Sussions extrêmes…
Essai comparatif exclusif d’aspirateurs en groupe…
Depuis son lancement il y a un certain temps, l’aspirateur GT-666 fait figure de référence mondiale dans le domaine des machines à sussions de haute performance.
Prenant la relève du GT-665 qui faisait lui-même suite au GT-664 que j’avais essayé lors de sa sortie, il affronte maintenant des concurrents de taille…, pourtant il sort gagnant de toutes les comparaisons… et donc, à force de lire la presse internationale louanger cet aspirateur, on est parfois porté à douter de la véracité de leurs commentaires dithyrambiques, ce pourquoi j’ai décidé de réaliser une compétition hors norme et en présence de représentantes de la gent féminine (vous lirez plus loin le résultat)…, un évènement qui ne fut pas piqué des vers.
La seule façon d’être certain de quelque chose est en effet de l’évaluer par soi-même, c’est ce que j’ai eu l’opportunité de faire et je vous présente ainsi l’essai exclusif de l’aspirateur GT-666 comparé à une dizaine d’autres…
Les amateurs et amatrices d’aspirateurs le répètent depuis déjà plusieurs décennies : les plus belles créations en la matière sortent de nulle-part… et souvent de bien loin… (c’est un peu comme les orgasmes féminins, très très longs à venir, alors qu’on ne sait jamais comment on a réussi à y arriver)…
Comparé à un florilège d’autres aspirateurs, le GT-666 est d’une beauté sous tous les angles, beaucoup plus stylisé, fluide, agressif et excentrique que l’ancien GT-665…, il attire le regard de toutes et tous : jeunes, vieux, vieilles, hommes, femmes, transsexuels, sont subjugués par ses courbes toutes en rondeurs (sic !) qui rendent les yeux scintillants et la tête plein de rêves inassouvis…
Il y a en effet, outre l’aspiration…, quelque chose d’inexplicable et d’intangible, que l’on ne peut dès-lors expliquer mais qui se ressent dès qu’on tient (enfin) le manchon flexible de la machine dans ses mains (c’est comme aider manuellement à une érection)…
L’histoire du fabriquant de l’aspirateur GT-666 et des 665 modèles qui l’ont précédé, est une extraordinaire saga [ayons une larme de bonheur au souvenir de l’extraordinaire GT-001 de légende présenté ici par le groupe Queens, dont les performances, le prix astronomique (pour l’époque) et la faible disponibilité, à créé la passion]…
Plusieurs d’un peu partout critiquent les récents designs d’aspirateurs, tous très modernes visuellement, nul doute là-dessus…, par contre, il est vrai que l’on peut se questionner s’ils seront encore beaux à regarder dans 15 ans d’ici.
À mon avis, le GT-666 est à l’abri de ce genre de soupçon car il offre une prestance qui défiera les décennies, tout comme a pu le faire le GT-665 précédent.
Outre les matériaux provenant de l’ingénierie aérospatiale utilisés pour concevoir sa carrosserie et son châssis, on dénote aussi que la qualité du flexible et des manchons emboitables n’a plus rien à voir avec les plastiques bon marché qui affectaient les modèles précédents.
Que ce soient : la poignée, les roulettes, le coffret aux accessoires jusqu’aux boutons de commande…, on sent la qualité et le soin apporté à confectionner cette machine.
Vous objecterez qu’on n’achète pas une telle merveille pour tout cela, mais pour ses qualités d’aspiration… et vous auriez raison de me l’objecter…, mais quand on débourse son prix de vente (assez coquet), on souhaite que toutes ses facettes nous en offrent pour notre argent… et c’est exactement ce que ce que le GT-666 offre à son et/ou à sa propriétaire.
Un voyant s’allume pour signaler que la machine fonctionne (ce qui s’entend aussi, mais les ingénieurs ont pensé aux sourds et sourdes qui aspirent)… et un autre, situé à son coté, offre toutes les informations nécessaires à l’aspiration via différents menus : faible, moyen, fort, très fort…, mais le voyant situé de l’autre coté s’avère bien le plus utile pour un aspirateur offrant de telles performances : l’indication que le sac sera bientôt plein…
Une fois debout, bien campé sur ses jambes à coté de la machine et tenant fermement le manche (le tube d’aspiration), on se sent immédiatement sexuellement enveloppé par une sorte de bonheur.
