Porno-Rod…
L’hiver arrive puis s’en va chassé par le printemps. Il y a quelques mois c’était enfin l’automne, cette douce et triste saison permettant de se rouler dans les feuilles mortes. Et qu’écrire de l’été, quoi dire du printemps ? Chaque saison spermet de s’écrier que “Revoilou les joies de chaque saison”... La contemplation de Dame Nature en pleine agonie donne matière à écrire aux poètes, divers textes indispensablement chiants qui en imposent par leur prestige (de préférence), et qui traitent forcément de la futilité de l’existence humaine et de ses vaines prétentions. Opter pour le Faust de Goethe ou les poèmes de John Keats semble toujours un choix très pertinent.
Le climat sentimentalement instable occasionné par une béance amoureuse provoquée par une belle plante carnivore-vénéneuse aux pulsions suicidaires, permet aux esprits forts de s’épanouir totalement. L’écriture prolixe de vers d’automne évoquant, au choix : la mort, les carcasses d’animaux morts ou le corps encore chaud de votre meilleur ennemi mort (lui-aussi) dans d’affreuses et jouissives souffrance. Sans oublier les indispensables balades en forêts, de préférence toutes deux longues et grandes, pour s’épuiser à respirer ses derniers souffles et donner des coups-de-pied à des troncs grouillant de parasites. Cette atmosphère faite de repos éternel, d’odeur de noix et de cerfs en lutte pour leur survie poursuivis par d’abominables chasseurs, est un régal vomitif.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer, optez pour les photos de vacances. Pensez à vous caresser lentement mais fermement pour ajouter une dimension “grands espaces et air pur, contact fusionnel avec la nature”... Sortez violons et guitares et tentez donc de composer une mélopée qui collera si bien aux poèmes que vous aurez déjà rédigé au préalable par dégoût d’une vie trop lisse. Caban et bottes, vous êtes prêts ?… Gatsby/ChromesFlammes/SecretsInterdits vont ici partager un article décousu de sens autre qu’utiliser diverses photos de toutes autant diverses automobiles et nanas dévétues que de tendances à meubler l’espace. Il fut un temps où c’était prétexte à un calendrier d’illusions.
Je me crois assez solide psychologiquement pour y faire face n’ayant pas d’angoisses particulières si ce n’est celles liées au temps qui passe. Mourir m’importe peu mais vieillir si… A 73 ans je préfère manger une côte de bœuf saignante mais grillée que de faire un apéro-skype : je n’ai plus l’âge de la baise par téléphone ! En revanche, j’ai pris conscience que la somme de toutes les folies emmagasinées marque les esprits même recouverts d’un imperméable à la propagande étatique quoique la majorité silencieuse garde la servitude absolument incroyable des gens ayant la capacité de se faire manipuler. Leur veulerie abjecte m’a dégouté définitivement de mes contemporains tous autour de moi, bourgeois dument diplômés et nantis qui se couchent devant le pouvoir.
Des gens que je connaissais depuis l’enfance ou l’adolescence se sont révélés comme étant les pires collaborateurs du pouvoir inique, ces crétins continuant à culpabiliser d’être toujours prêts à toutes les compromissions pour gagner quelques sous. A cause d’eux, de leur lâcheté, nous avons toutes et tous été enfermés, interdits de loisirs, de se tenir debout à un bar, et même de s’acheter des slips ou d’aller au bordel ! Si ces abrutis ne comprennent pas qu’ils ont été victimes d’une gigantesque psy-op, c’est que ce sont vraiment des ânes. D’ailleurs, ce sont des ânes, des ânes dûment diplômés vivant dans des appartements ou des pavillons valant plusieurs centaines de milliers d’euros, prêts à tout pour voyager et fiers de leurs progénitures aussi bêtes qu’eux.
