Pink-PunkMobile…
On vit dans un monde “numéricanisé “ où plus personne, ni quiconque, ne peux même plus déblatérer sur divers (ce qui est mon cas) sans qu’il se trouve un/une voire entre-deux et/où les deux en même temps, enragé(e)s Internautes/Blogueurs-geuses/Y,outubeurs-beuses, Instagrameurs/meuses et quiconques débiles consanguin(e)s, en manque d’indignations, qui envahissent la planète pour abrutir nos enfants, qui débarquent dans mon périmètre personnel (mon Web-Site) en hurlant “Etes-vous payé par des Zombies pour écrire vos railleries ?”... A cette question pire qu’existentielle, j’ai tendance à ne pas répondre par une classique et indécente réponse sous la ceinture, mon éducation Jésuitique incroyant et le fait que je ne lève plus la jambe au-dessus de 10 cm, me pousse à répondre poliment par un : classique “Fuck-Off” signifiant aux illettré(e)s d’aller se faire mettre (foutre) ailleurs… (le plus profond possible).
C’est imagé, simple, efficace, teinté de pléonasmes et similaire de ce que je pense de la dégradation du monde par la secte des briseurs/briseuses de mes couilles. Malheur et damnation éternelle, surtout avec ce qui nous tombe sur la trombine, il ne faut pas être marabout de ficelle pour deviner que chaque année est de pluche en pluche pénible avec nos politiques au temps de réaction égal à celui d’une éponge marine ! Je m’estime doté d’un vrai talent divinatoire issu d’années de pratiques diverses. En effet, je lis l’avenir dans le Petrus 1949. Je signale que toutes mes consultations sont gratuites : il suffit juste de m’envoyer une bouteille… Si vous tentez de venir me lire sans votre euro me versé préalablement, c’est attristant, car vous bouffez trop de merdes macronalistiques unilatéralistes et avez été lobotomisés par les TV-FakeNews aux mains de milliardaires qui en plus reçoivent des subventions étatiques !
Les traditions Franchouillardes, c’est important : le sapin et le repas de Noël, la tête dans le cul du lendemain, les grèves et les manifestations : il y a des choses incontournables sans lesquelles la Franchouille ne serait pas peuplée de soiffard(e)s-footbaalistiques, en attente de bonnes quilles, de rencontres sexuellement répréhensibles et de découvertes politiquement crapuleuses qui démontrent qu’en hauts-lieux il est d’usage et important de s’accaparer de tout le pognon possible afin de boire plus et travailler moins. Foutez-vous de leurs fioles et alambics, la nouvelle ère est clairement de faire un dernier pas en riant au bord du gouffre infernal qu’est le puits sans fond de la connerie humaine… Faites la fête car la vie est trop courte ! Faites les fous ! Amusez-vous, moquez-vous de vous et des autres, faites des farces, racontez des blagues salaces, emmerdez les emmerdeurs, et faites chier le monde !
Ne vivez pas pour travailler mais faites ce qui vous passionne. N’écoutez pas les extrémistes, les lobbyistes, les fascistes, les racistes, les aubergistes, les autistes, les sectaires, les apothicaires, les persifleurs, les asticoteurs, les calomniateurs, les chicaneurs, les bigots, les cocos, les écolos, les aristos et les fachos. N’écoutez personne (sauf moi) sinon vous. Sur ces bons conseils à ne pas suivre, je souhaite devenir une référence. Le problème de notre époque en Franchouille, et le mien en particulier, c’est que les vieux cons sont de plus en plus jeunes… Macron en est l’exemple le plus cruel, car ce qui m’a motivé à tapoter cet article est le procès pour non-Transgenrisme introduit par sa Brigitte que la justice Française à préféré avorter pour ne pas devoir y regarder de trop près ! Sa surmaturité, en finale dichotomique en cause de trop de gingko biloba, de haggis de drumnarochit et de chiure de yak albinos, laisse pantois.