Deux éléments sautent rapidement aux yeux :
Tout d’abord, il n’y a pas de crochet permettant de suspendre l’aspirateur, c’est très étrange (pourquoi suspendre l’aspirateur vous demandez-vous ? Et je n’ai pas la réponse)…, de plus aucune indication traditionnelle concernant les accessoires situés dans le coffret ad-hoc (sic !) n’est offerte au catalogue, une première pour un aspirateur high-class !
Le second élément qui retient l’attention est la forme du tuyau d’aspiration…, oui sa forme est unique, légèrement ovalisée…, mais ce qui est encore plus intéressant est le fait que plusieurs commandes s’y retrouvent : un bouton ON/OFF et l’ajustement de l’aspiration, gage de stabilité.
Selon les ingénieurs de la marque, il est plus léger que le modèle précédent et peut résister à une chute pas trop brutale dans un escalier de 10 marches au maximum…, donc, j’avais bien hâte de constater ce niveau de performance et, n’attendant plus une seconde de plus, j’ai voulu voir ce que cet aspirateur avait dans le ventre !
L’aspirateur GT-666 est assez confortable d’utilisation et pourrait même être utilisé sur une terrasse, par contre, le but premier d’une telle machine est de procurer un niveau inégalé de performance d’aspiration.
Dès que j’ai pressé le bouton ON/OFF, une sonorité enivrante et très présente a envahi la pièce…, au diable la chaîne audio du salon, la plus belle mélodie se passait ailleurs que via les haut-parleurs…, j’ai alors poussé l’aspirateur du pied du haut des escaliers et il les a dévalé sans autre dégât (collatéral) qu’assommer mon chien…
Après l’avoir soigné (mon chien) et remonté l’aspirateur, dès les premiers mètres d’une utilisation moins folle, je suis resté surpris par sa légèreté et sa maniabilité, quoique le chariot s’avérait, sur les tapis haute-mèches, un peu lourd et moins manœuvrable…., que soit…, ensuite, j’ai remarqué que les vitesses d’aspiration se changeaient en un éclair, l’engin n’ayant besoin que de 120 millisecondes pour changer de vitesse de “faible” à “moyen” puis de “fort” à “très fort”…
Au fur et à mesure que j’augmentais la cadence, mon cœur battait de plus en plus fort et mon sourire devenait de plus en plus grand (j’ai même eu un début d’érection)…, j’avais toutefois prévu d’utiliser plusieurs types d’aspirateurs y compris des marques exotiques… et laissez-moi vous dire/écrire que celui-ci est de loin le plus performant et surtout le plus grisant jamais essayé.
Au cœur de cette superbe machine, on retrouve en effet un moteur électrique dernier cri produisant une puissance (annoncée d’usine) de 0,043 chevaux à 19.000 tours/min… dont les performances sont de loin supérieures au GT-665 qu’il remplace.
J’ai réalisé un test comparatif chronométré par une amie dans une pièce calibrée pour l’occasion (ça ne veut rien dire, mais c’est comme les essais des magazines automobiles, ça fait sérieux de l’écrire, alors qu’en réalité les journaleux reprennent les chiffres usine qu’ils transforment)…, comportant une carpette, un tapis de sol, 4M² de moquette à hautes-mèches et le reste en carrelage, et calculé (au pif) qu’elle (la pièce) pouvait être aspirée en 65 dixième de secondes plus vite qu’avec le GT-665 !
Certain(e)s pourraient amener le fait qu’un simple aspirateur basique tel l’abominable XWC5754-DOM6 d’une marque concurrente dont je tais le nom par pudeur (une vraie Porscherie), offre des chiffres sensiblement identiques pour 50 euros de moins… et ils auraient pleinement raison de me l’objecter (bis)…, par contre, ce que le XWC5754-DOM6 ne peut offrir est une expérience d’usage aussi mémorable et électrisante… malgré que les tenants de cette barbarie raillent le fabuleux GT-666, le traitant de “Ferraillerie aspiratoire”, un comble…, avec le GT-666, on a vraiment l’impression de contribuer à chaque petite manœuvre et commande, pour ainsi améliorer le temps d’aspiration à mesure que l’on apprivoise la bête.
