Aujourd’hui c’est son anniversaire…
C’est jour de fête.
Levée à midi douze, Chantal ne peut résister à jouer à son passe temps préféré avec son amante Marieke : lui attacher les bras dans le dos et ensuite lui lécher l’anus et le clitoris…
Elle en raffole !
Après cette mise en (arrière) train…, elle se dirige vers la salle de bain.
Elle ne peut résister à l’envie de caresser ses gros seins pendouillant et de flatter son clitoris au passage, y a pas de mal à se faire du bien.
Ça monte, c’est bon, ça vient vite, c’est encore chaud et humide , glissant, au sortir du bain.
Elle commence à introduire deux doigts en vue de compléter les sensations de son petit orgasme qui gronde.
« Chantââââââââl ! Descends vite, il y a Paty pour toi au téléphone ! » hurle son amie, assez amusée de la regarder, l’empêchant de jouir.
Cette salope de Chantal se dit que ce n’est que partie remise, elle se doute bien de la provenance de l’appel, et du motif de celui-ci.
Elle prend le téléphone et surveille ses mots pour ne pas éveiller les soupçons de son amie.
C’est bien cette bombe de Paty au téléphone.
Depuis des mois et des mois elle lui envoie toutes les heures un SMS lui disant toutes ses envies sexuelles…, à la longue elle a craqué !
Rien que le son de sa voix provoque en sa poitrine une rapide vibration, lui rappelant l’excitation que Paty avait provoqué en elle lors de leur seule rencontre il y a quelques années.
Cette fois, ce sera rien qu’à deux.
« Ce sera romantique », lui laisse même rêvasser sa future amante de jeux, avec un petit sourire coquin et lubrique perceptible à travers le combiné.
Ami lecteur, ou salope lectrice, laissons un peu Chantal se faire ses films toute la journée, et améliorons joyeusement notre connaissance des deux petites garces en question.
Chantal…
Par provocation envers son amie angoissée et moralisatrice, elle a déjà comme tout le monde goûté aux joies de l’alcool, des hallus à l’herbe, du chômage et des galères.
Sa vie sexuelle n’est faite que de problèmes, samedi d’il y a quinze jours, en sortie d’une boite échangiste, elle a été violée par un repris de justice, d’ailleurs ex-compagnon d’une de ses meilleures amies…, qui de ce fait a du être hospitalisée une semaine en institution psychiatrique !
Bref, on s’en claque, elle croit toujours au prince charmant, a le goût de la provoc genre je-m’habille-comme-une-pute-je-chauffe-les-mecs-en-me-trémoussant-comme-une-actrice-porno-en-boîte-et-je-me-teins-les-cheveux-en-rouge-et-la-chatte-aussi-et-je-me-maquille-comme-si-je-faisais-le-trottoir-mais-je-fais-rien-et-je-vous-emmerde-nanananère.
Et là, coup de chance, elle a relançé Paty, espérant l’encourager à assumer de redevenir son amante.
Bien entendu, cher lecteur, chère lectrice, Chantal est bien foutue, jolie, assez grande, mince avec d’énormes Roberts pendouillants…, son sexe rose et vierge de toute toison est de satin et de soie !
Une bimbo, du genre à flairer le badboy de pacotille à béhème noire et tout en Lacoste.
Elle était d’ailleurs avec ce genre de sous-merde quand a eu lieu l’histoire avec le repris de justice, mais il n’était pas au courant de ses attirances lesbiennes.
Ses amants la battaient toujours un peu, l’insultaient, mais elle s’y était faite, des bouffons pour michetonneuses, c’est ce qui va avec une michetonneuse….
Bien sûr, tout le budget de son chômage passe dans les fringues, les chaussures, les parfumeries, de la bonne chair fraîche : Paty… c’est carnaval toute l’année.
