Lorsque nous nous retrouvons dans un des restaurants du Lac de Genval, Le Shangri-Là du Lac (Le Pékin-les-eaux, en argot local)…, devant un vieux canard auquel je me force à croire le chef, qui m’affirme et me rassure devant la carte, qu’il était mort de vieillesse, paisiblement, pour être mangé sauté avec des nouilles caramélisées, il y a dans l’air, comme une éternité de bonheur !
!
Tout cela dans ce cadre magique au bord du lac “enchanté”… : le petit Trianon…
Il nous arrive à tous (et à toutes) de ressentir parfois une certaine lassitude face à ce monde, devant certaines personnes qui ne nous emportent plus dans des lendemains qui chantent…, surtout au vu des événements de l’actualité qui nous informe tout en générant de l’anxièté avec le contexte actuel, économique, politique et écologique…
“Vous êtes ingénieur ? Un peu ? Beaucoup ? Je reste toujours admirative des batisseurs de ponts, chemins de fer, cathédrales, devant toute la complexité d’avoir pu élever des choses aussi magnifiques jusque dans les moindres détails d’un vitrail, de même que la longueur d’un pont, ou comment un train peut-il rester sur des rails ? C’est du génie !”…
Pour moi, les dieux se nomment : achitectes, sculpteurs, peintres, maçons, charpentiers, géomètres, artisans…
Une chose est certaine, je préfère los coups d’humeurs que les silences…
L’écrivain Kipling n’a pas écrit que des contes pour enfants…
Amicalement,
“Rire c’est risquer de paraître fou”…
“Pleurer, c’est risquer de paraître trop sentimental”…
“Tendre la main, c’est risquer de s’engager”…
“Montrer ses sentiment, c’est risquer de s’exposer”…
“Faire connaître ses idées, ses rêves, c’est risquer d’être rejeté”…
“Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour”…
“Vivre, c’est risquer de mourir”…
“Espérer, c’est risquer de désespérer”…
“Essayer, c’est risquer de défaillir”…
“Le plus grand danger dans la vie, est de ne pas risquer”…
(Kipling)