Le rose a connu plusieurs vies. Considéré comme une couleur à part du rouge seulement à partir du XVIIIe siècle, le rose a été la nouvelle couleur à la mode européenne avant d’être associée plus tard au genre féminin en Occident. Les voitures sont fortement associées au masculin, tandis que la couleur rose est associée au féminin. En combinant ces deux éléments, les voitures roses s’articulent différemment avec les idéologies de genre, selon qu’elles appartiennent à des hommes ou à des femmes, selon qu’elles sont montrées avec des hommes ou avec des femmes. Les rapports de genre signifiés par les voitures roses doivent en effet être pensés dans leur intersectionnalité avec d’autres liens et surtout des rapports de classe. À travers l’analyse de plusieurs modèles de voitures roses et de différents contextes d’emploi, je tente ici de montrer comment la couleur et le design d’un objet s’articulent également avec le genre.
L’histoire des voitures roses ne commence pas avec les femmes, mais avec les hommes. En 1950, le boxeur américain Sugar Ray Robinson pose dans le quartier de Harlem à New York, devant l’une de ses Cadillac 1950’s séries 62 convertible, entièrement peinte en rose, et il sera imité par Elvis Presley en 1955. En faisant repeindre leurs voitures, ils veulent afficher leur extravagance et leur opulence tout en jouant l’incongruité entre un objet éminemment
masculin et une couleur déjà perçue comme féminine depuis le début du XXe siècle. Ils ont ainsi pratiqué une forme de “dandysme” qui joue avec les
codes du genre, et qui leur a été pardonnée, parce qu’ils faisaient partie des élites sociales. Ces hommes semblaient totalement immunisés contre toute féminisation du rose, ce qui contribuait paradoxalement à la fois à renforcer leur virilité, tout en confirmant que le rose est une couleur féminine.
Profondément associée au masculin et au féminin, on peut confirmer que la voiture et la couleur rose, agissent comme des technologies de genre qui viennent révéler les inégalités sexistes. Plus encore, l’objet et la couleur se combinent pour s’articuler avec d’autres idéologies (classe par exemple), ou pour se manifester dans des formes politiques de revendication. Il semble maintenant évident que les symboles “genrés” de la voiture et du rose sont chargés de nouvelles significations selon les personnes, les époques ou les contextes. La question du design doit donc être pensée et analysée du point de vue du
genre, dans la mesure où les corps féminins et masculins sont façonnés par des techniques et que les objets deviennent sexualisés par la pratique. Relisant et utilisant Foucault et Althusser je peux donc écrire qu’en tentant de les dépasser, elle déconstruit la notion de “genre”.
Elle en cerne les limites et le danger, celui d’enfermer la critique féministe dans l’opposition hommes-femmes en l’empêchant de penser les différences entre femmes. Son propos consiste alors à montrer qu’il faut penser le genre comme “technologie du sexe” (Foucault) et que celui-ci est le produit de technologies sociales. J’articule alors cette chronique autour de quatre propositions. Tout d’abord, le genre est une représentation des individus dans une relation, représentation qui leur préexiste. En ce sens, j’assigne une position à une classe par rapport à d’autres classes (le terme ‘classe’ ne renvoie pas ici à la pensée de Marx). La deuxième proposition s’appuie sur Althusser : la représentation du genre est sa construction. Substituant le terme “genre” à celui d‘individu utilisé dans la pensée d’Althusser, le genre se définit alors par sa capacité à constituer les individus en tant qu’hommes ou en tant que femmes.
Cela montre alors que la théorie même d’Althusser ainsi que celles d’autres analystes peuvent être vues comme des technologies de genre. La difficulté concernant le genre relève justement de la difficulté à trouver un “ailleurs”, des discours qui ne font pas partie de l’idéologie. Le féminisme, trop lié à l’hétérosexisme, ne peut pas se prévaloir de cet “ailleurs”. La troisième proposition stipule que la construction du genre est toujours en cours à travers des technologies de genre variées, allant des œuvres cinématographiques aux discours institutionnels qui sont capables d‘implanter des représentations du genre. Enfin, je pose que la déconstruction du genre affecte également sa construction. Ce sont les termes de cette déconstruction qui sont ici interrogés. C’est plus une critique, qui sous couvert de déconstruire le genre n’en diffuse pas moins le “trauma du genre”.