C’est une extraordinaire brunette aux yeux de braise, esthéticienne (d’où leur rencontre autour d’une épilation maillot-aisselles)…un vrai conte de fée, hein…, un corps de déesse qui rendrait Arielle Dombasle jalouse, intelligente, docte, érudie, épicurienne.
L’émancipation féminine faite femme, finalement… elles ont rendez-vous à 21 heures, dans un bar.
Reprenons les festivités.
Chantal arrive la première, toute impatiente et joyeuse, dans une tenue qui suscite rapidement l’attention de la faune locale.
Sa jupe très courte laisse apparaître l’élastique de ses bas quand elle s’assied, elle tire dessus mais rien à faire, c’est trop court et tous les crevards la matent, elle fuit leurs regards et ne veut pas imaginer leurs sexes poilus, moites et collants en probable semi-érection.
Elle trouve le temps long, gênée d’être seule, elle se demande si Paty va vraiment venir.
Au bout de vingt minutes, celle-ci arrive enfin, offrant un large sourire.
Tout de suite la bien gentille Chantal lui pardonne tout, elle oublie l’attente et ne pense plus qu’à mêler sauvagement leurs langues.
Elle imagine les vicelards du bar qui les regardent surpris et surement choqués et ça l’excite.
Elles se laissent aller à des caresses langoureuses et tendres, les doigts dans les cheveux, sur la nuque, à l’intérieur des cuisses.
Presque à jeûn toutes les deux depuis le matin (normal, régime han..), les verres leur montent vite à la tête. Au bout de deux heures, ivres, elles décident de se rendre dans une boîte à beaufs non loin de là.
Heureusement, pas de flics sur la route, pas d’accident non plus, Chantal a l’habitude de rouler dans cet état.
Quelques minutes plus tard, après un trajet ponctué de caresses destabilisantes et excitantes, Chantal et Paty s’engouffrent dans le club.
Il n’y a pas encore grand-monde, et elles ont de loin le plus haut taux d’alcool dans le sang.
Aussitôt , elles se jètent au milieu de la piste, hilares et esseulées et entament de langoureuses danses à deux, se faufilant l’une contre l’autre comme des serpents, tout en se prodigant force baisers et attouchements.
Il fait vite soif, à cette allure et elle regagnent le bar, se noyant constamment de gestes déplacés et délibérément censés provoquer et choquer la clientèle.
Bientôt exaspérés, les jackys quadragénaires célibataires en chemises hawaiennes se laissent aller à des remarques et insultes…
L’atmosphère devient malsaine et c’est tout logiquement que Chantal suggère à Paty d’aller finir la soirée ailleurs.
Sans demander plus de précision, toute charmée par sa partenaire, Paty s’exécute, se laisse guider, comme sur un petit nuage.
Chantal l’emmène dans des quartiers qu’elle ne connaît pas.
Soudain, elle lui indique un parking.
Désert, non éclairé.
« Là ce sera très bien », lâche-t-elle avec son habituel large sourire.
Paty, surprise mais toujours confiante et excitée à la vue de son amie, lui répond par son joli sourire également, les yeux plissés et scintillants.
Sèchement, Chantal écarte les cuisses et ordonne : « Lèche moi ! J’attend ce moment depuis des mois ! »
Paty ne comptait pas en arriver là ce soir, ou en tout cas pas dans ces circonstances.
En effet, aimant la provoc et ayant bien l’esprit de contradiction, cela ne l’excite plus du tout, Chantal est de plus pétée comme une huître qui plus est….
Elle refuse d’un petit non accompagné du geste de la tête, comme lorsqu’elle envoie promener un mec en boîte après l’avoir chauffé, habituée à ce que cela suffise.
Chantal lui attrappe alors ses cheveux, très fort, et lui hurle de la lécher tout de suite et de s’appliquer, sinon elle la tue.
Et pour renforcer son argumentation, elle lui envoie un coup de poing plein de bagues sur l’oeil droit, expliquant : « et fais gaffe je fais de la boxe thai ! ».