Mais je suis méchamment gentil, euphoriquement empathique et je n’aime pas fréquenter les gens qui font jaillir mes plus noirs instincts plutôt que mes spermes… Partir étant souvent le mieux, aucun ne n’a jamais manqué, je sais qu’un pouvoir capable d’infliger ce qu’il a infligé, est capable de tout et que donc on ne peut compter sur personne. Ce que l’on nous a fait subir tant concernant les vaccins que les charités avec retour de commissions envers l’Ukraine (qui ristourne 50% des dons sur un compte anonyme d’un paradis fiscal), n’a rien à voir avec des mesures prophylactiques mais tout à voir avec du sadisme et de la malveillance. De même je ne peux plus voir les vieux. Je commence d’ailleurs à ne plus me supporter…
Quand j’étais petit, un vieillard, c’était quelqu’un qui avait eu une vie dure. J’ai même connu des gens qui ont fait la première guerre ! Aujourd’hui, le vieux n’est qu’un boomer, un adolescent aux cheveux gris qui n’a de cesse que de pomper le plus possible les forces vives. A cause des boomers, donc de moi-même, pour qu’ils (et moi) puissent vivre de leur retraite suite à avoir donné plus de 85% des sommes durement gagnées durant toute une vie, on nous a privé de liberté, on a mis un stop à nos vies, on a cru bon de nous empêcher de vivre. Ces fils de putes, dont j’étais et je pèse mes mots, qui n’ont eu de cesse de brailler sur des barricades où ils ne couraient aucun risque en 1968, qu’il était interdit d’interdire, n’ont tout d’un coup eu que ce mot à la bouche : interdir…
Interdire et obliger les autres ! D’ailleurs alors que je vis en vacances perpétuelles à Saint-Tropez, je les vois venir respirer mon air Tropézien, ces ignobles boomers dans le petit train-train qui passe, le promène-couillons qui balade les touristes. C’est plein de cheveux blancs et ça rigole. Bien sûr c’est en forme à force de pomper les actifs. Me prenant sans doute pour un local, il y en a un qui m’a fait coucou de la main, je n’ai pu que lui répondre d’allers crever en le traitant de vieille ordure. C’est le vieil ami avec qui j’étais qui m’a tiré par le bras pour me calmer car à mon grand âge il faut éviter les fortes émotions. Je sais que la colère et la rage sont mauvaises pour la santé autant que mauvaises conseillères et je ne voudrais pas crever avant ces boomers ignobles !
Je me souviens de ce qu’un jeune soldat engagé dans les Forces françaises libres écrivait à sa mère peu avant sa mort : “Nous sommes quarante mille fous qui nous battons pour quarante millions de salauds”. Puis, je relis la maxime 1 du Livre II de Marc Aurèle : “Dès l’aurore, dis-toi par avance : je rencontrerai un indiscret, un ingrat, un insolent, un fourbe, un envieux, un insociable. Tous ces défauts sont arrivés à ces hommes par leur ignorance des biens et des maux. Pour moi, ayant jugé que la nature du coupable lui-même est d’être mon parent, non par la communauté du sang ou d’une même semence, mais par celle de l’intelligence, je ne puis éprouver du dommage de la part d’aucun d’eux, car aucun d’eux ne peut me couvrir de laideur. Je ne puis pas non plus m’irriter contre un parent, ni le prendre en haine, car nous sommes nés pour coopérer, comme les pieds, les mains, les paupières, les deux rangées de dent, celle d’en haut et celle d’en bas. Se comporter en adversaires les uns des autres est donc contre nature, et c’est agir en adversaire que de témoigner de l’animosité et de l’aversion”...
Quel vieux con que ce Marc Aurèle ! Une réaction type de vieux fan-boy outré d’apprendre que ses potos de lycée ne sont rien d’autre qu’une belle brochette de glands incapables d’aligner trois mots sans tout niquer. Le doux refrain du Takafairemieutouhadaboraprèonenreparlera est systématique lorsque je donne mon avis sur des merdeux. Il y a éternellement des crétins venant me chier dans les bottes car je n’ai pas su apprécier à sa juste valeur l’incroyable ingéniosité d’une bagnole à-la-con ! On me fustige de ne pas savoir faire de même, moi, l’étron vautré dans son fauteuil en cuir. Personne par contre pour saluer mes efforts d’écrire trois paragraphes sur le old-school blasphématoire en alignant un tissu d’insultes.
