présidente d’une de ces associations vient d’écrire sur le web que le procès contre moi était une erreur. C’est pourtant grâce à elle que j’ai une réputation scatologique ! ! ! Dans une autre message, cette connasse de présidente a tenu un discours du style : “Tout le monde sait que Le pseudonyme anonyme n’est pas son vrai nom, qu’il ose se dévoiler“. Elle a dépassé les limites de la liberté d’expression. Et au prochain procès, elle va encore m’attaquer sur les mêmes choses.
Quelqu’un ; Quel intérêt a-t-elle ?
Le pseudonyme anonyme ; Je ne sais pas, je ne la comprends pas, c’est une malade mentale. Et je ne peux même pas imaginer avoir des dommages et intérêts, parce qu’il faudrait que je chiffre mon préjudice : “OK, on vous a insulté, mais vous êtes déjà tellement une merde sociale...”, donc les insultes ne me font pas de tort puisque je suis une merde. J’ai reçu 300 messages de sympathie. Ces messages sont intéressants mais dans une proportion qui corresponde à leur place dans l’idéologie globale sexuelle, il faut connaître. Elles courent vite les p’tits meufs, je comprends plus rien. Elles mixent tout. Tout ça fait aussi partie des faux tabous, comme le cul, la merde, les odeurs corporelles, dont on ne parle pas.
Quelqu’un ; En parlant de pipi-caca, vous aviez créé un site web portant ce nom… !
Le pseudonyme anonyme ; Pitinggg, faites gaffe qu’on me reconnasse pas là, pitingggg. Au départ, je voulais simplement écrire quelques conneries scatos. Et puis progressivement, le sexe m’est monté à la tête. Et j’ai écrit toujours plus de conneries et puis, pitingggg, c’est devenu vraiment con. Je ne l’ai pas fait exprès. Je suis complètement ringard, j’ai même pas le bon look, je ne suis même pas un cancre, je ne suis même pas un contestataire, je n’existe pas, donc, je m’emmerde, je fais des conneries pour m’occuper ou pour me valoriser connement auprès des fi-filles en me disant que peut-être, si je faisais de l’art, ça irait mieux. Mais le problème, c’est que je suis complètement sexuellement asocial. Au début, je suis un branleur hyper efficace, mais quand j’ai spermaté, j’ai envie d’éclater l’ordinateur à coups de pied. Je n’ai pas la capacité psychologique pour réussir dans cette société de malades. Pitinggggg, c’est fini là…? Bon, je vous laisse, je vais spermater, OK ?
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