Hot-Rod 1933 Ford Coupe “McKenzie”
https://vimeo.com/645314783
Sur la River Road le long de la rivière Guadalupe, juste à l’extérieur de San Antonio, au Texas père et fils se baladent dans le Ford Coupé 1933, qu’ils ont construit ensemble. Ils peuvent à peine s’entendre au-dessus du rugissement de l’échappement de la voiture.
Ils discutent de leurs futures constructions de voitures, des nouvelles aventures qui en découleront ! C’est probablement l’endroit le moins pratique pour avoir une conversation mais c’est là que toutes leurs discussions se produisent. De très bonnes conversations !
Chris dit de son fils, qu’il est simplement une encyclopédie ambulante quand il s’agit des Hot-Rods : “Il peut citer les noms de qui a construit quelles voitures et les a pilotées à quelles courses sur le lac salé dans les premiers jours du Hot-Rodding. Il aime les mythes et les légendes. Et, plus important encore, il est obsédé par le potentiel de nouvelles possibilités qui restent inhérentes à ces machines rudimentaires vieilles de presque bientôt un siècle”.
Les compétences, les connaissances et les traditions qui maintiennent en vie un passe-temps, dans ce cas, le Hot-Rodding, ne perdurent pas d’elles-mêmes. Chaque génération doit prendre l’initiative de les transmettre à la prochaine génération de passionnés, de père à fils, de voisin à voisin, d’ami à ami.
Chris a donc décidé d’offrir ce Hot-Rod à son fils à l’occasion de son anniversaire, c’est sa petite part pour garantir que la tradition du Hot-Roddding survivra pendant au moins une génération de plus !
Personne ne sait qui a inventé le terme “Hot-Rod”, mais tout au long de leur histoire, les Hot-Rods ont toujours eu un moyen d’attirer les libres penseurs et les preneurs de risques ! Le Hot-Rodding a commencé comme un mouvement culte dans les années 1920 et a prospéré à Los Angeles, d’abord avec des courses de rue illégales, puis au nord et à l’ouest de la ville dans le désert sans limites de Mojave, avec des dévots en compétition sur le lit des lacs salés d’El Mirage et Muroc.
L’avènement des magazines Hot-Rod aux USA puis plus tard de Chromes&Flammes en Europe a répandu l’évangile de la vitesse à travers le monde. Les plus rapides ont créé leurs propres entreprises de Hot-Rods et leur myriade de talents s’est étendue !
6 commentaires
Et je vous donne RAISON mon cher Gatsby. Ma question faisait écho à votre article lu il y a bien longtemps maintenant https://www.gatsbyonline.com/automobile/hot-rods-et-rat-rods-toute-une-histoire-358970/ mais je conçois tout à fait qu’il soit lassant de répondre à ce type de question qui, au fond, n’élève pas le débat puisque tout a déjà été écrit.
OK… Merci !
Ah pour une fois je ne parlais pas de vous mon cher Gatsby, je ne me permettrais pas d’insinuer quoi que ce soit ! C’est qu’en lisant cet article je m’étais demandé ce qui, dans un tel projet père/fils, relève du goût réel et personnel du fils, et de son envie de faire plaisir au père…
Tout est dans l’article qui concerne un père petit constructeur de Hot-Rods qui offre “son” Hot-Rod à son fils qui le seconde dans le garage… C’est inintéressant au posssible, mais c’est une tranche de vie de “Hot-Rodders” qui est rendue intéressante par les photos et la vidéo… Je pense qu’en fait c’est le fils qui a construit le Rod avec son père qui lui donne en finale dans une sorte de mélo pleurnichard typiquement américain… Pas plus ni moins, pas de quoi en faire tout un paraquès, sauf qu’un écrivain américain devrait pouvoir en faire un roman et un film familial larmoyant…
J’aurais pu vous écrire en parlant de relation père/fils ou de la violence d’une génération qui impose ses idées et ses vues à l’autre. Les personnes bien élevées parlent de transmission. Mais peu importe, ma question mon cher Gatsby, est la suivante, et vous saurez y répondre : les couleurs des Hot Rod varient-elles dans le temps ? J’entends par là : ce bleu est à la mode, ma décoratrice me l’a proposé pour ma salle d’attente. Le hot-rod Hi-Boy était jaune… à une époque où le jaune l’était ? Y’a-t-il plusieurs écoles de Hot-Rod, une Serge Bellu où le hotrod doit respirer la pauvreté d’origine : rouille et peintures récup’, et l’autre plus “mode” ?
Je n’ai pas eu de relations familiales “Père/Fils” violentes. Mon père m’a simplement dit alors que Chromes&Flammes fonctionnait “à donf” et que j’avais pu m’acheter une propriété hors de ses moyens à lui, qu’au plus haut on est, au plus dure sera la chute. Ce qui s’est avéré exact lorsque j’ai été surimposé par le fisc. Ce qui n’a rien “à voir” avec les couleurs qui ne sont que des goûts personnels qui peuvent s’avérer des dégoûts pour d’autres. Pour une fois, votre question me fait “pouf-pouf-pouf” en tête… Je crois y comprendre ce que je constate de ce à quoi vous me répondez qui sont des sujets qui ne se trouvent pas dans le section “Chromes&Flammes”… Donc vous n’en avez aucun intérêt, quoique vous voudriez en avoir un peu, mais ne savez (pouvez) en formuler de questions… Nul n’est parfait…
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