Je reconnasse, putain, qu’avoir un œil critique sur une œuvre, d’un artiste célèbre ou non d’ailleurs, se fait pour moi le plus souvent sans le moindre respect. Même lorsqu’un tsunami d’excréments littéraires me sort des tripes par surprise, j’essaie d’aller jusqu’au bout de la merde, d’y déceler le petit truc qui peut ressortir de tout ça, la petite lueur d’espoir quoi. Flamber une allumette y aide tout en supprimant l’odeur ! Il arrive malheureusement sans cesse que cette lueur n’arrive jamais. Mais ça, aucun vieux fan-boy ne veut pas l’entendre. Pour lui, c’est moi, l’autre, qui ne comprends rien. Je ne suis qu’un critique frustré incapable, qui oublie toute la morosité de son quotidien en donnant son point de vue acariâtre et ce pour mieux étaler sa science !
Fumier de merde de vieux con, dont la vie se résume à détecter le manque de science des autres. Voilà un de mes terribles SecretsInterdits… Quel est l’intérêt d’une critique si ce n’est d’émettre un jugement. Et quelle est la valeur d’un jugement si ce n’est d’émettre une appréciation subjective. Et j’ai la flemme de chercher des exemples pour étayer mon argumentation. Je suis Gatsby, ChromesFlammes et SecretsInterdits après tout. Tous ceux n’abondant pas dans mon sens n’ont qu’à me pomper. Saloperies de merdes… Jouir d’une sexualité épanouie est primordial, expérimenter et en parler publiquement ne me pose aucun problème. Du moment qu’on est conscient des conséquences. Mais putain, quitte à balancer un cliché, au moins s’assurer qu’il est bien pris.
Quand est-ce que l’humanité comprendra que prendre une photo n’est point chose aisée. Lorsque rien n’est bon, ça a le don de m’exaspérer. C’est quoi ce cadrage ? Tu te fous de ma gueule ? On coupe l’épaule, le corps n’est pas centré ! T’appelles ça du bon travail ? Puis la lumière, parlons-en. Il y a une ombre qui va de la poitrine à la lèvre inférieure et ne me fais pas croire que c’est une ombre portée car c’est clairement de la merde là. De plus, une lampe offrant un jaune blafard n’enjolive pas le cliché hein ! Puis cette profondeur de champ ridicule : Pourquoi ? Et ne me sors pas l’excuse du mauvais matériel avec tous ces smartphones qui nous permettent de piloter une fusée. Au pire fais l’acquisition d’un appareil numérique, laisse le agir quelques secondes et hop !
Du grain sur la semence. Magie du futur. Ceci écrit, je vous l’accorde, réussir un cliché d’une belle éjac’ faciale n’est pas donné à tout le monde. Regardez une jolie bouille de pute souriante couverte de sperme. Avez-vous la moindre idée du temps qu’il a fallu pour obtenir un tel résultat ni la sélection qu’il a fallu faire ? Sans oublier qu’il faut aussi un joli sperme et en quantité. Trop souvent on dirait que le mec s’est déjà pougné trois fois et que seulement quelques gougouttes de liquide séminal se courent l’une après l’autre. La loose ! Alors, OK, on deale avec des photographes professionnels sachant capturer le moment de joie dans les yeux d’une japonaise noyée sous un bukkake. Je ne demande pas qu’on fasse le taff mais c’est juste du respect de soi et des autres !
Il faut fournir des photos un minimum correctes d’autant plus si l’on souhaite les publier à la vue de tous. Stop à un moment donné. Attendre quelques secondes que le téléphone fasse ses réglages automatiquement pour offrir une meilleure photo c’est trop demandé ? Le résultat ? Comme pour le Fappening, des photos amateurs proprement dégueulasses. Que des starlettes se foutent à poil pour envoyer une photo à leur copain, j’en ai rien à battre. Mais qu’on ne prenne pas le temps de faire un peu de mise en scène, de nettoyer la bagnole, passer un coup de patte sur les vitres, un petit regard coquin… On appelle ces gens-là des artistes ? Mais laissez-moi rire ! Où est la créativité artistique ? Où est la beauté dans un corps rogné par un objectif qui vise à côté d’un anus ?