Les philosophes sont particulièrement ciblés, accusés de penser l’universel au masculin et de nier la différence entre femmes : les femmes ne sont pour eux que la Femme. Cependant, même les théories féministes sont empreintes des discours masculins hétérosexuels sur le genre. Comment dans ces conditions parvenir à sortir de ce cadre de référence ? Cette chronique réalisée sous le prétexte de présentation d’une automobile rose, est en fait une tentative allant en ce sens. Le féminisme doit tendre à établir un mouvement continu entre la représentation du genre et l’ailleurs. Je reste cependant perplexe quant à la capacité à circonscrire le champ de l’ailleurs. En introduction, j’indique même que c’est un lieu de cet ailleurs ce qui n’est pas sans poser quelques questions : est-ce à dire que ce texte n’est pas lui-même emprunt d’une certaine représentation du genre ? Suffit-il de tenter de développer un autre cadre de référence pour parvenir à se libérer de l’influence du masculinisme et de l’hétérosexualisme ? L’ailleurs est-il alors le lieu de construction d’une idéologie concurrente ?
La Théorie Queer déboule alors : sexualités lesbiennes et gays. Publié en 1991 dans la revue “Différences” à l’occasion d’un dossier intitulé “Queer Theory” , son intérêt principal est sans doute d’avoir été le premier article où apparaissait ce terme qui était alors une manière de pallier à l’accumulation des adjectifs gays et lesbiens en permettant de les questionner. Etant donné la difficulté actuelle à définir ce terme du fait de la multiplicité des définitions selon les auteurs qui l’emploient, un retour à la source ne peut que permettre d’éclaircir certains points. Cette “Théorie Queer” est en fait une mise en pratique . C’est une manière de parler du genre et des sexualités grâce à un terme neuf. Le premier objectif fixé est alors de comprendre les difficultés d’imposition d’un terme spécifique pour l’homosexualité féminine au cours du temps, le manque de reconnaissance du lesbianisme.
Un autre champ d’étude ouvert est celui des relations entre race, identité et subjectivité dans l‘homosexualité. Quid de la méthode à employer ? On assiste ici à un de mes regrets de ne pouvoir me baser sur divers récits entre gays ou entre lesbiennes sur ce point, et surtout de ne pas pouvoir avoir un matériau littéraire écrit par des gays et lesbiennes d’autres couleurs … Il n’en demeure pas moins que je tente une approche originale en cherchant à intégrer de la différenciation sur les sexualités lesbiennes et gays en les présentant comme des exemples de contributions à cette “Théorie Queer” pour pouvoir ainsi donner une forme concrète à l’ailleurs . Enfin, une théorisation des rapports entre fantasmes publics et privés peut être particulièrement intéressante. Initialement publié dans la revue Signs : ‘Journal of Women in Culture and Society’ en 1999, j’y avais lu l’analyse du film de David Cronenberg “M. Butterfly”….
Il y avait de nombreuses références à la psychanalyse de Freud et de Lacan mais toujours en les dépassant. L’article montrait dans un premier temps que le film était basé sur un récit issu de la “culture populaire”. Or, les formes culturelles populaires donnent lieu à des fantasmes publics : quoique représentations fictionnelles, elles sont “profondément senties et vécues”. Ces fantasmes publics seraient largement repris par l’industrie cinématographique mais avec de la manière et avec un intérêt supplémentaire pour l’auteur : l’histoire de Mme Butterfly présente une relation de genre particulière qui est retravaillée. Butterfly est dans l’imaginaire collectif une femme, orientale, abandonnée par l’homme qu’elle aime, un occidental, et qui songe au suicide comme échappatoire. Il s’agit d’un fantasme basé sur la féminité avant tout.