Dès lors, Paty, effrayée, obéit consciencieusement, craignant de nouveaux coups voire pire.
Elle lèche, lèche, lèche, sa langue et sa machoire fatiguent mais elle lèche, prestement, par peur de représailles de Chantal.
Elle se demande comment cela va finir, si elle va s’en sortir, combien de temps ça va durer.
C’est curieux de constater comment les circonstances ont joué sur son désir, elle qui toute la journée avait fantasmé à propos de douces caresses buccales sur un sexe féminin et se retrouve maintenant comme une esclave à exécuter une tâche qui la dégoûte presque.
Au bout d’un marathon lingual, elle entend Paty jouir… il s’est écoulé peut-être une demi-heure, une heure, plusieurs heures…Chantal ouvre sa portière et jette Paty sur le macadam.
La jeune naïve rend alors tout le contenu de son estomac.
Ayant savouré son orgasme lentement venu du fait de l’alcool, Chantal sort du véhicule et la roue de coups, y compris de talon, portés au visage, au ventre, dans les côtes, le dos.
Paty essaie de se recroqueviller afin de prendre moins sévèrement les impacts, paralysée par la peur, n’osant même pas songer à se défendre.
Plus Paty pleure, plus Chantal frappe fort, l’insulte, la menace de la tuer, de venir brûler son appartement et faire des avances à son mec avant de l’émasculer…, si jamais elle en parle.
Fatiguée de frapper, elle sort un couteau et le porte sur la paupière de la jolie petite brunette en lui demandant de jurer de ne rien dire à personne.
Paty promet… et ressent comme un soulagement, enfin c’est fini !?
Aussitôt Chantal fait mine d’éloigner son couteau pour la planter… et lui frappe le front avec le manche du couteau, comme si elle la marquait au fer rouge.
« Promets mieux que ça Paty, tu sais que je suis capable de te jeter de chez toi par la fenêtre, te t’asperger de vitriol, de t’arracher les tétons… »
Sans attendre elle reprend la volée de coups de chaussures.
Quand elle est trop fatiguée, elle ordonne à Paty de lui faire un Fist-Fucking, toujours le couteau menaçant à proximité de la gorge de sa victime.
Paty a mal, elle tâte ses bosses et plaies.
Horrifiée, honteuse, elle se tient à carreau, et introduit sa main puis son avant-bras à demi dans sa bourrelle de Chantal, qui exige comme dernier gage de sureté, afin que Paty n’aille pas au commissariat d’une part, mais aussi d’autre part de manière plus simplement perverse pour conserver un nouveau trophée, le top de Paty, qui se retrouve alors seins nus.
Elle lui crache alors au visage en ricanant et lui crie de la faire jouir…
Paty racle le fond du vagin de Chantal, enfonce ses ongles dans l’utérus, dans toutes les masses de chairs qu’elle sens… enfonce encore et encore… puis tire de toute ses forces, arrachant tout ce qui peut l’être !
Chantal ne s’attendait pas à ce geste… elle sens qu’elle se vide… et de ses organes et de son sang !
Elle hurle !
La douleur vient ensuite…
Paty enfonce alors la masse sanguignolante dans la bouche grande ouverte de Chantal et lui pince le nez simultanément, forçant Chantal a avaler le tout en cherchant à respirer…
Elle finit par s’étouffer, les yeux révulsés…
Paty a honte de rentrer, pas vraiment envie, ..mais démarre la voiture de Chantal.
Elle fait un demi tour, lance la voiture aussi vite que possible vers le corps de Chantal encore semi consciente… et serre les dents au moment du choc…
Lorsque la tête de Chantal éclate en haut du pare brise, elle sourit, elle ne recevra enfin plus de SMS d’elle toutes les heures !
Finalement, elle n’était pas si belle que ça, avec sa machoire de néanderthalienne et son léger embompoint.
Pfffffffffffffffffttttttttttt !