Où est l’intérêt de faire une photo peu flatteuse dont la lecture est impossible ? Je ne respecte plus les cons qui négligent les éléments les plus basiques de la communication humaine. Quitte à vouloir faire parler de je ne sais qui avec le visage couvert de glaçage, autant préparer un peu le plan. Et puis une femme heureuse qu’on lui ait joui au visage c’est beau, non ? Bref ! Il faut en finir ! La jolie cagole de l’Est de cette semaine ruskov molotov officie mammairement depuis ses 20 ans sur les sites Met-Art ou Femjoy. Pour ces divers alter-ego, je vous renvoie à sa fiche. Vous ne voulez pas non plus que je vous tienne la queue ? Soyons clair tout de suite, cette petite fermière du Caucase m’a charmé.
Faut dire aussi qu’une jeune ingénue dont le poitrail semble tout droit issu d’un étal de producteur de melons de Cavaillon, ça change des gourdasses pas fraîches. Le genre qui, ayant pourtant décidé de son plein gré d’organiser une soirée beaujolais nouveau double anale dans sa villa roccoco d’Aix en Provence, commence à faire sa mijaurée lorsque la 25e giclée de foutre est fourbement venue s’échouer sur le plaid en canevas à motifs “lévriers afghans mauves” plutôt que sur sa gueule façon zone d’épandage. Et qui, en plus de me servir une piquette en cubi comme si c’était un Châteauneuf-de-mes-Couilles, s’est spermitivement autorisée à s’avouer allergique au parmesan alors que je voulais frotter mes boules sur ses chicots mal fixés par Polident. Une honte !
Mes bonnes résolutions concernant la parution de mes petits cancers littéraires hebdomadaires, foutues au panier. Ou plutôt au cul. Je me suis littéralement assis sur toute forme de volonté créatrice dans le but de soumettre mon anatomie nonchalamment déployée à même le monde vers des cimes d’arrogances ! En d’autres termes, j’ai pris des photos d’une nanana qui s’était quand même trainée tout le long d’un foutu terrain sablonneux devant un parterre de couillons, avant de finir scotché tel un batracien vivisecté ! D’ailleurs, les Anglo-Saxons fêtent les petits œufs colorés en hommage à la déesse Eostre ou Ostra, ce qui est quand même mieux branlé que toutes ces histoires de vendeur de fallafels revenu d’entre les morts.
Mieux branlé aussi car la divinité susnommée était pas mal tournée vers la guizoule et plus précisément les histoires de fertilité. On retiendra surtout qu’il s’agit-là d’un bon prétexte pour semer des shokobons dans le jardin, autant qu’une purée aigre et protéinée dans le balayage californien de la première gourdasse venue en pleine période d’ovulation. Néanmoins, puisque je suis au départ censé vous parler de nichons, je vais tenter de me recentrer sur ce débat alimentant les passions, j’en passe et des meilleures. J’avoue sécher pour le coup. En même temps, dès qu’il s’agit d’épousseter un objectif Canon à coups de grandes lèvres, elles sont toutes Ukrainiennes ou Bulgares. La frêle ingénue n’en est pas moins présentable.
Posant avec du mucus génital et des totottes, cette fofolle aux faux airs de mannequin anorexique (dont je ne sais toujours pas prononcer le nom) ne fera pas date chez les amoureux de la loche king-size. Chez les autres au contraire, elle créera un fort engourdissement pénien se soldant par une cartographie dans vos sous-vêtements évoquant les polycopiés d’un soutenant en DESS de géographie. Elle fait d’ailleurs penser à une tchèque. Celle que vous pensez boursière payant ses pédicures et ses sushis en épongeant le recteur sur son oignon flétri… Celle qui, toujours l’air enjoué venait sans doute d’expier son goût immodéré pour le foutre à coûts de double anale. Tous l’ont ravagée. Pas vous !
2 commentaires
Mon cher Gatsby,
Les superlatifs me manquent ! Quel verbe !
Quel verbe ou quelle verve ? A moins que : quelle verge ! Trois réunis pour y arriver. Ereintant !
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