L’œuvre de Cronenberg en donne une toute autre vision en jouant sur le brouillage des identités sexuées comme en atteste le “M”. La relation amoureuse est en fait celle de deux hommes, l’un d’entre eux se faisant passer pour une femme aux yeux de l’autre qui se suicide au moment où sa relation fantasmée lui échappe. Le film présente la manière dont le fantasme public qu’est Mme Butterfly se transforme en fantasme privé pour deux individus contribuant par là même ainsi à la propagation du fantasme public qui devient le fantasme privé du spectateur. L’interprétation visant à compléter celles des critiques, est convaincante sur les deux niveaux, tant sur le plan de l’analyse du cinéma comme relais des fantasmes publics que sur le plan des relations entre les divers personnages… Il me parait maintenant temps d’ouvrir un autre bloc de texte d’aspect et de fond moins complexes que ce que vous venez de parcourir…
Comment ne pas se faire voler sa voiture ? Voilà qui est moins intellectuel et ne fera pas intervenir ni Quant ni Freud ni Lacan… Facile : La peindre en rose ! Le vol de voitures est un problème récurrent que les avancées technologiques en matière de sécurité ne permettront jamais de stopper complétement Mais il pourrait bien exister une solution universelle pour éviter de se faire voler son véhicule ! Le peindre en rose, tout simplement. D’après une étude sérieuse réalisée aux Pays-Bas, il semblerait que les voleurs de voitures ont toujours des comportement très conservateurs lorsqu’il s’agit de choisir une victime. Les voitures grises et noires sont les plus volées et il apparaît évidemment plus compliqué de disparaître avec un véhicule au coloris pas banal. Ainsi, aucune voiture rose volée n’a été répertoriée dans cette étude. En peignant sa Bentley en rose bonbon, Paris Hilton avait donc déjà tout compris avant l’heure.
Le rose provoque des sentiments exceptionnellement forts d’attraction et de répulsion. Il a été appelé la plus divisive des couleurs.. Les problèmes auxquels sont confrontées les femmes sont graves et les mignons chapeaux roses risquent de banaliser toutes questions. Pourtant, les attitudes envers le rose changent et la couleur est de plus en plus considérée comme froide et androgyne. Bien que le rose soit populairement associé aux petites filles, aux ballerines et à toutes les choses féminines, le stéréotype du rose pour les filles et du bleu pour les garçons n’a vraiment gagné du terrain qu’aux États-Unis au milieu du 20e siècle, et le symbolisme du rose a varié grandement à travers l’histoire du monde. En plaçant des vêtements roses pour hommes, femmes et enfants de cultures occidentales et non occidentales – y compris l’Inde, l’Afrique, le Mexique et Japon — dans un contexte historique,
“Pink: The History of a Punk, Pretty, Powerful Color” est un livre qui a voulu corriger les idées fausses mais populaires et encourager les téléspectateurs/trices américain(e)s à remettre en question les clichés… et a reçu … et a démontré, que c’’est la société qui fait la couleur. ! Les années 1950 sont connues comme l’ère de la “mystique féminine” lorsque les stéréotypes de genre ont été renforcés dans l’ensemble de la société et le codage du genre rose pour les filles, bleu pour les garçons a décollé. Naturellement, il existe de nombreuses robes roses féminines des années 1950 pour filles et femmes, bien que Brooks Brothers ait également vendu des chemises roses pour hommes. (en 1930 les hommes chics s’habillaient d’un costume rose)… Les années 1960 ont continué à témoigner la popularité de nombreuses robes “jolies en rose”, comme une robe de cocktail de 1960 par Yves Saint Laurent pour Christian Dior.
Les années 1970 ont vu un déclin de la mode rose, bien que Le rose fluorescent est apparu. Dans les années 1980, le rose était de retour à la mode, bien que souvent, comme avec un “Power -Suit” rose vif de 1980 de Claude Montana, il a également servi à reconnaître l’autorité sociale croissante des femmes. Pour mettre en évidence les concepts clés de l’histoire du rose, dont la période “Pompadour-Pink” du 18e siècle, sachez que le rose était une nouvelle et très à la mode couleur unisexe dans l’Europe du 18ème siècle, contrairement aux 19ème et 20ème siècles où le rose a été codé comme une couleur féminine. Au 18ème siècle, le rose était également important en peinture et design d’intérieur, mais l’opinion était divisée quant à savoir si le rose était pour les garçons ou pour les filles. La décision finale semble avoir été influencé par la publicité entourant l’achat par un millionnaire de peintures Blue Boy et Pinkie.
