Gulgong’Rodding..
En cause et en suite du train-train destructif européen qui saccage nos vies et nos moyens pour jeter nos avoirs financiers et nos rêves dans le feu Ukrainien dans le but inavouable d’un “return” perso de 50% aux “généreux” donneurs et donneuses pour qui nous n’avons jamais voté ni accepté de nous ramener au stade de la grande déglingue des années trente, je désire vous souligner des faits que nous subissons toutes et tous…
En Europe du temps des années Chromes&Flammes ’70 ’80 ’90, une réunion de Hot-Rods, Kustom’s et Van’s était un événement festif où des passionnés se rassemblaient pour exposer leurs véhicules, échanger des conseils et participer à des articles sur leurs créations. La guerre des magazines Kustom’s s’est terminée par une déglingue générale, l’arrêt et la faillite de groupes de presse y relatifs, l’un après l’autre…
Et ce jusqu’à la faillite retentissante en plusieurs dizaines de millions du Groupe Michel Hommel… Aux USA ce fut presqu’identique avec une vingtaine de magazines Kustom’s et Hot-Rods qui ont stoppé sans suite, fermé les rédactions, vendus les bâtiments et viré les journalistes, ne laissant que le seul Hot Rod magazine en cheville subsidiaire de Motor Trends… Tout le monde a pleuré, mais le mal était fait pour toujours…
Pour ma part prévoyant “le coup” depuis fin des années’90 ChromesFlammes/Gatsby/SecretsInterdits ont formé un ensemble numérique… J’ai tenté un retour “papier” mais le “return” n’était plus le même… Evidement, l’Union Européenne ayant le but d’une uniformisation générale a d’abord voulu sauver les industriels fabricants des “thermiques” mais chacun y est allé de ses besoins d’escroqueries et VW s’est piégé dans une arnaque généralisée.
Celle-ci a fait perdre le peu qui restait de la confiance er de l’amour des automobiles… La volonté de nos gouvernements de sortir de l’emprise des produits pétroliers en promouvant les solutions électriques, nous a amené dans une impasse énergétique qui plombe nos économies et a été aggravée par l’affaire d’Ukraine, une tromperie malhonnête faite envers la Russie, qui cache un système de rétro-commissions à hauts-niveaux.
C’est exactement semblable aux rétro-commissions avec l’industrie chimique des faux vaccins Covid qui maintenant sont la cause d’innombrables problèmes de santé et de décès… On nous a menti et on a ainsi assassiné une grande part des populations afin qu’une élire s’enrichisse… Le monde ne sera plus pareil et l’importance qu’on en a et qu’on en vit se minimise par le fait que tout le monde vieillit et meurt…
Pour les nostalgiques, s’il n’existe plus de “vrais” clubs de Kustom’s et Hot Rod’s en Europe si ce ne sont quelques pages Facebook’s qui prétendent l’être, les USA font le gros-dos entre vieux passionnés qui ressassent leurs souvenirs… Mais existent encore divers clubs en Australie qui survivent parce que les zones habitées n’y représentent que 10% à peine du continent… et faire la loi dans le vrai pays de MadMax ne fonctionne pas…
Dès lors, c’est resté comme le Hot Rodding des années cinquante… Pas de style Boydd Coddington hors de prix, tout est cool et fifties… Divers clubs et associations de Hot-Rods survivent donc en Australie, qui organisent régulièrement des réunions dans différentes villes et régions du pays. La plus typée est
Gulgong, une petite bourgade historique située dans la Nouvelle-Galles du Sud, à environ 300 km au nord-ouest de Sydney.
Elle est connue pour son patrimoine architectural, son musée de la ruée vers l’or et son festival annuel Henry Lawson, qui rend hommage au célèbre écrivain australien. Donc, à Gulgong, une réunion de Hot-Rods a lieu tous les ans au mois de mai, pendant le week-end du festival Henry Lawson. Elle attire des centaines de participants et un millier de spectateurs, qui viennent vivre le Hot Rodding et la ruée vers l’Or Australien…
On y vient pour une ambiance festive façon locale… La réunion comprend un défilé dans les rues de la ville, un concours de beauté, un barbecue, un bal et des animations musicales. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réunion de Hot-Rods à Gulgong, vous pouvez consulter les sites suivants : “Gulgong Hot Rod Run” : le site officiel de l’événement… et “Gulgong NSW” : le site touristique de la ville de Gulgong, qui propose des infos, hébergements, activités et événements.
Le nom “Gulgong” est dérivé du mot utilisé par les habitants traditionnels, les Wiradjuri, pour “point d’eau profond”. Une figure Australienne légendaire, Le lieutenant William Lawson, passa dans la région en novembre 1820 et de nouveau en 1821 et a signalé à Sidney aux migrants Britanniques sans scrupules venu voler la terre des vrais habitants/propriétaires de ce continent, que les pâturages étaient bons dans la région (sic !).