Avec le XWC5754-DOM6, par contre et comparaison, c’est rapide mais on ressent que l’électronique à beaucoup plus à voir avec les exploits d’aspiration… et la rétroaction n’est pas son point fort.
Si je peux me permettre d’exagérer un peu, c’est comme jouer à Forza Motorsport ou Gran Turismo sur une console PS3 ou xBox360…, l’expérience est plaisante mais il manque quelque chose pour réellement se sentir inclus dans ce que l’on vit.
Avec le moteur électrique monté au centre névralgique de l’aspirateur, l’équilibre est parfait (50/50) et permet de se lancer dans des zigzag d’évitement des meubles en virage à des vitesses très élevées, tout en restant en pleine confiance et maîtrise de ce qui se passe.
Je n’ai jamais ressenti une telle communication avec un aspirateur…, le point de corde est facile à aller chercher même lors d’un excès d’enthousiasme…, l’aspirateur transmettant tous les moindres détails des divers revêtements de sol en sus de ce qu’il aspire, on sait exactement à quel moment la limite est atteinte (quand on s’y rend !) !
De plus on prend un plaisir fou à explorer l’incroyable force de sussion (d’une puissance ahurissante) et la montée en régime jusque 19.000 trs/min…, c’est si facile et surtout tellement, tellement, tellement, tellement jouissif comme expérience… que c’est comme se branler sans les mains (sic !)…
J’ai convié différentes amies à diverses séances “d’aspiration”…, amies qui ont fort heureusement déviées rapidement vers les bienfaits sexuels que peut prodiguer les aspirateurs pour des sensations inusitées (personne n’en avait rien à f… de “passer” l’aspirateur dans sa fonction basique).
Chaque intervenante avait le choix d’utiliser son aspirateur habituel et ensuite d’en comparer les capacités diverses (sic !) avec le fameux GT-666…, chacune intervenant (sic !) au moment opportun…, la personne aspirée ou aspirante (re-sic !) pouvant se laisser aller à s’amuser et jouir…, un test d’aspiration du sol n’étant absolument pas utile pour peaufiner le(s) sujet(s)…
J’ai personnellement testé chaque aspirateur même des anciens modèles dits “traineaux” (ceux-ci ne procurant qu’une gratouille assez dangereuse, les femmes y trouvant un certain plaisir illustré sur la photo ci-dessus)… et j’ai préféré continuer avec les modèles “Vacuum” en utilisant alors le mode “maximum”…
J’ai ainsi constaté combien il était fascinant de voir et sentir les conséquences (ça peut faire mâle)…, qui à tous les coups laissaient l’officiant (puis les officiantes) devoir effectuer des dérobades et même des glissades “aspiratoires” en gémissant…, un assistant (ou une assistante) n’intervenant que pour corriger l’intensité de l’aspiration si la situation était jugée dangereuse et extrême.
C’est en finale le GT-666 qui a recueilli tous les suffrages, son niveau d’ingénierie étant unanimement reconnu comme étant “à se jeter par terre avec la tête dans les étoiles”…, de plus il est resté insensible et étanche à l’aspiration de quantités de fluides corporels et autres…
Le seul défaut que je peux lui reprocher concerne l’enroulement automatique de câble d’alimentation électrique qui est très sensible et peut parfois réagir trop abruptement par moment…, il suffit d’être averti et d’y aller délicatement pour que le câble ne s’enroule pas inopinément autour des bijoux de famille !
Et tant qu’à parler de défaut, le mode automatique d’aspiration (en option) n’a pas sa place dans une telle machine, même si l’aspiration est alors très civilisée et fluide…, ceci résume ainsi (et clôture) le test-comparatif et les essais collectifs…
Dommage que le rêve de posséder un GT-666 n’est réservé qu’aux épicurien(ne)s en ce bas monde, chaque amateur/amatrice de caoutchouc brûlé devrait en effet avoir la chance d’expérimenter l’aspiration de ses parties sexuelles une fois dans sa vie pour pouvoir mourir en paix une fois le moment arrivé…