Le rose dans un contexte mondial, a été utilisé dans les cultures non occidentales. En Inde, par exemple, le rose a longtemps été porté par les hommes. et les femmes, tandis qu’au Mexique la couleur rose est associée à l’identité nationale. Les designers occidentaux se sont inspirés de ces association : le rose est le bleu marine de l’Inde. Le Shocking Pink de Schiaparelli était explicitement associé, dans son esprit, avec l’Asie et l’Amérique latine. De plus, les connotations érotiques du rose, sont significatives et surdéterminées. Parmi les raisons pour lesquelles le rose est largement considéré comme une couleur érotique sont le rose-beige de la peau caucasienne, ce qui a conduit à l’idée que le rose est associé à la nudité. À cela s’ajoute le fait que certaines zones érotisées du corps telles que la bouche, les organes génitaux et les mamelons sont connus sous le nom de “parties roses”.…
S’y ajoute le fait que les fleurs, longtemps associées à la beauté féminine, sont les organes sexuels des plantes et que les cosmétiques de couleur rose sont utilisés pour simuler le rougissement. Le rose a joué un rôle notable dans les manifestations politiques et la musique populaire associée avec une jeunesse rebelle. Le rôle transgressif du rose fut souligné à travers plusieurs mouvements présentant des vêtements pour hommes et femmes, allant des vêtements vernaculaires à la haute couture d’avant-garde comprenant des Pussy-Hats roses et des looks associés avec des genres musicaux allant du Punk au Hip-hop. Les designers remettent de plus en plus en question les idées traditionnelles sur la féminité douce et rose, souvenez vous que Valentino a produit des T-shirts affirmant que “Pink Is Punk”…
La Pink-Punkmobile qui sert d’illustration à un article orienté vers le rose tendance fushia est d’origine inconnue mais est l’archétype du déplaçoir. Elle inspirera sans doute la sympathie émue des transgenres. Elle fera sensation chez les fans des années ’80 qui repassent en boucle l’hallucinante Bamba triste du non moins halluciné Pierre Billon. Toutefois, en dehors des nostalgies bienveillantes, point de salut pour cette chose rose ! Mérite-t-elle autre chose que le sarcasme ou la compassion ? Sans à-priori, il n’y a pas matière à acharnement. Son esthétique n’est pas inintéressante à contre-courant du bio-design. Mieux, l’influence Ukrainienne se ressent dans la forme générale. Sa sous-motorisation avec un 1.300 de 64 chevaux n’est pas gage de grands frissons. Pour une clientèle soucieuse de se démarquer du commun des classes moyennes, l’apparence est pourtant un chef-d’œuvre du non-sens…
Non, le problème vient plutôt de la couleur et des carpettes/fourrures… Cela ne fait guère sérieux. Incompréhensible ! Son image est caricaturale ! Tout n’est pourtant pas perdu pour les cas désespérés en ces temps incertains où l’on se plaît tant à se réfugier dans la nostalgie. Alors, quel sort lui réserver ? Elle ne mérite ni les feux de l’enfer ni les feux de la passion. Quitte à la réhabiliter, je lui préférerai une Daf hollandaise. Peut-être à cause des phares décorés façon Hindou. Peut-être aussi parce que ce qui paraît ringard quelque part paraît toujours rafraîchissant ailleurs dans le monde. Alors, à vous de voir. Et d’assumer. Ma mémoire défaillante, ma prise de notes approximative, le temps qui passe et rapace, les buses et les très nombreuses sollicitations sexuellement transmissibles ne m’ont pas permis de faire le compte-rendu que vous espériez, mais je vous promets de faire mieux une autre fois … Ou pas …