Cela incita les frères George et Henry Cox, fils de William Cox, à prendre (à voler) toutes les terres au sud de la rivière Gudgegong, tandis que Lawson s’octroyait des concessions de terres au nord. D’autres envahisseurs, colons britanniques, ont rapidement suivi, s’installant principalement sur les terres avec une façade fluviale le long du Gudgegong. L’un des premiers à en prendre officiellement possession fut Richard Rouse en 1825 du gouverneur Brisbane.
Le massacre général des réels habitants du continent australien depuis l’origine du monde, fut de même ampleur qu’en Amérique du sud, centrale et du nord… Il en fut de même en Afrique… Nous sommes les enfants d’abominables colonisateurs qui ont réalisés d’innombrables massacres pour tout prendre par pillages systématiques et génocides divers…
Gulgong a vu le jour après la découverte d’or à Red Hill en 1870. Le canton a été arpenté en août 1870. À la fin de cette année-là, il y avait 800 personnes sur les extractions, qui ont donné plus de 32 tonnes d’or dans les années 1870. La population était passée alors à 12.000 au moment de la visite de l’écrivain britannique Anthony Trollope en octobre 1871, qui a relaté les évènements façon : “Gulgong était certainement un endroit rude quand je l’ai visité”…
Ce colonisateur a écrit ensuite : “Gulgong n’était pas aussi inhospitalier que je m’y attendais. Il y avait là un hôtel, où j’avais une chambre à coucher, quoique petite, et faite seulement de bois. La partie habitée de la ville se composait de deux rues perpendiculaires l’une à l’autre, dans chacune desquelles chaque habitation et chaque boutique n’avait probablement eu besoin que de quelques jours pour s’élever”..
Il est vrai que les devantures des magasins étaient couvertes de grandes annonces, de noms et d’éloges de commerçants, comme c’est la coutume aujourd’hui dans tous les marchés neufs, mais l’endroit ressemblait plus à une foire qu’à une ville. :“Tout ce qui était nécessaire, cependant, semblait être à portée de main. Il y avait des boulangers, des bouchers, des épiciers et des marchands. Il y avait des pubs et des banques en abondance”…
Antony Trollope n’était pas avare de ses commentaires : “Il y avait un encanteur où j’assistais à la vente de chevaux et de charrettes. Il y avait un photographe, et il y avait un théâtre, où j’ai vu la “Colleen Bawn” jouer avec beaucoup d’entrain et une quantité considérable de talent histrionique. Après le théâtre, un généreux banquier de la ville nous donna un souper d’huîtres, dans une salle à manger”…
On peut donc en déduire à lire sa prose d’un autre siècle que le confort de la vie n’avait pas été tout à fait négligé à Gullgong. Antony Trolloppe concluait son article sur des considérations “fourre-tout”... :“Au milieu de la journée, il y avait eu un dîner ou un déjeuner public, au cours duquel il y avait eu beaucoup de discours. Je ne peux pas dire que l’oratoire de Gullgong était aussi bon que le jeu de Gullgong ou les huîtres de Gullgong”...
La population de la ville atteint 20.000 habitants en 1873. Le champ aurifère de Gulgong a été l’un des derniers à être exploité en tant que “fouilles du pauvre”, c’est-à-dire par des particuliers sans investissement substantiel en capital. Le romancier et poète de brousse Henry Lawson a vécu brièvement à Gulgong dans son enfance au début des années 1870, tandis que son père cherchait à s’enrichir instantanément en tant que mineur.
Un montage de scènes de rue de l’époque de la ruée vers l’or de Gulgong a été utilisé comme toile de fond pour le portrait de Lawson sur le premier billet de dix dollars australien (qui a été utilisé de 1966 jusqu’à ce qu’il soit remplacé par un billet de banque en polymère en novembre 1993). La ville et son quartier environnant figurent dans la fiction de Lawson, en particulier dans “Joe Wilson and His Mates”.
On pense que Gulgong est l’un des principaux lieux de tournage de “Robbery under Arms” de Thomas Alexander Browne, premier romancier australien de renom, Browne fut magistrat de police de 1871 à 1881. Il a accueilli l’auteur anglais Anthony Trollope, qui a plus tard consigné ses impressions sur l’Australie et la Nouvelle-Zélande. En 1872, Henry Beaufoy Merlin a pris des images photographiques sur des négatifs sur plaque de verre de nombreux bâtiments.
Il a également photographié divers propriétaires, des locataires et des passants, ainsi que des mines d’or et mineurs, créant ainsi un témoignage unique de la vie, dans la ville et ses environs, à l’époque des ruées vers l’or. Ces images de Gulgong font partie de la collection Holtermann. Une zone voisine est connue sous le nom de “site fossilifère de Talbragar”, contenant parfois des spécimens de plantes, de poissons, d’invertébrés et d’une araignée jusqu’alors inconnue.
En outre, un site nommé “McGraths Flat”, situé à environ 25 miles au nord-ouest de Gulgong, contient une cache récemment découverte de fossiles de l’ère Miocène qui est la première époque du Néogène et la quatrième de l’ère Cénozoïque. Il s’étend de 23,03 ± 0,05 à 5,332 ± 0,005 millions d’années. Il est précédé par l’Oligocène et suivi par le Pliocène. Le nom « Miocène » a été créé par Charles Lyell à partir du grec μείων « moins» et καινός « récent »…
L’explication est que cette période comporte moins d’invertébrés marins modernes que le Pliocène. Durant sa première moitié, le Miocène connait une période de réchauffement puis d’optimum climatique. La végétation tropicale remonte vers le nord, favorisant l’expansion des faunes africaines, et notamment des Hominoidea en Europe et en Asie. À partir de 14,5 millions d’années, le climat connait une tendance au refroidissement et à l’assèchement.
Cela se poursuivra avec des fluctuations pendant le Pliocène, jusqu’à parvenir aux cycles glaciaires du Pléistocène. À la fin du Miocène, la température baisse et le climat devient plus sec. L’Australie devient semi-aride… Vous pouvez parfaire vos connaissances en un clic : Miocène — Wikipédia (wikipedia.org) Pour ce qui est de commenter la réunion de Hot Rods, les photos “parlent” d’elles-mêmes… Voilà, ma conférence est terminée. Merci de faire un DON…
2 commentaires
Maître,
Votre choix audacieux de ne pas vous focaliser exclusivement sur les détails des véhicules et de leurs propriétaires amène une partie de vos lecteurs à réfléchir à la manière dont les individus interagissent avec leur histoire. Cette approche permet une réflexion approfondie sur les dynamiques entre la tradition et l’innovation dans la construction de notre identité contemporaine. Les modifications artistiques et mécaniques liées au hot rodding transcendent les limites temporelles, combinant le passé et une expression contemporaine de la créativité humaine, forgeant ainsi une histoire propre au sein d’une culture automobile en constante évolution.
Au-delà du simple acte de rébellion mécanique, symbolisant l’individualisme et la quête de singularité dans un monde standardisé, on peut aussi voir un authentique dialogue entre le passé et le présent. Cette perspective soulève des questionnements profonds sur notre engagement dans l’époque actuelle et sur la façon dont nous participons à l’évolution culturelle, ainsi que sur les contours complexes de notre rapport à l’histoire et à la modernité. “Pulvis et umbra sumus.”
Docteur,
Nous ne sommes qu’ombres et poussières ! Qui sait si les dieux ajouteront le jour de demain à celui qui nous éclaire ? J’en arrive à écrire sur des véhicules sans les disséquer de ce qu’ils sont faits. Seul m’importe le ressenti que j’en éprouve. L’artifice est de pas s’appesantir sur ce qu’ils sont et de quoi il sont faits, mais de n’en dépeindre que le ressenti qu’ils m’éprouvent. En ce sens, mon choix se limite à des injonctions de type “Waouhhhh, Ouiiiiiiiiiiiiii, Bof, Pfffffffffff, Ouaihhhhhh… C’est pareil qu’en amour, soit décrire en mots une pénétration éjaculatoire créant une jouissance suivie d’une envie de dormir… soit de transposer les gargouillis et susurrations ineptes définis en “mots d’amoures” en une mélasse sirupeuse de clichés éculés… Il s’agit de raconter une histoire, celle d’un imaginaire, d’une pensée littéraire comme un écart et une rupture dans un geste de périodisation familier et que l’on retrouve notamment dans : sujet, verbe, complément. Ce moment grammatical de la littérature française isole un moment, gouverné par une dramaturgie où se nouent réflexions stylistiques, analyses grammaticales et histoire littéraire, pour dire tout à la fois les évolutions des pratiques d’écriture et les inflexions des imaginaires linguistiques, si l’on accepte de s’intéresser avec moi au souci de clôture du moment isolé. Malgré ce désir d’encadrer une période, et en dépit des effets, tout repose cependant sur une dissymétrie concertée entre moi et moi-même. En effet, j’accorde une attention bien plus soutenue aux conditions d’émergence de la langue littéraire, à la naissance de cette écriture spécifique qui s’arrache des normes du bien écrire pour fonder sur l’individualité de l’écrivain sa légitimité. Pour preuve, je m’évertue à créer une introduction passionnante analysant dès l’introduction, les conditions de la sortie, il n’existe pas pour autant d’équivalent conclusif, malgré diverses remarques très suggestives réservées pour la fin de l’écrit. CQFD !
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